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EAN : 9782702434697
323 pages
Le Masque (12/11/2009)
3.65/5   36 notes
Résumé :

Dans la Rome impériale, sous le règne de Tibère, on fait de bien étranges découvertes. Comme celle d'un cadavre, affreusement mutilé, sous la langue duquel on a glissé un denier. Paiement pour son passage aux Enfers ? Kaeso le prétorien, ami de Caligula et fils d'une prêtresse venue de Germanie, est chargé de l'enquête alors qu'il a déjà fort à faire. Outre protéger la famille impériale, il doit lutter contre la corruption des bas-fonds de la ville, se garde... >Voir plus
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Meurtres sur le Palatin. Rodriguez, Cristina
Paris. 2009. Editions du Masque. 323 p.
(LP 446)
Présentation de l'Editeur :
Dans la Rome impériale, sous le règne de Tibère, on fait de bien étranges découvertes. Comme celle d'un cadavre, affreusement mutilé, sous la langue duquel on a glissé un denier. Paiement pour son passage aux Enfers ?
Kaeso le prétorien, ami de Caligula et fils d'une prêtresse venue de Germanie, est chargé de l'enquête alors qu'il a déjà fort à faire. Outre protéger la famille impériale, il doit lutter contre la corruption des bas-fonds de la ville, se garder de la vengeance de ses anciens compagnons d'armes, et…fuir les assiduités de la malicieuse Concordia, sa ravissante cousine.
Quand le mystérieux Apollonius, qui se prétend l'oracle d'Apollon, entre en scène, Kaeso est subjugué par sa beauté. Que cache vraiment cet éphèbe, qui a ses entrées dans la plus haute société romaine avide de sanglants combats de gladiateurs et de paris truqués ?
Kaeso, flanqué de Io, son inséparable léopard, n'aura d'autres choix que de le découvrir.

Cristina Rodriguez évoque l'Antiquité romaine avec une rare précision et une formidable vitalité. Avec Kaeso le prétorien, elle nous emmène à la découverte de Subure, du monde sans pitié des gladiateurs et des intrigues du pouvoir.

Mon avis ( Mars 2010)
2ème opus pour Kaeso Concordianus Licinus (voir Les Mystères de Pompéi), Meurtres sur le Palatin s'ouvre donc sur la découverte d'un cadavre mutilé. le centurion de la garde prétorienne ne s'imagine pas où vont le mener ces investigations.
Cristina Rodriguez nous dévoile une société romaine, où le raffinement et l'évolution côtoient les vices et la corruption. Sa connaissance de la société romaine se sent à chacune des pages, et les intrigues de la politique romaine de l'époque n'ont rien à envier à celle que nous connaissons aujourd'hui.
Kaeso, toujours accompagné de son indéfectible léopard, Io, devra alors enquêter dans le milieu des gladiateurs, au sein duquel l'organisation de combats clandestins menace les finances publiques. Pourquoi, tout au long de son enquête, Apollonius apparaît sur son chemin ? Cet oracle n'en sait-il pas plus que ce qu'il veut bien avouer à Kaeso ?...Osera –t- il du rester lui déclamer son secret le plus intime ? C'est en s'éloignant de Subure , un quartier populaire de Rome, que Kaeso rencontre Titus Placidus, qui possède une « écurie » de gladiateurs, parmi lesquels la propre fille de Placidus, la sulfureuse Victoria …Kaeso, aidé par les « autopsies » pratiquées par HILDR, sa propre mère, devra aussi résister à l'ingénue Concordia, dont l'enlèvement précipitera la résolution des énigmes…S'opposant à Marcus Gallus et au sénateur Valerius FLACUS, Kaeso, soutenu et aidé par CALIGULA, combattra donc les affres de la corruption de la société romaine et ses innombrables turpitudes. Même si la réponse aux nombreuses questions posées au cours de ces 323 pages trouve une réponse pour le moins déroutante, en tout cas inattendue…
Cette enquête policière au coeur de l'Antiquité Romaine arrive néanmoins à nous maintenir en haleine, tout en nous permettant de nous évader en nous plongeant dans un Subure plus glauque, que nous n'aurions pu l'imaginer. L'auteur réussit à nous décrire l'emprise de la corruption sur la politique romaine, mais aussi à retranscrire la perversion, liée à la coexistence des esclaves et de leurs maîtres, ou encore à rendre compte de la prostitution et des différentes formes, qu'elle a pu revêtir.
Si nous devons féliciter Mme RODRIGUEZ Cristina pour sa connaissance précise de cette époque et de ses moeurs, nous pouvons regretter la profusion (à outrance) de personnages, rendant parfois la compréhension difficile. Agréable à lire, notamment avec ses nombreux dialogues, ce thriller antique réussit néanmoins son pari : celui de nous emmener à la découverte d'une époque à travers une enquête à rebondissements.
A lire donc , avec –c'est un conseil, et non un précepte de l'éditeur – un dictionnaire historique sous le coude, afin de situer lieux et personnages.
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Après avoir élucidé les meurtres de Pompéi et déjoué un complot politique qui menaçait la vie de Caligula, son ami, le centurion Kaeso-Wotan Concordianus Licinus est retourné à Rome. L'empereur Tibère lui a rendu ses biens et donné une place dans la garde impériale avec un haut grade.

