Citations de Andreas (146)
Content de vous revoir ! J'aurais besoin d'un coup de main dans une affaire plutôt périlleuse.
Il vient du fond de l'océan. Ça se passe quelque part dans l'Atlantique pendant plusieurs nuits. Des pécheurs remarquent d'étranges lumières. Au début, personne ne prend leur récit au sérieux. Mais après quelques mois et devant l'insistance de leurs affirmations, une petite station de recherches maritimes dépêche un navire d'exploration sur place. Les lumières s'étant à nouveau manifestées - cette fois-ci sous les regards scrutateurs de plusieurs chercheurs - on descend un bathyscaphe capable de supporter les pressions formidables des grandes profondeurs. Or, contrairement à toute attente, plus la capsule étanche plonge vers le fond marin, plus la température de l'eau augmente, chaleur qui émane d'un objet à la luminosité blanchâtre. Grâce à de grandes pinces d'acier et de câbles solides, le bateau remorque la chose trop brulante pour être hissée à bord. Le navire n'atteindra jamais son port d'origine. Coulé corps et biens, probablement par un vaisseau du Dispositif, il disparait sans trace. L'objet refait surface peu de temps après, dans cette base souterraine.
Ce sont les déçus, les rejetés, les laissés-pour-compte de ces temps difficiles. Mais au lieu de dériver sur le fleuve chargé des débris de l'effondrement de notre ère, ils nagent à contre-courant. Ce sont les expatriés du Soleil et de la Lune, du ciel et de la lumière. Ils vivent là où le monde extérieur ne peut leur nuire. Dans les égouts et tous les autres passages creusés à travers les siècles par les hommes qui peuplaient ces lieux avant nous. L'homme jaune, l'homme noir, l'homme blanc, l'homme rouge et… d'autres avant eux.
Alors, dans l’ordre : coiffure ? Envie de changer. Lunettes ? Depuis que l’homme aux mains tatouées m’a touché, ma vue est redevenue parfaite, un peu trop même. Ma présence, ici, maintenant ? Un incident curieux s’est produit il y a quelques semaines. Je lisais, entouré de quelques-uns de mes livres, quand l’un d’entre eux s’est mis à émettre une luminosité rouge. Je l‘ai ouvert, feuilleté, jusqu’à ce que je tombe sur un passage souligné. Le passage parlait de cet endroit, de ces date et heure. Donc, j’ai pensé que cela valait la peine de venir ici ce matin. Et effectivement… Vous voici maître !
Nous luttons contre la fatalité. L’être humain est libre de choisir. Rien n’est écrit. Rien n’est déterminé d’avance.
Je croyais avoir pris le contrôle de mon songe. Mais les pensées sauvages qui traversent notre esprit vont où leur instinct les pousse, et non là où nous voudrions qu’elles aillent.
Un Capricorne est lié à la ville de New York. D’une certaine manière, il la protège. Là où le justicier défend la veuve et l’orphelin dans les rues de la ville, un Capricorne prend soin de l’esprit, de l’âme même de New York. Il se fait rempart contre toute attaque invisible, mais pourtant bien réelle.
Quelques jours plus tard, des gens avaient commencé à rapporter des livres trouvés un peu partout dans la ville. Cela avait sorti Astor d'une stupeur presque comateuse. Cap avait d'ailleurs entrepris la reconstruction de la bibliothèque et les travaux avançaient rapidement.
Parce que ça milite pour une grande cause, ça s'imagine pouvoir se passer d'argent.
- J'en ai par-dessus la tête !!
- Occurrence probablement fréquente, vu votre taille.
Je reconnais dans les dessins de vieilles légendes qui se racontent dans mon peuple depuis des siècles. Voilà Moodt et son compagnon Torrg avant leur rencontre. Et là, l'être censé naître de leur jonction. La pierre elle-même semble avoir des racines qui puisent l'énergie au centre du monde.
Souvenez-vous ! Un de nos chercheurs !! Tombé dans le coma après avoir manipulé l'Objet ! Il vient d'être touché par des câbles de haute tension. Il devrait être mort, à l'heure qu'il est. Au lieu de cela, il a sauté par la fenêtre de sa chambre et s'est évanoui dans la nature. Il serait un sujet d'étude fantastique pour les savants du Dispositif. Il me suffirait de quelques hommes…
C'est dans ma ruelle où je dors. Il y a les meilleurs cartons. On dort bien. Si un jour vous savez pas où aller, c'est là qu'il faut venir. Je me réveille et y a ce chat. D'abord, je le vois pas bien. Pis, il vient vers moi. Y m'aiment bien les chats ! Et là, je le vois mieux, et il est tout blanc et lisse. Comme de la porcelaine dans les vitrines des magasins chers. Il fait chaud, d'un coup. Je tends mes mains au chat e il vient3 quand je le touche, c'est comme du fer chauffé à blanc. Du coup, mes mains brûlées se couvrent de ce truc vert ! alors, ça fait moins mal, mais mes mains y fonctionnent plus. Et pis là, voyez, ça avance le long des bras. Je sais pas ce que ça va me faire, mais j'ai pas peur, docteur ! le chat, il est parti dans le terrain vague derrière ma ruelle. Pis, je sais plus…
Je suis à ma place. Je dirige mon destin. Je suis Capricorne.
L’endroit avait-il une signification spéciale pour moi ?
Leur élément ne l’est pas.
Ce n'est pas une question d'âge. L'important, c'est de faire des choses, de vivre. Attendre sa voie ne sert à rien. Il suffit juste d'être prêt au moment où on la trouve. À n'importe quel âge ! Si on attend, on n'aura que des regrets à la fin.
Ne jamais, vous m’entendez ? JAMAIS, changer ce qui s’est passé ou ce qui va se passer. Le temps est une dimension très dangereuse. Touchez au temps et vous risquez de détruire l’univers.
Je me suis levé tôt pour faire une petite promenade matinale. J’ai dû perdre la notion du temps au milieu de toute cette richesse bucolique.
Agissements ? Je n'agis pas ! Je ne prends aucune initiative ! Je suis le prince du temps ! J'attends. J'attends que les hommes engendrent les choses, et ils ne me déçoivent jamais. Chacun d'entre eux met un jour le pied dans mon domaine, même le plus saint à son moment d'égarement. Mais dès que je repère la faute, je la nourris, la cultive. C'est l'homme lui-même qui s'inflige les blessures. Moi, je n'y ajoute qu'un peu de sel. Tant que personne ne cherche à rompre l'équilibre, mon rôle est juste de laisser faire.