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L'Humanité en péril (Fred Vargas) tome 2 sur 2
EAN : 9782290382608
384 pages
J'ai lu (24/05/2023)
3.92/5   32 notes
Résumé :
[Peut être lu indépendamment des autres tomes]

"J'avais bien l'intention, ayant bouclé mon livre sur L'Humanité en péril, de ne pas vous laisser en paix (pas plus que moi-même), et de persister à vous assommer par de nouveaux éléments, tant la question du dérèglement climatique et des conséquences du déclin du pétrole est trop ample pour être traitée en un seul volume. J'aurais de très loin préféré vous assurer de la continuation, avec d'autres méthod... >Voir plus
Que lire après L'Humanité en péril, tome 2 : Quelle chaleur allons-nous connaître ? Quelles solutions pour nous nourrir ?Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Texte temporaire
L'Humanité en Péril 2 (Quelle chaleur allons-nous connaître ? Quelles solutions pour nous nourrir ?) de Fred Vargas qui a mon sens aurait dû être le premier tome de sa démarche. Car le pic du pétrole théorisé en 1940 par Hurbert King est vraiment le début de l'effondrement à venir, et cela, plus tôt que les projections des scientifiques concernés. Pour faire court, 1% de pétrole en moins, c'est 1% du PIB de moins. On prévoit vers 2040 entre 50% - 70% de pétrole en moins dans le monde, je vous laisse le soin d'imaginer la crise économique qui va perdurer dans le temps. le pic du pétrole conventionnel, c'est-à-dire le pétrole pompé sur les terres, a débuté vers 2006. Pour palier a ce manque, la multiplication des plates-formes de forage sur les mers, le pétrole et le gaz de schiste et les sables bitumineux ont pris le relais. On estime vers 2025-2030 le pic du pétrole, de tous les pétroles. J'ai appris qu'un champ de pétrole même avec la meilleure des technologies ne peut être vidé, tout cela à cause du TRE (Taux de rendement énergétique) ex. si pour extraire un baril il faut l'équivalent d'un baril, on arrête l'extraction. L'autrice évoque la fin du transport (Automobile, avion, navires) la fin de l'électronique et de la voiture électrique. Il y a environ 1,6 milliard de véhicules dans le monde, déjà pour un tel parc l'énergie n'est pas au rendez-vous, donc la voiture électrique ne sauvera pas le monde. Dans ce livre, on parle du retour des animaux de trait, pour l'agriculture, le ramassage des déchets, etc., etc. Quand le livre a été écrit, la Russie n'avait pas envahi l'Ukraine avec toutes les conséquences future sur notre monde et notre mode de vie. Entendons le silence de l'Arabie Saoudite, le plus grand producteur de pétrole de la planète.
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Ce livre est problématique sur de nombreux points. Déjà, le style en lui même est assez désagréable, je suis pourtant habituée à lire des essais. Mais balancer des nombres et toutes sortes de statistiques tout en ponctuant certaines phrases de deux points d'exclamations et en les mettant en gras n'ont jamais suffi pour faire la solidité d'une argumentation ; Et là est bien tout le noeud du problème, si le sujet abordé est pourtant essentiel, la réflexion elle est très superficielle.
Ainsi, l'autrice affirme que le pire des scénarios du GIEC n'est de toute façon pas possible parce que les ressources en pétroles vont s'effondrer avant que l'on dépasse les deux degrés et elle imagine donc que le climat se stabilisera à 1,7 degré. C'est là une démonstration de l'incompréhension de comment fonctionne le climat ; Il ne suffit pas de soudainement arrêter les émissions de co2 pour que le climat se stabilise, il ne s'agit pas d'une casserole en train de bouillir sur un feu. On est en train de profondément changer la nature chimique de notre atmosphère, les conséquences en sont donc multiples et complexes. Il se trouve qu'aujourd'hui le taux de co2 dans l'atmosphère a atteint le taux d'il y a 14 millions d'année. Or on estime qu'il y a 14 millions d'années il faisait 3 à 4 degrés de plus qu'aujourd'hui. Dit autrement, il y a déjà certainement assez de co2 ( et on ne parle même pas des autres GES ) pour que le climat se réchauffe et dépasse les 2 degrés. Et il ne faut clairement pas compter sur les systèmes qui d'habitude absorbent le CO2, les forêts et les océans qui sont déjà en état critique, au point même qu'on estime que certaines forêts sont en train de rejeter plus de CO2 qu'elles n'en absorbent. Ajouter à cela, la fonte de la banquise ( et des glaces ) qui non seulement perturbe les courants marins mais en plus diminue une partie de la réflexion des rayons solaires, la fonte du permafrost qui entraîne carrément de gigantesque effondrement formant des sortes de cratères, qui rejette massivement du méthane ( L'autrice en parle très vite fait mais à l'air de douter de la dangerosité de ce phénomène… ), les incendies de plus en plus gigantesques qui en plus de détruire une partie de la biodiversité, rejettent aussi du CO2. Ajouter à cela un phénomène peu connu dont on parle peu, le fait qu'une partie des particules fines permet une réflexion des rayons du soleil au point qu'on estime qu'elles freinent de près de 0,5 degré le réchauffement ( cf le grand livre sur le climat ). Donc si on arrêtait tout forme de d'utilisation du pétrole, de facto il y aurait 0,5 degrés qui viendrait se rajouter au réchauffement climatique, même sans prendre en compte toutes les données, on voit bien que les 1,7 degré hypothétiques de Vargas n'ont malheureusement rien de réaliste. Au vue de comment la machine à réchauffement semble lancée, même si miraculeusement on arrivait à limiter le réchauffement à 2 degrés d'ici la fin du siècle, il y a tout à penser que ce réchauffement continuerait bien après.
