Alexandra Potter

Je n'ai lu que deux romans d'Alexandra Potter dont, " La double vie de Charlotte Merryweatter" , et celui-ci basculait dans le genre imaginaire ( multivers ) alors que c'est une auteure qui a émergée avec le genre "chick-lit". Peut-être avez-vous vu le film " Mais comment font les femmes ? "(2011) adapté du roman " Je ne sais pas comment elle fait." ? Tout ça pour dire qu'Alexandra Potter n'est pas une inconnue pour moi, et que je savais que j'aimerais ce roman au moins un peu (beaucoup, passionnément en option !).



Fraîchement trompée, fraîchement quittée pour une jeunette, par son dentiste de mari, les papiers du divorce à peine signés, Olivia est au fond du trou, et le meilleur reflexe dans ces cas-là, et de donner un coup de pied pour remonter du fond de la piscine...

Elle ne fera pas les choses à moitié et partira dans le Yorkshire ( la région où vivaient ses grands-parents), achétera une ruine, la fera rénover, et adoptera un chien.

Entre les artisans, et les inconnus qui deviennent connus grâce à son chien, peu à peu Liv revient à la vie... C'est un tout petit village où tout le monde se connait, un endroit simple, où la nature est superbe, et les gens biens, et chaleureux.



Entre la pluie, les travaux d'embellissement, les amitiés qui naissent, la gentillesse, le bon gros toutou, les projets : je me suis sentie bien dans ce livre, un peu comme à la maison. Une lecture légère, charmante, positive, où les coincidences heureuses "coincident "un peu trop bien, certes, mais j'ai passé un très bon moment.

Roman doudou, dont on se doute qu'il finira bien, mais c'est cela qu'on vient chercher entre ces pages : quelques grammes de douceur dans un monde de brutes

Liv Brooks est une jeune femme divorcée depuis peu décidant sur un coup de tête de prendre ses cliques et ses claques pour les collines des Yorshire D'ales, son village natal.

Mais la maison qu'elle a acheté est loin d'être comme celle de Londres... Le home stating sera insuffisant!

Seule, un peu déprimée, elle décide d'adopter un chien, vieux et ayant de l'arthrite dans un refuge.

Rapidement lors de ses balades quotidiennes avec Harry, elle va rencontrer diverses personnes, dont Stanley, Valentin,Maya et Ben, son amoureux secret de jeunesse.



Ce roman m'a plu d'emblée, et je n'ai jamais été déçue!

Liv m'a fait penser à Iris dans le film The Holidays, aussi triste, seule, dans une vieille baraque.

Progressivement, elle va s apercevoir que la vraie richesse, ce n'est pas l'argent, mais cest les échanges humains et leurs richesses.



Il y a un peu de développement personnel dans ce livre, avec une histoire de cœur 😍, mais surtout, il y a amitiés hors normes, des liens inusables...

Ce roman évoque des sujets difficiles : la souffrance de voir ses proches atteints d Alzheimer (et j'en sais quelque chose pour le vivre aussi), la solitude, la différence, l'engagement pour sauver une juste cause.

Mais la force de cette histoire réside dans la qualité d Alexandra de les évoquer avec justesse, candeur,bienveillance et amour.



Son écriture est très fluide, très agréable à lire.

Je ne me suis pas ennuyée à la lecture de ce roman frais, addictif et joyeux somme toute.



Envoyé de mon Galaxy A12 Orange

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C'est un livre de fille, avec une histoire superficielle. Le début commence de manière banale, et se termine sans trop de surprise.



Mais c'est aussi une sorte de livre remède. Il donne la pêche, il remonte le morale, et malgré l'histoire banale, l'ambiance est agréable et dépaysante. Les personnages sont attachants, farfelus, décalés, on aimerait les avoir autour de soi!



Et en plus, c'est bien écrit. C'est un livre que je relis quand j'ai envie de passer un bon moment, sans forcément le finir, je le conseille vraiment c'est un très bon "livre de fille".

