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sur 29198 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Cette oeuvre est un incontournable, un classique, un précurseur de la dystopie ; ainsi, on en retrouve tous les éléments : un univers autoritaire, un personnage baignant dedans puis qui entre dans la contestation du roman, dans le but de détruire le régime. Il y a de là de quoi discuter !

Pour commencer par l'univers, qui constitue la base du livre et le point de départ de l'intrigue, il est très complexe. Trop, même, au premier abord, et cela parce que l'auteur n'explique pas tout de suite comment est composé le Londres que l'on découvre (notamment les différents ministères, Big Brother), d'autant que l'écriture ne rend pas la lecture aisée : Orwell a créé dans ce monde une nouvelle langue, le Novlangue, censée traduire la façon de penser humaine, c'est-à-dire de manière simplifiée, ce qui passe par des mots-valises issues de la contraction d'expressions entières, de grammaire plus ou moins étrange, de mots nouveaux... pas ce à quoi je suis habituée, en somme (et vous l'aurez peut-être compris à présent, j'aime l'originalité, mais pas forcément dans le style d'écriture). Donc, j'avoue avoir eu beaucoup de mal au début. L'univers m'a fait penser à la dictature de Staline transposée à un Londres futuriste (en 1984, pour un roman publié en 1949) mais, en fait, l'inspiration première a été celle des premiers socialismes anglais.

Une fois cela posé (dans la chronologie du livre, avant, certes), on découvre le protagoniste, Winston. Comme dans toute dystopie, on s'attend à ce qu'il devienne un héros, et donc à ce qu'il y ait de l'action. Or, le début du roman est consacré à la découverte par le personnage de tout ce à quoi le régime autoritaire le prive. Et cela met du temps, beaucoup même. Les rencontres avec Julia sont plates, et n'apportent pas grand chose. Ce qui m'a fait vraiment accroché à l'oeuvre est le Livre de Goldstein, celui censé incarner l'opposition au régime. Des extraits du Livre sont inclus, et la démonstration m'a beaucoup plus fait comprendre le contrôle exercé par le Parti sur la population. A partir de là, la suite et fin est intéressante (je ne dirais pas où elle se passe, au risque de vous spoiler), mais les bouleversements dans les pensées de Winston sont des rebondissements haletants. Au final, l'intrigue est centrée sur la psychologie des personnages, puisque tout a un rapport avec le contrôle de la pensée.

J'en viens ainsi à parler des personnages. D'abord Winston, que j'ai déjà amplement mentionné ; du statut de héros, j'ai ensuite pensé qu'il serait un anti-héros. Puis, à la fin, virage à 360° et l'on découvre que Winston n'est rien de tout cela. le personnage a réellement évolué : il a commencé à douter de ce que le régime disait réellement, puis ses doutes ont été confirmés, puis le régime l'a réintégré en son sein. On assiste ainsi à travers lui à l'éveil de a conscience, puis la perversion de la pensée qui permet l'embrigadement. C'est cela qui est réellement intéressant dans ce livre, plus que l'intrigue. On comprend qu'il arrive la même chose à Julia, le personnage qui sort Winston de la torpeur dans laquelle son univers le plonge ; on n'en sait pas beaucoup sur elle, et je n'ai pas réellement apprécié ce personnage. J'aimerais également aborder la figure de Big Brother : je n'ai pas réussi à déterminer s'il s'agissait d'une réelle personne ou d'une sorte de symbole pour représenter l'ensemble des dirigeants du Parti intérieur... d'autant que Big Brother est une figure mythique de la littérature ! J'aurais donc aimé en savoir plus sur lui, qu'il ait une place véritablement active, alors qu'il se contente d'être présent, et je n'ai pas trouvé cela véritablement oppressant –pas autant que ce à quoi je m'attendais du moins.