« - Poignardé à douze reprises au moins, soupira Kaeso d'une voix lugubre en passant une grande main élégante dans ses courts cheveux blonds.
– Et pas proprement, ajouta Matticus avec une grimace en tâtant la bouillie de chair sanglante que laissait apparaître la tunique lacérée. C'est pas des gars du métier qui ont fait ça, centurion… »

Kaeso, secondé de ses lieutenants Io, Matticus et Mustella, enquête sur un nouveau crime. Un gladiateur a été retrouvé, saigné sauvagement, dans la villa du mystérieux Apollonius, un oracle d'Apollon. Jeune éphèbe d'origine incertaine, tout le Palatin chuchote qu'il serait grec, sorcier, devin et « Beau comme le soleil ».
« - Il n'a pas de grec que le nez, c'est moi qui te le dis… » marmonne Matticus.
Le lendemain, Hildr, la mère de Kaeso, procède à l'autopsie et découvre sous la langue du macchabée un denier en argent. Dans la mythologie grecque, les défunts devaient s'acquitter d'une obole pour leur passage dans l'au-delà, la traversée du Styx.
Ses investigations le conduisent, du mont Palatin, où des palais fastueux de sénateurs et de dignitaires fortunés s'alignent, à Subure, le quartier le plus misérable et sordide de Rome. Dans ce bas-fond, la lie de l'humanité s'amuse et fréquente des hommes de tout âge, de toute situation et de tout vice. Et comme dans tous les royaumes, il y a un roi. Cet homme se nomme Marcus Gallus. Chassé de la garde prétorienne et fils cadet d'une riche famille qui avait soutenu Séjan, il a vu son père et son frère, faibles face au déshonneur, se suicider. Rongé de haine, il bâtit un empire et forme une armée dans le ghetto.
Les meurtres s'alternent ; gladiateur, sénateur, gladiateur… tous exécutés au couteau, mais de manières différentes. Jusqu'au jour où Subure est mis à feu et à sang.

Kaeso et Io vont sonder la moindre petite rue, secouer les pêcheurs de la taverne du Loup gris et pister le ou les tueurs, sans se douter que le fil conducteur se perd dans deux intrigues, « Par les couillons d'Arès ! » dixit Matticus.
La justice est parfois rendue d'une façon étrange, expéditive et sans moralité.

J'ai été une nouvelle fois séduite par l'histoire, l'écriture, les personnages, notre centurion et Io. Je ne peux donc, que vous conseiller ce roman. La fluidité du ton est telle que nous arrivons vers les dernières pages du livre, beaucoup trop rapidement. J'aurais aimé prolonger ma lecture, m'attarder avec cette fine équipe. Dans ce second épisode, nous retrouvons nos comparses du premier volume « Les mystères de Pompéi » ; Caligula, Concordia, Ludius, Hildr… et dans celui-ci, nous faisons connaissance avec le truculent Matticus, Mustella, Mnester le jeune amant de Ludius, Apollonius et son esclave nubien Malah.
Je pense, j'espère, que l'auteure Cristina Rodriguez ne tardera pas à écrire une suite à cette série. Ce livre et son épilogue appellent un enchaînement cohérent et une conclusion pour une autre histoire.
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Lorsque j'ai vu ce partenariat chez Livraddict, j'ai tout de suite été charmée par la couverture du livre. En effet, c'est la première chose que l'on voit d'un ouvrage et si elle me plaît, c'est déjà un bonus, avant même la lecture. de plus, le titre, tout à fait accrocheur, me laissait sous-entendre un polar sur fond historique : le parfait mélange pour moi !
Alors qu'en est-il après lecture ? J'avoue avoir été déçue du peu d'informations sur le contexte historique (pour ne pas dire qu'elles sont carrément inexistantes). Alors, futurs lecteurs, n'attendaient pas cela du livre, sinon ce n'est pas la peine de l'ouvrir !
Un bon point, par contre : avant d'entamer la lecture, je suis allée visiter le site internet que l'auteur a réalisé pour mieux comprendre son livre et ses personnages : www.kaesolepretorien.com. C'est sur la quatrième de couverture que le site est inscrit. J'ai trouvé cela très judicieux de la part de l'auteur d'avoir créé cette plateforme.

