Yayoiso

Ce tome 3 arrive longtemps après les deux premiers. J'avais presque oublié comment ça finissait. Finalement, ça revient assez vite, d'autant que ce tome se passe avec les adolescents sans le contexte "école". C'est les vacances scolaires et il faut... réviser bien sûr.

Des situations bien cocasses et drôles, on en apprend un peu plus sur les camarades d'Arata, il est quelqu'un de très prévenant et fait assez sage pour un "adolescent". Après, je suis curieuse de voir si l'aspect "nouvelle vie" va réellement fonctionner pour Arata et je me questionne sur la possibilité d'autres élèves "relife" au lycée.

Les dessins en couleur sont agréables, ça fait un peu "deluxe". A suivre !

Quand Arata reçoit la réponse à un emploi auquel il avait postulé, il est de nouveau déçu. Il repense à ses études trop longues, à son premier emploi duquel il a démissionné au bout de trois mois… Un soir, un jeune homme lui propose un marché : s’il avale une petite pilule, il retrouve la jeunesse de ses 17 ans et doit suivre un an dans un lycée. Arata, pas tout à fait conscient de ses actes sur le moment, accepte cette seconde chance.

Un manga qui parle de la difficulté de trouver un travail, ça m’a intéressé même si finalement ce n’est que le point de départ. L’idée de la seconde chance qu’on trouve souvent par le biais d’études supplémentaires ou de formations est là remplacée par une solution miracle un peu curieuse. Le concept de ReLIFE comporte quand même quelques zones floues… que les tomes suivants éclairciront peut-être plus tard. Bien aimé ce premier tome avec un Arata un peu paumé dans son nouvel environnement, un Ryo mystérieux et cette jeune étudiante avec il commence à bien s’entendre malgré son caractère (en apparence ?) froid. L’humour omniprésent rend son manga tout à fait agréable et donne envie de poursuivre pour savoir comment Arata va vivre sa nouvelle vie.

Dans ce dixième tome, on a le festival d'Aoba qui se déroule et en même temps, la relation toujours ambiguë entre Arata et Chizuru, on sent bien qu'il y a une attirance entre eux mais ils ne peuvent se déclarer car l'autre est un adolescent pour l'un et vice-versa. Ils se sentent gênés, n'osent rien faire, ça peut rester longtemps comme ça même si les réactions maladroites de Chizuru peuvent donner quelque chose... ou un événement particulier ?

Il reste encore 5 tomes à Relife pour débloquer cette situation !

Par rapport au début, le manga prend une autre dimension : la nouvelle vie n'est pas que se reconstruire pour une nouvelle vie professionnelle mais aussi (re)découvrir le sentiment amoureux. Nos gentils organisateurs voient bien Chizuru et Arata ensemble et en profitent pour qu'ils préparent le festival ensembe mais ça ne tourne pas forcément bien avec le caractère de Chizuru. On met en avant les points forts du travail en entreprise : esprit d'équipe, communication etc adaptés à ce milieu débutant. On voit bien les différences entre Arata et Chizuru pourtant ils restent proches car on sait ce que chacun éprouve pour l'autre...

Je suis arrivée à un point où bientôt l'attente sera être de mise avant les prochains tomes... Heureusement la série est terminée au Japon (15 tomes)...

Un tome où on revient avec Arata qui se rencontre qu'il y a quelque chose que ne va pas entre les deux volleyeuses, il hésite à s'en mêler mais Hoshiro va le convaincre...

Les dialogues entre Arata et Chizuru semblent à deux vitesses, des sous-entendus parfois.... il en ressort une belle relation qui semble s'affirmer malgré le caractère un peu mutique de la jeune fille. L'expérience adulte d'Arata donne un petit plus aux relations des jeunes lycéens.

Les deux volleyeuses seront-elles toujours amies ? Encore un peu mal avec les prénoms des jeunes gens (mes lectures des tomes sont assez espacées) mais j'apprécie ce manga, surtout quand il se concentre pas forcément sur les examens scolaires. A suivre !

Dans ce quatrième tome, on s'intéresse plus à Tamarai qui est un peu dans la même situation qu'Arata mais elle fait partie de l'équipe de volley et doit absolument réussir ses rattrapages. Sa relation avec Rena est aussi mise en avant... Du coup, on voit un peu moins Arata... Peut-être Yayoiso a-t-il des raisons de mettre en avant plusieurs personnages même si, à l'origine, il s'agissait de voir la vie d'ado par l'oeil d'un adulte. Ce n'est pas totalement désagréable, juste un peu étonnant. A suivre !

