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Aventures de l’inspecteur Léon Sad... tome 5 sur 6
EAN : 9782221248379
656 pages
Robert Laffont (26/08/2021)
4.07/5   90 notes
Résumé :
Été 1944 : Sadorski a passé huit mois en prison. L’administration le libère en échange d’un rapport sur le transfert de l’ex-ministre Georges Mandel, otage des nazis, qui va être tué sous ses yeux. Crime ordonné par la SS ou par la Milice ? Peu après, un inconnu blessé est enlevé par des flics allemands en civil. L’inspecteur met ses adjoints sur l’affaire et l’un d’eux est abattu à son tour.
Dans un bar tenu par des truands, Sadorski rencontre un jeune mili... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (20) Voir plus Ajouter une critique
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Ces quelques jours en été dans la vie de Sadorski, de l'assassinat de Georges Mandel à l'entrée des chars de la 2ème DB, marquent un nouveau tournant dans la vie de l'Inspecteur La Crevure.

Malgré les nouvelles du front de l'Est, Vichy et les Allemands traquent les juifs et les résistants, et comptent bien remplir les convois, convois dont Jacqueline pourrait faire partie. Après son incarcération, Sadorski qui retombe toujours sur ses pattes retrouve l'air libre dans la forêt de Fontainebleau où il est lié au transfert de Georges Mandel et à son assassinat par Mansuy. Slocombe accrédite la thèse de l'implication du Sipo-SD puis déchaine la tempête au-dessus de Sado, qui, mû par sa curiosité malsaine, ses petits intérêts, et sa lubricité, va se prendre de plein fouet ce que la capitale offre de pire, les collabos, les truands, la Carlingue, la Milice, les services allemands et la fine fleur de la Gestapo française. le vent tourne, les anciens du Bureau des Affaires Juives commencent à se refaire une virginité en prenant un virage à 190 degrés et Sado n'est pas en reste pour faire la girouette.

Point de temps mort dans ce volume, à l'image de l'agitation et de la confusion qui règnent en France en ce bel été 44. Romain Slocombe restitue avec le talent et la maîtrise qui le caractérisent le chaos ambiant. La documentation est colossale, les personnages habilement construits, l'intrigue menée tambour battant et Slocombe tire à balles réelles. La série, comme toujours, sent la fosse à purin. La capitale est un vaste et immonde cloaque. L'Inspecteur Sadorski libère Paris se dévore pince à linge sur le nez, et on attend déjà avec impatience le prochain et dernier volume, J'étais le collabo Léon Sadorski. On espère que l'heure est enfin venue pour le ramassage des ordures.
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Cinquième roman consacré à l'occupation de la France par les nazis, ayant pour personnage principal l'odieux inspecteur principal adjoint, Sadorski.

Romain Slocombe à travers ses romans fait oeuvre d'historien, remarquable travail de recherche, la description du Paris de 1944 est fantastique!

J'ai mis un certain temps à lire ce livre, je m'en suis délecté en cherchant à approfondir des points d'histoire décrits. L'auteur a fait un travail méticuleux peut-être trop? Je m'attendais à un roman historique ce cinquième tome est un livre d'histoire avec un grand H, romancé d'où un petit «malaise» que j'ai eu au début.

Ce n'est pas un livre qui va me réconcilier avec l'âme humaine... Dans les périodes complexes et dramatiques comme le fut l'occupation, rare sont les êtres courageux et généreux. Bien plus nombreux sont les pleutres, les salops et les médiocres. Hélas rien n'a changé...

Mais franchement, quel bon livre, et quel plaisir j'ai pris à le lire!

Cette saga est d'ors et déjà rentré dans mon panthéon littéraire.

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Ce roman de Slocombe est riche et dense.
Pour ceux qui connaissent l'écrivain, cette phrase d'introduction doit résonner.
Si j'ajoute qu'il s'inscrit dans son projet d'écrire " un grand roman national ", que le narratif se situe en juillet et août 44 à Paris, que ledit roman nous offre 700 pages mêlant Histoire et fiction, ça doit résonner davantage encore.

Aussi vais-je m'efforcer d'éviter le piège dans lequel une telle somme invite un bavard comme moi à tomber...et me limiter pour une fois à l'essentiel.

