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Paul Gruyer (Traducteur)Louis Postif (Traducteur)
EAN : 9782859406813
400 pages
Phébus (23/09/2000)
4.32/5   533 notes
Résumé :
Traduction de l’américain par Paul Gruyère et Louis Postif revue par François Postif
Préface de Francis Lacassin

Confiné dans l'espace le plus surveillé d'une prison, Darrell Standing, sorte d'alter ego de London (lui-même incarcéré en 1894), va réussir l'exploit de s'évader ! Il le fait magistralement en revivant par la pensée ce que furent ses vies antérieures : naufragé sur une île déserte, légionnaire en Palestine, viking à bord d'un vais... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (73) Voir plus Ajouter une critique
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sur 533 notes
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Ce roman magistral porte les plus belles lignes que j'ai jamais lues sur la liberté.

Au début du XXième siècle aux Etats-Unis, Darell Standing est interné dans un pénitencier et subit en prison, parce qu'il est rebelle de nature, une torture épouvantable qu'aucune loi ne semble interdire :

On l'isole dans un cachot dans lequel on l'enserre jusqu'à l'étouffement dans une camisole qui meurtrit chaque parcelle de son corps. Chaque jour un peu plus à chaque fois qu'il dit "non".

Darell résiste à cette volonté d'anéantir sa personne par l'avilissement monstrueux infligé à son corps en s'en évadant, s'en dissociant, et parvient à vivre en être libre en se projetant mentalement dans différents personnages en butte à des situations extrêmes.

L'exemple qui m'a le plus touchée est cet enfant agenouillé derrière un cercle de caravanes attaquées par des Indiens lors de la conquête du Far West.

Toutes ses autres constructions mentales sont également riches de sens.

Un roman inoubliable!




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« Alors, tu te souviendras peut-être, en lisant ces lignes, de choses oubliées (car l'oubli t'est venu depuis), de visions indécises et brumeuses, qui ont passé devant tes yeux d'enfant et qui, aujourd'hui, ne t'apparaissent plus que comme des rêves… »
Darrel Standing est sans haine, car il a rejoint l'immensité des siècles grâce au sadisme et à la méchanceté imbécile de ses geôliers. Oh ! Ils peuvent le laisser croupir une éternité dans les ténèbres d'un cachot, le torturer encore et encore en le ficelant dans une camisole… L'esprit de Darrel est ailleurs ! Pour échapper à cet enfermement, à toute cette souffrance endurée, il a quitté depuis belles lurettes son misérable corps, cette enveloppe charnelle martyrisée devenue inutile, pour vagabonder parmi ses vies antérieures, picorer de-ci de-là dans ces existences qui furent les siennes ; des existences flamboyantes ou ternes, trop brèves ou trop longues, toutes emplies de joies, de haine et d'amour, avec comme unique fil directeur cette « colère noire », désobéissante, immaîtrisable, qui valut à Darrel une condamnation à la prison à vie pour crime passionnel…
Un roman plein d'espérances malgré la violence quotidienne subie par notre héros. A n'en pas douter, Jack London a raconté l'histoire d'un Saint (si peu chrétien…). Darrel a compris que sa vie n'était que la somme de toutes celles de ses innombrables aïeux. Après maints tâtonnements, son esprit s'est affranchi de son corps pour les rejoindre, et atteindre l'immortalité.
Un roman fort, lumineux, sombre, brutal, qui m'a laissé pantois…
C'est aussi une dénonciation implacable de l'univers carcéral américain en ce début du XXème siècle (Jack London qui fut emprisonné pour vagabondage le connut). A sa parution, le livre eut un tel retentissement que l'administration pénitentiaire américaine fut contrainte d'interdire l'effroyable pratique de la camisole.

