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Zones of Thought tome 3 sur 3

Bernard Sigaud (Traducteur)
EAN : 9782253108696
982 pages
Le Livre de Poche (20/10/2004)
4.22/5   128 notes
Résumé :
Avez-vous peur des araignées ? Si oui, le dernier roman en date de Vernor Vinge n'est pas pour vous. L'auteur avait déjà témoigné d'un sens inné de la geste d'anticipation. Il pousse cette fois-ci l'extrapolation fantastique à son comble. Un peu trop loin, diront peut-être les puristes du genre.
Au tréfonds du ciel, qui a reçu le prix Hugo 2000, est en effet une somme tellement imposante qu'elle frise l'indigestion à répétition.
Le point de départ est ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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UN GRAND SPACE OPERA ET UN GRAND ROMAN SUR LE THEME DU CONTACT
Un grand roman très ambitieux qui nous plonge dans une ( des ) intrigue(s) à l'échelle de la galaxie ainsi que sur une planète aux caractéristiques très particulière ....
Cette planète est habitée par une espèce intelligente qui va gagner à rencontrer l'humanité ...
Un contact : une civilisation bousculée et la découverte d'un environnement fabuleux !!
....................................................................................................................
Par ailleurs le lecteur voyage avec un immense vaisseau spatial qui évolue dans l'espace profond et qui rencontre de nombreuses civilisations à différents moments de leur histoire et ces civilisations sont humaines car l'humanité s'est répandue de longue date dans l'espace ...
le coté scientifique est très visionnaire et il est fouillé et crédible en prime ..
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Les extraterrestres et leur société sont également un morceau d'anthologie ....
Nous les découvrons progressivement au même rythme que les deux expéditions humaines ..
Ils sont très sympathiques et aussi différents de nous que horribles ...
L'intrigue est menée de façon magistrale avec des personnages très présents sur une échelle de temps très longue ..
Il y a de nombreux rebondissements .... du suspens....
Les caractéristiques de la planète du système " marche arrêt " sont fascinantes ( crédible et l'imagination de l'auteur force sérieusement le respect ) ....
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Ce roman est un must du space opéra et du roman sur le thème du contact ...
Il y a également un troublant constat : les civilisations sont mortelle et un des objectif du personnage principale est d'ailleurs de tenter de pérenniser sa propre culture ...
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Bref aussi passionnant que vivant !
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To be Vernor Vinge or not to be Adrian Tchaikovsky? Telle est la question. En effet entre «Au tréfonds du ciel» et «Dans la toile du temps», on peut se demander qui a eu l'idée d'explorer en premier une civilisation arachnide? Seule la date de parution pourrait nous les départager en attendant mieux.
Avec «Au tréfonds du ciel», vous prenez une étoile surnommée marche-arrêt, deux factions humaines qui se déchirent, des araignées intelligentes, le tout dans un roman de 800 pages… Vous secouez fort et vous obtenez un Planet Opéra aux multiples rebondissements. L'étoile marche-arrêt a la particularité de briller 35 ans avant de s'éteindre pendant 215 ans. La planète qui orbite dans son système, est peuplée d'araignées qui vont réussir à fonder une civilisation malgré ces longues éclipses. Enfin, les deux factions humaines concurrentes, les gentils commerçants « Qeng Ho » et les méchants guerriers « Emergents » vont se disputer l'hégémonie de cette planète sur le dos de nos araignées, qui vont elles-mêmes être en proie à des rivalités internes.
Le roman bien que possédant certaines longueurs (l'histoire se passant sur plusieurs centaines d'années, merci le cryo sommeil) se lit assez facilement. Les personnages humains/araignées restent attachants sauf bien sûr pour le lecteur arachnophobe. Encore une belle lecture de vacances qui a le mérite d'avoir une fin sympathique. Merci monsieur Vinge, j'ai passé un bon moment en compagnie de vos «petites bêtes».
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L'étoile Marche-Arrêt est une curiosité spatiale : elle brille pendant 35 ans avant de s'éteindre pour 215 ans. Cette curiosité pousse deux civilisations humaines à monter des expéditions pour observer le phénomène. D'un côté, les Qeng Ho sont un peuple marchand qui a fait de l'univers son terrain de jeu. Espérant trouver des ressources à exploiter, les Qeng Ho sont cependant mis en concurrence avec les Emergents, un peuple guerrier qui vise la conquête de la planète. Rapidement, les Emergents prennent le dessus, éradiquant l'état-major Qeng Ho et transformant le plus gros de leurs troupes en Focalisés, c'est-à-dire en zombies concentrés uniquement sur leur spécialité. L'affrontement fait néanmoins des dégâts, et la double expédition en est réduite à attendre que les Araignées, hôtes de la planète Arachnia, atteignent un certain degré d'évolution technologique.