Le temps de me remettre les personnages en tête, j'ai pu apprécié ce deuxième tome à sa juste valeur. Arata rate conscieusement ses contrôles même avec l'aide de ses nouveaux camarades. On sent que l'ambiance entre ce petit groupe commence à avoir des affinités...

Le côté école est important mais il y a aussi les relations et les évaluations d'Arata. J'ai aimé que les qualités avancées ici dans la vie de lycéen qui sont sont aussi importantes dans la vie professionnelle. Le fait de suivre aussi les autres lycéens aide à comprendre les réactions des uns et des autres.

Un manga sur la vie lycéenne vue avec du recul, j'aime bien cette approche ! A suivre.

Treizième tome de cette série, l’image de couverture serait-elle révélatrice ? Le moment tant attendu ? Ça faisait un moment que je n’avais pas vu mes petits lycéens avant le tome 12, je les trouve quand même bien naïfs, ils rougissent à la seule mention de « se tenir la main » ou « rendez-vous ». Le regard de l’adulte vers le jeune adulte est assez réaliste et chacun doit faire attention à ses paroles... hâte de lire la suite. Dommage c’est bientôt la fin ! (Fin au quinzième tome)

Un très bon dernier tome et une excellente conclusion. Malgré l'avenir sombre qui se dessinait, tout se finit comme on s'y attendait. Je ne vais pas tout dévoiler mais côté travail, le lecteur pouvait se douter de ce que vont choisir nos deux cobayes. Un bon manga car le thème est original avec un adulte considéré comme un adolescent, avec donc l'expérience en plus. La mangaka s'intéresse aux autres élèves qui vont en cours avec Arata mais suit ses évolutions mentales, "sa guérison", sa croyance dans le monde du travail. Sinon j'ai trouvé qu'elle infantilisait un peu nos adolescents avec

des preuves d'amour qui les faisaient souvent rougir à leur évocation (prendre la main, baiser...) mais après tout, ce n'est pas la même culture, peut-être est-ce normal...?

Bien appréciée tout de même !

Relife est une vraie bonne surprise !



Je remercie une nouvelle fois Babelio et leur opération masse Critique, qui nous permettent toujours de découvrir des lectures vers lesquelles on aurait du mal à aller.



À la base ce manga était un web-manga, qui au Japon devient un moyen de plus en plus utilisé pour se faire connaitre. C'est donc une très bonne choses que cela voit le jour au format papier, sachant qu'il est édité tout en couleur, à un prix un peu plus élevé que la moyenne mais pas exorbitant tout de même.



La couleur apporte un réel plus, car même si les dessins sont assez basiques, la couleur des bulles de dialogues varient suivant l'intensité ou l’émotion du personnage, et de fait cela donne quelque chose de très dynamique. Le seul défaut ce sont les fond, qui sont quasi inexistants, c'est un peu dommage, surtout quand on voit la qualité des quelques rares qu'on voit par moment, on aimerait en voir plus.



L'histoire en elle-même est assez classique, mais après avoir lu ce premier tome, je pense qu'il y beaucoup plus de mystères qu'il n'y parait de prime abord.



Une très bonne idée de la part de l'éditeur Ki-oon de proposer ce manga, car ils sortent un peu de leur domaine, et peuvent ainsi emmener de nouveaux lecteurs qui ne connaitraient pas cette maison d'édition, qui est pourtant d'une grande qualité.



Le soucis maintenant, c'est qu'il va falloir que j'achète les autres tomes (^-^)

Ce tome est assez mignon, Arata est présent mais c'est pour mieux parler de ses camarades, Oga et Kariu, qui pourraient faire un pas l'un vers l'autre... L'observation des observateurs est assez cocasse. En même temps, on sent que d'autres relations sont en train de se nouer mais quand l'un avance, l'autre ne sait que faire... Mais même quand on a un mental d'adulte, on a l'impression d'être un adolescent quand il s'agit de sentiments... La fin laisse planer le doute mais je me pressentais cette situation dans les précédents tomes, à suivre !

