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Centaurus - BD tome 2 sur 5
EAN : 9782756082578
50 pages
Delcourt (30/03/2016)
3.64/5   69 notes
Résumé :
Dans un futur pas si éloigné, les survivants de notre monde croient avoir enfin trouvé une terre d'accueil...
Ça y est ! Une première équipe de reconnaissance a débarqué sur cette mystérieuse planète qui pourrait être LA terre d'accueil pour les habitants du vaisseau-monde en quête de planète habitable depuis plus de 400 ans. Mais qui dit mission d'exploration dit dangers potentiels, et ce ne sont pas les étranges visions de June qui vont simplifier les chose... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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C'est le même duo de scénaristes à savoir Leo et Rodolphe que nous retrouvons dans le tome 2 de la BD Centaurus en étant toujours accompagnés par le dessinateur Janjetov. Dans Terre étrangère, alors qu'ils pensent avoir atteint la terre promise, nos colons terriens commencent à douter de la nature de leur découverte.

En effet, les scénaristes nous racontent l'exploration d'une planète où les dinosaures de Jurassic Park volent la vedette à des extraterrestres de Rencontre de troisième type. Ce melting-pot rend l'histoire un peu moins crédible voire simpliste. C'est heureusement le bon moment choisit dans le récit par notre duo d'écrivains pour revenir nous montrer ce qui se passe sur le vaisseau-monde resté en orbite. Une nouvelle intrigue concernant une sorte de passager clandestin va relancer l'aventure qui en avait bien besoin.

Les traits du dessin de Janjetov sont cette fois moins aboutis et le trait est plus épais que dans le tome 1. Mais les décors sont toujours omniprésents et possèdent cette forte subjectivité qui nous porte et vient au secours de la narration. La flore et la faune de la planète comme l'intérieur du vaisseau spatial sont toujours aussi bien dessinés et restent suffisants à eux seuls pour nous convaincre de rester encore des fans de cette saga.

Un deuxième volet en perte de vitesse qui ne va pas nous empêcher de continuer avec le tome 3…
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Ce tome fait suite à Centaurus, tome 1 : Terre promise (2015) qu'il faut avoir lu avant car il s'agit d'une histoire complète en cinq tomes. Sa première publication est survenue en 2016. Il a été réalisé par LEO (Luiz Eduardo de Oliveira) & Rodolphe (Rodolphe Daniel Jacquette) coscénaristes, et Zoran Janjetov, dessinateur et coloriste. Ce trio a ensuite réalisé la série Europa.

À bord de leur engin à chenilles, le groupe de reconnaissance est arrivé devant une muraille, avec une grande porte métallique fermée. Ils s'arrêtent et Feng Liu utilise un pistolet grappin pour accrocher une corde à l'extérieur de la salle qui surplombe l'entrée. Il monte à la corde, pendant que les autres, restés dans l'engin découvert, observent les alentours. Il rend compte par la fenêtre : il n'y a personne, tout est à l'abandon. Il enjoint à Richard Klein, ingénieur et pilote, de monter car il y a un panneau plein de boutons qui doit commander l'ouverture de la porte. L'autre s'exécute et examine ledit panneau. Il prend une batterie à sa ceinture, et établit un circuit entre elle, le panneau de commande et son fusil. Il explique au spécialiste de la sécurité que cette technologie extraterrestre doit, elle aussi, suivre les lois de l'électromagnétisme. Effectivement, le panneau se réactive, et ils parviennent à ouvrir la porte : l'engin progresse à l'intérieur de ce qui s'avère être une énorme place ceinte de murailles. Mary-Maë Randolf, la coordinatrice générale, leur indique qu'ils vont rester ici un moment : s'il y a des habitants, il faut leur laisser le temps de se faire à leur présence. June, la parapsychique, ne ressent rien de particulier, une vague inquiétude tout au plus. Tout d'un coup, elle s'exclame qu'on les épie. Les autres ne voient rien.

