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Citations de Alain Ayroles (574)


Vous... Vous ne m'effrayez point, belliqueux cadavres !
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-Non, il n'est pas trop lourd ! De plus, je vise juste et ma vigilance est sans faille. Et si vous tentiez de vous échapper... Je serais au regret de devoir vous tirer comme un... euh... comme un chien !
- J'en prend bonne note.
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- Je la croquerai bien !
- Vos appétits terrestres ont toujours primé sur ceux de l'esprit !
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Armand à Don Lope : Je sais comment nous renflouer ! Montons un spectacle à la manière des bohémiens, vous feriez un fort acceptable chien savant !
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Le Maître d’armes : Enfants de terpsichore, observons mon discours !
De cette guerre absurde interrompez le cours !
Les bavards, vous craignant, ont relégué vos pères
En d’hostiles confins tout criblés de cratères.
On les laissa, c’est vrai, s’exprimer librement
Et défendre leurs droits devant le parlement
Mais comment, en ces lieux de sonore harangue,
Faire entendre sa voix quand on n’a point de langue ?

Adynaton : Par Calliope ! Il est temps de redresser ces tords
D’enterrer la rancune et pardonner les morts !

Le Maître d’armes : J’ai battu le rappel d’éloquents camarades
Qui déclamant rondeaux, triolets et ballades,
Sauront d’un ton qui touche la fin des envois
Donner avec brio la parole aux sans-voix !

Adynaton : Cette tribu sylvestre à bouger se tient prête,
Pour servir aux parlants de tacite interprète !

Le Maître d’armes : Les uns tendant l’oreille et les autres la main,
Offrons à notre lune un radieux lendemain !
Qu’il soit né de la terre ou du sol sélénite,
Qu’il soit mime ou disert, un honnête homme habite
Un pays que ne borde aucun mur mitoyen
De l’immense univers, il est le citoyen !
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L'autre...
Existe-t-il vraiment ?
Il passe comme une ombre dans mes nuits ; il est un roi cruel au pays des songes, qui me dit "Viens ma reine" et m'invite à valser...
Et tournent tournent les lumières du bal...
Elles deviennent des étoiles...
Et je tombe...
Tombe...
Jusque dans les cieux !
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"De rumeurs, madame, j'ai trop été l'instrument pour ne pas un jour en faire l'objet."
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- Quel est donc ce sinistre craquement ? Horreur ! Un vernis de civilisation qui se fissure !
- Priez pour qu'il tienne bon, Swindley.
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Jusqu'à ce jour j'ai détesté les quais de gare. Pour moi ils étaient le théâtre d'adieux interminables, souvent ennuyeux, parfois déchirants. Mais aujourd'hui, j'ai compris qu'on pouvait aussi s'y dire au revoir!
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- Le romantisme est mort. En ces temps prosaïques, la mode est au banal, au quotidien : fiacres, fog, becs de gaz... Les lecteurs veulent du concret, de l'intime... Lorgner par un trou de serrure l'âme de leur voisin ! (Swindley)
- L'âme humaine n'est-elle pas au cœur de toute littérature ? (Drake)
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Au bûcher, les aptères romans naturalistes !
Au bûcher les vains journaux, les insipides carnets de voyage qui profanent impunément l'autel de nos librairies !
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« L’ultime alexandrin sera le coup de grâce, assénant sans merci douze pieds dans ta face ! » (p. 5)
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« Ce Sélénite est lunatique ! » (p. 9)
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La barbichette est un moyen fort accommodant de vider les offenses puisque le moins offensé, plus prompt à rire, y est généralement vaincu. Il convient toutefois, sous peine de revenir à un forme classique de pugilat, de ne point appuyer la tapette finale.
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Cupidité des uns, orgueil des autres...
Les plus éhontés mensonges peuvent être crus. Il suffit de les accorder au vice de sa dupe.
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Hélas! La vie des gueux est une gueuze. On croit avoir prise sur elle, mais c'est elle qui toujours garde la main.
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Comment y règle-t-on les affaires d'honneur ?
- Elles se règlent à la rixme, bien sûr, mais aussi à "l'après-vous", ou à la bastoise, ou bien encore à la barbichette...
- Sont-ce là d'autres formes de duel ?
- Si fait. "L'après-vous" est un assaut de civilités, où les deux parties rivalisent de présents exquis et de délicates attentions... La barbichette est un moyen fort accommodant de vider les querelles, puisque le moins offensé, plus prompt à rire, y est généralement vaincu. Il convient toutefois, sous peine de revenir à une forme classique de pugilat, de ne point appuyer la tapette finale.
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La peste soit de ces postillons ivres de vitesse et de mauvais vin !
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Aller, tire! Je ne peut pas, captaine il est trop mignon!
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Elle fut baptisée Séléné, car comme elle posait sur toute chose de grands yeux étonnés... on l'aurait crue tombée de la lune !
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