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3,91

sur 399 notes
Très déçue après ''Perte et fracas'' et ''Le livre de Joe'' que j'ai beaucoup appréciés. Les personnages tournent en rond dans des problèmes récurrents... L'auteur parle de manque de communication entre les membres de cette famille ; j'ai plutôt vu des personnages souvent velléitaires donc agaçants à la longue ; avec, en prime, l'impression que ce roman est une quasi copie des précédents romans, en nettement moins réussi.
Livre que j'oublierai très vite...
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Il s'agit du premier roman de cet auteur que je lis, et même si j'ai quelques bémols par rapport à cette lecture, j'ai passé un très bon moment et je pense que je vais essayer les autres.

L'écriture est remplie d'humour, j'ai plusieurs fois ri derrière ma liseuse durant la première partie du livre, un peu moins par la suite mais certaines répliques sont vraiment fabuleuses!

L'histoire de base est "légère" car finalement, ce sont les personnages et leurs liens qui sont importants. Et quels personnages! A travers eux, ce sont des questions de vie qui sont posées, des problématiques intéressantes qui sont développées, et on s'attache vraiment à l'ensemble de la famille.

En revanche, j'ai trouvé que les "obsessions sexuelles" de Judd pesaient de plus en plus au fil du roman, même si j'ai apprécié le personnage, alourdissant l'ensemble. J'aurais préféré que les autres personnages soient davantage développés, un peu plus de psychologie et un peu moins de sexe n'aurait probablement pas nui à l'ensemble.

Je recommande, si vous voulez passer un bon moment!

Pour adultes.
Lien : http://abrrracadabra.canalbl..
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Le roman commence par une scène très épicée : Judd, notre héros assiste à la scène de sa femme Jen qui le trompe avec son patron.
Il apprend ensuite que son père est décédé.
Son père, c'est Morton Foxman, un homme qui a monté une chaîne de magasins de sport pour laisser des biens à sa famille. La chaleur humaine ne faisait pas partie de son programme.
Morton, juif non praticant, avait pourtant émis le souhait de faire vivre à ses enfants et à sa femme la cérémonie de la Shiv'ah qui consiste, après l'enterrement à vivre 7 jours dans une pièce de la maison et recevoir parents et amis qui défilent pour rendre hommage au mort.
Le personnage de la mère, Hillary est très étonnant : psychiatre renommée pour un livre sur l'évolution des enfants, elle pratique un langage direct qui perce l'intimité de ses enfants.
D'autres points sont étonnants comme cette dynamique familiale où tout le monde se rentre dedans . C'est très décalé et en même temps l'auteur a l'art d'assener des vérités, des réflexions profondes sur lesquelles je me suis attardée.
J'apprends qu'il existe un film mais j'ai envie de rester sur l'impression que le livre m'a laissée.
Petite réserve : l'écriture est belle mais la traduction manque de finesse comme aux pages 110 et 112 où l'expression " je m'en rappelle" est employée à la place de "je m'en souviens" ou "je me le rappelle "( un peu plus désuet). C'est le genre de petite erreur qui me rebute parfois dans les traductions. Certains grands auteurs ont des traducteurs absolument admirables. Je pense à Joyce Carol Oates, Laura Kasischke ou Carlos Ruiz Zafon et d'autres.
Quand je parle de ce souci avec des plus jeunes, ils ne sont pas toujours d'accord, ils axent plus sur la communication. Personnellement, je reste accrochée à notre langage sans être une grande spécialiste, loin de là.
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Le père de Jud vient de mourir. Comme dernière "plaisanterie" volonté, celui-ci a souhaité que les membres de sa famille passe une semaine ensemble dans la maison familiale pour y célébrer la Shiv'ah (la période de deuil de sept jours observée dans le judaïsme).

Idée peu réjouissante pour tout le monde car dans la famille même s'il n'y a pas de gros clashs (et pour cause, chacun évitant de se fréquenter!), ce n'est pas non plus le grand amour. Se retrouve donc brutalement dans la même maison plusieurs ingrédients pour un cocktail explosif :

- une mère éplorée mais pas trop, dotée d'un généreux 95C refait qui attire la convoitise des visiteurs mâles
- une fille ainée qui a enchainé les grossesses et pondu des enfants hyperactifs, elle pleure sur son corps, sa jeunesse perdue et son mari pendu à son Blackberry

- Paul le fils ainé, un poil amer, qui est resté dans la ville et qui a repris l'entreprise familiale à défaut de poursuivre son rêve : devenir footballeur, une belle-soeur obsédée par sa période d'ovulation et accessoirement ex de Judd,

- le benjamin, chouchou de la famille et adorable branleur de 25 ans qui arrive au volant d'une Porsche et au bras d'une cougar qui accessoirement se trouve être " sa coach de vie". Là-dessus Judd, fraichement séparée de sa femme qu'il a surpris au lit avec son patron.