Au bout de quelques instants, un groupe de petits humanoïdes blanchâtres, sans vêtements, apparaît dans l'une des ouvertures. Ils commencent à se diriger silencieusement vers le véhicule. Mary-Maë Randolf en descend et marche doucement vers eux en tenant ses mains en l'air, paumes en avant, pour montrer qu'elle n'est pas armée. le groupe, maintenant fort de plusieurs dizaines de membres s'avance vers elle. Feng Liu déclenche un tir de laser à leurs pieds, ce qui les fait fuir à l'abri du bâtiment d'où ils étaient venus. La coordinatrice générale lui demande pourquoi les avoir effrayés comme ça. Pierre de Borges lui fait observer qu'ils allaient l'encercler. le spécialiste de la sécurité renchérit : ils ne pouvaient pas prendre le risque de les laisser l'encercler. L'ingénieur ajoute que si ces êtres sont intelligents, ils ressemblent plutôt à des indigènes primitifs, et de ce fait peuvent être potentiellement dangereux. Toute l'équipe reprend place à bord du véhicule. Plus ils avancent, plus ils constatent l'énormité des installations. Randolf décide de se diriger vers le premier bâtiment qui ne ressemble pas à un entrepôt. Un peu plus loin, Liu demande à Klein d'arrêter le véhicule : il a détecté des espèces d'oisillons perchés dans la soucoupe d'une antenne satellite.

Le lecteur avait laissé le groupe d'explorateurs à pied d'oeuvre devant une porte fermée, et il les retrouve en train de l'ouvrir en deux coups de cuillères à pot, ou en tout cas en deux pages. Il prend vite conscience d'avancer à un rythme régulier dans cette exploration d'un immense territoire délimité par une enceinte, sur une planète extraterrestre. Les coscénaristes ont conçu leur intrigue pour une progression sans temps mort, avec des découvertes relançant l'intrigue. Après avoir pénétré dans l'enceinte : apparition du groupe de petits humanoïdes silencieux à la peau blanchâtre. Puis volatiles menaçants dans la soucoupe d'une antenne parabolique. Puis découverte d'une salle de contrôle. Puis vol de la maman volatile avec des animaux vivants en symbiose, accrochés sur ses pattes. le dessinateur effectue un travail tout aussi remarquable que dans le premier tome, pour donner à voir les environnements sur cette planète. le mur d'enceinte avec ces gros blocs de construction, partiellement recouvert par une végétation de type mousse et plantes grimpantes. L'immensité de la cour dans laquelle pénètre l'engin d'exploration, avec des plaques de béton ou de roche au sol, les murs de l'enceinte intérieure, eux aussi partiellement recouverts par la végétation, les façades avec des reliefs étranges. La morphologie des petits humanoïdes diffère en plusieurs points de celle d'un être humain : ventre plus proéminent, tête plus grosse, mains et pieds à quatre doigts. Les couleurs sont choisies de manière naturaliste, venant apporter des informations sur l'ambiance lumineuse, sur la texture des revêtements.

À la douzième planche, les auteurs décident de changer de fil narratif pour raconter ce qui se passe pendant ce temps-là sur le vaisseau-monde. Les dessins continuent de montrer les lieux dans le détail pour que le lecteur puisse s'y projeter : la surface du vaisseau, un sas d'entrée, le bureau Gouverneur Korolev avec la carte accrochée au mur, la maison des Osmond, et le salon où la mère Lucy a une nouvelle discussion avec Ethel. le lecteur s'aperçoit qu'il reconnaît sans peine chacun des personnages dans chacun des deux fils de l'intrigue. Les membres de l'expédition exploratoire : Mary-Maë Randolf, Pierre de Bourges et son chien Graal, Jenny Goldman, Richard Klein, Feng Liu. Les responsables sur le vaisseau-monde : le gouverneur Korolev et le vice-gouverneur Mendoza, Ethel et le major Ripley, Lucy Osmond. Cette facilité d'identification atteste de capacité du dessinateur à créer des visages et des morphologies distinctes et reconnaissables. Il utilise une direction d'acteurs de type naturaliste, sans exagérer les mouvements, ou le langage corporel, ce qui concourt à donner de la crédibilité à ces aventures de science-fiction.