Concernant la lecture elle-même :
- L'intrigue : attention, contrairement à ce que l'on pourrait croire, elle n'est pas au coeur du roman. Nous ne sommes pas vraiment dans un polar ici. La fin de l'histoire nous donne la clé du meurtre du début du roman, et c'est un dénouement plutôt intéressant ! Bien en accord avec l'époque et les croyances je dirais. Cela m'a tout à fait plu.
- L'ambiance générale de l'histoire : on trouve beaucoup d'éléments sur la vie quotidienne pendant l'Antiquité romaine. le monde des gladiateurs, les banquets, l'habillement, les relations entre les individus, l'omniprésence de l'homosexualité et du sexe en général et la corruption. Les descriptions des ébats sexuels peuvent parfois être un peu crues, mais cela reflète aussi le climat à cette époque.
- L'écriture de l'auteure : une lecture agréable, incontestablement une auteure qui à un style que j'ai aimé. Par contre ce qui m'a vraiment dérangé, ce sont les insultes très présentes, mais surtout très actuelles. Est-ce que les individus de cette époque utilisaient réellement ces termes ? Peut-être que oui, mais j'ai trouvé que cela faisait vraiment anachronisme. Après avoir reçu un message de l'auteure, je rectifie en citant Cristina Rodriguez concernant le langage de cette époque : "les romains utilisaient les "mots crus" qui vous ont mise un peu mal à l'aise. En réalité, ceux qu'ils utilisaient étaient même bien pires... Et ils en usaient de façon tout à fait naturelle (...)"

Pour conclure, je dirais que je suis mitigée concernant cette lecture. J'ai apprécié certains aspects et d'autres non. Finalement, je regrette surtout le manque du fond historique que je m'attendais à trouver.
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J'ai été ravie de retrouver Kaeso et sa panthère Io, même si j'ai mis plus de temps que prévu pour me procurer ce 2ème tome, d'autant que le fait de savoir que mon chouchou serait quasi - voire totalement - absent ne m'y avait pas plus encouragé que cela !!^^

Or donc, après la chute de Séjan, Kaeso a retrouvé sa place au sein de la garde prétorienne dans la Ville éternelle. Adieu douce Campanie et milice dissipée...

Malgré sa réhabilitation, les ennemis de Kaeso n'ont pas pour autant disparu et les survivants des purges impériales oeuvrent dans l'ombre pour se venger de lui... Mais l'attention du fringant centurion est bientôt accaparée par le meurtre d'un gladiateur. Son cadavre, retrouvé devant la demeure palatine du mystérieux oracle d'Apollon fraîchement débarqué de sa province, Apollonius, est affreusement mutilé, cependant, le meurtrier a pris le soin pieux de cacher sous sa langue l'obole à Charon. Peu après, un deuxième crime est commis selon le même mode opératoire mais sur la personne d'un sénateur romain, Publius, joueur invétéré et couvert de dettes. Les deux meurtres semblent liés et les investigations de notre prétorien préféré vont le conduire des riches demeures patriciennes aux tavernes de Subure et maisons de gladiateurs où des combats clandestins ont lieu, malgré l'interdiction qu'en a faite l'empereur Tibère...

Nous retrouvons ici certains personnages du tome 1 : Concordia, la cousine de Kaeso, toujours aussi éprise de lui et envahissante, Hildr, la mère du héros, princesse bructère méprisée par l'aristocratie romaine, Hod, le bel officier de la garde germanique, Ludius, le jeune aveugle dévoué de Pompéi qui a suivi Concordia jusqu'à Rome pour entrer à son service et Caligula, bien sûr, qui est devenu questeur et dont le nom est indirectement associé au réseau de paris clandestins...

Et ô joie ! ô surprise, Donar apparaît au tiers du livre, et le chapitre 5 lui est presque entièrement consacré... moi qui croyais que j'aurais dû attendre le tome 3 pour le retrouver... En outre, on en apprend davantage sur ses états d'âme et sa relation avec Néron, le frère de Caligula, dont il a reçu les derniers mots au moment de sa mort... autant vous dire que j'étais aux anges... Bref, poursuivons la présentation des protagonistes...

De nouveaux personnages apparaissent dont on devine que certains joueront un rôle au tome suivant : le mystérieux et séduisant oracle d'Apollon, Apollonius, et son impressionnant serviteur nubien Malah, Mnester, le touchant mime amant de Ludius, les parents de Concordia, Torquatus le père bienveillant et Marcia l'insupportable matrone affligée de snobisme...