On voit également que l'autrice connaît mal de processus d'extinction de la biodiversité que l'on vit en ce moment depuis déjà plusieurs décennies ; Quand elle dit par exemple qu'il suffirait de ne plus mettre de pesticide ( ce qui arrivera avec la chute du pétrole ) la biodiversité pourra revenir. Comme si c'était si simple. Non seulement la biodiversité devra continuer à faire avec un réchauffement de plus en plus critique et toutes leurs conséquences, mais également avec les espèces envahissantes, ce phénomène qui dérègle totalement les règles de l'évolution. de plus, l'habitat naturel de milliers d'espèces si ce n'est plus a déjà disparue, on ne peut pas refaire comme ça, une forêt primaire qui est vieille de plusieurs siècles si ce n'est plus, tout comme les coraux qui de toute façon sont voués à disparaître. Et beaucoup d'espèces sont de toute façon déjà condamnées, entre celles qui sont déclarées déjà éteinte, celles qui n'existent plus qu'en captivité, celles qui sont déjà trop peu nombreuses et/ou trop peu de diversité génétique et consanguine, ne pourront pas simplement rebondir après l'arrêt du pétrole et des pesticides. Les dynamiques de la biodiversité ne sont pas aussi simples.
Et surtout il me semble que le plus gros problème de ce livre, en dehors même des imprécisions voir de l'incompréhension des phénomènes abordés, vient de son raisonnement même. J'ai eu l'impression que finalement, le plus grand danger pour Fred Vargas était la perte possible de son confort – notre confort – dû à la fin du pétrole et de notre civilisation industriel. En omettant totalement déjà le fait que le confort des occidentaux n'est pas en fait une façon de vivre universelle et qu'il y a plein d'humain sur terre qui ne vivent pas de cette façon, qui n'ont par exemple pas de tracteur, pas d'eau courante, pas d'électricité, pas deux voitures par habitant.
Surtout toutes les solutions, toute la façon de penser ici tourne autour de comment vivre de la même façon, en pensant de la même façon, en s'organisant de la même façon, mais sans pétrole puis sans électricité. Mais ne faudrait-il pas surtout avant tout, changer de paradigme ? Évidement si on cherche à produire autant, à vivre en voulant produire toujours autant ( alors qu'on produit déjà beaucoup trop ), ça ne pourra pas marcher. Mais c'est bien le paradigme de notre monde, la philosophie du capitalisme, de l'hyperproductivité qui est à l'origine de tous ces problèmes. D'ailleurs à aucun moment il est question avant même la fin du pétrole, de tout faire pour limiter les dégâts sur l'environnement, il s'agit juste d'attendre la fin du pétrole puis de l'électricité et de tout faire pour continuer à vivre de la même façon. On va même jusqu'à déplorer le fait qu'on ne pourra plus payer d'impôt à cause de la disparition d'internet, et de croire qu'on ne pourra plus communiquer. Pourtant, Fred Vargas à étudier le Moyen Âge, elle devrait donc savoir que pendant des millénaires, les humains sont bien parvenus à communiquer, à se construire, à se cultiver sans avoir besoin d'électricité ou de pétrole.
J'ai même trouvé certains passages drôles tellement ils étaient ridicules. L'autrice calcule même et réfléchit à comment continuer à consommer autant de viandes par exemple, alors que l'élevage est le principal émetteur de GES dans l'agriculture et qu'évidemment nous n'avons pas besoin de manger autant de viande que ce qu'on produit en ce moment.
Bref, un livre qui est tout de même totalement à coté de plaque. Je n'ai pas lu le premier tome, peut-être que celui-ci avait une réflexion plus profonde sur le sujet, mais en tout cas, en se basant uniquement sur ce deuxième tome, c'est très superficiel.
Sur le sujet de l'environnement, je recommande plutôt, "le grand livre du climat", sur celui de la menace qui pèse sur la biodiversité «  La 6ème extinction » de Kolbert, et sur la fin possible de notre civilisation « Comment tout peut s'effondrer » de Pablo Servigne.
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Une lecture assez contrastée, parfois laborieuse, mais qui plusieurs jours après ne me laisse pas en paix et me donne envie d'en parler à tous les gens que je croise... je ressors donc ébranlé de ce que j'ai lu ici.

