1984

Dans cette période de Covid j'ai lu que la relecture de 1984 était intéressante. Aussi je l'ai fait, , déjà lu entre 20 et 30ans, et J'ai trouvé cette lecture finalement assez fastidieuse et répétitive.
Oui cela fait penser à ce qui se passe en ce moment au point vue de des règles contraignantes que le gouvernement nous impose , oui mais nous en somme quand même loin il me semble !!

Malgré sa valeur littéraire indéniable, je n'ai pas su apprécier ce roman à sa juste valeur. Je reconnais le talent visionnaire, créatif et engagé de l'auteur mais je n'ai pas trouvé les protagonistes attachants et je ne me suis pas sentie impliquée dans leurs aventures.
Je suis contente d'avoir lu ce classique de la littérature moderne mais il ne figure pas sur ma liste de livres à relire pour le moment.

Par Inès, 207 :
Georges Orwell est né dans l'Etat du Bihar en Inde, le 25 juin 1903, et mort le 21 janvier 1950. C'est un écrivain anglais qui a écrit des livres engagés contre l'impérialisme britannique, pour la justice sociale et contre le totalitarisme nazi.
1984 fut un succès durable, roman dans lequel il crée le concept de Big Brother.

1984 est considéré comme une dystopie voire de la science-fiction.
Winston Smith, est un homme très menu de trente-neuf ans qui est marqué à la cheville par un ulcère purulent.
Le récit se déroule dans une société totalitaire d'ou la liberté d'expression punie par la "police de la pensée" qui vous observe constamment, et peut à tout moment vous interpeller.
Winston est une personne très naïve, il tombera amoureux d'une certaine Julia qui causera finalement sa perte.
Le livre est très recherché dans son histoire ainsi que dans les personnages aux multiples facettes.

J'ai beaucoup aimé ce livre ce livre car on est tout de suite entraîné dans le contexte de l'histoire. J'ai énormément apprécié les retournements de situations qui nous prennent par surprise., ce qui rend le livre très accrocheur.
Je l'ai trouvé à la fois bouleversant, bouleversant mais surtout captivant. Je conseille ce livre ne serait-ce que pour la morale qu'il peut apporter à notre société actuelle. Ils nous permet aussi de réfléchir aux conséquences si notre liberté d'opinion, de pensée et tout ce qui nous définit en tant qu'être humain nous était enlevée.
J'attribue la note de 4.5 car il m'a tout de même bien plu malgré quelques détails. Ce livre est fait pour les lecteurs qui aiment les aventures, notamment la science-fiction si je puis dire, c'est un livre pour ma part assez facile à lire.


2ème critique :
Pire ou meilleur, ce meilleur des mondes ?

"je préfère me dire que le mieux est l'ennemi du bien, comme le pire celui du mal"
Aldous Huxley

I. le livre, l'auteur

le Meilleur des Mondes est le cinquième roman de Aldous Huxley. Romancier et essayiste, né en 1894 et mort à l'âge de 69 ans, Huxley est un artiste connu du courant contemporain. Il a été récompensé pendant sa carrière par le prix "James Tait Black" en 1939 pour Jouvence, le "Award of Merit for the Novel" par l'académie américaine des Arts et Lettres en 1959 pour le meilleur des Mondes et le "Companion of Literature" à la Royal Society of Literature en 1962.

II. L'histoire

Ce livre est un roman utopique et avant-gardiste, les principaux personnages sont :
-Bernard Marx, Alpha-Plus, travail au centre d'incubation, plus petit que les autres membres de sa caste ;
-Helmholtz Watson, meilleur ami de Bernard, Alpha Plus ;
-Lénina, Bêta Plus, infirmière au centre d'incubation ;
-Fanny Crowne, Bêta, meilleure amie de Lénina ;
-Henry Foster, Alpha Plus, technicien du centre d'incubation ;
-Linda, Bêta-Plus, ex petite amie de Thomas, mère de John ;
-Thomas, DIC, directeur du centre d'incubation de Londres ;
-John, Sauvage, fils de Linda et de Thomas ;
-Mustapha Menier, administrateur résident de l'Europe occidentale.

