AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,44

sur 206 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Si l'auteur était un journaliste de gauche, on dirait qu'il est "engagé". Mais comme il est de l'autre bord, on le dit "controversé", bien sûr. Les circonstances ont éveillé ma curiosité pour son dernier livre : censure du CSA, rumeurs de candidature aux élections de 2022, etc... A la lecture, on ne perçoit pas une grande différence entre les commentaires oraux de l'homme de télévision (je ne connais pas le journaliste de presse écrite) et le style de l'écrivain : les idées, les informations, les remarques sont sensiblement les mêmes, et je ne sais pas si Eric Zemmour écrit comme il parle ou parle comme il écrit. La langue est correcte, le texte émaillé de citations, et la syntaxe d'une pauvreté commune à tous les journalistes prosateurs, même si l'auteur a lu plus de livres que tous ses collègues réunis. La culture dont on le crédite est peu classique : c'est une culture d'homme de médias, sans hiérarchie, sans sélection ni degrés, où les grands auteurs sont mêlés à des réalisateurs français de cinéma commercial, aux matches de football et à des chanteurs de variétés. Ce livre serait insupportablement dans l'air du temps (un temps qui oublie Baudelaire, Flaubert et Dante pour célébrer Belmondo) si les idées qu'il expose, sous la forme banale et plate d'un journal personnel, à la première personne et au présent, n'étaient intéressantes à repérer et à discuter. Ces idées-là, que l'auteur a exprimées avec éloquence sur les chaînes de télévision, perdent un peu à être écrites.


Les jugements d'Eric Zemmour mériteraient tous les reproches qu'on leur fait, si leurs contradicteurs étaient crédibles. Si les mouvements féministes défendaient vraiment les intérêts des femmes, il serait criminel de les critiquer ; si les lobbys antiracistes agissaient réellement pour le bien des minorités raciales persécutées (à supposer qu'elles le soient en France), on aurait tort de se plaindre d'eux ; et enfin si les groupes de pression LGBT profitaient vraiment aux minorités sexuelles souffrantes, on pourrait rejeter cette prose avec indignation. Mais l'intérêt de ce livre, entre autres, est de montrer que tous ces groupes hystériques n'ont cure des "victimes" à qui ils volent leur cause et leur nom pour s'en faire une noble draperie. Ce qui est visé, c'est le contrôle, le pouvoir, la domination ; non la réparation et la disparition des injustices, mais l'occasion d'oppresser et d'écraser notre peuple au nom de slogans indiscutables. Et le journaliste Eric Zemmour, qui connaît ou a connu tout le monde politique, nous raconte au fil des pages ses rencontres et ses dialogues avec les oppresseurs professionnels que sont les politiciens de sa génération, sur le point de céder la place aux nouveaux maîtres.


Si l'on avait encore des illusions à perdre concernant certains politiciens, l'auteur ne nous surprendra pas sur la caste journalistique à laquelle il appartient. Une remarque en passant m'a semblé très importante, à propos de la fermeture des comptes Twitter et autres de Donald Trump, et de l'interruption par certaines chaînes de télévision de son dernier discours : "Pour réussir un coup d'Etat, les putschistes souvent galonnés se devaient jadis de prendre d'assaut la télévision. Aujourd'hui, c'est la télévision qui prend d'assaut la parole présidentielle. Jadis, c'était le pouvoir exécutif qui censurait le contre-pouvoir médiatique. Désormais, c'est le contre-pouvoir médiatique qui censure le pouvoir exécutif. le contre-pouvoir est devenu le pouvoir." (p. 328) Ces lignes lucides écrites par un journaliste me semblent résumer à merveille la répartition des forces politiques de notre temps.