Ce projet d'écriture est à ce jour composé de huit romans dont - dans un ordre qui correspond à ma perception chronologique ou tout au moins à l'ordre dans lequel j'aurais aimé les lire... ordre que je vous recommande - - La débâcle - ( beaucoup aimé ), avant d'entamer la saga Sadorsky, je lirais - Monsieur le commandant - ( excellent ! ), puis j'irais vers la saga avec - L'affaire Léon Sadorsky - ( apprécié ) ), - L'étoile jaune de l'inspecteur Sadorsky - ( pas mal du tout ), - Sadorsky et l'ange du péché - ( bon aussi ), - La Gestapo Sadorsky - ( du bon également ), - L'inspecteur Sadorsky libère Paris - ( je vais vous donner mon avis ) et - J'étais le collabo Sadorsky - ( que j'ai chez moi mais que je n'ai pas encore lu ).
Romain Slocombe utilise dans six de ces huit romans un petit bonhomme tout ce qu'il y a de plus abject, de plus veule, pour se donner la possibilité de raconter cette France qui va de la débâcle de juin 40 à la libération puis à " l'épuration ".
Ce petit être infect, c'est Léon Sadorsky, IPA ( inspecteur principal adjoint ) à la PP ( préfecture de police ) de Paris où il a pour tâche de ramener des " crânes " et des " becs crochus " ( nulle explication n'est ici nécessaire...).
Ce pétainiste de la première heure, cet antisémite acharné, est une image mosaïque de quelques bas instincts qui ont pu sévir durant cette période sombre de notre histoire.

Comme je me suis promis d'être bref, je ne vais pas révéler aux prochains lecteurs de Slocombe ce qui les attend dans les romans précédemment mentionnés.
Au moment où débute ce volet de la saga Sadorsky, l'IPA vient de passer huit mois entre les mains brutales de la Gestapo et les geôles de la pénitentiaire parisienne.
Son affaire et son jugement traînent.
Sadorsky se lamente sur son sort, pleure, implore et propose les marchandages les plus infâmes pour s'attirer les bonnes grâces de ses bourreaux...
Une opportunité va s'offrir à lui.
Le deal pour retrouver liberté et " virginité " va consister à se faire passer pour un gestapiste ( d'ascendance alsacienne, il parle un allemand correct ) et intégrer l'escorte qui doit transférer " le juif Mandel " ( Georges Mandel, ex-ministre de l'Intérieur du gouvernement Paul Reynaud ) de sa prison parisienne à Vichy.
Ce transfert intervient peu après l'assassinat de Philippe Henriot, figure de la collaboration et propagandiste de Laval, par la Résistance française.
Sadorsky, grâce à son flair, craint le coup monté... mais entre croupir en prison et tenter de retrouver ses " deux amours " que sont Yvette, sa femme, Julie, la jeune juive qu'il cache depuis la Rafle du Vel' d'Hiv le 16 juillet 42 et le petit Bernard, le fils que lui a donné la pauvre gamine après des rapports qu'on qualifierait de nos jours " d'abusifs ", elle qui n'a en 44 que 17 ans..., il n'hésite pas.
Nous sommes le 7 juillet 1944, les Alliés sont aux portes de Caen...la libération approche...

Autant parmi tous les titres que j'ai cités comme faisant partie du " grand roman national " voulu par son auteur, tous à l'exception du dernier que je n'ai pas encore lu, donnaient la part belle à l'action, laquelle s'insérait parfaitement dans L Histoire, autant - L'inspecteur Sadorsky libère Paris - trébuche cette fois sur la volonté de Slocombe de tout raconter de cette libération de la capitale...allant piocher dans une documentation fournie une foultitude de détails qui oblige Slocombe-Sadorsky à être partout à la fois...
Sadorsky est, sans mauvais jeu de mots, sur tous les fronts... de l'embuscade tendue par la milice à Georges Mandel à Fontainebleau, à l'antenne gestapiste de la rue de la Pompe, dirigée par le sinistre Friedrich Berger, en passant par la bronzette et les baignades sur les quais de la Seine en ce mois d'août caniculaire, à ses pédalades effrénées dans Paris qui se libère...et où Slocombe le fait passer dans chaque quartier, chaque boulevard, chaque rue... s'il n'y passe pas, il voit tous les évènements marquants... de loin ou des témoins les lui racontent.
Cerise sur le carrot cake, le plum pudding ou le Strudel, il a le temps d'enfiler le brassard des FFI, de voir sa femme tondue et embarquée avant de se retrouver lui-même aux mains de ses ex-collègues pour péché de collaboration...
Bref, Slocombe a cédé à la tentation du trop-vouloir-bien-faire, privilégiant l'historique au romanesque.
Slocombe a trop exigé de Sadorsky qui devient homme à tout faire, à tout voir, à tout savoir ( normal pour un flic, me direz-vous )... à trop faire et à trop voir ; la crédibilité en prend un coup...