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Hélas, le nombre d'étoiles n'est pas une erreur mais, comme d'habitude, il reflète uniquement le plaisir que j'ai pris lors de ma lecture et non la qualité intrinsèque de l'oeuvre. D'ailleurs je ne le note pas pour vous décourager, mais juste pour me souvenir ce que j'ai pensé de cette lecture au cas où j'ai envie de réessayer plus tard.
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Ce roman est une déception pour moi alors même que j'adorais l'idée de départ (ainsi que ma couverture argentée avec de jolies étoiles qui promettait de me mettre dans l'ambiance) : Darell Standing est un prisonnier condamné à vie pour meurtre (avec raison), puis à mort (à tort cette fois) suite à un épisode au sein de la prison. Mais le pire n'est pas l'attente de la mort. le pire c'est la « petite mort » que fait endurer le personnel de prison aux prisonniers, détenus dans des conditions révoltantes qui feraient bondir la CourEDH. Cette « petite mort » est provoquée par le passage de la camisole de force aux prisonniers en cellule d'isolement, cet attirail qui comprime tellement le corps que la douleur suffirait à rendre dingue n'importe qui, voire à le tuer.
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Alors, faute de pouvoir quitter cette prison, et ne supportant plus d'être enfermé dans sa douleur, Darell Standing va s'évader d'une autre manière : par la pensée, le rêve, l'auto-hypnose ou n'importe quel état de transe qu'il arrivera à atteindre : il aura largement le temps de tester les moyens les plus efficaces pour y parvenir. Si son corps demeure, se mourant presque, dans sa cellule, son âme, elle, est désormais libre de courir le monde. Plus particulièrement, son âme revit ses vies antérieures. Et c'est là que j'ai décroché.
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Le plaidoyer sur l'état des prisons, sur la peine de mort, OK. le mode de narration, la plume, c'est un genre (que je n'affectionne pas mais pourquoi pas), la construction, sur le principe ça pouvait être intéressant. Mais alors mon intérêt pour les récits des vies antérieures a été inégal et de très courtes durée. J'ai apprécié le premier, de cape et d'épée. Je n'ai lu qu'à moitié le second piégé par des Indiens et des Mormonts, pour finir l'histoire en diagonale. La plume ne m'a pas du tout immergée dans l'histoire ! Pour cette raison j'ai lu tous les autres récits en tournant les pages sans presque les lire, pour ne raccrocher à l'histoire que durant les moments où le narrateur réintégrait son corps.
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Et même alors, j'y ai trouvé beaucoup de répétitions sur le fonctionnement de cette évasion, la primauté de l'esprit sur le corps, le fait qu'il ne contrôlait pas dans quelle vie il allait etc… Et franchement, j'ai aussi trouvé interminables et pas très intéressants/utiles les dialogues avec les autres prisonniers sur le fait de savoir si c'était possible ou pas. le talent de conteur de l'auteur ne m'a pas du tout convaincue, ou en tout cas il ne m'a pas plongée dans ses histoires, où je restais la plupart du temps en surface, à penser à tous les autres livres qu'il me restait à lire et qui me plairaient sûrement plus - mauvais signe.
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Trop peu de pages ont réussi à atteindre mon intérêt personnel, d'où ma note. Trop de romans en un seul a dilué mon intérêt. Dans un recueil de nouvelles, on vient pour plusieurs histoires, et même encore la plupart du temps elles ont un fil directeur ; mais là, toutes ces histoires dans un seul roman m'ont saoulée. le mieux, si l'idée vous tente, est encore que vous vous fassiez votre propre avis ! Honnêtement ? J'ai abandonné un peu avant la fin. Pourquoi s'infliger quelque chose volontairement, au lieu de permettre à mon propre esprit de s'évader, et de prendre du plaisir dans une autre histoire, un autre univers, une autre plume ? J'aurais tant aimé que la plume m'emporte avec elle dans chaque histoire… Mais je suis restée à quai dans la prison, dans la cellule où mon intérêt a subi cette petite mort. Tant pis !
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Je pensais pourtant que c'était le bon moment pour moi de lire ce roman, après avoir lu le Livre de l'intranquillité de Pessoa, qui m'avait très bien vendu sa propre nécessité de s'évader de sa vie et de ses souffrances par les rêves, ainsi que son mode d'emploi personnel. Alors je trouvais intéressant d'ouvrir le vagabond des étoiles en parallèle… Mais c'est une rencontre loupée avec l'auteur. Malgré les bonnes critiques, j'ai toujours redouté qu'il ne me conviennent pas. J'en essayerai quand même un autre pour voir mais je n'insisterai pas pour le finir si ça ne me plaît pas. On ne peut pas tout aimer !
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« Je ne suis pas sûr d'avoir assez d'esprit pour le raconter, ni que tu aies, toi, ami lecteur, assez d'esprit pour le comprendre. »
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Et en plus, j'adore qu'on m'insulte.
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Il fallait pouvoir le faire ! Comment dénoncer un système pénitentiaire américain du début XXe sans en faire un essai ou un roman trop mou du genou qui peineraient à alerter l'opinion publique mais au contraire, un récit aussi engagé qu'incroyable, à l'imagination débordante qui transporte son lecteur vers les étoiles pour y vagabonder à loisir avec ce condamné soumis à la camisole et ainsi s'élever tout là-haut au moyen d'une expérience hors du commun, l'autohypnose.