De ma lecture, je retiens surtout les extraits du Livre de Goldstein, dont j'aurais aimé en lire davantage. le cheminement du personnage principal est intéressant, mais un peu long, et le style d'écriture à base de Novlangue, bien qu'innovant, ne m'a pas aidée.
Lien : http://letagereephemere.blog..
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Une des oeuvres le splus célèbres de l'auteur, qui s'est régulièrement attaché à dénoncer les systèmes autoritaires, en particulier la dictature stalinienne dont tous les ingrédients sont repris (anihilation de l'individu, propagande, surveillance, etc). 1984 est en effet un livre précurseur, à la croisée des chemins, entre prédictions et dénonciation des dictatures. le décor post-apocalyptique en renforce l'effet.

Fait d'ailleurs furieusement penser à certaines oeuvres de Zamiatine ou de Hasz. Egalement très kafkaien par moment.

Ici, un agent du parti a comme travail la falsification des archives. Peu à peu en lui nait la révolte contre l'absurdité du système, révolte qu'il cultive en déjouant la police de la pensée et le système de videosurveillance. Clandestinement, il commence à écrire.
Sa rencontre avec un autre agent, Julila, et la liaison qui s'ensuit, continuent dans cette clandestinité, jusqu'à leur arrestation. Ils seront brisés.

C'est une lecture vraiment édifiante.
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Relecture récente d'un classique lu au collège. Déception de lire une traduction de 2018 chez Gallimard qui remplace certains termes pourtant compréhensible et riches de sens tel que Novlangue par Néoparler. L'argument donné par Josée Kamoun (le traducteur?!) : « S'il [George Orwell] avait voulu écrire « novlangue », il aurait écrit « newlanguage ». Or ça n'est pas une langue, c'est une anti-langue ». En quoi Néoparler est plus cohérent?! Bref, si vous lisez 1984, je ne recommanderais pas cette traduction là qui a mon sens, n'ajoute rien à l'ancienne.
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Il est évident que le roman 1984 est intéressant et personnellement j'ai beaucoup aimé le lire.

Cependant George Orwell m'énerve , nottamment une phrase de lui :

- quel est la différence entre vous enfant et vous adulte ? rien sinon que vous êtes la même personne ".

Hors , ce n'est absolument pas vrai , on n'est pas du tout la même personne suivant les époques , c'est faux.
A 10 ans et 40 ans on peut totalement et intégralement changer.
D'où chez Georges Orwell finalement une certaine médiocrité puisqu'il ne comprends rien à une époque , un âge , une personne et son rapport à l'évolution du temps et comment elle conditionne.

Ece pour ça que le titre n'a pas la bonne date , car George orwell ne sait pas ce qu'est une époque ?

Aurait il voulu une société totalitaire sans changement d'époque de ses 10 à 99 ans ??

Deuxièmement une problème de date , la société futuriste et totalitaire de george orwell est en 1984 , hors , si l'année 1984 fut passionante elle n'a pas du tout ressemblée à celle décrite dans le livre 1984.

Hors le titre n'est pas anodin cela fait deja 55 ans que le livre de George Orwell n'a pas eu lieu.
Ou les prophéties de Georges Orwell ont elles été réalisées ? Nulle part.

Même en Corée du Nord elle n'ont pas eu lieu , les gens ont peur , savent qui est le dictateur , devant qu'elle statue saluer,  mais ce n'est pas une société orwellienne.
Des visiteurs occidentaux peuvent voir en Corée du Nord des stands à hot dogs et à boissons et des familles qui mangent ensemble un picnic sous des rochers ou coulent des sources d'eau ...

La Chine est une dictature et aurait eu largement les moyens de réaliser une société à la Orwell ; pourquoi alors ne l'a-t-elle pas fait ?

Même si j'ai aimé le livre il pose problème, d'abord comme lolita la pédérastie , George Orwell fait dans la dictature-porn ...
On n'est pas angoissé quand on lit 1984 on est fasciné , on n'est pas pris à la gorge on est émoustillé , on n'est pas dans l'intimité d'un personnage on est dans la position d'un voyeur qui jouit devant la déchéance d'un pauvre type ordinaire et banal ...

