Le Polar parisien venu du Sud Ouest…..Et pourtant si réaliste !!!!
Dès le début, le ton est donné, l'auteur vous plonge dans un univers de roman noir, de policier, nuit, pluie, coupure de courant, ruelle, voitures, phares et jeune femme craintive et angoissée…..Le ton est donné…
Et nous assistons, impassibles, ne pouvant rien faire, au crime en direct…..Complices un eu de ne pas pouvoir l'aider….C'est parti, il nous faut avancer pour dénouer cette intrigue.
Nous entrons alors directement dans l'univers policier, cet univers des enquêteurs, si étrange, si fascinant, avec ses codes, ses incongruités et ses détails que nous ne serions voir.
A grand renforts de détails et de descriptions réalistes, l'auteur nous fait voyager dans ce monde, tout en tissant et déliant son intrique au grès de pages…..
Des personnages auxquels vous vous identifierez, des descriptions de Paris réalistes, des détails qui rendent le roman vivant à chaque page vous êtes là, entendant les bruits, voyant les scènes se construire autour de vous et l'imbroglio s'épaissir.
Vous dévorerez ce roman, page après page, soutenant et épaulant les personnages pour arriver au dénouement que vous chercherez à atteindre au plus vite.
Vous êtes tenus en haleine du début à la fin, le rythme est donné, et ne s'enlise pas, vous vivez votre série policière en direct.
Bonne lecture.
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Policier français : ça se passe dans Paris, entre les différents arrondissements et le 36, quai des orfèvres. C'est bien écrit. Les personnages m'ont plu, l'ambiance est là même si la résolution de l'intrigue est un peu décevante (car moins crédible) par rapport à la qualité de l'enquête.
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Un beau style pour ce roman policer.
Très contemporain, il n'a pas su me transporter...
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Un roman noir qui a hélas quelques longueurs. Par contre les 100 dernières pages m'ont hapées, enfin
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Arzhaelig Ziegler était né sous le signe de l'antinomie, d'une mère bretonne et d'un père alsacien. Chacun trop attaché à ses origines pour accepter de tomber dans le camp de l'autre. Puisqu'il allait porter le nom de son géniteur, sa mère avait choisi un prénom purement breton. Et pour affirmer son opposition, celui-ci commençait par un A, pour marquer la contradiction avec le Z apporté par le père. Arzhaelig Ziegler. Le genre d'appellation impossible à retenir, qui générait forcément le surnom.
- C'est quoi ta méthode pour ressusciter si vite ?
János réfléchit un instant.
- Disons que je me shoote au plantigrade en ce moment.
À l'occasion de la 19ème édition des quais du polar à Lyon, Jean-Christophe Tixier vous présente son ouvrage "La ligne" aux éditions Albin Michel.
Retrouvez le livre : https://www.mollat.com/livres/2683949/jean-christophe-tixier-la-ligne
Note de musique : © mollat
Sous-titres générés automatiquement en français par YouTube.
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