Voilà le tableau ... S'en suit querelles d'amoureux, déballage de linge sale, un bébé mais par pour ceux qui en voulaient, du sexe, des poings dans la figure, un coming-out.. bref une semaine chargée !
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C'est grâce à C'est ici que l'on se quitte que j'ai découvert Tropper et qu'une partie de ma vie a changé.
Depuis, j'ai lu toute sa bibliographie et scrute avec attention ses nouvelles sorties. Pour autant, aucun livre ne m'a autant plu.
L'histoire est vraie, sincère, réelle et terriblement bien écrite. Elle fait rire autant qu'elle émeut. JE LE CONSEILLE VIVEMENT!!!!!
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Sept jours de deuil, sept jours assis, comme les sept nains de Blanche-Neige, sur de petites chaises basses, à recevoir, sept jours durant, les condoléances de parents, d'amis, de membres de la communauté, sept jours de surabondance alimentaire, sept jours de huis clos familial : l'enfer...

Ainsi le veut la shiv'ah, en usage dans les familles juives orthodoxes.

Et pourtant Morton Foxman, le père défunt, n'était pas pratiquant. Il était même plutôt athée…

Qui a pu lui mettre cette idée de shiv'ah dans la tête?

Pas le rabbin, un ancien pote des enfants - Judd, Wendy, Philipp et Paul- aimablement surnommé Erectus, et qui aimerait bien que ses vieux copains de bringue le respectent un peu, à présent qu'il est rangé des voitures et officie dans la synagogue...

Pour Judd, le narrateur, qui vient de se faire cocufier très théâtralement et nage en pleine déprime c'est une épreuve dont il se serait bien passé...

Il lui faut revoir ses frères et soeur : Paul, son aîné, avec lequel les relations sont difficiles et les contacts...mordants, Philipp, le petit dernier, un éternel enfant gâté avec sa nouvelle conquête- surprenante, et Wendy avec ses enfants braillards et son mari trader, soudé à son Blackberry et à son portable...

Et tous les quatre, doivent endurer les mini-jupes et les décolletés vertigineux de leur mère, psy de son état, bien décidée à ne pas se laisser enterrer avec cet époux pourtant tendrement aimé..Sa vitalité est inépuisable et sa vie amoureuse semble prendre des directions inattendues.

Des enfants gravitent autour de ce noyau en état de fission permanente, comme des électrons libres: ceux qui existent déjà, ceux qui vous arrivent dans le dos...et ceux qu'on n'arrive pas à faire malgré des efforts louables et répétés - jeunes couples en plein exercice de procréation, méfiez-vous des Baby Phone qui ne font pas seulement entendre au cercle de famille les vagissements de votre progéniture!!-

Dit comme cela, on a le sentiment de résumer une aimable comédie familiale, bien déjantée - et parfois bien trash: la scène de rupture de Judd et Jen, à l'issue d'un flagrant délit haut en couleur, restera, si j'ose dire, dans les an(n)ales..."Portnoy complex" n'a qu'à bien se tenir...

Et pourtant non: si on rit- et on rit beaucoup, j'ai vraiment ri à gorge déployée à certains passages- le fond du roman ne manque ni de profondeur, ni de gravité ni surtout de tendresse.

Quand Jonathan Tropper entonne le grand air de "famille, je vous hais!", il le fait avec une dérision et un cynisme tellement volontaristes, qu'on ne peut s'empêcher de voir, derrière, l'immense affection de cette tribu déboussolée par la mort de son chef.

Ces sept jours de shiv'ah sont entre-tissés de souvenirs d'enfance, lumineux ou douloureux, de flash-backs qui compliquent et éclairent la narration, et de rêves délirants et signifiants à la fois - ceux de notre Judd-narrateur (cette jambe de bois qu'il perd, retrouve, remet, oublie, et qui revient dans chacun de ses rêves est comme la métaphore parlante de ce père perdu qui fait boiter sa vie) ! Les sept jours de shiv'ah s'en trouvent bien enrichis et étoffés!

La mère, un peu fofolle, qui refuse de vieillir et qui, en bonne psy pratique, seule, le parler -vrai dans cette famille pudique et peu "communiquante", n'est pas aussi fofolle qu'elle en a l'air.

Elle fait à ses enfants cadeau de l'amour vrai qu'elle a eu pour son mari- sans s'en trouver ligotée.

Amour et liberté. Solidarité et droit à la différence.

Un vrai sésame.

Elle leur donne ainsi la chance inespérée de se retrouver, de se reconnaître pour ce qu'ils sont : une fratrie singulièrement unie malgré les divergences, les différends, les différences.