Tandis que les relations tendent à se normaliser entre les Qeng Ho, dominé,s et les Emergents, dominants, on suit l'évolution des Araignées. La narration se concentre sur le personnage de Sherkaner Underhill, véritable génie qui fait faire un bond à la technologie et permet aux Araignées d'envisager la vie durant la Grande Ténèbre, c'est-à-dire pendant le cycle de 215 ans durant lequel leur soleil est éteint. Mari de la chef des Renseignements, Victory Smith, Sherkaner oeuvre d'abord pour mettre fin à la guerre qui oppose son pays, l'Accord, aux Thiefs. La paix, toutefois, sera de courte durée sur Arachnia : face à l'Accord apparaît bientôt la Parenté ainsi qu'un troisième Etat, Terresud : entre les trois, l'équilibre est fragile et la menace de la guerre de plus en plus présente. La grande force du roman, concernant les Araignées, est précisément de les humaniser : dans les scènes et les dialogues, on imagine sans peine des humains : façon littéraire de focaliser le lecteur sur les personnalités des Araignées, et non sur leur apparence (on imagine difficilement la même chose au cinéma : la littérature dévoile ici l'un de ses pouvoirs).

Dans les ruines de la flotte humaine, les relations entre Qeng Ho et Emergents représentent le gros de l'oeuvre. Ce sont des relations de pouvoir, bien sûr, et de nécessité. Si loin de l'Humanité, les deux clans sont obligés de s'entendre et chacun doit faire des concessions. Toutefois, le pouvoir induit par la présence des Focalisés au service des Emergents fait de ces derniers les vrais maîtres du jeu. En tête, Thomas Nau, le Subrécargue, est aidé de Ritser Brughel et d'Anne Reynolt, dont la personnalité monomaniaque interroge et inquiète. Face à eux, Ezr Vinh est le descendant d'une illustre famille de Négociants Qeng Ho. Jeune apprenti au début du roman, il est choisi par Thomas Nau pour être le représentant des siens. A ses côtés, Qiwi Lisolet fait le lien entre Nau et les Qeng Ho puisqu'elle est la compagne du premier (lequel n'hésite pas lui laver le cerveau lorsque les doutes deviennent trop présents). Par ses compétences et ses origines familiales, Qiwi fait l'unanimité et adoucit la tyrannie des Emergents. Enfin, Pham Trinli est un vieux soldat dont les origines obscures nourrissent aussi une partie du roman. Il devient à son tour une figure de proue de la résistance des Qeng Ho, résistance qui vise surtout au sabotage des missions des Emergents.

Le roman met donc en place un jeu à trois. Dans chacune des deux races - Humains et Araignées -, des clans rivaux se distinguent et s'affrontent : les uns dans un huis-clos spatial (les Humains), les autres dans une sorte de remake de la Guerre Froide (les Araignées). La possession du savoir et le contrôle de l'information sont au coeur des relations de pouvoir, cependant que le caractère affectif qui unit les êtres entre eux passe souvent au deuxième plan des facteurs déterminants les actions.

Si Vernor Vinge interroge la notion d'altérité - comment ne pas se sentir plus proche de Sherkaner, pourtant une Araignée, que de Thomas Nau, un Humain ? -, il pèche cependant à cause de certaines longueurs et, surtout, d'un manque de relief. La narration est agréable, fluide même, et en décrivant pareilles portions de l'espace, Vernor Vinge inclut un peu de rêves dans ses pages. Mais le manichéisme ambiant (les gentils Qeng Ho, les méchants Emergents ; les gentils de l'Accord, les méchants de la Parenté ; le gentil Commerce ; l'affreuse Force Militaire) ainsi que quelques raccourcis éculés (le jeune prodige qui devient vieux fou, le double jeu de Nau, le happy end final ...) plombent l'impression générale. Enfin, si le langage est parfois difficilement compréhensible (ce qui, paradoxalement, entretient la crédibilité d'un livre de science-fiction, notamment dans la hard SF : cf. Charles Stross notamment), il n'y a pas de trouvailles particulières, rien qui distingue notre monde de celui d'Ezr Vinh (hormis les voyages dans l'espace, mais pour un space opera, c'est chose normale). Oeuvre et pas chef d'oeuvre, donc : Au tréfonds du ciel est une naine brune au firmament de la science-fiction.
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J'avais lu du même auteur l'excellent « Un feu sur l'abîme ».
Je retrouve ici un incroyable space opera sur le thème du contact.