Finalement Marc Edouard Nabe a raison, ça démobilise, déculpabilise ; plaît car ça caresse le lecteur dans le sens du poil et lui donne ce qu'il a envie, la justification de sa médiocrité et le rejet sur la faute sur une société totalitaire ou c'est pas de MA faute , c'est la méchante société qui est vilaine : on ne peut rien faire ils contrôlent tout , ils sont trop malins , ils ont toujours un coup d'avance et contrôlent même l'opposition comme " Goldstein " ...

Finalement George orwell annonce avec 1984 ce qui fera le succès des personnages à la Houellebecq.

Surtout , si j'en ai marre d'orwell , c'est que tout le monde délire en Orwelleries tout le temps , société orwellienne par ci et par là, George Orwell pour rien , George Orwell à toutes les sauces , insupportable !

Non seulement la société ne fut pas orwellienne en 1984 mais pas plus en 1994 , 2014 , 2023 ....

C'est une fiction ! et une fiction qui n'est pas arrivée , ni à la date de son titre , ni aujourd'hui.

Ce serait comme si quelqu'un qui lisait le seigneur des anneaux pensait que les hobbits et les elfes existaient réellement.
Harry Potter c'est très bien mais POUDLARD N'EST PAS UNE VRAI ECOLE.

Hors qu'est-ce qu'on voit ?

Des jeunes qui aiment le seigneur des anneaux s'habiller comme les personnages avec leur petite épée en carton et leurs grosses oreilles d'elfes COMME SI c'était réel... des fans d'Harry Potter acheter des baguettes en plastique à 40 euros pour envoyer des sorts imaginaires, rien ne sort de ta baguette magique en plastique espèce d'idiot !

On a même vu des pauvres âmes se commander des lettres de poudelard sur Amazon , renseigner leur nom et prénom en ligne , attendre deux semaines et recevoir leur lettre de Poudlard qu'ils se sont envoyés à eux mêmes et l'exhiber fièrement
- Paul Dupond nous avons l'honneur de vous annoncer que vous êtes acceptés à Poudlard ...
Ridicule !

Hors , que font les " fans " de George Orwell sinon la même chose ?

Snowden , Assange, les dingos des complots nsa-cia-nasa etc ? Ils s'imaginent dans 1984 !

Même la fan Natacha polony a créé un " comité George Orwell " , pour qui elle se prends ?

Finalement le livre ressemble aux livres de science fiction d'Isaac Asimov autour duquel se groupent des sectes , car c'est bien une secte de lecteurs d'Orwell qui s'est crée à cause de lui ; les modérés disent - " ça pourrait arriver  " (et on doit comprendre que dans leur esprit ça veut dire qu'ils veulent que ça arrive ) les dingos pensent que c'est déjà arrivé !
Nuance chez les tarés !

L'incapacité à reconnaître une fiction est une forme d'infantilisme , que ce soit Harry potter le seigneur des anneaux ou 1984 , seul des gamins mal lunés ne peuvent pas saisir le principe d'une fiction.

Hors la secte des lecteurs de George Orwell est folle , non seulement elle se croit dans un 1984 imaginaire 36 ans après , en 2022  , mais en plus , tout est fait sur les réseaux sociaux pour les faire délirer complètement...

nottamment par le Kremlin de Poutine qui à l'adresse des Occidentaux envoie par de l'ingénierie sociale sur les réseaux sociaux comme tik tok , you tube , Facebook etc une vision orwellienne maniaque et folle d'un occident décadent qu'il adresse également à son propre peuple du style :

-  " regardez l'occident Orwellien , regardez cet occident immoral et pédophile ou on force les enfants à changer de sexe de force ... "

bref une propagande médiatique et sur internet féroce qui s'adresse à un peuple occidental mais aussi russe.