Et d'avoir la force nécessaire pour devenir ce qu'ils doivent être: des hommes et des femmes libres, même si leurs choix ne sont pas faciles. Pour Judd, pas de happy end, et c'est bien mieux comme cela: la grande, l'effrayante, la magnifique incertitude de la liberté et de la solitude.

Même s'ils restent immatures comme Philipp, ou blessés comme Judd, Paul, et peut-être Wendy…

Enrichis, après cette shiv'ah et ce cadeau maternel mais pas changés : seul leur libre arbitre sera, un jour, déterminant.

Mais en disant à ses enfants qu'elle les aime et qu'ils s'aiment, au fond, tout au fond, leur mère rebat les cartes et met tous les atouts dans leur jeu.

Une mère juive à cent lieues des stéréotypes à la Woody Allen...Un beau et revigorant personnage!



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Morton Foxman vient de mourir. Étonnamment, il a souhaité que sa famille célèbre la shiv'ah. Une nouvelle d'autant plus surprenante qu'il était athée. En sa mémoire, il est donc convenu que tous restent ensemble pendant 7 jours... 7 loooongs jours pour les 4 enfants de Morton et Hillary.
Ainsi, la demeure familiale se trouve-t-elle remplie du jour au lendemain, en ce jour de deuil. Wendy, l'aînée et la seule fille, arrive de la Californie, accompagnée de son mari, Barry, homme d'affaires et financier qui la délaisse un peu au profit de son portable, et de ses 3 enfants.
Paul a repris le magasin de Morton, alors propriétaire d'une chaine de magasins de sport. Lui et Alice essaient depuis 2 ans d'avoir des enfants.
Judd, lui, se pointe seul. Il vient de surprendre, il y quelques semaines, sa femme (ou future ex-femme) Jen, et son patron en pleins ébats.
Quant à Phillip, le petit dernier, il arrive en retard (rien d'étonnant), on ne sait d'où.
À la tête de cette famille, Hillary, écrivain et psy, qui, du haut de ses talons aiguille et arborant fièrement une poitrine refaite, va tenter de maintenir la paix dans sa maison... au moins pendant 7 jours!

Quelle bouffée d'air frais que ce roman! On aurait finalement aimé que ces jours ne passent pas si vite tant cette famille déjantée, drôle et loufoque, est attendrissante et touchante. À partir de ce deuil tragique, ils n'ont d'autres choix que de vivre sous le même toit et composer avec chacun. Remontent alors à la surface les regrets, les rancoeurs, les rêves brisés. Jonathan Tropper dresse le portrait d'une famille déstructurée à travers ses défauts, ses vices, ses forces et ses faiblesses. Où il est question de deuil, d'enfance, de tendresse, d'amour, de paternité, de rancoeur, de sexe, de rêves, de remises en questions, de secrets, de regrets... et j'en passe. L'on obtient ainsi un roman absolument jouissif et pertinent, en apparence léger. L'on sourit, l'on rit, l'on s'émeut, l'on est triste parfois. Campé par des personnages hauts en couleurs et terriblement attachants, ce roman est rafraîchissant, à la fois drôle et sensible, et bourré de tendresse.

À noter que ce roman a été adapté au cinéma par Shawn Levu avec Jason Bateman et Jane Fonda.
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Le père de Judd Foxmann vient de mourir, après plusieurs mois de maladie. Alors qu'il n'était ni croyant ni pratiquant, il aurait souhaité que sa famille respecte le rituel juif de la shiv'ah : après l'enterrement, les proches sont censés se réunir pendant sept jours pour recevoir les condoléances des connaissances (amis, voisins…). Cela s'annonce compliqué pour les membres de cette famille plutôt désunie. Pour Judd, l'épreuve est d'autant plus difficile qu'il vient de quitter son épouse Jenny, avec pertes et fracas.

Même si j'ai trouvé Judd et quelques autres personnages sympathiques et malgré la compassion que j'ai pu éprouver à leur égard, le récit de cette semaine de deuil a été particulièrement drôle pour moi en tant que lecteur. Les différences entre les protagonistes et les tensions entre eux sont en effet l'occasion de nombreuses situations cocasses (parfois avec outrance mais cela m'a aussi fait rire). Les dialogues sont particulièrement vivants et drôles. Les passages où Judd se remémore les moments forts de sa relation avec Jenny donnent de la profondeur aux portraits de ces personnages et du répit dans le déroulement de l'histoire. Ces derniers passages m'ont cependant paru un peu longs (de même que les pages résumant des rêves de Judd que j'ai tout simplement zappées).

Une excellente satire sociale, centrée sur les relations familiales.
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Aucun des quatre enfants Foxman n'aurait imaginé que leur père juif non pratiquant exigerait une shiv'ah pour son décès.
Les voilà donc réunis pour une semaine dans la maison parentale, accueillis par leur maman, une pédo-psy aux allures de cougar, aussi compréhensive et sage qu'envahissante et pénible. La 'mère juive' dans toute sa splendeur : généreuse, chaleureuse, expansive, étouffante, insupportable.

