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Innocent tome 3 sur 9
EAN : 9782756071169
224 pages
Delcourt (01/07/2015)
4.16/5   55 notes
Résumé :
Le 14 mai 1610, n’écoutant pas les recommandations d’une voyante, le roi Henri IV sortit du palais du Louvre et fut assassiné par François Ravaillac, un fanatique catholique qui lui assena trois coups de couteaux. Ravaillac fut exécuté pour son régicide : il fut tenaillé, des liquides brûlants (huile, souffre, poix) furent versés sur ses plaies, et on l’écartela avant de le couper en morceaux et de brûler ses membres. Aujourd’hui, cela fait 150 ans que l’écartèleme... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Critique commune aux volumes 2 et 3.

Retour à Innocent, manga « historique », avec vraiment plein de guillemets, de Sakamoto Shin'ichi, avec les volumes 2 et 3… et, euh, bon, décidément j'ai un peu de mal – et ceci alors même que le sujet est vraiment très, très bon : la destinée de Charles-Henri Sanson, le plus fameux représentant de la plus fameuse des dynasties de bourreaux françouaise, à l'époque charnière qui voit le siècle des Lumières basculer dans la Révolution puis la Terreur. Maintenant, le réalisme historique n'est clairement pas de mise ici – ni au plan du graphisme, où l'auteur et sa flopée d'assistants en font des caisses côté magnificence, luxe, érotisme (et notamment homoérotisme), coiffures L'Oréal qui volent au vent parce qu'elles le valent bien, badasserie baroque-romantique et symbolisto-expressionnisme appuyé, ni bien sûr au plan du scénario, au regard duquel la très élégante formule pré-#MeToo attribuée à Alexandre Dumas que vous savez, eh bien, a quelque chose d'un brin timoré…



Résumons à gros traits l'histoire de ces deux volumes : nous avions laissé Charles-Henri Sanson, le pauvre, en train de se livrer à sa première exécution publique, celle tant qu'à faire de son fol amour Jean de Chartois – et la dernière case laissait comprendre qu'il avait merdé… Oui, c'est peu dire : son premier coup n'a pas tué sa victime, et il faut recommencer – et c'est de pire en pire ! Au point où la foule hypocrite, comme cela a pu se produire, remise sans trop de façons sa soif de sang de côté pour dénoncer vertueusement la boucherie à laquelle elle assiste : l'émeute gronde, et la réputation de Charles-Henri en est aussitôt entachée… jusque dans sa famille, dont certains membres, le paternel à demi-mort inclus, tendent décidément à croire que le rejeton récalcitrant et timide est un raté dans la dynastie ; la grand-mère de Charles-Henri seule s'attache encore à faire de lui le futur bourreau Sanson, certainement pas en raison de son bon coeur (elle est l'antithèse du bon coeur), mais parce que C'EST COMME ÇA, ce qui a toujours été la plus mauvaise des raisons – et Charles-Henri est bien conscient de n'être qu'un outil entre les mains bien trop propres de l'inquiétante et perverse dame. Les mâles n'ont en effet pas l'apanage des fantasmes sanguinolents, ce que démontre de plus en plus ici le portrait de la jeune soeur de Charles-Henri, Marie-Josèphe, créature séduite par la voie du bourreau, que son sexe lui prohibe… mais qui a quelque chose d'un peu punk, en même temps ? Sauf erreur, elle est l'héroïne du spin-off titré Innocent Rouge...



Mais revenons à notre timide Charles-Henri, qui (bien trop brusquement à mon goût…) se ressaisit, et assume enfin sa destinée – et cela tient sans doute au moins pour partie (on nous le laisse entendre assez explicitement) à une sorte de trauma sexuel inextricablement lié à la tâche salissante du bourreau. Mais il y a aussi de l'idéal chez Charles-Henri – qui accepte enfin sa mission, mais l'accompagnera en même temps, sinon d'un militantisme ouvert (mais pourquoi pas, le Charles-Henri Sanson historique a bien pesé dans l'adoption de la guillotine ultérieurement), sinon d'un militantisme ouvert donc, du moins des voeux les plus généreux pour qu'un jour, enfin, on cesse de tuer au nom de la justice, et s'il peut jouer un rôle à cet égard, il ne reculera pas ; d'ici-là, il fera en sorte d'épargner les souffrances à ses victimes désignées... ce qui n'est pas gagné, comme on le verra dès ces deux volumes.