Ce tome est touchant parce qu'il aborde le passé d'Arata, sa démission dont il n'était question, qu'à demi-mots. Certains jeunes employés sont mal traités dans certaines entreprises, on essaye de les oppresser, de leur mettre la pression. On voit que son exemple, même s'il est dur à suivre, donne de la considération. Ce tome fait poser des questions sur le monde du travail : faut-il travailler à tout prix ? ou travailler dans de bonnes conditions ? difficile question quand l'argent est tellement important dans notre société... On va sans doute retrouver nos petits étudiants avec cette perspective future, lointaine dans le prochain tome.

Après s'être occupés de nos (vrais) adolescents, Arata et Chizuru continuent à se tourner autour sans savoir quoi faire car ils n'ont pas le droit de révéler leur nature d'adulte. Seule Chizuru tente de découvrir si Arata est bien un adulte en cherchant des indices. Arata confiant en l'avenir ne se doute pas vraiment de la suite... On se recentre sur notre duo, les autres deviennent secondaires mais permettent de souligner la fin de cette aventure. Quelques moments d'émotions... à suivre !

J’avais été un peu déçu par le deuxième tome, qui n’exploitait pas assez (du moins à mon gout) le coté Relife. À savoir l’expérience de l’homme de 27 ans, vivant une vie d’ado de 17 ans.





L’erreur est corrigé dans ce troisième tome qui se divise en deux parties. Dans la première on retrouve nos adolescents là où on les avait laissé à la fin du tome précédent.





J’avais peur que l’on s’enlise dans des soucis d’adolescents pas franchement intéressants comme savoir qui mange avec qui à la cantine, mais la petite guerre entre Rena et Chizuru se termine rapidement avec une confrontation. On sent bien que sans l’expérience de l’adulte qu’est Arata, les deux adolescentes n’auraient jamais réussies à se comprendre. Tout est enfin mis à plat et l’on peut se concentrer sur la deuxième partie du tome, qui elle traitera bien plus de l’expérience ReLife.





Les vacances arrivent et Arata ne sait pas trop quoi faire pour s’occuper. Mais par chance (ou malchance, à vous de voir) ses amis vont venir l’aider pour ses révisions. Je n’en dirais pas plus car de très gros rebondissements arrivent dans cette deuxième partie, mais on comprend enfin mieux le fonctionnement du programme ReLife, alors jusqu’à présent on avait l’impression que ce n’était qu’un prétexte.





On en apprends également un peu plus sur l’énigmatique Ryo Yoake, qui supervise Arata. J’aime beaucoup les passages sur ce personnage, car on devine qu’il a raté sa précédente expérience et que la réussite du projet ReLife sur Arata est en quelque sorte sa dernière chance.





ReLife est donc un titre qui n’était pas tout à fait stable jusque-là, mais qui, avec ce troisième tome est devenu vraiment passionnant. Je pense que la série est enfin lancée et j’ai même quelque théories sur le fonctionnement du programme. Si je n’étais pas impatient après la lecture du deuxième tome, le troisième, lui, me donne vraiment envie d’avoir la suite !




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C'est avec plaisir que j'ai trouvé la suite de cette série, presqu'un an plus tard. Je me remis dans l'histoire, avec plusieurs histoires d'amour en parallèle. Mais il y a des incompréhensions : entre Kariu et Oga, une dispute éclate entre eux car Kariu trouve qu'ils ne sont pas souvent ensemble. Une sortie leur permet de se réconcilier et de rapprocher Chizuru et Arata. Mais le quiproquo les empêche d'avancer ensemble efficacement même si Chizuru se montre maladroitement audacieuse.

Hâte de lire la suite, maintenant que la série est terminée !

Hishiro est une jeune fille un peu mystérieuse, on va en apprendre un peu plus sur elle dans ce tome. Son passé n'est simple et j'avais quelques soupçons sur celui-ci. Le mangaka donne beaucoup d'explications sur le fonctionnement du Relife et on comprend que la situation pour Arata et Hishiro parait assez compliqué. Hishiro en profite pour tester ses sentiments...

On n'a pas fini de se faire des noeuds à la tête !

J’ai découvert cette série il y a peu, et j’ai beaucoup aimé le concept comme je vous en avait parlé dans ma critique du premier tome.