Quand j'ai "rempli" ma bibliothèque Babélio et que j'ai découvert que ce livre (le premier du genre chick-lit que j'ai lu) avait été écrit par Alexandra Potter , la même qui a écrit " Les deux vies de Charlotte Merryweather, j'ai été étonnée. Je n'avais pas fait le rapprochement .

En effet, Frankie va à Hollywood est beaucoup plus loufoque .



Il y a d'abord ce titre , en référence au célèbre groupe "Frankie goes to Hollywood qui a participé à la réussite de beaucoup de mes soirées...

Et puis, (sauf erreur de ma part),, il s'agit du premier roman de chick-lit ayant les célèbres collines pour décor. Après, beaucoup d'auteurs se sont engouffrées dans la brèche, mais c'est le premier qui a parlé des bars et hôtels mythiques de la cité des Anges, le premier qui a raconté comment était la vie là-bas, pour nous, pauvres filles perdues dans "le Nord" .



Alors , c'est l'histoire de Frankie qui perd son job et son fiancé et décide de "plaquer " le brouillard et le froid pour rejoindre sa meilleure amie (aspirante actrice) à Los Angeles.

(Bon vous me direz: tout le monde n'a pas la chance d'avoir une "pote" qui habite Los Angeles ,...! Je ne vise personne...).

Et Frankie de goûter aux charmes de la cité des Anges: ses plages, ses bars , ses soirées, les voisins hyper sympas qui dealent à leurs heures perdues.

Voyant ses économies fondre à vue d'oeil , elle va bosser comme assistante d'un photographe , lequel s'avère plus beau que le cowboy de la pub Malboro.

On ne s'ennuie pas une seule seconde avec Frankie comme guide touristique.

Comme je l'ai dit plus haut, c'était mon premier roman chick-lit , et je lui garde une place spéciale dans mon coeur...



Dépaysant, ensoleillé, rythmé, loufoque, sympa.,



PS: Mais où j'ai mis mon passeport, moi ?

Je pense que de temps à autre, on a tous besoin d'un petit feel good, en tout cas c'est mon cas. Si je dois vous en conseiller un, c'est bien celui-ci. Il m'a accompagné lors de mon séjour à Ibiza et c'était un vrai plaisir de plonger dedans au bord de la piscine. On rencontre Nell qui a la quarantaine et qui se retrouve à Londres après une rupture avec Ethan avec qui elle vivait aux États-Unis. Je dois dire qu'au début quand j'ai vu les 480 pages, j'ai eu peur de longueurs, mais pas du tout ! Les chapitres sont petits ce que j'adore et donnent un bon rythme à la lecture. J'ai adoré suivre Nell dans son parcours d'une nouvelle vie, la rencontre de nouvelles personnes, j'ai particulièrement aimé sa relation avec Cricket, une veuve tout sauf ennuyante. On rigole, on s'attache, on s'émeut aussi. Une lecture vraiment riche et super agréable. Je n'hésiterai pas à lire le prochain roman de cette auteure Alexandra Potter car j'ai vraiment passé un super moment. Si vous recherchez un livre sans prise de tête pour passer un bon moment alors je vous le recommande fortement !

Rien ne va plus sous le soleil californien. Nell doit faire face à l'échec de son café librairie et à la fin de son histoire d'amour.

Elle se voit dans l'obligation de rentrer à Londres auprès de sa famille et de ses amis. Mais pas question de se réinstaller chez ses parents. Avec ses petits moyens elle se retrouve en colocation à 40 ans.

Pour payer son loyer, pas le choix que d'accepter de rédiger des notices nécrologiques.

Ce retour à Londres n'a pas fini de lui réserver des surprises...



En voici une lecture parfaite pour les vacances ! C'est drôle, léger et divertissant.

Et pas trop nian nian comme c'est parfois le cas avec ce style de livre.



Ça faisait longtemps que je n'avais pas lu une comédie feel-good.

Ce que j'ai particulièrement apprécié c'est que derrière son ton léger, Alexandra Potter nous fait réfléchir sur la société actuelle et la situation que doit occuper une femme quarantenaire.



Pourquoi ne serait-il pas possible d'être heureuse à 40 ans en étant célibataire et sans enfant ?