L'histoire se déroule dans un monde très différent du nôtre, à Londres en l'an 632 de Notre-Ford. Dans ce monde, le destin de chaque humain est décidé avant sa naissance, chaque être sera classé dans une caste : la classe d'élite (Alphas), les classes moindres (Bêta, Gamma, Delta) ou la classe inférieure (Epsilon). La notion de famille n'existe plus puisque les bébés n'ont plus de parents, ils naissent dans des matrices artificielles où leur est fourni tout ce qui sera nécessaire à leur fonction. Ensuite, les enfants sont conditionnés par hypnose et par endoctrinement. Tous voient leur monde comme une illusion du bonheur grâce à l'amour sans sentiments ("tout le monde appartient à tous") et...

Bon, grand classique de la littérature, à moins de ne lire que France Football, on sait tous de ce quoi ça parle (en tout cas qui n'a jamais entendu parler de Big Brother, de cet état totalitaire, ...), roman visionnaire, d'anticipation, de science-fiction, d'amour, de guerre, politique, bref un peu tout cela mélangé, pour surtout un livre paradoxe, dans le sens où j'estime que c'est vraiment un livre à lire mais qu'on peut vite oublier.
J'ai préféré de loin la ferme des animaux comme métaphore politique.
En fait, la fin de 1984 plombe un peu le livre à mon gout. C'est long et j'ai trouvé ça moyennement intéressant. le début est bien, rythmé, il y a de la vie, de l'amour, du sens, ça fait bien flipper (c'est pas un thriller, mais quand même, on a pas envie que ça nous arrive), mais cette dernière partie en huis clos et assez étouffante.
Peut-être est-ce intentionnel, mais moi, ça m'a gonflé.
Voilà. Sinon, très fier d'avoir (enfin !!!) lu cette oeuvre, je me sens vraiment, mais alors vraiment moins con aujourd'hui et c'est pour cela que j'ai mis trois étoiles.

J'avoue avoir été un peu déçue par ce livre, surtout dans la première moitié où j'ai trouvé certains passages un peu ennuyants.
On est donc ici dans une dystopie sombre qui traite de la surveillance et de la manipulation gouvernementale. C'est terrifiant et glaçant. le sujet reste toutefois intéressant car il est dépeint une société où le libre arbitre est anéanti, la langue est pervertie et où la pensée est criminalisée. Une analyse d'actualité aujourd'hui je trouve. Bien que mon avis soit mitigé, je comprends l'engouement qu'il y a eu autour de cette oeuvre de par son sujet provocateur.

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J'ai à nouveau tenté, mais je n'ai pas pu aller au bout. c'est bien écrit, intéressant , avec une vraie intrigue ( que font vraiment big brother et ses opposants) , avec un univers très bien décrit mais ça devient vite répétitif et surtout il m'a paru assez déprimant. Que vaut un monde sans liberté, sans confiance, sans humanité ?

On ne présente plus 1984 de George Orwell et cependant, c'est dans ma quarantaine que je le lis pour la première fois. C'est un livre qui fait peur uniquement par sa réputation. Je ne suis pas déçue de l'avoir enfin lu.
C'une histoire inquiétante, pessimiste et noire. En tout cas, c'est ma perception.
Ce livre traite d'un abandon de l'existence même. le personnage est passé au paroxysme de l'inhumanité dans la chambre 101.
Doit-on forcément lire 1984 en le rapprochant d'une réalité actuelle ou passée ?
J'ai tenté de ne pas le faire. Je suis entrée dans le livre sans prendre le temps de regarder la biographie d'Orwell, ni de faire attention à son année d'écriture. Malgré certaines références clairement datables, ce roman est intemporel. Et c'est finalement cet aspect-là qui rend le livre profondément pessimiste et noir.
On ne ressort pas indemne de cette lecture en ces temps troublés où les idéologies de toutes sortes fleurissent.

J'ai attendu longtemps avant de le lire et je pense que c'est la maturité qui fait que je ne me laisse pas engloutir dans le noir.