Il faut sans doute y associer un versant parallèle des activités des Sanson – qui est la pratique de la médecine ; un bon bourreau doit parfaitement maîtriser l'anatomie humaine, et plus encore : aussi les Sanson dissèquent-ils en famille des cadavres au cours de leur formation perpétuelle, ce que l'estomac fragile de Charles-Henri tolère (forcément) mal, initialement du moins. Mais cela va au-delà, et les Sanson, occasionnellement, donnent des consultations, gratuites. C'est ce qui amène Charles-Henri à s'occuper d'un enfant très mal en point, qui a le bon goût d'être le fils d'un jeune homme assez sexy, dans un registre un peu plus viril (mais pas trop non plus) que de coutume dans cette BD qui prise autrement l'androgynie.



Et ce jeune homme assez sexy n'est pas n'importe qui : il s'agit ni plus ni moins, la vérole oubliée en route, de Robert-François Damiens ! Oui, le régicide de Louis XV… que Charles-Henri aura la rude tâche de supplicier dans les conditions que l'on sait, et qui ont fourni de belles pages, assurément dégoulinantes, à Michel Foucault, en ouverture de son Surveiller et punir. Ce lien préalable entre les deux personnages est bien sûr totalement fantaisiste – au moins autant que l'allure du régicide, sans même parler de sa motivation (prérévolutionnaire dans le manga, même si cela témoigne avant tout d'une méconnaissance fréquente de ce que serait la Révolution ultérieurement ; or, historiquement, j'ai l'impression que les raisons au geste de Damiens demeurent encore un peu floues, si nous savons tout de même que le personnage gravitait autour de l'opposition parlementaire, ce qui a pu être décisif – et là, souvenirs, souvenirs, j'en avais causé sur ce blog, il y a longtemps de cela, c'était une autre époque…).



Reste que le troisième tome d'Innocent est presque intégralement consacré aux tortures subies par Damiens avant son exécution (le tortionnaire, appelé ici Soubise, créature certes sadique, arbore un étrange tatouage en forme d'étoile et des costumes guère appropriés à sa salissante tâche, qui en font plus une icône glam qu'autre chose, un échappé de Kiss éventuellement – et, euh, là c'était vraiment too much pour moi, bien plus que la violence ahurissante des tortures infligées…), puis aux premiers moments de son interminable supplice (il reste encore beaucoup de marge à la fin du bouquin) ; un supplice donc particulièrement atroce, et atrocement mené par l'oncle de Charles-Henri, Nicolas-Gabriel, exécuteur des hautes-oeuvres de Reims, désireux de faire de la chose un spectacle tellement inouï dans sa brutalité et son horreur, qu'il lui permettrait d'hériter de la charge de son aîné…



Bon.



Je ne suis pas très convaincu. Hein. le premier tome m'avait laissé un peu perplexe, mais quand même curieux de lire la suite – de voir ce que ça pourrait donner. Notamment parce que j'aimais bien le dessin très « photoréaliste » (hors personnages, dont la dégaine baroque me parlait beaucoup moins), parce que le jeu expressionniste de l'ultime chapitre m'avait pris par surprise et emballé, et… ben, parce que j'étais curieux de voir comment Sakamoto Shin'ichi gèrerait l'histoire de France, même passablement malmenée, au fil de sa BD – et tout particulièrement en ce qui concerne la Révolution française, une période pour laquelle j'avais été pris de passion, là encore dans une autre vie...



Or, sous ces trois aspects, la lecture de ces deux volumes m'a beaucoup moins emballé… le dessin reste très bon dans son genre, mais le découpage de Sakamoto Shin'ichi m'a un peu agacé – notamment dans ces planches muettes très récurrentes où il s'attache avant toute chose… à représenter des personnages mi-romantiques mi-sadiens qui tirent toujours invraisemblablement la langue pour exprimer leur douleur interne ? Euh… Et globalement le reste, la force initiale de la BD – les bâtiments, les costumes, les meubles, ce genre de choses –, m'a tout de même laissé bien plus froid, là où le premier volume avait au moins eu le mérite de me surprendre.



La dimension symboliste-truc du dessin (et du coup de la narration) m'a moins convaincu, là encore : l'ultime scène du tome 1 était vraiment brillante à cet égard, avec Charles-Henri qui s'était construit un monde fantasmatique de pantins pour trouver dans l'indifférence la force d'accomplir son sinistre office, une illusion qui cependant donnait beaucoup à penser aussi bien au lecteur qu'au personnage. Mais, dans les deux volumes suivants, si des procédés du même ordre sont récurrents, l'effet est tout autre – la symbolique plus lourde qu'autre chose, et, hélas, trop souvent creuse, avec en même temps quelque chose de systématiquement excessif qui empêche de prendre tout cela vraiment au sérieux. C'était peut-être l'objectif, en même temps – chose qui s'appliquera tout autant et comme de juste au traitement de l'histoire de France –, mais… ouais, décidément, j'ai trouvé ça lourd, et c'est tout.



