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Citations de Andreas (146)


Je viens du pays des dieux. D'Argentine. Là où le soleil est une orange géante et où le ciel est si vaste qu'il est un reflet du paradis.
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Toute influence est immorale.
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Cromwell Stone s'avère vite bien moins simple qu'il en a l'air.
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Notre corps est une fleur qui s'épanouit quelque peu puis se flétrit.
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– Il faut assainir l'Espagne, je suppose, lâcha Falcó pour le sonder, en le regardant de côté.
– Je préfère l'assainir sur le front. Ce que nous voyons là pue la revanche et l'ignominie.
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-J'ai appris à me méfier de tous le monde.
-Dangereux, ça ! On voit le monde en noir et blanc et on fait le vide autour de soi. C'est la porte ouverte aux extrêmes...
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Bien sûr, nous ne le savons tous que trop bien à présent, et ce n'est pas fait pour nous rassurer, à l'image de cette chose indicible qui a laissé sa trace dans nos esprits, et s'est ensuite évanouie dans la nature...
Qui sait, peut-être disait-il vrai, ce jeune matelot ivre qui prétend l'avoir vue sortir des égouts pour disparaître dans les eaux troubles de la baie...
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La folie, elle aussi, est une sorte de passage. Je ne sis vers quoi, mais ne sommes-nous pas toujours attirés par l'inconnu ?

(page 47)
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Mes parents étaient les gardiens de cet ouvrage très particulier. Entre de mauvaises mains, il pourrait déclencher dans la réalité, tout ce qu’on a vu dans l’autre monde. Une vraie boîte de Pandore. […] quand ma mère est décédée, j’ai ouvert ce livre. Le texte me demandait de chercher le prochain gardien à New York. Comme par hasard, je suis de suite tombé sur vous, Astor. Mais il a fallu qu’on vive toutes ces choses incroyables pour qu’enfin je vous trouve. Je ne me suis jamais senti appelé. J’ai fait le messager, l’astrologue, l’aventurier, et finalement celui qui vous montrait ce qui pouvait arriver. Mais vous, Astor, vous saviez toujours qui vous étiez. Vous n’aviez jamais dé vié de ce chemin que vous saviez le vôtre.
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On a ramené le chat dans le monde réel, mais il est retourné dans l’autre monde. Cela a créé une boucle temporelle. Il a dû mal fonctionner là-bas. Je ne vois pas d’autre explication. Quelque chose a changé dans l’autre monde, et donc Astor n’est pas revenu. Mais alors, pourquoi êtes-vous toujours ici Capricorne ?
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On a analysé les notes que Zarkan a prises chez le passager. Et on les a comparées avec certains grimoires dans la bibliothèque d’Astor. C’est inquiétant ! Les machines du Passager, dont on sait qu’il en a volé les composants dans un vaisseau intersidéral échoué, ces machines font partie d’un ensemble plus vaste. Un système complexe qui devait servir à guider le vaisseau à travers le cosmos, soit à franchir des portes, réelles ou mystiques. Ou les deux, ou alors aucune de ces fonctions, mais quelque chose d’encore plus subtil qu’il nous est impossible à imaginer. Plus étrange encore : les pierres d’apocalypse jouent un rôle actif dans cette structure compliquée. On sait qu’elles ouvrent des passages vers d’autres dimensions. Le fait que les pierres aient été sculptées il y a des siècles, mais que le vaisseau intersidéral ne se soient écrasé que bien plus récemment, montre que ceux à qui appartenaient la structure n’ont pas la même notion du temps que nous. Tôt ou tard, ils voudront récupérer leur bien et ni le Passager, ni qui que ce soit d’autre ne pourra leur barrer le chemin.
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New York se dotait d’un Capricorne quand elle en avait besoin. Elle pouvait rester sans lui durant des siècles. À la seconde où la nécessité se faisant sentir, elle choisissait son défenseur, son champion sans âge.
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La paix de l’âme. Je peux peut-être vous aider à la trouver.
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Vous Cap, vous donnez. Lui, il prend.
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Ça y est, je suis de retour. À New York. New York réparée, New York entière. Apparemment les choses ont repris leur cours. Tout est redevenu normal. Les machines fonctionnent. Les lignes de communication sont rétablies. Tout va bien. Apparemment. Mais vu de près ? Des détails. Pas tout à fait à leur place. Pas tout à fait dans l’ordre. Pas tout à fait. Comme des petits malaises. Pas un grand malaise, mais des petits, ici et là. J’ai des choses pas faciles à dire à Ash. À Astor. Et à Fay. Pour réunir les deux moitiés de New York, j’ai passé un marché avec Dahmaloch. Ila respecté son engagement. À moi maintenant d’honorer le mien. J’ignore combien de temps je serai absent. Ou même si je reviendrai du tout. Ce qui m’a obligé de me trouver un remplaçant.
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Vous vous rendez compte ? Ça fait des semaines qu’on ne se quitte pas et tout ce qu’on fait, c’est de s’envoyer des méchancetés, des sarcasmes et des vacheries.
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Je ne vois plus très bien la frontière entre curiosité légitime et indiscrétion.
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Tôt ou tard, on doit s’avouer ses défauts.
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Tu vis une vie qui devrait te plaire, mais tu t’obstines à la rejeter. Tu ne te fais ni à ton rôle de père, ni à ton rôle de mari. Tu veux rester le gamin que tu as toujours été. Comme la plupart des hommes.
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Ce qui m’inquiète, c’est que j’ai des douleurs de temps à autre.
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— Il s’en est fallu d’un cheveu ! Sans son regard rapide, sans ses yeux de lynx, XXX XXXX, en ce moment, ne serait peut-être plus de ce monde ! Quel désastre pour l’humanité ! Sans parler de vous, Hastings ! Qu’auriez-vous fait sans moi dans la vie, mon pauvre ami ? Je vous félicite de m’avoir encore à vos côtés ! Vous-même d’ailleurs, auriez pu être tué. Mais cela, au moins, ce ne serait pas un deuil national ! Héros de Agatha Christie

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