Celui-ci est en déclin démographique grave depuis les massacres de masse du peuple autochtone Russe sous la terreur stalinienne ( en réalité concernant les Russes , si on suit les statistiques , c'était un génocide ) : peuple russe ayant des traumatismes familiaux depuis Staline au niveau de sa mémoire génétique , des problèmes mentaux qui le poussent à boire en masse de la vodka ; bref un peuple traumatisé de fous et d'alcooliques qui , dans les compilations sur you tube , a tout le temps des accidents de voiture...

comme démontrées dans ces vidéos/compilations de 4 heures de voitures qui voltigent dans tous les sens : bref un peuple Russe , à bout de nerfs et fragile , à qui on balance de l'orwell de propagande , pour l'envoyer se faire charcuter pour la grande Russie en Ukraine ...

Voir aussi le prophète new-age à la radio américaine Alex Jones aux etats-unis ; sorte de pape du complotisme qui fait du Orwell à toutes les sauces , et qui a poussé des manifestants chauffés à blanc à envahir le capitole pour " sauver la démocratie ".

Bref George Orwell est utile pour laver le cerveau des gens ; et même si j'ai aimé le livre finalement les Orwelleries , et le livre 1984 , sont quelque-chose de dangereux et de répugnant.

" Orwellien "c'est le danger même de ce livre : Orwell a été soupçonné d'avoir été un agent du MI6 britannique ; et quoi qu'il en soit je lui en veux.

Salaud d'Orwell , réveillons nous ! ...
Mais pas au sens où lui-même est utile , au contraire , pour endormir et hypnotiser ....
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Cela faisait un petit moment que j'avais envie de le lire et ayant une PAL déjà très longue je me suis finalement décidé à l'écouter en livre audio.

J'ai trouvé le style du roman assez lourd avec beaucoup de longueurs. L'histoire en elle même n'a rien de notable de même que les personnages sont globalement assez insignifiants. Cependant ce n'est évidement pas cela qui a fait connaître ce roman mais plutôt la société qui y est décrite et en cela ce roman ne m'a pas déçue. Découvrir toutes les mécaniques mis en place aussi bien dans la langue que dans la gestion de cette société afin d'asservir les gens m'a beaucoup plu. Ce roman nous fait réfléchir sur l'importance de la langue et l'importance de bien savoir la magner ainsi que sur l'importance d'avoir un esprit critique sur tout ce qui peut nous être dit ou raconté.

Je ne pense pas que je lirai ou écouterai ce roman de nouveau mais il me semble intéressant voir important de le lire ou moins une fois !
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Alors, comment dire…… ce livre marinait dans ma bibliothèque depuis des années ….. un chef d'oeuvre incontournable …. Je ne pouvais pas passer à côté . Et bien ….. je sors de cette lecture mitigée ….. Orwell a bien évidemment le génie ( visionnaire?) qu'on lui prête. Il décrit une vision de la société qui fait froid dans le dos ou l'humain se doit de disparaître au profit du parti. Il ne peut plus avoir d'opinion, de pensée propre , de libre arbitre, et plus fort que tout , il ne peut plus aimer .
Mais Malgré tout son génie Orwell n'a pas su m'emporter . le livre est resté posé sur ma table de nuit pendant trop longtemps et la lecture a été poussive devant des longueurs évitables .
Le génie d'un écrivain n'est il pas aussi dans sa capacité à se mettre à la portée de son lecteur de manière à le laisser voyager au coeur d'un monde hors du temps ? Et bien moi je suis restée dans mon fauteuil ….
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Alors on commence avec un grand classique ! J'ai trouvé ce livre très dérangeant, très perturbant. On termine le livre avec un sentiment de malaise et si tout cela arrivait ? Orwell décrit ici une société hyper surveillée grâce entre autre à la technologie : des écrans qui vous surveillent constamment, épient vos moindres faits et gestes...Et si cette image n'était pas tellement loin de notre réalité ? Avec toutes les données que nous échangeons aujourd'hui (grace principalement à Internet), ce livre fait réfléchir, nous amène à nous questionner. En revanche il y a dans ce livre un passage que j'ai trouvé particulièrement fastidieux (ceux qui l'ont lu doivent comprendre de quoi je parle) difficile de garder son attention...
En conclusion je dirais que c'est un livre qu'il faut lire.

http://bookslene.over-blog.com/article-19800747.html
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J'ai abordé ce livre avec l'idée en tête que c'était un chef d'oeuvre. Et c'est peut-être là mon erreur : j'en attendais trop. Quelle déception.