Une très sympathique lecture que je vous conseille si vous avez envie d'un peu de légèreté.
Lien : https://orlaneandbooks.wordp..

Ces journées très très ensoleillées, ça donne envie de lire des romans plus légers. Je suis en pleine lecture commune d'un roman de fantasy Young Adult plutôt sombre et c'était le moment où jamais de sortir ce contemporain, en parallèle. La face pailletée de la vie, c'est un bout de l'histoire de Nell qui vit une période un peu délicate. Nell est de retour à Londres après vous avoir tiré un trait sur sa vie aux États Unis avec son fiancé. A quarante ans, elle est complètement paumée et elle ne sait pas trop comment gérer ce désastre, comment rebondir après un tel échec qui l'a fait se sentir comme... une bonne à rien.



C'est un roman moderne qui parle de la pression sociale. Nell est spectatrice du bonheur et de la réussite des autres. Sur les réseaux, c'est la même chose. Les vies sont toutes lisses, parfaites. C'est avec une touche d'humour et d'autodérision que Nell tente de prendre du recul sur sa vie. Elle tente d'accepter l'échec, la solitude, l'absence de projets et ce n'est pas si simple.



J'ai commencé à trouver la première moitié de ma lecture un peu longue et répétitive. Notamment parce que Nell ne peut s'empêcher de se comparer à ses amies et on sait bien que ce n'est pas très sain. Mais cette première moitié prend tout son intérêt ensuite, au fil de l'évolution de l'héroïne. C'est finalement une histoire authentique et drôle. Nell fait de son mieux, connaît l'échec, et on a juste envie qu'elle réalise que le plus important c'est d'être libre d'emprunter le chemin de son choix. À lire si vous aimez les romans feel good/tranche de vie.

Un livre très drôle de part son écriture. Le personnage de Edward est mon coup de cœur. J'ai beaucoup aimé. Il y a de l'authenticité dans ce livre. On s'est tous ou toutes remis en question, quadra ou pas, à un moment de notre vie

Ce livre montre bien qu'on passe tous par là.

J'ai adoré le côté humoristique.

Je vous le conseille si vous souhaitez passer un moment de détente.

Nell avait une vie parfaite, ou du moins, elle s’en approchait plutôt bien : elle vivait aux Etats-Unis avec Ethan, où ils avaient une affaire ensemble. Cette dernière a fait faillite, le fiancé s’est carapaté, et Nell se voit contrainte de revenir s’installer à Londres. Sauf que, fauchée comme les blés ou presque, elle ne peut s’offrir qu’une chambre en colocation.



Devant le désastre de sa vie, les ruines de son existence de quadra larguée et ruinée, elle va se confier au lecteur. Je suis devenue sa meilleure amie le temps du récit.



Nell est un personnage pétillant et truculent. Alors, certes, elle a 40 ans (le début de la fin…), elle n’a pas de mec, son propriétaire, Edward est un despote, ses meilleures amies sont toutes heureuses en mariage et ont des bambins adorables, mais elle va essayer de trouver des choses lui inspirant de la reconnaissance à chaque moment. Elle va surtout envoyer au diable les codes et la pression sociale qui nous bouffe l’existence, il faut bien se l’avouer. On ne peut que s’identifier à elle, j’avoue qu’on a pas mal de points communs toutes les deux !



Les chapitres commencent avec des hashtags, et se terminent avec cette recherche de reconnaissance, qui s’avère être un bilan positif. Et finalement, Nell va se rendre compte qu’en cherchant bien, il y a du constructif dans chaque situation, aussi pire soit-elle. Le principe de voir le verre à moitié plein.



La plume est fraîche, drôle, dynamique. J’ai adoré suivre les péripéties de Nell. Ses disputes avec Edward m’ont permis de faire travailler mes zygomatiques, Cricket, cette veuve à la philosophie de vie magnifique m’a émue au plus profond de moi-même. Je m’attendais à une lecture légère, et finalement j’y ai trouvé beaucoup d’émotions et de réflexion. Une belle histoire d’amitié et de vie. Cela m’a permis de remonter la jauge de confiance en moi, ce qui est appréciable !!