Donc, la lecture de cet ouvrage, malgré son titre encourageant, est désespérante. La galerie de portraits de traîtres, de lâches et de vendus, sans parler des médias, que le journaliste Eric Zemmour a croisés au cours de ces dernières années, montre assez clairement que nos "élites" nous ont livrés au djihad. "Nous autres civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles", écrivait Valéry en 1919. Mais l'auteur garde espoir et croit qu'une action est encore possible.
Commenter  J’apprécie          350
Éric Zemmour veut-il tenter l'aventure présidentielle, avec les obstacles inhérents à une telle décision ? Celles et ceux qui cherchent une réponse dans ce livre seront sans doute déçus car, à défaut d'un programme politique, l'auteur y poursuit ses observations du Suicide français, de l'année 2006 à nos jours, pour dresser un bilan de la France des dernières années. Bilan qui s'achève sur un constat implacable : « Nous devons nous battre sur tous les fronts. Pour sauvegarder notre identité et rétablir notre souveraineté. Tous ces combats sont liés. »

Une France qu'il compare au Kosovo ; une France qui se déteste un peu plus chaque jour, au point que la recherche elle-même est conditionnée aux désidératas idéologiques des nouveaux maîtres et non plus à la raison.

Et l'auteur de rappeler les déboires du médiéviste Sylvain Gougenheim avec son livre « blasphématoire » Aristote au Mont Saint-Michel, qui postulait que la culture européenne s'était construite essentiellement sans l'islam. Horreur, car dans la nouvelle France déracinée on peut être condamné pour de tels propos, « non parce que cela est faux, mais parce que cela ne se dit pas, ne se pense pas »…

Éric Zemmour, journaliste politique d'expérience, raconte surtout ses rencontres avec les figures politiques des cinquante dernières années, saupoudrant çà et là son texte d'anecdotes qui montrent à la fois la versatilité des uns et des autres – lire à ce propos le très édifiant portrait de Jacques Toubon – mais encore leur égotisme, bien plus pathétique que stendhalien !

Il y aussi les hommages, dont celui – mérité – rendu au cinéma de Gérard Oury, et particulièrement cette phrase : « Oury est au cinéma ce que De Gaulle fut à la politique : le grand réconciliateur. » Un autre hommage touchant est celui adressé à Philippe Séguin, décédé en 2010.

Comme dans ses ouvrages précédents, l'auteur revient sur ses sujets de prédilection. Une pensée toujours aussi aiguisée – même si je trouve ce livre bâclé – passe ainsi en revue la société française depuis 2006. On regrettera toutefois les sempiternelles sorties un tantinet misogynes sur les femmes – une obsession zemmourienne. de la même manière, l'auteur égratigne – avec raison – le « clergé non élu de juges et journalistes », qui tiennent respectivement « le marteau judiciaire » et « l'enclume médiatique ».

Parfois il se méprend tout de même, entre autres lorsqu'il fait des suppositions hasardeuses, notamment à propos des enfants juifs massacrés par Merah et qui ont été enterrés en Israël. La réponse est pourtant évidente : leurs familles voulaient éviter que les tombes de ces martyrs innocents ne soient profanées. C'est pourquoi je trouve cette phrase, qui vise à la fois le tueur – dont je me félicite qu'il ne soit pas enterré en France ! – et ses victimes, particulièrement fausse et déplacée : « Étrangers avant tout et voulant le rester par-delà la mort. »

Et puis il y a cette phrase proprement injuste et fausse : (Éric Zemmour parle de Johnny Hallyday) « On imagine qu'il n'avait que mépris pour ceux qui l'adulaient. » À force d'avoir subi l'opprobre, l'auteur semble ne plus voir que le mal et la duplicité partout. de plus, je pense que cette phrase lui coûtera cher. L'avenir le dira…

Mais le sens de l'analyse est là, étayé par des révélations piquantes qui lèvent le rideau sur la politique de renonciation des pouvoirs publics ; dont cette phrase lapidaire de Jean-Louis Borloo lancée à l'intéressé au cours d'un repas (il y en a beaucoup dans ce livre) : « Tu sais, avec ces 40 milliards [dans le cadre du “plan pour les banlieues”], j'ai retardé la guerre civile de dix ans. »

Il y a aussi l'évocation émue de Charlie : « Charlie Hebdo, c'était l'esprit soixante-huitard qui ne voulait pas mourir. Un esprit de 68 dont j'étais devenu, avec mon Suicide français, un des plus vibrants contempteurs ; mais dont je me souvenais en ce moment précis qu'il avait fait la joie de ma jeunesse rebelle et avide de liberté. Les hommes ne sont pas faits d'un seul tenant. » Étonnant, à ce propos, qu'il ne s'attarde pas sur les attentats du 13 Novembre à Paris et du 14 Juillet à Nice, les deux plus effroyables massacres terroristes sur le sol français.