Tout ne m'a pas convaincu, loin de là. L'exercice de prospective qui est fait ici, bien que fondé sur un gros travail de recherche prête naturellement à débat. En effet, certains aspects techniques (quid des supercapacités dans le stockage de l'énergie) et d'autres considérations sociétales (comment imaginer un monde en paix dans le contexte économique décrit ?) sont passés sous silence ce qui rend la proposition discutable. Mais l'essentiel est certainement là : discuter et s'emparer du sujet !

Au final je reste comme le lapin pris dans les phares de la voiture, incapable de me détacher du constat initial : les énergies fossiles touchent à leur fin dans une proximité temporelle que nous ne sommes pas du tout préparés à accepter, tant elles sont une drogue pour nos sociétés ! Nous arrivons à un moment charnière de l'humanité et ça risque de grincer sec ! Cette information devrait rythmer nos choix et nos vies tant les réactions en chaîne qui vont en découler sont profondes, mais c'est tout le contraire. Nous aurons des rêves de croissance jusqu'au bout, moutons débiles que nous sommes...

Pour la note optimiste, car il y en a une, Fred Vargas nous fait cette promesse : la chute de production brutale des énergies fossile est une garantie que le réchauffement climatique sera un peu plus mesuré que dans les pires scénarios du GIEC, qui n'ont pas tenu compte de ce paramètre dans leurs modélisations. C'est pas une merveilleuse nouvelle ça ? Et voilà pour les rabats joie qui oseraient avoir un petit moral !

Merci à Babélio et à l'éditeur Flammarion pour cet envoi lors de la masse critique de juin 2022.
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Le premier tome était décourageant, le second nous laisse désespérés. Au « Je sais, je sais...déjà » de 2019, on a envie de dire aujourd'hui (2023) ; « en fait non, je ne savais pas ! » On ressort de cette lecture littéralement ébranlé.e.s.

Il y a moins d'humour (l'autocenseur a disparu) et le livre est plus directif. On ne rigole plus, on s'organise. Dans les moindres détails, l'autrice calcule et trie. On se demande comment elle a pu penser aux écosandales équines, au pneu de vélos en bandes de textile usagé et au nombre de camion transportant ci ou ça ? Les chiffres sont encore là, plus accablants que jamais et dans tous les sens du terme.
Tout part du dérèglement climatique (réchauffement) provoqué par les émissions de CO2 (entre autres). La triade pétrole/gaz/charbon assurait notre expansion industrielle, technologique, commerciale, le confort domestique, le développement des loisirs... Si la fin des énergies fossiles, programmée mais pas (vraiment) annoncée nous garantit un maintien dans le « supportable », les bouleversements n'en seront pas moindres. le réchauffement sera endigué par la force des choses, mais à quel prix!
Cet avenir semble pourtant prévisible, étant donné que les solutions de rechange ne sont pas en mesure de répondre à la demande. L'espoir ou le déni aveugle sans aucun doute les trois quarts de la population. le quart restant laisse faire en se disant certainement « après moi le déluge ». Comme d'habitude, depuis Louis XV.