Le lecteur est revenu pour le deuxième tome, très curieux de savoir ce que cache cette planète, ce que vont découvrir les explorateurs, et l'identité ainsi que l'objectif de ce qui s'est introduit sur le vaisseau-monde. Les coscénaristes ont construit la dynamique de leur récit sur les mystères et sur l'exploration. le lecteur se prête volontiers au jeu d'essayer d'anticiper ce qui va être découvert, de relever les indices, qu'ils soient de type visuel, ou de genre allusif dans les conversations. Il constate que les auteurs ont également bien dosé l'alternance de récompenses et de nouveaux mystères. Impossible de savoir ce que sont ces petits humanoïdes blanchâtres, ou si les volatiles sont dotés de conscience. Est-ce que les humains sont en train de massacrer des êtres dotés d'intelligence, sans le savoir ? Se conduisent-ils en affreux colonisateurs, mettant en péril un écosystème dont ils ignorent tout ? Puis arrive la première séquence sur le vaisseau-monde, et là le lecteur est pris de court par une révélation qui se produit beaucoup plus vite que ce qu'il avait estimé : une cellule de releveurs-informaticiens a épluché toutes les données significatives concernant la vie à bord du vaisseau depuis l'arrivée des intrus pour voir si quelque chose sortait de l'ordinaire… Et ils ont trouvé quelque chose. Plus encore, ce quelque chose est exposé dans ce tome. Les auteurs ne se contentent pas de jouer sur le suspense généré par les mystères : ils répondent à certains, et en introduisent d'autres.


Le lecteur se prête au jeu. Quelle signification ou quel sens attribuer à cette boule de marbre de deux mètres de diamètre qui flotte à quelques centimètres au-dessus du sol ? Impossible de savoir car il n'y a que le constat de son existence effectué par l'équipe d'exploration, à se mettre sous la dent. Faut-il y voir un hommage déformé au rôdeur de l'île du Prisonnier, ou rien à voir ? Qu'est-ce que c'est que ces épaves de dizaines de soucoupes volantes, sagement alignées en rang ? Impossible à savoir. En revanche, le lecteur avait bien fait de se souvenir de Lucy Osmond, la mère de Joy & June, car elle réapparaît dans ce tome. Dans le même temps, il se rend compte qu'il ne s'attache pas vraiment aux personnages. Pour ne considérer que ceux de la mission exploratoire, ils ont été définis par une capacité, pouvoirs parapsychiques, médecin, chasseur, ingénieur, spécialiste de la sécurité, et pour la moitié d'entre eux par un trait de caractère. Dans les faits, au cours de ce tome, seuls trois d'entre eux mettent à profit leur compétence, et les autres sont des figurants sans personnalité. Difficile dans ces conditions de les considérer en tant que personnes autonomes. Par ricochet, un acte qui sort de l'ordinaire, réalisé par un autre personnage, peut apparaître comme totalement artificiel, uniquement là pour servir l'intrigue. Bram attaque un animal sauvage en combat singulier juste armé d'un couteau : pourquoi pas puisqu'il s'est battu contre un ours à main nue dans le tome un. Une relation sexuelle entre deux personnages dans les douches : pourquoi pas, mais aussi pourquoi ? Finalement certains comportements apparaissent aussi arbitraires qu'une partie des artefacts mystérieux comme l'USS Baltimore avec encore de l'eau chaude dans les douches.

D'un côté, les auteurs captent l'attention et la curiosité du lecteur avec un savoir-faire consommé, grâce à une narration visuelle d'une clarté exemplaire, qui montre chaque élément de science-fiction pour le faire exister, sans aucun raccourci visuel pour s'économiser. C'est une façon de faire courageuse et ambitieuse car il faut parvenir à décrire des lieux, des accessoires, des constructions assez crédibles pour ne pas provoquer un sursaut de recul chez le lecteur qui pourrait trouver quelque chose idiot. D'un autre côté, ils jouent sur le réflexe pavlovien du lecteur qui devant tant de mystères se met à chercher par automatisme des indices, et à essayer d'établir des liens de cause à effet, à détecter des schémas, à essayer d'introduire de la prédictibilité. Mais il est possible qu'il éprouve la sensation de s'y évertuer en vain, en accompagnant des personnages qui semblent souvent sans épaisseur.
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Voici donc notre fine équipe sur Vera, la terre promise à ses terriens exilés depuis des siècles. Sauf que leur nouvelle planète semble habitée. Il faut donc en découvrir plus, explorer et tuer des bêtes sauvages dangereuses.