Cela étant, lorsqu'on est arrivé à ce moment de la saga, même si - L'inspecteur Sadorsky libère Paris - en est le volet faible de mon point de vue, sa lecture un peu " too much " ne dissuade pas de poursuivre l'aventure avec un romancier qui jusque-là a fait ses preuves dans le domaine du polar historique.
Une leçon d'Histoire... ce qui n'est jamais à dédaigner...Slocombe excelle dans l'art de nous restituer par le menu ce Paris des années 40.
Comme pour chacun de ses romans, il réussit à mettre le lecteur en immersion, devenant spectateur d'évènements qui ont marqué et dont les échos se répercutent aujourd'hui encore dans la France et dans l'Europe de 2023.
Mon bémol, je l'ai dit, c'est que trop d'Histoire nuit à l'histoire...
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C'est l'été 1944. L'Inspecteur Principal Adjoint Sadorski moisit dans la prison de la Santé où, habitué à son confort et à ses rapines chez les Juifs, il se sent très mal. Mais on lui propose de le libérer à condition qu'il convoie, avec d'autres, l'ancien ministre Georges Mandel, et établisse un rapport sur ce transfert. Bien entendu, il accepte, et c'est le début de ses nouvelles aventures, entre miliciens, gestapistes et résistants, dans l'atmosphère à la fois crépusculaire et pleine d'espoir de la fin de l'Occupation. ● J'aime beaucoup ce cycle romanesque et d'une façon plus générale les romans de Romain Slocombe. ● Cependant, cet auteur peut tomber dans le travers de la reconstitution historique un peu trop exhaustive et méticuleuse. Il ne me semble pas que c'était le cas dans les autres romans de la série, mais dans celui-ci il nous donne trop de détails, au détriment de l'intrigue et de l'action. ● C'est plus un livre d'historien que de romancier. On s'englue dans des éléments qui sont certes intéressants, mais qui empêchent l'action d'avancer. Toute la première partie du livre est trop complexe, trop foisonnante de personnages très secondaires. ● C'est donc pour moi une déception, mais cela ne m'empêchera pas de lire le sixième et dernier volume, prévu pour l'année prochaine.
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Paris. Été 1944.
Pauvre ! Pauvre ! Pauvre Sadorki !
Le voilà enfermé à la Santé. La sienne n'est vraiment pas terrible. Quinze kilos de perdus !
Enfermé avec les droits communs. Même pas avec les politiques ! Lui, accusé d'être un résistant ! Lui qui a donné le meilleur de lui-même pour chasser les juifs (et se faire un peu d'argent de poche par la même occasion). C'est vraiment trop injuste ! Il ne sait même pas où en sont les alliés ! Les droits communs n'en ont rien à cirer !
Il sait qu'il est papa ! La petite juive, Julie, qu'il a s… heu… b… heu… à qui il a fait un enfant a accouché. Son fils ! Son premier enfant ! Et il ne peut même pas le voir ! Sa femme refuse de l'amener au parloir. Elle trouve que ce n'est pas un endroit pour un bébé. Son épouse légitime ignore que c'est son cher mari qui est l'auteur de cette oeuvre et Sadorski préfère ne pas le lui révéler. Petit cachotier, va !
Tiens ! Il y a du nouveau… Il est convoqué chez le Directeur… Ouille ! C'est rarement bon signe, ça…

Critique :