Contact avec qui ?
Le contact des humains avec des araignées
Si cela vous rappelle l'excellent « Dans la toile du temps » de Adrian Tchaikovsky c'est normal.
Rassurez-vous, même si les contactant et les contactés sont de loin les mêmes espèces, la ressemblance s'arrête là

Contexte : Nous sommes au bas mot 1000 ans avant « Un feu sur l'abîme ». L'humanité essaime dans la galaxie à la recherche d'un contact avec des civilisations avancées, mais n'a pas encore établi de contact avec des civilisations galactiques.
Une étoile est la cible de toutes les convoitises : mystérieusement elle brille, puis s'éteint, puis se rallume.
Fait incroyable de la vie s'est développé sur la planète du système.
Une civilisation y vit façonnée par cette alternance de chaleur et de froid absolu.
Entre les commerçants du Qeng Ho et les émergents, une lutte va s'engager.
C'est un planète Opéra de premier ordre.
De bons ingrédients sont là :

* des humains en prise avec eux-mêmes (enfin la « faction d'en face »)
* des humains qui finissent en mode survie attendant la moitié du temps en hibernation
Attendant que les araignées évoluent suffisamment pour qu'ils puissent refaire les stocks, réparer les vaisseaux…
* Des araignées qui progressent à très grande vitesse. le roman nous place en effet juste au moment où l'hiver total qui règne sur la planète ne devient plus infranchissable. L'hiver n'est plus le grand nettoyeur qui remet le compteur des araignées à zéro.
* Un étrange pouvoir des émergents
* Des intrigues dans une base spatiale en orbite
* Des individus au passé énigmatique (et riche en surprises)
* Des araignées à la fois si différentes et si humaines (mon seul bémol : un peu trop humaines) En fait, les travers et qualités des araignées auraient pu être plus différents de nous (« Dans la toile du temps » est meilleur de ce point de vue)
* Ce sont les humains qui sont le plus fascinants. Les émergents et leur focalisation font froid dans le dos.
* un rythme soutenu emmené par un double jeu humains/araignées des enjeux de plusieurs niveaux (personnels ou concernant tout le groupe)
* Beau dénouement (ne pas spoiler)

La narration se concentre sur quelques personnages que l'on suit de bout en bout (merci le cryo sommeil).
Ainsi le récit se fait fort de franchir de grandes périodes temporelles en gardant les mêmes protagonistes (c'est mieux).

En conclusion

Si l'élévation d'une société d'araignées vous intéresse alors « Dans la toile du temps » est recommandé.
Sinon « Au tréfonds du ciel » reste un excellent planète opéra.
Lien : https://post-tenebras-lire.n..
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Au tréfonds du ciel est un roman de science fiction qui se déroule 1000 ans avant Un abîme sur le feu. Un étoile qui s'allume pendant 35 ans tout les 235 ans et une planète noire aux nervures grises et blanches aux océans miroirs attire la curiosité des Emergents et des Quang Ho.

Du Planet opéra sur Arachnia, du hard science-fiction (pas de vitesse FTL), des déplacements onéreux et longs (Même quand il s'agit de déplacements entre Arachnia et ses orbites), des sommeils cryostatiques (qui peuvent durer de longues années). Et du militaire (Les Emergents).

Le livre connaît un petit creux au milieu mais avec votre volonté, vous mériterez cette fin épique dans une course contre la montre bien ficelée.

La race Arachnide est racontée de façon "humaine" (peut rebuter certains) mais n'enlève en rien à la qualité des intrigues qui se déroulent Arachnia avec les 3 puissances qui y cohabitent pas forcément de manière très amicale.

Pham toujours est aussi charismatique que dans Un abîme sur le feu avec d'autres nouveaux protagonistes tous aussi intéressants les uns et les autres.

L'intrigue ne vous laissera pas au bout des surprises. Des crimes, trahisons, poursuites, espionnages, sabotages, tortures, etc... seront au menu. Mais avec peut-être moins "d'intensité" que dans Un abîme sur le feu (c'est un ressenti).

Rassurez-vous qu'on ne s’ennuie pas. C'est juste un peu plus gentillet, peut-être du fait comme cité auparavant, les araignées sont "humanisés". Les créatures de Un abîme sur le feu avaient un aspect agressif et en fonction du nombres de leurs acolytes et de leurs communications très spéciales qui se faisait par ondes, les possibilités étaient infinies et originales rendant même les choses plus dynamiques. Les araignées n'ont pas ce côté-là du coup les rendant plus lisses, plus humains. En revanche, l'intrigue sur Arachnia les mettront mieux en valeur leurs spécificités (Planète froide, Enfouissements souterrains, etc...).