Côté immigration massive, et même s'ils fuient la guerre, Zemmour répond : « En 1914, les Français envahis du nord et de l'est de notre pays ont-ils fui vers l'Amérique ou l'Afrique ? En 1940, les populations de l'exode sont-elles sorties de nos frontières ? »

Publié dans une certaine urgence – l'auteur ayant été lâché par son éditeur Albin-Michel –, le livre pèche – et non « pêche », comme on peut le lire en première page – çà et là au niveau des erreurs et approximations. Par exemple, l'empire romain d'Orient (ou Empire byzantin) n'est pas tombé il y a mille ans entre les mains de l'islam mais en 1453, avec la chute de Constantinople. Pas plus que l'Égypte n'est devenue musulmane il y a cinq cents ans, mais depuis le VIIe siècle ; toutes choses que l'auteur sait cependant parfaitement pour en avoir maintes fois parlé.

Là, il est question des « ors chargés d'histoire millénaire du Louvre ». Pas vraiment, non, car le bâtiment dont parle l'auteur – l'ancien ministère de l'Économie et des Finances – est l'aile Richelieu, construite sous le règne de Napoléon III. Quant à la partie la plus ancienne du Louvre – dont les fondations sont visibles dans les sous-sols du musée – elle date de Philippe-Auguste, ce qui ne fait toujours pas millénaire.
Plus loin on lit : « Je découvrais le balcon duquel Lamartine avait salué la foule après l'avoir dissuadée de troquer le drapeau rouge pour le tricolore. » C'est exactement le contraire : Lamartine refusait le « drapeau du sang », le rouge en l'occurrence.

S'agissant des obsèques de Jacques Chirac – personnage dont l'auteur se souvient à la manière de Georges Pérec –, elles ont eu lieu, à Paris, en l'église Saint-Sulpice – après une cérémonie intime en la cathédrale Saint-Louis-des-Invalides – et non à La Madeleine.

Sur le plan de la littérature, dans l'Éducation sentimentale, de Flaubert, Madame Arnoux revient à Frédéric. Et si la « belle » ne se s'abandonne finalement pas à « ses coupables ébats », ce n'est pas à cause de son fils malade :
« Frédéric soupçonna Mme Arnoux d'être venue pour s'offrir ; et il était repris par une convoitise plus forte que jamais, furieuse, enragée. Cependant, il sentait quelque chose d'inexprimable, une répulsion, et comme l'effroi d'un inceste. Une autre crainte l'arrêta, celle d'en avoir dégoût plus tard. D'ailleurs, quel embarras ce serait !, − et tout à la fois par prudence et pour ne pas dégrader son idéal, il tourna sur ses talons et se mit à faire une cigarette. »

Quant à Jean-Pierre Marielle, il n'a jamais incarné le « marquis de Queffélec » dans le fim de Bertrand Tavernier Que la fête commence, mais le marquis de Pontcallec.

Pourquoi une telle énumération de ma part ? Parce que j'attendais plus de rigueur de la part d'un auteur pétri de culture. Parce que ce livre a été écrit trop vite et ne reflète en rien la rigueur à laquelle Éric Zemmour – qu'on l'apprécie ou non, ce n'est pas la question – nous avait habitués.

