L'univers rendu à ses soumissions plus ou moins imaginaires, à la violence de sa croyance désespérée à un sens, à un ordre qui imposerait sa domination. Dans ces limbes, quasiment des projections mentales,
Olivier Sillig réfléchit aux pulsions primales qui resteraient à une humanité en proie à une catastrophe, dans un monde devenu flottant, humide, aux meurtrières lisières. Les limbes de
Bzjeurd ou le flottement dangereux, fascinant, du souci de l'autre.
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