Et voilà ce qui arrive quand on est impatient : on achète les premiers volumes des aventures de ce pourri de Sadorski, et comme on a beaucoup à lire, on lit autre chose… Et puis, on achète le dernier Sadorski. On se retrouve dans les transports en commun (mais non ! pas ceux-là ! c'est fou ce que certains peuvent être obsédés) … Bref ! On est dans le bus pour rentrer gentiment à la maison et on se dit : « Tiens, je lirais bien les premières pages pour me faire une idée… ». Et là, on est tellement pris par l'histoire que quand on pense à son arrêt, on se rend compte qu'on est déjà quatre arrêts trop loin… Bon, ben, on n'est pas chez les sauvages ! On n'a qu'à reprendre le bus dans l'autre sens ! Il s'en faut de peu que l'on rate à nouveau l'arrêt ! Ce Romain Slocombe quelle en… ! Il s'insinue en vous avec son histoire au point que vous en oubliez tout le reste, même le repas. C'est gênant d'être aussi pris par un bouquin quand vous êtes occupé à en lire des tas d'autres. Voilà qui ne va pas vous mettre en avance.
J'avoue tout ! J'ai vraiment été pris dans cette histoire. J'ai failli plaindre ce pauvre Sadorski ! Mais ce n'est pas de ma faute ! C'est ce Slocombe, là ! Il nous ferait presque prendre en pitié ce s… de Sadorski ! Pourtant, c'est pas bien ce qu'il a fait l'inspecteur Sadorski ! Il mériterait d'être fusillé ! Mais ce Romain, là, il finit par nous apitoyer sur le sort de cette en… de Sadorski : menu de la prison indigne de figurer au Michelin ; manque d'informations ; promiscuité dans cellule délabrée ; manque de tabac ; puanteur… Est-ce que le pauvre Sadorski a vraiment mérité tout ça ? Huit mois d'emprisonnement déjà ! Et les Allemands qui n'ont pas été gentils avec lui, ou alors, c'est qu'ils sont nuls en dentisterie puisqu'ils lui ont limé les dents ! Mais même sous la torture de la Gestapo, Sadorski n'a rien avoué sur les faits et gestes de la résistance ! Non, Madame ! Non, Monsieur ! Rien ! Pas un nom ! … Ce n'est pas qu'il n'aurait pas voulu… C'est tout bêtement qu'il n'en avait pas !
Beaucoup trouveront probablement ce roman trop long car Monsieur Slocombe décrit des tas d'événements qui touchent les Parisiens en cet été 1944 avec les alliés à deux cents kilomètres de la capitale, les Fritz qui pétouillent à mort, le ravitaillement qui manque plus que jamais… Et des collabos ou des pro-Allemands qui se découvrent tout d'un coup des sympathies pour ces salauds de Rosbifs ou d'Amerloques qui bombardent la France en général et Paris en particulier. Il y en a, dans la police en particulier, qui songent sérieusement à se créer un passé de résistants. A la libération, les cocos et les gaullistes risquent de ne pas être très compréhensifs avec ceux qui se sont montrés tellement zélés à appliquer les consignes des Nazis et du gouvernement de Vichy.
Il ne faut pas nécessairement être porté sur la Seconde Guerre mondiale pour apprécier ce polar qui a pour vedette une épouvantable raclure qui pousserait une brosse de cabinet au suicide plutôt que de se frotter à lui. Il suffit d'aimer les très bonnes histoires.
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
(Assassinat du ministre Georges Mandel)

- Mais pourquoi t'as arrosé la tire? questionne Lambert.
L'homme au Luger secoue ses larges épaules.
- Ça aussi c'était prévu. On va raconter qu'on a été attaqués par les terros. Et que le malheureux youdi a été atteint par malchance...
- Lui seulement? Par sept ou huit balles? riposte Boero incrédule. Et personne d'autre de touché? Mais qui va avaler cette fable à la con?
En son for intérieur, Sadorski approuve le scepticisme du milicien. La police effectuera une enquête approfondie, s'agissant d'un personnage aussi important que Georges Mandel. Les experts du service technique du professeur Sannié procèderont à des études balistiques, le docteur Paul sera désigné pour pratiquer l'autopsie. La victime a été touchée principalement dans le dos, alors que les balles tirées contre la carrosserie ont pénétré par le côté! Ça ne colle pas; le scénario d'une attaque par des maquisards lui apparait comme totalement invraisemblable. Et même si l'enquête est truquée, les détails du meurtre camouflés, l'opinion accusera forcément la Milice -comme pour le rapt de Jean Zay où les autorités n'ont su fournir qu'une explication vaseuse du même genre. ..
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- Cher Monsieur, retenez bien ceci, qui pourrait être mon ultime message. C’est le fruit de mes réflexions en captivité en Allemagne. Il y a deux guerres : l’une a commencé le 1er septembre 1939 et va être gagnée dans quelques mois. L’autre,sourde, sournoise, avait débuté bien avant,et ne s’achèvera pas avec la victoire. (Il à élevé la voix et semble s’adresser au public de la Chambre des députés.) Si nous ne la gagnons pas, la fin victorieuse de la première aura été vaine ! L’enjeu : la liberté politique, l’égalité des citoyens, l’amélioration du sort des masses par les moyens pacifiques que doit assurer la démocratie.
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Debout à contre-jour, sous le halo du plafonnier, dans sa longue robe couleur de sang il parait bon pas comme l’émissaire de Berlin, ou du haut commandement de la police de sécurité, mais de la ville ténébreuse...toute brûlante de soufre et de bitume, où n’existe que l’effrayante vue des diables et de l’enfer. Où ne se font entendre que pleurs, lamentations, désespoir....et où trône celui qui cherche à perdre l’âme des hommes. Le destructeur d’âmes.
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Si encore il se trouvait dans une cellule de résistants. Des vrais. Il pourrait nouer des contacts, se créer des relations utiles pour l’après-guerre. Ou bien - l’un n’empêchant pas l’autre-les dénoncer, jouer les « moutons », négocier en échange un aménagement de peine avec la Justice...
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Si encore il se trouvait dans une cellule de résistants. Des vrais. Il pourrait nouer des contacts, se créer des relations utiles pour l'après-guerre. Ou bien - l'un n'empêchant pas l'autre - les dénoncer, jouer les 'moutons', négocier en échange un aménagement de peine avec la Justice.
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