Et le traitement de l'histoire, donc… Je m'attendais à de la caricature, hein : la BD ne fait pas mystère, dès ses toutes premières pages, qu'elle est forcément au programme – que ça fait partie du truc. Conseillers chargés des « vérifications historiques » ou pas. Reste que ça m'a plutôt déplu ici, à force d'excès – et que, visiblement, la Révolution est encore loin, par ailleurs. C'est que Sakamoto Shin'ichi prolonge les scènes ignobles datant du règne de Louis XV, tout particulièrement celles associées à la torture et au supplice de Damiens (forcément), le tome 3 entier n'y suffisant pas, et ce jusqu'au point de la complaisance – chose qui ne me gêne pas dans l'absolu, merde, j'ai beaucoup lu Sade… et il y a d'ailleurs clairement du Sade dans tout ça. Et c'est indéniablement pertinent. Mais, justement, d'une certaine manière, je me suis rendu compte, au fil de ma lecture, que la seule chose qui me tenait encore, la seule curiosité qui me demeurait, portait sur les atrocités dont Damiens serait encore la victime dans le tome 4. Une sensation pas très agréable – ai-je donc vraiment cette soif, même (rassurez-vous...) seulement littéraire, de sang et de sévices ? Mais c'est surtout parce que je n'en attendais plus rien d'autre à ce stade, oui, c'est ça le souci.



Mon vrai problème, je suppose, émerge en fait de l'association de ces trois aspects (et de quelques autres menus détails) : je ne parviens pas à prendre cette histoire au sérieux. Ça n'est pas forcément le seul fait de l'auteur et de ses choix artistiques et narratifs, plus probablement une conséquence de mes attentes générales en tant que lecteur – mais… non. Je ne parviens pas à prendre tout ça au sérieux – et au point où les choix de Sakamoto Shin'ichi, qui se défendent sans doute de bien des manières dans l'absolu (l'androgynie baroque des personnages, le sous-texte permanent associant la charge du bourreau et la sexualité, la manière de tordre l'histoire pour en dériver un autre sous-texte, davantage en forme de message, tout du long, etc.), ne parviennent guère qu'à renforcer mon impression grandissante… eh bien, de parfait ridicule. Je suppose que le point-clef à cet égard, dans ces deux volumes, est le personnage improbable de Soubise, avec son (mauvais) délire glam-SM – qui m'a illico « sorti » de la BD.



Je ne pense donc pas poursuivre l'expérience à vue de nez. Un brin de curiosité demeure, mais… Bon.
Lien : http://nebalestuncon.over-bl..
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Dans ce troisième tome, nous retrouvons Monsieur Damiens, ce veuf éploré et père de famille monté à Paris pour travailler et nourrir son petit garçon atteint du scorbut... de désespoir, le pauvre homme avait voulu poignarder le roi pour voir s'il était bien un être divin ou s'il était aussi fait de sang, comme tous les hommes et femmes de son peuple qu'il affame et laisse vivre dans la misère et le dénuement le plus total... Et pour avoir commis ce crime de lèse-majesté, ce pauvre bougre est condamné au même châtiment que Ravaillac quelques siècle plus tôt , une tortue des plus barbare : l'écartèlement (après moult "châtiments"...).

Ce troisième tome est toujours aussi percutant dans ce qu'il met en scène du côté le plus sordide de l'âme humaine : le plaisir sadique et malsain que nous avons à voir nos semblables souffrir les pires tourments (la télé réalité a remis ça au goût du jour en un peu moins trash que les exécutions en place publique). Les graphismes sont toujours époustouflants et on en apprend davantage sur la personnalité étouffante, mesquine et manipulatrice de la matriarche du clan Sanson qui met tout en oeuvre pour placer ses pions sur l'échiquier du pouvoir et du prestige. Mais ses plans doivent se dérouler selon ses désirs, mais ses désirs ne sont pas partager unanimement par tous les membres de sa famille.
Il y toujours quelques scènes scabreuses et à la sexualité pas très saine, elles n'apportent souvent pas grand chose au récit, s'en est à se demander la raison de leur présence.