Jack London nous livre une aventure singulière à travers ces voyages hors du corps afin d'échapper à la douleur, à l'enfermement, aux privations... Il fait la démonstration de la force de l'autosuggestion, le pouvoir de l'esprit sur le corps et nous livre par la même occasion plusieurs histoires qui se tiennent comme des petits romans à l'intérieur de celle de son personnage principal, Darrell Standing, professeur d'agronomie, condamné à la peine perpétuelle pour avoir commis un crime. Il parvient ainsi à équilibrer le tout, alléger le poids de ce qu'il dénonce. Car ne nous-y trompons pas, le fil rouge, le but de l'ouvrage, c'est de porter accusation contre le système carcéral.

Et ce sera mission réussie car la parution de ce roman a entraîné une réforme, rien que ça !
Tel un illusionniste, Jack London est parvenu à transmettre un message fort au moyen d'un chemin de traverse, celui d'une aventure non pas dans le Grand Nord, mais au pays des étoiles, un voyage onirique, son dernier roman.
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Que puis-je ajouter aux déjà nombreuses et élogieuses critiques de ce livre ? Je n'ai quasiment pas pu le lâcher. C'est très puissant ! Outre la dénonciation du traitement infâme des prisonniers en Californie, c'est un formidable éloge à l'Homme, à sa capacité de résilience, à la force de son imaginaire. Les multiples vies que Darrell Standing, nous narre avant de subir la peine capitale, de l'étroitesse oppressante de sa camisole, sont tout simplement incroyables d'imagination. C'est de la grande aventure. Il nous fait franchir toutes les étapes, depuis l'émergence de Sapiens au paléolithique, jusqu'au 19è siècle. En plus c'est écrit avec une grande poésie (merci aux traducteurs). On est littéralement transportés dans la vie et le monde de ses différents personnages. de London, je n'avais lu jusqu'ici que « L'appel de la forêt » et « Croc-Blanc ». Ce livre est d'une toute autre portée.
A lire absolument.
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critiques presse (4)
SciFiUniverse
27 octobre 2020
Librement inspiré de Jack London, comme le clame la couverture, Le Vagabond des étoiles dépeint une fresque immobile et pourtant mouvante.
Lire la critique sur le site : SciFiUniverse
BDGest
23 octobre 2020
L'évasion mentale comme seule échappatoire à la folie et aux châtiments corporels, ce diptyque le démontre avec talent, autant sur le fond que la forme.
Lire la critique sur le site : BDGest
LigneClaire
30 septembre 2020
Un réquisitoire contre l’administration pénitentiaire américaine, sur une justice à sens unique contre laquelle seule le rêve d’un condamné va pouvoir lutter même si la fin ne fait pas de doute.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
SciFiUniverse
04 novembre 2019
Le roman est engagé, une ode à la liberté et un pamphlet contre le système carcéral américain. Le travail de Riff Reb's sublime l'œuvre originale, renforce l'aspect fantastique et onirique, la souffrance du héros et sa délivrance par l'imaginaire. Une première partie fabuleuse, vivement la fin !
Lire la critique sur le site : SciFiUniverse
Citations et extraits (124) Voir plus Ajouter une citation
Juché tout en haut des grands mâts qui oscillaient à me donner le vertige au-dessus du pont des navires, j'ai contemplé l'eau illuminée par le soleil : des profondeurs de turquoise surgissaient des coraux irisés. J'ai commandé la manœuvre qui devait mettre les navires à l'abri dans les lagons limpides comme des miroirs, où les ancres descendaient tout près de plages de corail ombragées de palmiers. Je me suis battu furieusement sur les champs de bataille du temps passé : même quand le soleil était au terme de sa course, le carnage ne cessait pas ; il se continuait pendant la nuit, sous les étoiles qui brûlaient au ciel. Et la fraîcheur du vent nocturne, refroidi aux lointains pics neigeux sur lesquels il avait passé, n'arrivait pas à sécher la sueur de la bataille : et puis je redevenais le petit Darell Standing qui à la ferme paternelle courait pieds nus dans l'herbe humide de la rosée printanière. Où, comme aux froids matins d'hiver, j'allais, de mes mains couvertes d'engelures, porter le foin aux bestiaux dans la tiède étable qu'emplissaient leurs haleines fumantes.