Enfin, que l'auteur prenne garde à ne pas devenir ce qu'il reproche à certain dans ce même livre : « Il s'écoute parler et se regarde briller avec un contentement de soi qu'il ne parvient pas à dissimuler. »

(PS: je salue ici-même l'auteur pour sa compassion à l'égard des Gilets jaunes)
Commenter  J’apprécie          225
J'ai lu ce livre et, bien qu'en complet accord avec l'auteur, je l'ai refermé avec un goût de deception. Je n'ai que très peu lu les critiques écrites par les lecteurs de Babelio et d'ailleurs aussi d'ailleurs ! Et pour cause, trop de cerveaux lobotomisés par la doxa ambiante vomis par les propagandistes du service publics ou venu d'autres horizons m'en ont dissuadé. Quelques critiques intelligentes, constructives, motivés m'ont rassuré aussi quand même mais elles sont trop, beaucoup trop minoritaires...! Et tant pis à ceux à qui mes propos ne plaisent pas! Mais je reviens à l'ouvrage qui m'a déçu ou moi-même ai "loupé" quelque chose...?
- Je n'ai pas vu le rapport entre le titre et le contenu. Une suite de déjeuner avec des personnalités du monde politico-médiatique et les réflexions personnelles qu'il en retire vient en quoi justifier ce titre ? Peut-être parce qu'un lecteur/électeur peu au fait de notre classe politique (Très naïf quand même...) découvrirait par ce prisme, la fatuité, parfois l'incompétence, voir les mensonges trop souvent soigneusement colportés par les médias ? Alors sous ce côté-là, peut-être effectivement. En fait, seule la conclusion justifierai, en ce qui me concerne, ce titre. Pas inintéressant certes mais oui, déçu car je m'attendais à du plus "lourd", du plus "consistant". Toutefois, son discours de Villepinte puis différentes intervention m'on rassuré à ce sujet.
Commenter  J’apprécie          72
J'ai lu le dernier livre d'Eric Zemmour... tout en songeant avec amusement aux réactions diverses que cela peut provoquer au sein de mon entourage mais peu importe, je préfère autant découvrir Zemmour à travers ses livres et son discours plutôt que de me faire un unique avis en me basant sur le discours des supporters pénibles de la bienpensance catégorisant directement Zemmour et ses sympathisants comme une horde de fachos et de racistes. Des termes qui sont avant tout usités pour tenter de couper court au débat lorsque la doxa rencontre un mur.
Je le reconnais , je suis fasciné par Eric Zemmour, sa passion pour ce pays, cet amour pour la culture française qui fait tout simplement du bien, loin du misérabilisme, de la faiblesse ou de la culpabilité qu'on cherche à souvent imposer à la France.
Quoi qu'on en pense, pour moi Zemmour fait partie de ses actuels candidats qui possède un vrai sens du patriotisme même si je suis loin d'être d'accord avec certaines de ses idées. C'est un outsider qui bouscule l'habituel schéma droite-gauche, gauche-droite en imposant une volonté conservatrice dans le bon sens du terme mais restons focus sur ce livre qui est sorti à point nommé...

En effet, s'il n'avait pas annoncé sa candidature à ce moment-là, La France n'a pas dit son dernier mot possède l'allure d'un livre politique engagé avec en première couverture Eric Zemmour qui impose sur fond de drapeau flottant. L'image même d'une affiche de candidature, il ne faut pas se leurrer.

Côté contenu, le livre surprend un peu dans la forme puisqu'il ne se déroule pas comme un essai politique structuré mais comme un recueil d'observations, de discussions, de petites anecdotes et de témoignages que l'auteur a réuni depuis 2006 jusqu'en 2020. C'est un peu décousu au départ et la forme est un peu répétitive avec le journaliste qui pose souvent le même cadre du diner parisien un peu bourgeois. Qui sait ? Cela permet aussi de donner de la saveur à ces observations qui sont relatés dans le domaine de la sphère du privé même si on peut être lassé devant ce déroulé du guide michelin très parisien...