On ne présente plus ce classique anglais qui traite des empires idéologiquement totalitaires. Ici, le monde est divisé en trois régions en guerre les unes contre les autres. Winston Smith, le personnage principal vit dans le territoire de l'Océania, à Londres. Il travaille au ministère de la Vérité dont son activité consiste à modifier les journaux de l'Etat afin d'adapter les articles du passé par rapport aux événements du présent. En conséquence, il s'interroge sur cet Etat et la réalité de Big Brother.

Il fallait bien qu'une fois dans ma vie, je lise ce roman. Si 2084 – La fin du monde de Boualem Sansal ne m'a pas plu, cette fois-ci j'ai mieux apprécié ma lecture même si parfois j'ai trouvé qu'il y a quelques longueurs. de plus, si l'auteur décrit très bien ce monde totalitaire, par contre, j'ai trouvé les personnages peu attachants, rigides et froids, mais est-ce à cause de cet empire totalitaire et des contraintes associées…

Malgré tout, je le conseille car, même si ce roman a été écrit en 1949, il est toujours autant d'actualité. Il interroge, questionne et fait réfléchir.

Après La Ferme des animaux, 1984 confirme que George Orwell n'est pas un auteur pour moi.
Au début, j'ai cru que le livre allait m'embarquer mais j'ai vite déchanté. Je n'ai pas su m'attacher aux personnages et j'ai trouvé ce livre vraiment ardu à lire. La politique et la philosophie, je trouve ça barbant au possible et c'est tout le contraire de ce que je recherche quand j'ouvre un livre. Je n'ai donc pas accroché.
Je suis contente de l'avoir lu malgré tout. Même si je n'ai pas été touchée, je recommanderais le livre aux amateurs de dystopies satiriques car ce livre reste très actuel: la technologie est différente mais avec toutes nos cartes et nos appareils connectés, notre vie "privée" ne l'est plus, dans certains pays, si on ne pense pas "dans le bon sens", on disparaît... Finalement, j'aurais pu caser ce bouquin dans le challenge variétés, catégorie "un livre qui vous fait peur"

Je suis plutôt mitigée sur 1984. On me l'avait vendu comme un texte absolument incroyable dans tout les sens du terme.

J'ai adoré l'univers que l'on nous a présenté. Winston vit dans une société manipulée de A à Z, les citoyens sont pris pour des sans cervelle, on leur enlève petit à petit le langage avec le novlangue, il n'y a aucune loi qui interdise quoique ce soit, mais chaque acte (même les plus banales) sont punis de mort. Aucune liberté, surtout pas celle de penser, les télécrans surveillent les moindre expressions de votre visage.
La première partie était très intéressante. La deuxième était vraiment incroyable, jusqu'au chapitre 9 (l'avant dernier). Dans ce chapitre, Winston lit un livre. C'est d'un long... Ça explique des choses que l'on sait déjà, même Winston dit qu'il n'a pas vraiment appris quoique ce soit en le lisant. Ce passage à totalement freiné ma lecture. Je me suis sentie vraiment ennuyée par ce chapitre. J'ai eu du mal à continuer. Je l'ai fait pour terminer le livre et passer à autre chose.
Bien qu'après ce fameux chapitre le récit semble reprendre son rythme d'origine, on finit par retourner dans des explications sans fin dans la partie trois (la dernière). Les personnages ne semblent même plus exister au détriment du reste. Encore une fois, j'ai trouvé ça très lourd. Je me sens déçue car on parle toujours comme quelque chose d'exceptionnel et d'actualité. Je suis complètement d'accord avec les comparaisons entre le livre et aujourd'hui, mais je ne m'attendais pas à ça non plus.

J'ai adoré l'univers, j'ai eu tant de pitié pour Winston jusqu'au bout. Mais je préfère oublier tout ces passages qui m'ont fatiguée plus qu'autre chose..
1984 est loin d'être un coup de coeur. Rien ne m'a fascinée comme il semble fasciner tant de lecteurs aujourd'hui..