J’étais donc impatient de découvrir les nouvelles aventures d’Arata, et voir un peu s’il allait s’acclimater à sa nouvelle vie de jeune adolescent.





Alors, autant le dire tout de suite, c’est un très bon deuxième tome, on ne s’ennui pas un instant, les personnages se développent un peu plus, on en rencontre des nouveaux, c’est un très bon manga de type « Tranches de vie. »





Mais c’est là que le bas blesse. Avec un concept comme le ReLife, je m’attendais à autre chose, à plus de mystères, à plus de complications pour Arata. Là, on en oublierais presque qu’il suit le programme de ReLife. L’histoire n’avance pas vraiment, on ne comprend pas comment fonctionne le système ReLife, car on est trop occupé à suivre les pérégrinations de tous ces ados.





C’est très bien, je le répète, mais j’ai l’impression que ce qui faisait l’intérêt du titre, s’est déjà perdu dès le deuxième tome, c’est un peu dommage. Cependant, sachant cela, j’ai une tendance à rester à l’affut d’une surprise, d’un événement qui va d’un coup me rappeler que le programme ReLife n’est pas à prendre à la légère. La lecture se fait donc en toute simplicité, je prends beaucoup de plaisir à suivre tout ce petit monde, mais dans un coin de ma tête, j’ai toujours l’impression qu’il va se passer quelque chose de plus fort, comme si la réalité pouvait frapper à tout moment.





Le seul bémol par contre, comme dans le premier tome, se situe au niveau des dessins. Relife étant tout en couleur, c’est joli, c’est dynamique, mais les personnages se ressemblent tous, surtout les personnages masculins. Contrairement à un manga en noir et blanc, l’auteur mise tout sur la couleur et non sur les dessins. C’est un peu dommage et parfois on est obligé de revenir en arrière pour être certain de qui parle.





Une très bonne lecture malgré tout, car ces défauts n’amputent en rien la qualité du manga, je prends beaucoup de plaisir à le lire et l’édition Ki-oon est vraiment parfaite. J’adore les couvertures qui mises cote à cote font une très jolie frise.





Bientôt le tome 3 o/
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Arata, jeune homme de 27 ans, n'est pas devenu l'adulte qu'il espérait. Sans petite amie et sans travail, il enchaine les entretiens d'embauche et les petits boulots et ment à ses amis sur sa situation professionnelle. Un soir, en rentrant chez lui, il croise le chemin d'un mystérieux employé de la société ReLife, entreprise qui propose un programme inédit de réinsertion professionnelle. En effet, cette expérience exige de revivre une année de lycée. N'ayant rien à perdre, Arata avale une gélule qui lui rend son apparence d'adolescent et se prépare à retourner en terminale.

Ce manga tout en couleur propose un scénario original et bien ficelé. Les détails du programme du ReLife nous sont donnés au fur et à mesure, ce qui entretient le suspense, mais est-ce que la vie d'un lycéen pourra être un scénario qui tiendra sur la durée ?

Une fable agréable à suivre, usant d’un polymorphisme raisonnable et agrémenté d’un pétale de fleur bleue.
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Désespéré sur sa vie d'adulte qui piétine plus qu'elle ne commence vraiment, Arata Kaisaki en fait le bilan: chômeur, célibataire, il n'a pas du tout a vie dont il rêvait adolescent. Ses parents viennent de lui annoncer qu'ils lui coupaient les vivres quand il rencontre un personnage étrange qui lui propose une drôle d'aventure: avaler une pilule qui lui donnera l'apparence de ses 17 ans et vivre une année de lycée. Voyant cela comme une chance de tout changer et de réussir sa vie, il décide d'accepter.

J'ai beaucoup aimé l'intrigue, pas forcément d'une grande originalité (car on en rêve tous parfois...), mais plutôt agréable et bien menée. Finalement les événements s'enchaînent et à la fin de ce tome le décor est bien planté, on attend juste la suite pour savoir comment il va se débrouiller dans ce monde d'adolescents...

En revanche le personnage principal m'est très antipathique, à s'énerver et crier pour un oui ou pour un non... je l'ai trouvé assez désagréable et je n'arrive (pas encore?) à m'attacher à lui. Mais ouf, l'histoire se tient, les dessins (tout en couleurs) sont très réussis, et cela suffit pour me tenir en haleine.