La fin est juste divine. Une lecture qui fait du bien au moral, parfaite pour cette fin d’année, qui m’a apportée beaucoup de détente et de rire. Il y en a bien besoin, vu le contexte !



« On ne se remet jamais de la perte de quelqu’un, on devient juste plus doué pour accepter son chagrin. »



« Dans l’esprit du vendredi 13, j’ai décidé de me coller la trouille de ma vie.

Est-ce que…

A. Je regarde un film d’horreur

B. Je me connecte sur mon espace bancaire pour consulter le solde de mon compte

C. Je tente de me prendre en photo pour mon site de rencontres

Un indice : ce n’est pas A. »



#confessionsdunequadraàlaramasse #AlexandraPotter #Eyrolles
Lien : https://soniaboulimiquedesli..

Voici un roman feel-good qui s’inscrit dans l’ère du temps, dans la modernité, avec des personnages authentiques, attachants et hauts en couleurs ! Ils nous font sourire, rire, pleurer et parfois même, on prend plaisir à les détester ; ils nous font passer par diverses émotions.⁣

Nell, est une femme pétillante et drôle, son histoire est touchante, il est très facile de s’identifier à elle, même si nous n’avons pas forcément les mêmes préoccupations ni le même âge. À travers son vécu, l’auteure envoie des messages positifs. Elle nous fait déculpabiliser, nous fait réfléchir sur la vie, nos choix personnels, malgré la pression sociale qui pèse sur nos épaules. ⁣

Amitié, amour, vie professionnelle, maternité, petits et gros tracas du quotidien... voici sujets divers et variés qui sont abordés avec fluidité et légèreté, qui toucheront forcément le lecteur à un moment ou à un autre. La plume d’Alexanda Potter est vraiment plaisante et entraînante, je n’ai pas vu les pages défiler. En somme, ce chouette roman fait un bien fou au moral, j’ai passé un excellent moment !

Livre divertissant aux chapitres très courts, des personnages attachants, des moments assez drôles et une petite liste de gratitude quasiment à chaque chapitre qui nous permet de relativiser nos soucis et d’essayer de voir le côté positif des événements de la vie.

Je viens de fêter mes 37 ans. Je me rapproche dangereusement des 40 ans et ça me fait un peu peur, je dois bien l’avouer.

On dit que l’âge, c’est dans la tête. C’est vrai mais le regard des gens nous rappelle parfois qu’on n’est plus si jeunes (surtout vous les « petits jeunes » qui nous vouvoyaient).

Ce roman, Confessions d’une quadra à la ramasse, semblait être fait pour moi et sa lecture s’annonçait drôle et réconfortante d’après les avis cités sur la quatrième de couverture.



Nell Stevens a plus de quarante ans et est obligée de tout reprendre à zéro alors que la vie lui souriait peu de temps auparavant.

Elle était fiancée et vivait en Californie avec son futur mari où ils avaient monté un bibliocafé.

Aujourd’hui, elle est de retour à Londres, ville qui l’a vue grandir et où elle a tous ses amis.

Elle n’a plus de travail, pas les moyens de se loger et est célibataire sans enfant.

Comment garder le moral quand tout votre entourage semble avoir réussi sa vie, quand vos copines sont toutes mariées avec des enfants et que vous avez l’impression d’être une vieille fille qui finira sa vie avec des chats ?

Nell est pourtant déterminée à prendre un nouveau départ et se donnera les moyens d’avancer. Avec son mantra « et puis, fuck », elle apprendra à lâcher prise et fera des rencontres qui changeront sa vision de la vie.

Tout cela, elle le partagera avec nous dans ses confessions.



Après avoir lu Le tatoueur d’Auschwitz, de Heather Morris, j’avais besoin d’une lecture plus légère, d’une lecture qui me ferait rire surtout.

Je savais que ce roman pouvait « remplir le job » et je ne me suis pas trompée.

Nell est un personnage avec lequel on ne s’ennuie pas une seconde. Elle est pleine d’humour et d’autodérision: tout ce que j’aime chez une personne dans la vraie vie. Alors, j’étais heureuse de faire sa connaissance et de vivre une année de sa vie à travers ses confessions.