Leur mission à tous durant les sept jours de ce protocole : accueillir les voisins, écouter leurs condoléances et propres doléances, ceci assis sur des petites chaises basses, donc avec vue imprenable sur les entrejambes, les fesses molles, les varices, les pieds de ceux qui défilent (majoritairement des vieux, bien sûr).
Le reste du temps : la maman, les membres de la fratrie et leurs "rapportés" doivent cohabiter dans cette maison pas très grande où les murs, percés et bricolés par le défunt papa électricien, ne préservent pas grand chose de l'intimité.
Semaine houleuse en perspective ! Wendy, Paul, Judd et Phillip sont très différents, ils trimbalent avec eux leur compagne/époux du moment, leurs gamins, leur déprime. Ils ont pas mal de comptes à régler entre eux et avec leur mère, et comme ils ne savent pas exprimer leur sentiments (qu'ils « répriment jusqu'à s'empoisonner », sic), quand ça déborde, ça explose : les vacheries et insultes volent, les poings partent vite même, entre hommes. Il y a aussi des bons moments, des souvenirs nostalgiques, des pardons, de la rigolade, des conseils fraternels. N'empêche que les querelles ne sont jamais loin, ça peut repartir en vrille à tout moment, d'autant qu'ils ont pour la plupart un solide appétit sexuel - sujet qui fâche, si on se mélange un peu trop...

Par la voix de Judd, Jonathan Tropper nous parle de deuil, de famille, de parentalité, d'éducation, de fratrie, de couple, d'adultère et de sexualité, avec un talent rare, une grande subtilité. Beaucoup d'autodérision de la part du narrateur, d'humour dans les échanges, les situations, et dans le langage imagé de l'auteur, sans lourdeur loufoque ni auto-apitoiement, comme on en rencontre parfois dans ce genre de saga familiale et/ou d'humour 'juif'.

Je me suis régalée ! ♥ Empathie totale avec plusieurs personnages (notamment Judd et sa grande soeur Wendy), émotion, sourires, rires, échos rencontrés dans de nombreuses situations et réflexions.

Merci Latina/Cécile pour cet excellent conseil !
- cet avis qui donne envie, il est là : http://www.babelio.com/livres/Tropper-Cest-ici-que-lon-se-quitte/136163/critiques/1007411
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Un petit coup de blues ? Allez rendre visite à la famille d'un défunt, ça vous fera du bien !

Mais qu'est-ce que je raconte ? !
C'est que je viens de passer les 7 jours que dure la « shiv'ah » (càd les 7 jours de deuil qui suivent l'enterrement chez les Juifs, où la famille reçoit les proches) en compagnie de personnes toutes plus déjantées les unes que les autres.
A commencer par la mère : une psy renommée mais totalement excentrique, qui n'hésite pas à parler de sa vie sexuelle à ses enfants et qui, à force d'implants et de jupes courtes, attire le regard de vieux hommes concupiscents.
Et puis viennent les enfants :
- Paul, qui s'efforce de faire un enfant à sa femme Alice, ancienne petite amie du narrateur, le 2e fils. En pleine période d'ovulation, il ne faut pas rater l'occasion, et tant pis pour la promiscuité avec les frères et soeurs.
- Wendy, la mère de famille nombreuse un peu dépassée, un peu nostalgique de son passé, plus ou moins délaissée par son homme d'affaires de mari.
- Philip, « le petit dernier», irresponsable, enfant gâté, chaleureux mais incapable de maturité, trainant à sa suite une femme d'une quinzaine d'années plus âgée, beaucoup plus sage.
- Et puis Judd, qui vit seul depuis quelques semaines après avoir découvert – et je peux vous dire que la scène est décrite dans tous les détails – que sa femme le trompait avec son patron. C'est lui le narrateur.

Cette tribu se retrouve, contrainte et forcée, dans la maison paternelle, à « faire face aux visiteurs, tel un groupe de rock en tournée : même programme, public différent », tous les jours pendant une semaine.

Je peux vous assurer que leurs affrontements, leurs réminiscences du «bon vieux temps » (hem), leurs problèmes passés et actuels se télescopent pour notre plus grand bonheur. J'ai ri ! Rien ne nous est épargné : sexe, bagarres, trahisons...Mais aussi tendresse, malgré l'immense difficulté congénitale de dévoiler ses sentiments.
Car la vie, c'est cela, n'est-ce pas ? Une somme de moments difficiles, heureux, tristes, pudiques, exaltants, stressants, décompressés...

Si la vie vous pose un lapin, lâchez-vous avec cette famille, et votre frustration fondra à leur contact.
Jouissif, sensible et drôle. Vite, un autre roman de cet auteur, Jonathan Tropper !
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