Ce deuxième tome ne s'envole pas vraiment, le mystère extraterrestre s'épaissit mais c'est tout. Pour le reste on retombe dans les codes archi connus de Léo et on commence à s'ennuyer.
Moi qui avait dit lors du premier tome que le duo formé par les jumelles aux dons si particuliers pourraient se révéler intéressant, il n'en ait rien. Elles ne jouent quasiment aucun rôle dans ce tome.
Les autres personnages ne sortent pas vraiment du lot, ne sont pas particulièrement rendu sympathique. Et j'ai en horreur la vieille avec sa coupe à la mireille mathieu, j'y peux rien sa tête me revient pas...
Léo a du mal à se réinventer, et cette série est pour le moment très en dessous ce qu'il a pu faire sur Aldébaran ou Betelgeuse. A moins que ça soit moi qui me lasse ?

J'adhère pas vraiment aux dessins mais c'est surement une affaire de gout.
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Quel plaisir pour moi de lire une nouveauté de Léo, après avoir lu et relu le cycle d'Aldébaran, Les terres lointaines, les survivants, ainsi que le cycle de Kenya.
J'ai apprécié l'entrée en matière du tome 1 dans ce nouveau monde, pourtant aujourd'hui avec ce tome 2, je reste sur un sentiment de déjà vu. Certes le décor et les personnages ont changés mais j'ai l'impression de lire un peu la même histoire avec les mêmes enjeux. En effet, dans ce tome, les auteurs choisissent d'approfondir notre connaissance de ce monde inconnu, et ils le font de la même manière que dans Aldébaran. Il s'agit d'un monde hostile, abandonné, apparemment vierge de toute présence humaine, et peut être même de toute vie. Jusqu'à ce que les personnages découvrent progressivement des formes de vie, plus ou moins agressives. Ceux ci réagissent violemment à chaque rencontre, ou du moins se méfient fortement. Alors oui on ne peut souligner encore une fois l'extraordinaire capacité des auteurs à développer un imaginaire débordant d'originalité, à créer un univers merveilleux et cohérent. Mais j'ai l'impression que cet univers ne diffère que sur la forme, à tel point qu'il m'arrive de penser que l'histoire se situe dans le même monde que le cycle d'Aldébaran. Ce qui en soi constituerait une agréable surprise si cela se vérifiait exact par la suite. D'autant qu'une découverte énigmatique, laisse fortement présager de cette possibilité. D'où mon sentiment mitigé; si effectivement je pourrais me réjouir d'évoluer dans le même univers, et espérer ainsi obtenir des réponses aux questions laissées en suspens dans des cycles anciens, je ne peux éprouver qu'un certain face au traitement de cette histoire qui ressemble en de nombreux points à ce que j'ai déjà lu.
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Nos héros colonisateurs, qui forment une équipe hétéroclite, commencent à explorer le nouvel eden où ils ont débarqué. Ils ont la surprise de découvrir d'importants vestiges d'une civilisation peut-être cousine de la civilisation terrienne (sauf que nos cousins sont/étaient visblement plus grands, mais ils avaient quand même l'électricité, l'informatique, de supers bureaux et de chouettes fauteuils tournants, hein). Bref, ce tome 2 de Centaurus, que nous n'attendions pas trop, ne nous surprend donc pas : c'est globalement faible, tant au niveau du dessin que du scénario, et on lève un sourcil surpris dès qu'on comprend que l'humanité, ben elle est quand même un peu malsaine et désolante : première chose que font nos formidables héros, c'est dégommer la faune et la flore sans vergogne et avec le plus parfait sourire colgate. Non mais vous comprenez, c'est que si on connaît pas c'est dangereux, donc la kallach à énergie (fichtre, ça fait une boule verte avant que ça sorte du canon, moi j'aurais peur que ça m'éclate à la gueule) est de sortie dans la seconde et lamine tout ce qui bouge dans un coin de pièce ou dans un nid… y compris des titrucs toumignons qui ressemblent à des tinounours sans poils… bref, la colonisation, c'est pas une affaire d'amateurs. Pendant ce temps-là, sur l'arche, pas grand chose, en fait. Il y a bien une énigme sur un intrus qui ne nous passionne guère.