Comme pour le tome précédent, j'ai trouvé que, même si l'enquête est au coeur de l'intrigue, sa résolution arrive finalement assez abruptement, avec des événements qui se précipitent vers la fin... Par contre, je ne m'attendais pas du tout à la scène finale qui semble appeler une suite...

Ce que j'ai le plus apprécié, c'est que l'auteure nous présente sans complaisance la société romaine et ses moeurs. D'ordinaire, les romans se déroulant dans la Rome antique traitent soit des gentils chrétiens persécutés sous le règne du méchant Néron (et franchement j'ai eu ma dose, même si ces dits romans étaient de qualité) soit à Pompéi durant l'éruption du Vésuve (et là aussi j'ai eu ma dose), et à chaque dans la soie et le confort des familles patriciennes ou impériales !!! Mais là, nous pénétrons également dans le quartier mal-famé de Subure où les conditions de vie sont très difficiles voire cruelles, que ce soit pour le petit peuple ou (et surtout) pour les esclaves, dont certains sont poussés à se prostituer par leur maître... C'était très appréciable que la voie soit donnée aux laissés-pour-compte ou parias de la société romaine. En outre, j'ai trouvé très intéressant le thème de ce tome, à savoir la corruption et les combats clandestins de gladiateurs avec leurs paris truqués...

Par contre, j'aurais quelque réserve à émettre : à de rares moments, l'abondance de dialogues m'a un peu gênée dans ma lecture, et parfois je ne savais plus qui parlait...

Pour conclure, une enquête captivante menée avec brio par notre fringant prétorien ! le monde décrit par Cristina Rodríguez est violent (et pas seulement à cause des meurtres), mais les passages saupoudrés d'humour apportent une bienheureuse légèreté à la cruauté de certaines situations (la punition que Kaeso inflige à sa cousine et la déconvenue de l'artiste infatué dont il requiert les services m'ont fait mourir de rire) ! Encore une immersion très agréable et bien documentée dans cette Rome du Ier siècle de notre ère... J'en redemande !
Lien : http://parthenia01.eklablog...
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A l'époque de la Rome Antique, un gladiateur est retrouvé assassiné sur le Mont Palatin, un denier a été placé sous sa langue. Kaeso est un jeune centurion de la garde prétorienne toujours accompagné de son fidèle léopard, Io. Très bel homme, il est courtisé par les femmes et notamment par sa cousine Concordia. Kaeso, accompagné de deux acolytes, est appelé pour mener l'enquête sur l'assassinat. Très vite l'enquête s'oriente vers la corruption et les jeux clandestins.

Plus roman historique que roman policier, à mon sens, ce roman est vraiment très instructif à bien des titres. En effet, l'auteur a l'art et la manière de plonger le lecteur dans l'ambiance et l'atmosphère de la Rome Antique. Au détour de l'histoire le lecteur apprend beaucoup sur les moeurs particulières de l'époque et sur la vie quotidienne, sur la vie des gladiateurs et leurs combats, sur la condition très difficile des esclaves et la violence qu'ils subissent parfois quotidiennement, sur l'homosexualité omniprésente,...

Les personnages, bien qu'un peu trop nombreux et on s'y perd parfois, sont très attachants, les personnages secondaires encore plus que le héros un peu trop « parfait ». Il y a Io, le léopard, un compagnon plutôt insolite pour un enquêteur, la belle cousine Concordia et ses réparties ironiques surtout vis-à-vis de sa mère et Mnesto, le mime soumis à la brutalité de son maitre mais attaché à la vie et néanmoins prêt à la risquer pour sauver celle d'autrui,...

Le style est très plaisant, très fluide avec en outre la petite touche de suspens qui donne envie aux lecteurs de tourner la page. le tutoiement entre les personnages est un peu gênant, enfin pour moi, mais il est vrai que l'auteur n'a fait que respecter l'époque et le vouvoiement n'existait pas.

La fin, que je ne dévoilerai pas par égard pour les futurs lecteurs du roman, est plutôt surprenante mais très intéressante et très bien vue.

En résumé, c'est un très bon roman qu'il faut lire pour son côté historique très bien documenté (mais pas pour l'intrigue policière qui est secondaire) et pour son côté dépaysant.
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"- Poignardé à douze reprises au moins, soupira Kaeso d’une voix lugubre en passant une grande main élégante dans ses courts cheveux blonds.
– Et pas proprement, ajouta Matticus avec une grimace en tâtant la bouillie de chair sanglante que laissait apparaître la tunique lacérée. C’est pas des gars du métier qui ont fait ça, centurion…"
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"- Il n’a pas de grec que le nez, c’est moi qui te le dis…"
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