La singularité est probablement absente (ce qui faisait son charme dans Un abîme sur le feu) à cause du fait que la trame se déroule 1000 ans avant. L'AI étant absente, les Emergents avaient trouvé un moyen d'intégrer des humains sous SIDA mental devenant ainsi des focalisés, des spécialistes de différents postes (pilotage, armement, etc... tout ce qui peut être automatisé). En gros, l'ancêtre de l'IA en quelque sorte. Ils sont communément appelés des zombies dans le livre. Vinge a su superbement exploiter ce filon et évitant ainsi une répétition d'usage de l'IA dans ce diptyque.

Mention spéciale aux localisateurs, technologie mise au point par les Queng ho cruciale dans l'intrigue. Utilisés à des fins d'espionnage, de surveillance. Encore une fois, une originalité magistralement maîtrisée par Vinge.

Au risque de me répéter, vous ne serez pas au bout des surprises. Vinge fourmille pleins d'idées comme Sherkaner Underhill, une araignée dans le livre. Et si vous les découvriez par vous-même ?

Merci Monsieur Vinge pour ce grand moment de lecture.
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Citations et extraits (18) Voir plus Ajouter une citation
L'emprise commerciale des Qeng Ho avait quatre cents années-lumière de diamètre ; ils maintenaient une présence technologique continue depuis des milliers d'années. Les Qeng Ho avaient détecté des traces de civilisations non humaines situées à des milliers d'années-lumière de distance — des millions, dans la plupart des cas, éternellement hors de portée du contact direct ou même de la conversation. Les Araignées n'étaient que la troisième espèce intelligente non humaine jamais physiquement découverte : trois en huit mille ans de voyages spatiaux humains. L'une était éteinte depuis des millions d'années ; l'autre n'avait pas atteint le niveau de la technologie machinique, et encore moins celui de l'exploration spatiale.
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son dernier gribouillis fut pris pour du délire ou une métaphore par ceux qui trouvèrent dans la pierre ses paroles gravées au-dessus de leur profond : « et l’air sec se change en givre « .
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Elle nous a échappé parce que certains idiots sont très difficiles à sous-estimer.
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La planète des Araignées – que d’aucuns appelaient maintenant Arachnia – avait douze mille kilomètres de diamètre, avec une pesanteur à la surface de 0,95 g. L’intérieur du globe consistait en roches non différenciées, mais la surface était enveloppée d’assez d’éléments volatiles pour former des océans et une atmosphère hospitalière. Une seule chose empêchait ce monde d’être un Éden à l’image de la Terre : l’absence de lumière solaire.

Il s’était écoulé plus de deux cents ans depuis que l’étoile MarcheArrêt, le soleil de ce système, était entrée dans sa phase  Arrêt .
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Portée par les spores , la vie se répend rapidement , déchirée par les tempêtes pour recommencer sans cesse à germer .
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Video de Vernor Vinge (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Vernor Vinge
7 févr. 2011 Qu'est-ce que la Singularité Technologique ? Vernor Vinge, qui a inventé le terme, parle de l'évolution technologique rapide, du déchargement de notre intelligence sur l'environnement et du potentiel impressionnant de l'intelligence artificielle forte qui, selon lui, culminera dans la singularité technologique d'ici 2023.
"D'ici trente ans, nous aurons les moyens technologiques de créer une intelligence surhumaine. Peu de temps après, l'ère humaine sera terminée." - "La singularité technologique à venir" de Vernor Vinge, 1993
Vernor Vinge a popularisé et inventé le terme "singularité technologique" dans son essai de 1993 "The Coming Technological Singularity", dans lequel il soutient que la création d'une intelligence artificielle surhumaine marquera le point où "l'ère humaine sera terminée", de sorte que aucun modèle actuel de la réalité n'est suffisant pour prédire au-delà. Vinge a publié sa première nouvelle, "Bookworm, Run!", Dans le numéro de mars 1966 d'Analog Science Fiction, puis édité par John W. Campbell. L'histoire explore le thème de l'intelligence augmentée artificiellement en connectant le cerveau directement à des sources de données informatisées. Il est devenu un contributeur modérément prolifique aux magazines SF dans les années 1960 et au début des années 1970. En 1969, il a développé deux histoires connexes ("La princesse barbare", Analog, 1966 et "L'histoire de Grimm", Orbit 4, 1968) dans son premier roman, Grimm's World. Son deuxième roman, The Witling, est publié en 1975.
Vinge s'est fait connaître en 1981 avec sa nouvelle True Names, peut-être la première histoire à présenter un concept pleinement étoffé du cyberespace, qui sera plus tard au cœur des histoires cyberpunk de William Gibson, Neal Stephenson et d'autres.
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