Loin d'être intemporel, le récit devait certainement avoir une résonance tout à fait différente lors de sa parution et dans les quelques décennies suivantes. Depuis, de l'eau a coulé sous les ponts et le contexte géopolitique mondial étant ce qu'il est, la description de cette société cauchemardesque, sordide, et ô combien improbable ne tient pas debout. Beaucoup y voient le génie visionnaire, pour ma part je n'ai pas vu le rapport, mais alors pas du tout ! L'allusion à peine déguisée à l'URSS, forcément très présent dans les mémoires à l'époque où le roman est écrit, est bien creuse...

J'attendais un conte philosophique, un thriller psychologique, une "Masterpiece". Mais je n'ai finalement trouvé qu'un roman sombre, voire franchement glauque, que je ne conseille pas à un lecteur aux prises avec une déprime hivernale par exemple (c'est un coup à se foutre en l'air...). Il règne une ambiance tragique, fataliste, d'une platitude absolue. Seul le passage avec Julia dénote d'un peu d'humanité, sans pour autant m'enthousiasmer le moins du monde.
Et je ne parle même pas des allusions récurrentes au "neoparler/novlangue" - certainement très difficile à traduire mais je n'incrimine pas la traduction. Pour en avoir testé deux différentes, il semblerait que le problème ne vienne pas de là. Je trouve les concepts abstraits, trop détaillés et pourtant non moins obscurs. L'oligarchie qui règne dans ce monde contrôle tout, à l'extrême, mais à quelles fins ? L'argent ? La gloire ? L'amour ? Rien de tout cela. le pouvoir pour le pouvoir ? Sur qui ? Des humains abrutis manipulés ? Mais quel intérêt ? Qui y gagne quoi ? Je n'ai absolument pas saisi ce qu'il fallait visiblement lire entre les lignes. Je n'ai pas trouvé le parallèle avec des systèmes totalitaires passés ou présents très convaincants, voire pas du tout. J'attendais d'être secouée dans mes certitudes, plongée dans des réflexions métaphysiques étonnantes qui auraient pu me donner à méditer sur la vie. Que nenni.
Arrivée au terme de ce récit, j'étais soulagée que cela se termine. En résumé : une lente agonie.
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"Lecture" audio intéressante.
Pour être honnête, si je l'avais lu, je ne sais pas si je serais allé au bout. Ce n'est pas qu'il n'est pas intéressant mais j'ai trouvé quelques longueurs et ce n'est vraiment pas mon style de lecture.
Je recommande quand même car c'est une anticipation qui mérite d'être partagée.
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J'ai lu nombre de critiques sur ce livre, toutes aussi positives les unes que les autres. "Une lecture fictionnelle à ne surtout pas manquer !" disaient-elles. J'ai commencé à lire 1984 il y a seulement deux jour et après la lecture de plus de 100 pages, je décide de l'abandonner. J'aurais voulu voir un commentaire qui allait dans le sens de ma pensée, mais ce chef d'oeuvre, grand classique, doit (et je n'en doute pas !) être lu, pour une simple culture littéraire enrichie. Personnellement, j'ai trouvé le début (première partie du roman) très long, très décrit; et même si le topic est extrêmement intéressant, je n'ai pas du tout accroché. Je vais donc pouvoir restituer ce bouqin à mon grand père, le laissant prendre la poussière dans la bibliothèque. J'espère pourvoir,un jour, réussir à le lire entièrement, et à voir le véritable chef d'oeuvre littéraire qui se cache derrière.
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