J’ai rencontré Edward, son colocataire très maniaque, Cricket, sa nouvelle amie de plus de 80 ans avec qui nous avons pris quelques leçons de vie, ses amis de longues dates mais aussi sa famille. Et tous ces personnages ont un rôle important et nous montre, chacun avec leur histoire, que rien n’est perdu tant qu’on continue à espérer.



J’ai vraiment beaucoup aimé cette lecture. On peut facilement la classer dans la catégorie des feel-good car elle fait vraiment un bien fou.

Ce roman est drôle et délivre en même temps plein de messages importants.

Il évoque notamment le regard des gens, la pression qu’exerce sur nous la société, les faux-semblants, etc.

C’est effectivement une lecture réconfortante, pleine d’espoir et de bonheur et je la conseille à tout lecteur qui a besoin qu’on lui rappelle que la vie vaut la peine d’être vécue, et que si tout ne se passe pas comme prévu, ce n’est pas grave. Au contraire ...

Nell revient dans sa terre natale suite à une rupture amoureuse, la faillite de son commerce. La voilà seule, quadra, un peu fauchée, en coloc et sans boulot ! Loin d'être la solution de rêve scandé par son entourage fait de couples, d'amies mamans.

Tel un journal intime, on est embarqué par les aléas de la vie de Nell, comme si on était une fée posée sur son épaule ou comme son ombre.

OK c'est un roman feel good qui fait du bien au moral car on se sent moins seul-e... Il est frais, moderne, pétillant. Il m'a fait passer par un panel d'émotions variées : j'ai ri, rigolé, pleuré. Edward et ses économies est à mourir de rire (son étude du papier WC m'a fait mourir de rire !!), j'ai détesté Annabel par moments, Arthur a son rôle aussi et la bande de copines est top.

Roman authentique et haut en couleurs, réaliste (parfois trop même) où je me suis identifiée à Nell, ayant bientôt 38 ans seule, sans enfants et sans taf.

Cette lecture m'a permis de prendre de la hauteur par rapport à ma vie en me faisant déculpabiliser sur ma situation de presque quadra sans enfants tout en mettant en avant des valeurs qui me sont chères comme l'amitié, l'amour, la famille, la cohésion.

Enfin, elle nous montre aussi que nous sommes l'auteur-e de notre vie et le principal acteur/ Actrice et que bien souvent elle est loin être une image d'Epinal mais c'est la vraie, la nôtre, celle qui nous correspond

Une lecture que j'ai adoré , car pétillante, truculente, déculpabilisante, offrant un remontage de moral !!

Et bien ce n'est pas un coup de cœur mais c'est une lecture que j'ai beaucoup beaucoup aimé.

Bon ça se passe en UK et je ne sais pas si les quadras sont vraiment ainsi là-bas mais certaines amies de l'héroïne Nell étaient un poil trop caricaturées. Mais ce n'est pas grave ça fonctionne plutôt bien. L'héroïne Nell est attachante et on prend beaucoup de plaisir à la suivre dans ses tribulations.

J'ai adoré le personnage de Cricket, veuve excentrique de 80 ans qui devient une amie très proche de Nell et leurs moments de partage étaient vraiment émouvants.

On suit également le parcours amoureux de Nell en tant que nouvelle célibataire après une douloureuse séparation et forcément ça parle, et bien sûr l'amour se réouvre sur son chemin de vie et on a deviné bien avant elle. Mais pareil ce n'est pas grave car tout fonctionne dans ce roman. On passe du rire à l'émotion et certaines vérités de la vraie vie (vs instagram justement et les photos édulcorée de #viemavietoutestparfait )font bien sourire.

J'ai beaucoup aimé l'écriture et surtout les chapitres très courts qui s'enchaînent et rendent la lecture vraiment dynamique.

Et le petit rituel de fin de journée de Nell à la fin des chapitres sur ce qui lui a inspiré de la reconnaissance et on peut passer d'un échange d'émotions ressentis au simple fait de s'enfiler des gin tonics.