Fichtrebleu, on est à un million d'encablures du niveau d'Aldébran ou Bételgeuse (déjà, Janjetov au dessin, c'est peu digeste). Vous pouvez sans problèmes vous passer de cette xième variation, sauf si vous êtes un complétiste de Léo.
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critiques presse (3)
Bedeo
14 avril 2016
Techniquement marqué et complet sur le plan du scénario, Centaurus a les moyens pour s’imposer comme une série qui compte dans le paysage de la BD SF.
Lire la critique sur le site : Bedeo
BDGest
05 avril 2016
Bien trop campé dans la facilité et l'exploitation d'archétypes passablement éculés, Terre étrangère ne doit son salut qu'au savoir-faire de ses auteurs. Soyez indulgents, le sort de l'Humanité en dépend.
Lire la critique sur le site : BDGest
BulledEncre
29 mars 2016
L’univers créé par Leo et Rodolphe prend de la hauteur et de la complexité, difficile d’imaginer la suite et c’est tant mieux.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Dans l’année et demie qui a suivi l’arrivée de l’intrus, le nombre de naissance de jumeaux a triplé. Et dans presque tous les cas, le schéma est le même : l’un des deux enfants est tout ce qu’il y a de normal, tandis que l’autre développe des singularités. À côté de quelques troubles du comportement et quelques déficiences physiques, ils présentent des capacités intellectuelles et mentales accrues. Edgar et Robert Hutchins : Robert était paralysé des jambes et est mort à l’âge de 8 ans. Il avait de troublants pouvoirs de prémonition. Edgar, lui, est normal. Il est étudiant en architecture. Oli et Abou Oliseh. Abou était autiste et est morte à l’âge de 4 ans. Elle savait déjà lire et résoudre des équations complexes. Sa sœur est normale et vit encore. Lao Sieng, étudiant en médecine, et Lao Zhou, son frère jumeau. Il est encore vivant, mais interné dans notre hôpital psychiatrique, atteint de graves troubles mentaux. Jusqu’à 8 ans d’âge, il était hyper doué pour les mathématiques et la physique quantique.
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Pour se protéger pendant la nuit, on utilise une alarme de sécurité : toute chose qui s’en approche à moins de 30 mètres provoque un boucan d’enfer et un vrai eu d’artifice. Mais moi, ces trucs électroniques, je ne suis pas trop client. Je ne fais confiance qu’à mes instincts. Mon alarme perso. C’est comme ça que cette nuit-là, j’ai été réveillé, sans doute un bruit infime…
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Nous sommes toujours à l’intérieur de cette enceinte que l’on voyait depuis l’espace. Elle est immense, il faut qu’on avance bien plus loin. Mais les jours ici sont un peu plus courts. Il commence déjà à faire sombre. Il faudrait qu’on trouve un endroit propice à monter un campement.
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Un coup de fusil aurait déconcerté ces bêtes, elles auraient paniqué et peut-être bien attaqué. En affrontant la bête au couteau, Bram leur a montré qu’il était plus fort que leur chef dans un combat d’égal à égal. C’est pour ça qu’elles ont fui. Bram nous a sauvé la mise.
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Ce sont des soucoupes volantes. J’ai déjà vu des images de ces engins. Des engins semblables ont été aperçus sur Terre, il y a plusieurs siècles, bien avant notre départ. Ils les appelaient Soucoupes volantes, à cause de leur forme arrondie. Ils n’ont jamais été identifiés, ni leur présence officiellement prouvée.
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