Le changement sera principalement un retour en arrière (locomotion animale, parcellisation, ruralité...), quel que soit le nom qu'on lui donnera. Sous prétexte de ne pas faire paniquer la population (toujours la même excuse), on la garde dans l'ignorance (autre méthode bien connue). Aucune information préparatoire, c'est le silence. Quelques bruits fuitent, mais on croit à des catastrophistes en mal de publicité.
Le scénario à court terme relève déjà de la science-fiction à rebours. Il laisse présager le pire à long terme comme une dystopie mal digérée. On a du mal à y croire, effectivement, tant tout cela nous parait inconcevable et inadmissible.
Fred Vargas, chercheuse au CNRS persiste à nous alerter en publiant le condensé de son travail d'investigations argumentées et son immense documentation (quand elle en a trouvé ou qu'on a bien voulu lui fournir).
Elle ne change pas de camp: elle reste « espérantiste » de la survivance.
anne.vacquant.free.fr/av/
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Apres "L'humanité en péril" publié en 2019, Fred Vargas livre ici un second ouvrage consacré au changement climatique et aux nombreuses conséquences concrètes de celui ci quant à l'avenir des sociétés actuelles. Prenant comme point de départ les pics de production (imminents) des principales sources d'énergies et le déclin qui s'en suivra l'auteure développe une réflexion poussée sur les conséquences qu'aura/que pourrait avoir sur nos modes de vie la fin de l'ère des grandes énergies. Les inévitables bouleversements économiques bien sur ainsi que l'évolution des déplacements humains mais également l'avenir de la production et de la consommation alimentaire, l'approvisionnement en produits textiles ou d'hygiène ou encore le futur des communications à l'heure ou le manque de matériaux, métaux et terres rares nécessaires au fonctionnement de la "tech" (que l'on ne peut plus vraiment nommer "nouvelles technologies") est déjà une réalité. Fred Vargas donne ici quantités de données, de sources, de chiffres, elle élabore de scénari, explore des pistes, des alternatives parfois tout juste émergentes, évoquant leur faisabilité, leurs prérequis et leurs limites.
La lecture de cette étude sourcée et documentée a de quoi étourdir mais l'aspect réfléchi et concret de l'ensemble est très appréciable et permet de poser des mots ou plutôt des chiffres et des dates sur des problématiques qui peuvent encore parfois sembler floues ou lointaines.

Même si e n'ai pas adhérée à toutes les pistes et conclusions apportées dans cet ouvrage, le travail de l'auteure a le mérite et la qualité d'aller au bout de ses réflexions et de ses idées avec rigueur, logique et l'appui constant de sources multiples.

La lecture de ce second volet est donc "chaudement" à recommander
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Et puisque jamais l’électricité ne fera voler un avion ni ne propulsera un puissant navire de fret, et que manquera la masse gigantesque de biomasse nécessaire pour parvenir à faire fonctionner avions et navires aux biocarburants, on assistera à la fin de l’import-export aéronautique.
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Et, sachant en outre que ces scénarios du GIEC nous livrent des températures globales mondiales, c’est-à-dire qui tiennent compte de la température des océans et des terres, il m’a paru également nécessaire – et ardu vu l’étonnante carence en informations sur ce point – de tenter d’estimer la température moyenne future sur les terres seules, plus chaudes que les océans.
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Sur nos forêts, nous devons veiller comme sur notre bien le plus précieux qui soit.
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Ainsi en va-t-il en tous les domaines où nous avons laissé, impotents et aveugles, le puissant machinisme dépasser de bien trop loin la mesure de l’échelle humaine.
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Videos de Fred Vargas (47) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Fred Vargas
Le livre lu dans cet épisode est « L'Homme aux cercles bleus » de Fred Vargas paru aux éditions J'ai lu. Avec la participation de Baptiste Montaigne, champion du grand concours national de lecture « Si on lisait à voix haute » 2023 pour le générique, Benoit Artaud à la prise de son et montage.
Remerciements à Martine Bommel - Murua, psychomotricienne et Dominique Samora, assistante sociale éducative de l'hôpital marin de Hendaye AP-HP, ainsi qu'à Claire Grimbert et Patxi Uzcudun du théâtre des chimères de Biarritz.
***
Le Centre national du livre lance un programme en direction des hôpitaux, Mots parleurs, en partenariat avec l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP). Cette action s'inscrit dans la continuité des actions menées pour transmettre le goût de la lecture à tous et notamment aux publics éloignés du livre.Définitivement tournée vers la jeunesse, cette action vise à conjuguer lecture, écriture et mise en voix. Les adolescents et les jeunes adultes, en collaboration avec le personnel hospitalier, sont ainsi inviter à choisir un livre parmi une sélection, en lien avec la thématique de l'édition 2023 des Nuits de la lecture : la peur.
Pour cette première édition 2023, six établissements de l'AP-HP participent. Quatre établissements sont situés en Île-de-France et deux en région (Provence-Alpes-Côte d'Azur et Nouvelle-Aquitaine).Le projet se déroule de fin septembre 2023 à début janvier 2024.A partir d'un ouvrage sélectionné avec le personnel hospitalier, les adolescents et jeunes adultes sont amenés à choisir des extraits de textes pour les lire et les commenter. Sur la base du volontariat, Mots parleurs propose ainsi à des groupes de cinq à dix patients accompagnés de personnel soignant d'écrire et d'enregistrer leur production, au cours de six ateliers répartis dans différents hôpitaux. Ils débattent pour élire l'ouvrage qui constituera la matière de leur travail.
Afin de les guider dans la sélection des extraits, dans la rédaction et dans l'enregistrement du podcast, ils sont accompagnés par un écrivain ou un comédien, ainsi qu'un technicien du spectacle. Ce podcast, d'une trentaine de minute, sera ensuite mis à disposition de tous les patients et personnels soignants de l'AP-HP.
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