Donc beaucoup d'humour et d'auto-dérision.

Si vous voulez une lecture feel-good mais de qualité, je ne peux que vous conseiller ce roman.

Une comédie britannique doudou, une dose d'humour, de réconfort et de bonne humeur, avec en toile de fond, des sujets plus sérieux comme le deuil ou la pression sociale. Ce roman nous apprend à voir la vie du bon côté et à nous recentrer sur les éléments essentiels de nos vies.

Nell Stevens, quarante ans et des poussières aurait bien besoin de toute une artillerie de filtres instagram et de quelques paillettes pour illuminer sa vie. Après avoir vu l'échec de sa librairie- salon de thé et pire encore celui de sa grande histoire d'amour, la voilà contrainte d'abandonner la Californie pour retourner vivre à Londres. Le retour au pays avec toutes ses anciennes amies qui affichent leur merveilleux bonheur sur les réseaux sociaux s'annonce plus difficile que prévu. Et comme si ça ne suffisait pas, le seul job qu'elle trouve consiste à écrire des rubriques nécrologiques. Au milieu de tout ce gris, Nell va entrevoir un arc-en-ciel en la personne de Cricket, une veuve de 80 ans qui va lui montrer qu'avancer en âge peut s'avérer bien plus joyeux qu'on ne le pense...

Comment vous dire à quel point j'ai adoré ce roman ? Sous ses allures de feel-good, il se révèle bien plus profond et nous amène à une véritable réflexion sur la société actuelle. Que savons nous vraiment des gens que nous suivons sur les réseaux ? Des gros plans fixes pour ne surtout pas montrer tout le bord** qui se trouve autour ! Parce que oui, c'est facile de penser que quelqu'un a une vie brillante grâce aux filtres, aux hashtag et autres phrases inspirantes, mais la réalité est que la vie, c'est compliqué et que chacun à notre façon, on essaie d'avancer et de construire notre bonheur dans la vraie vie.

J'ai eu un coup de cœur pour Nell qui est un personnage vrai, authentique, drôle, passionnant et à laquelle on ne peut s'empêcher de s'attacher et même de s'identifier. Sa rencontre et sa relation avec Cricket est merveilleuse. Quelle amitié ! Une révélation qui va les aider à avancer toutes les deux. J'ai aussi adoré son colocataire /propriétaire Edward. Leurs échanges, leurs querelles et leurs joutes verbales sont jouissives et apportent de superbes moments d'humour au roman.

Malgré ses quelques 600 pages, j'ai vraiment dévoré ce roman en à peine deux petites soirées tant j'étais happée par les aventures de notre quarantenaire un peu Bridget Jones ou Becky Bloomwood sur les bords.

La plume de l'auteure que je découvre avec ce roman est également une belle révélation. Pétillante, irrévérencieuse, subtile, intelligente, drôle et très visuelle, elle a su me faire passer de superbes heures de lecture.

En bref, un roman positif, très British, délirant, jubilatoire et pertinent sur la vraie vie des femmes d'aujourd'hui. Une histoire qui nous donne envie de bousculer les choses, de prendre sa vie en main, de se détacher du regard des autres et d'oser tout simplement. Il se pourrait même qu'il possède le pouvoir de faire pousser des ailes et de vous permettre de voler vers vos rêves les plus fous !

Une merveille, à découvrir de toute urgence. Pour ma part, j'ai hâte de lire d'autres romans de cette auteure qui a su tant me séduire.

Pénélope est un peu une Bridget Jones de 40 ans déjantée qui galère financièrement et amoureusement et aimerait avoir une vie épanouie.

Elle a la nostalgie de son enfance, passe de bons moments avec ses copines et sur les réseaux sociaux.

Elle veut bien tout sauf retourner vivre chez ses parents.

Ça se lit bien mais ça peut lasser à la longue.

C'est une bonne chick-lit avec des tranches de vie mais sans plus.

Nell est une quadragénaire, fraichement revenue des États-Unis après avoir rompu avec l'homme de sa vie, Ethan. Elle s'installe à Londres, en colocation chez Edward, et le constat est désespérant pour elle: célibataire, au chômage et complètement paumée.

