Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran

Une petite heure de lecture devant vous? Hop! ce petit conte avant toute chose, plein d'humour!!
Certes nous y trouvons des notions de sagesse, de relations père-fils; une forme de religion y est décrite, mais tout cela est assez sommaire.
Alors juste pour le plaisir de sourire à la lecture de quelques passages, ne nous en privons pas.

Moïse a onze ans lorsqu'il fait vraiment connaissance avec Monsieur Ibrahim, l'épicier du coin. Il trouve en lui un ami, mais surtout une présence, lui que ses parents on abandonné...

Que Brigitte Bardot se rassure : je n'ai pas prévu de fouetter un chat après cette lecture. le fond est intéressant, avec cette démonstration que l'amitié peut aller au-delà des clivages religieux, mais la forme laisse à désirer, Schmitt a fait mieux, notamment avec La Part de l'autre (certes c'est du point de vue d'un gamin, mais quand même !). Je n'ai pas reconnu dans le texte le lyrisme du titre.
J'ai trouvé l'histoire sympa, sans plus. Touchante, sans plus.
Lien : http://livriotheque.free.fr/..

Nouvelle sur le passage initiatique de l'enfance à l'âge adulte, presque un conte. Je pense que ce récit, qui fait partie du Cycle de l'invisible sur les spiritualités, est à conseiller à de jeunes adolescents. Cependant il m'a un peu énervé : histoire un peu trop proche de la vie devant soi d'Emile Ajar/Romain Gary, en moins crédible et surtout en plus moraliste. le style est agréable, il y a des phrases qui font mouche (celles sur le parallèle entre les poubelles et le niveau de vie ! ), mais l'ensemble est globalement décevant, il y a trop de thèmes abordés en si peu de pages, du coup tout est survolé et surtout simplifié à l'excès, d'où un côté moraliste inévitable.

Momo vit seul à Paris avec son père, un homme taciturne.
Un jour Momo rencontre Ibrahim, l'épicier arabe à la rue bleue. Une amitié se crée entre Momo et Ibrahim.
Ce livre est un symbole de sagesse, de compréhension et d'amitié entre des personnes de différentes croyances.

Un court roman très drôle, une belle leçon de vie et de tolérance.

Un très court texte à la manière d'un conte moderne.
Tolérance et compassion.

Dans les années 1960 à Paris, le jeune Moïse se sent seul et incompris, il se lie d'amitié avec Monsieur Ibrahim l'épicier arabe du quartier.

Les choses simples écrites dans un style à la fois très accessible et profond, une histoire touchante, pleine de tendresse et d'humanité explorant les thèmes chers à l'auteur tels que la quête spirituelle, la question identitaire et la tolérance ; l'adolescence, la sexualité, et la paternité.

J'ai eu du plaisir à lire ce tout petit roman de 85 pages, qui parle de l'amitié entre Momo, un jeune garçon livré à lui-même, et Monsieur Ibrahim, l'épicier de la rue.

Cependant... il était trop court pour que j'arrive à vraiment m'attacher aux personnages (pourtant attachants) ni à me plonger complétement dans l'histoire. L'histoire est belle, j'aurais aimé qu'elle soit plus étoffée.

Cette histoire est courte et facile à lire, relatant le quotidien d'un adolescent délaissé par ses parents, et qui en vain, cherche à se créer une place dans ce monde. Ceci, devient plus facile lorqu'il se lie d'amitié avec Monsieur Ibrahim, l'épicier du coin. Il a besoin d'un modèle devant lui, d'un adulte à ses côté, il a besoin d'apprendre à voir la vie autrement. et Ibrahim est là pour cette tache.

Un récit simple et crédible puisque c'est l'adolescent qui parle de toute vérité et toute limpidité et simplicité.
Ma citation coup de coeur est : " Ce que tu donnes, c'est à toi pour toujours ; ce que tu gardes, c'est perdu à jamais ! "

J'ai du mal avec les romans très courts. J'aime, avant de débuter un ouvrage, l'idée que je vais entrer dans un univers que je ne connais pas, découvrir des personnages, des tranches de vie, me familiariser avec l'époque, l'environnement.
L'histoire de Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran est poétique, pleine de tendresse et de sagesse... C'est une jolie rencontre que nous conte l'auteur (et c'est sans doute à cela, au conte, que renvoie la concision de Schmitt) entre l'épicier musulman et le jeune Momo de confession juive. le vieil homme et l'adolescent abandonné ou l'histoire d'une transmission (l'importance du sourire), d'un héritage spirituel. Mais on n'a pas le temps de dire ouf que c'est déjà fini ! Ça me laisse un goût de trop peu, d'inachevé. Dommage.

Un roman décevant, pauvre et peu crédible. Une forme de pâle copie de "La vie devant soi" dont certains dialogues semblent s'approcher. Une situation grotesque; malgré des ingrédient propres à plaire au plus grand nombre, je trouve ce récit mièvre.