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Je viens de subir - je dis bien "subir" - une visite du directeur de la prison. Il est tout à fait différent du directeur Atherton de San Quentin. Récemment promu dans sa fonction, il était très ému, très énervé, et c'est moi qui ai dû l'inviter à parler. C'est sa première pendaison. Il me l'a franchement avoué. Moi, pour tâcher de le dérider de mon mieux, je lui ai spirituellement répondu que c'est aussi la première fois qu'on me pendait. Mais j'en fus pour mes frais : il m'opposa un visage fermé.
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J'ai vécu d'innombrables existences tout au long de temps infinis. L'homme, individuellement, n'a fait aucun progrès moral depuis les dix derniers milliers d'années, je l'affirme solennellement. La seule différence entre le poulain sauvage et le cheval de trait patient n'est qu'une différence de dressage. L'éducation est la seule différence morale qui existe entre l'homme d'aujourd'hui et celui d'il y a dix mille ans. Sous le faible vernis de moralité dont il a enduit sa peau, il est resté le même sauvage qu'il était il y a cent siècles. La moralité est une création sociale, qui s'est agglomérée au cours des âges. Mais le nourrisson deviendra un sauvage si on ne l'éduque, si on ne lui donne un certain vernis de cette moralité abstraite qui s'est accumulée le long des siècles.
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J’ai vécu d’innombrables existences tout au long de temps infinis. L’homme, individuellement, n’a fait aucun progrès moral depuis les dix derniers milliers d’années, je l’affirme solennellement. La seule différence entre le poulain sauvage et le cheval de trait patient n’est qu’une différence de dressage. L’éducation est la seule différence morale qui existe entre l’homme d’aujourd’hui et celui d’il y a dix mille ans. Sous le faible vernis de moralité dont il a enduit sa peau, il est resté le même sauvage qu’il était il y a cent siècles. La moralité est une création sociale, qui s’est agglomérée au cours des âges. Mais le nourrisson deviendra un sauvage si on ne l’éduque, si on ne lui donne un certain vernis de cette moralité abstraite qui s’est accumulée le long des siècles.
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chaque être humain actuellement en vie sur la planète porte en soi l’incorruptible histoire de la vie depuis le commencement de la vie. Cette histoire est inscrite dans nos tissus et dans nos os, dans nos fonctions et nos organes, dans les cellules de notre cerveau, dans nos humeurs, dans toutes sortes de besoins et de pulsions ataviques d’ordre physique et psychique. Il fut un temps, cher lecteur, où toi et moi, nous étions poissons, et nous avons rampé hors de la mer pour nous lancer dans la grande aventure de la terre ferme, au plus fort de laquelle nous nous trouvons actuellement. Les marques laissées par la mer sont encore sur nous, de même qu’y persistent les traces du serpent, datant d’avant que le serpent ne devienne serpent et que nous ne devenions nous, lorsque le serpent primitif et notre être primitif ne faisaient qu’un. Jadis nous avons volé dans les airs, jadis nous avons habité les arbres, et nous avons eu peur dans le noir. Les vestiges subsistent, gravés en toi et en moi, gravés dans nos cellules reproductrices pour subsister après nous jusqu’à la fin des temps impartis à notre espèce sur la terre.
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Vidéo de Jack London
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