Durant ces diners, Eric Zemmour joue le rapporteur piquant en mettant le "poing" sur des répliques significatives de la part de politiques qui cachent bien leur jeu en public. Hypocrisie, opportunisme, pusillanime, les portraits que dressent Zemmour sont implacables et emmenés par son verbe tranchant et narquois. Zemmour écrit comme il parle. Toutefois, entre ses quelques observations critiques, l'auteur délivre aussi quelques hommages un peu plus mélancolique à certaines figures comme l'historien Max Gallo décrit comme "un chêne abattu", la gouaille de l'acteur Jean-Pierre Marielle ou encore la (trop) discrète disparition de Valérie Giscard d'Estaing dont Zemmour ne tarit pas d'éloges sur son intelligence. Il revient aussi sur quelques épisodes marquants de sa carrière, ses confrontations mémorables durant les émissions télévisées sans non plus s'y attarder longuement. L'auteur dépeint aussi la réalité opportuniste qui se cache derrière les émissions télévisées avec notamment un portrait implacable de l'hypocrite Ruquier. Forcément, La France n'a pas dit son dernier mot va va de pair avec Zemmour n'a pas dit son dernier mot. Ainsi le candidat se donne parfois un peu trop des airs d'observateur clairvoyant avec des journalistes ou des politiciens qui lui donnent discrètement raison dans l'ombre. Forcément, Zemmour se met aussi un peu en scène dans ses observations à tel point que l'on se demande si il ne se compare pas justement à cet "homme " providentiel comme il le déclare dans une conclusion qui ne laisse pas de doute quand à son engagement.
A travers ses observations, Zemmour poursuit le constat de cette France qu'il a entamé avec le Suicide Français avec une note d'espoir plus prononcée et une sérieuse envie de résistance !
Commenter  J’apprécie          50
Ce livre ne contient pas d'analyse sur aucun des sujets chers à E.Zemmour. Il reprend des morceaux de vie choisis depuis 2006 jusqu'à nos jours. On y retrouve des réflexions personnelles, mais aussi des rencontres avec des personnalités politiques, des journalistes, ....
On s'attend à lire un programme politique, puisque l'auteur s'est invité dans la campagne présidentielle (qu'il soit candidat ou non). On s'attend à une lever de voile sur les motivations de Zemmour....Or, à part quelques phrases où l'on devine que Zemmour se voit comme un Trump à la française, contre l'état profond, contre le sérail des énarques et oligarques français..il n'y a rien de tout cela. Ce livre n'est pas le suicide français, mais plutôt un quinquennat pour rien.
On y retrouve bien évidemment des références culturelles (on connaît la culture de l'auteur et ses écrivains favoris : Renan, de Tocqueville, Levi-Strauss, P.Gouguenheim..) mais, j'insiste, rien de très profond.
Je reste donc sur ma faim.
A vrai dire, en toute objectivité, ce livre pourrait n'être un blog.
L'auteur a fait mieux...peut-être est-ce pour financer sa campagne ? Je n'irai pas plus loin à ce sujet, je ne fais pas de politique sur Babelio ;-).
Commenter  J’apprécie          41
Lorsque ce livre est sorti en 2021, tout le monde se l'arrachait. Il manquait dans les librairies et des réimpressions ont été effectuées un peu partout.
Tenant compte de ces paramètres, je me suis procurée cet ouvrage mais j'ai finalement été déçue. Je m'attendais à un chef d'oeuvre et ce n'était finalement qu'une série de petites anecdotes, que l'auteur a vécues avec d'autres personnalités politiques mais rien d'exceptionnel.
J'ai pour habitude de toujours donner une note maximale aux livres que je lis, car on aime ou on n'aime pas, mais cela ne veut pas dire que l'auteur ou écrivain manque de talent.
En général !
Pas cette fois !
Car non seulement je n'ai pas trop apprécié le contenu, mais je trouve que sincèrement, j'ai du mal à comprendre un tel engouement, au point qu'il y ait eu des ruptures de stock dans toutes les librairies de France et de Navarre, et même sur Amazon.
Je ne regrette pas de l'avoir lu mais ça ne valait pas tout ce tintamarre médiatique.
Commenter  J’apprécie          31


Lecteurs (407) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (5 - essais )

Roland Barthes : "Fragments d'un discours **** "

amoureux
positiviste
philosophique

20 questions
853 lecteurs ont répondu
Thèmes : essai , essai de société , essai philosophique , essai documentCréer un quiz sur ce livre

{* *}