Une ancienne connaissance va lui offre un petit job, écrire des nécrologies.

Elle va rencontrer Cricket, une veuve octogénaire. Elles vont se lier d'amitié.

Elle va également retrouver ses amies Fiona, Michelle et Holly. Mais leur vie est bien différente de celle de Nell: mariées, mères de famille, casées.

Je me suis de suite attachée et identifiée à Nell, et certains passages bien trop réalistes pour moi ont été difficiles à lire. Car oui, être célibataire aux environs de la quarantaine n'est pas simple. Souvent mise de côté, pas toujours comprise ... ça m'a rendu triste.

Mais j'ai pu compter sur la lumineuse Cricket pour égayer l'histoire et ma lecture. Nell va s'éveiller à ses côtés. Sa relation à ses parents est très bien décrite. Tantôt conflictuelle, tantôt fusionnelle.

Je ne dévoilerai pas tous les aboutissements dans la vie de Nell, mais c'est joliment trouvé, bien développé.

Certains personnages secondaires offrent une dimension humoristique à l'histoire. Les scènes avec Annabel sont cocasses, les disputes avec Edward sont drôles.

Confessions d'un quadra à la ramasse est, finalement, une jolie lecture pleine d'espoir et très actuelle. C'est une belle découverte.

Je me suis plongée cette semaine dans ce roman, certes, ce n’est pas une romance de Noël, et pourtant nous le terminons sur le réveillon du nouvel an, donc c’est tout comme ;-)

Plus sérieusement, nous suivons pas à pas l’année de Nell, quarantenaire revenue vivre à Londres après une rupture amoureuse aux États Unis.

Joies de la coloc à 40 ans, questions environnementales existentielles, amies aux familles parfaites (au moins sur le papier), recherche de job, sites de rencontres... tous les sujets y passent au fur et à mesure que nous tournons les pages.

Si c’est un livre qui se lit avec plaisir et qui nous fait sourire à de nombreuses occasions, il nous permet aussi d’appréhender la valeur des choses. De l’amitié, de l’amour, le vrai, de la force de la famille, et surtout, de nous dire que notre vie est celle que l’on souhaite en faire et qu’elle ressemble rarement à une vitrine Instagram.

En tout cas, j’ai adoré, n’hésitez pas !
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Je ne suis pas (encore) quadra, mais l’histoire de Nell m’a touchée. Vous savez, ce poids que la société met sur les femmes, sur ce qu’elles doivent être et accomplir ? C’est ce poids que Nell traine derrière elle comme un boulet, ce poids qui impacte son présent autant que son avenir.



Parce que Nell a 40 ans et que sa destinée toute tracée, se marier, avoir des enfants, vient de voler en éclats. Plus de compagnon, plus de boulot, retour à la case à départ, à Londres où elle n’a ni toit ni job. C’est la déprime totale ! Et encore plus lorsqu’elle se rend compte que Londres a changé en son absence et que se loger va devenir compliqué avec son manque de moyens. Elle n’aura donc pas le choix et devra accepter une chambre chez l’habitant.



Alors Nell s’installe chez Edward, un homme ultra rigide avec qui la cohabitation ne sera pas simple, pas de chauffage, chaque chose à ranger à une place bien précise, le quotidien ne sera pas bien joyeux à ses côtés. Elle va se démener à reconstruire sa vie, faire des rencontres, trouver un travail.



Mais surtout, elle va prendre conscience. A travers ses confessions, elle crise contre les dictats de la société, elle fait entendre sa voix et va vite se rendre compte qu’elle trouve écho chez ceux qui l’écouteront. Peu à peu, Nell se libère des chaines de la société, elle se déleste de tout ce qui la plombe et ose suivre ses envies. Ainsi, à travers une comédie britannique délicieusement loufoque, Alexandra Potter évoque des sujets de société très actuels. Et ça fait du bien de lire Nell, ses peurs, sa colère et de réaliser qu’on peut nous aussi inventer une vie qui nous convienne, même si elle ne respecte pas les injonctions des uns ou des autres.
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