J'ai aimé ce tome, mais moins que les précédents car il lance beaucoup de pistes mais nous laisse sur notre faim en les laissant en suspens, j'attends donc le tome 4 !
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Sans être nommé officiellement l'exécuteur de Paris à la place de son père, Charles-Henri est chargé des exécutions à la place de son père qui est victime d'une attaque. Il a rencontré par hasard deux miséreux, un père et son fils malade du scorbut. Il prend les pauvres en pitié mais retrouvera le père de l'enfant car il n'est autre que Damiens qui tentera de poignarder Louis XV. La sentence réservée au régicide est la pire de toute, la dernière fois qu'elle fut appliquée était pour Ravaillac, l'assassin d'Henri IV. Après d'horribles tortures, celui qui a tenté un crime de lèse-majesté doit être écartelé…

Le graphisme est toujours aussi magnifique. Par contre, je trouve que sur l'épisode sordide de l'exécution de Damiens, l'auteur tire un peu sur l'élastique. D'ailleurs, il faudra attendre le tome suivant pour vivre l'exécution. Dans ce tome, l'auteur se joue plus de l'histoire pour la romancer d'avantage. La cruauté du 18e est révélée dans toute sa splendeur. En oxymore, La beauté et le charme du héros s'impose face la laideur de sa tâche. Un album un peu longuet mais qui devrait, je l'espère, faire le lien la suite d'une histoire qui reste passionnante.
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Un manga qui de prime abord peut sembler repoussant puisqu'il suit la vie d'un bourreau. Et pourtant il n'en est rien grâce au trait gracieux et délicat du mangaka. À n'en pas douter, le trait sert vraiment l'oeuvre et lui donne toute sa puissance et sa beauté. J'adore le style graphique de ce manga : fluide, léger, des clairs-obscurs magnifiques. Au final, tout sert à rendre beau ce qui peut l'être et permet aussi de souligner l'horreur quand nécessaire.
Pour ce qui est de l'histoire sur ces trois premiers volumes, nous suivons les débuts de Charles-Henri Sanson, 14 ans, fils de bourreau et qui doit donc reprendre la profession paternelle. Traité de la vie des bourreaux était un choix audacieux, car le moins que l'on puisse dire, c'est qu'ils ont mauvaise réputation (et ça se comprends). Mais dans ce manga, traité de façon historique, une découvre la vie de ces gens bien loin des clichés que véhicule le cinéma. Les bourreaux jouissent de privilèges, sont autant ostracisé que « respecté » pour la tâche qu'ils accomplissent. C'est d'ailleurs le parcours du jeune Charles-Henri, doux et sensible (avec des traits très efféminés), pour se sortir de ce monde hideux tout en acceptant son destin. Personnage intelligent et droit dans ces bottes, il s'évertue à suivre cette voie maudite tout en y apportant « de l'humanité » malgré les horreurs qui lui sont demandées. Note spéciale pour la grand-mère Sanson qui est une vraie tortionnaire et assume totalement son lignage.
Je suis curieuse de découvrir la suite de ce manga.
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Il y a presque 150 ans qu'il n'y a pas eu d'écartèlement, depuis l'assassinat de Henri IV par Ravaillac mais cela va changer. Robert François Damiens est condamné à cette sentence pour avoir tenté de tuer le roi. le coupable n'est autre que l'homme dont Charles-Henri à recueillit l'enfant malade il y plusieurs mois. Il va demander de l'aide à son oncle Nicolas-Gabriel pour l'aider dans cette funeste tâche. Mais son oncle cache de noirs dessins.

Un tome ou l'horreur de début de l'horreur du supplice de Damiens ne nous est pas épargné et inaugure du pire dans le tome suivant.
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critiques presse (1)
Sceneario
28 septembre 2015
Le trait est toujours fin et délicat, c’est un vrai plaisir d’admirer cette belle interpretation d’une des pages les plus connues de l’histoire de France.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
La vérité n'a aucune importance... puisque de toute manière, chacun l'arrange comme il lui plaît.
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Tuer quelqu'un c'est s'infliger à soi-même les mêmes tourments.
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"L’écartèlement est déjà une barbarie bien pire que toutes les peines auxquelles nous sommes habitués. Ce n'est plus une exécution, c'est simplement un abominable spectacle particulièrement morbide. Notre fonction est de donner la mort aux condamnés, sans leur infliger de douleurs inutiles. Même s'il a blessé le roi, aucun homme ne mérite de subir un châtiment aussi épouvantable pour satisfaire une foule venue le contempler! ça n'a aucun sens! Cette exécution est inacceptable! C'est moi qui, désormais, exerce les fonctions d'exécuteurs des hautes œuvres de Paris, et je refuse de procéder à cet écartèlement!"
# Charles-Henri
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"Ne faites montre d'aucune retenue! De toute façon, je suis déjà mort! Puisse l'horreur des cruautés que je vais subir faire trembler les consciences et contribuer à la réalisation de votre rêve!" # le supplicié Damiens à Charles-Henri
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Peut-être est-il déplacé de vouloir protéger autrui quand je ne suis doté que de serres servant à lacérer les chairs.
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#Manga #romangraphique #lagriffenoire @zoethorogood
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