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Critiques de Alexandre Ostrovski (12)
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Un amour tardif

Tout d'abord merci à Babelio et aux éditions Tertium pour cette masse critique . Alexandre Ostrovski -1823_1886_ est un écrivain russe" prédécesseur de Tchekov dans l'histoire du théâtre russe".Un amour tardif est en effet une pièce de théâtre en 4 actes représentative de son temps et de son siècle .

Une maison plus que modeste, Madame Chablova et ses deux fils y vivent . Madame Chablova pour survivre a deux locataires ,Margaritov avoué de l'Etat et Ludmilla sa fillle plus très jeune . Nicolas l'aîné des fils est avocat mais a été gagné par le goût du luxe , de l'acool et du jeu . Dormedonte le cadet est plus sage et est amoureux de Ludmilla qui elle ne voit que Nicolas. Amour, argent, reconnaissance de dettes ...

Une comédie bien rythmée que j'aurais préféré sans aucun doute découvrir sur une scène . Qui sait un jour peut-être ?
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Un amour tardif

Merci à l'opération Masse critique et aux Editions Terbium pour l'envoi de ce livre, accompagné d'une carte manuscrite de l'éditeur, petite attention appréciée…



J'ai passé un moment fort agréable à la lecture de cette pièce d'Alexandre Ostrovski, écrivain que je connaissais fort peu; tout au plus, savais-je qu'il avait inspiré deux opéras : Katya Kabanova de Janacek et La reine des neiges de Rimsky-Korsakov. Or il s'avère qu'il est fort connu en Russie… Dommage que les frontières empêchent les oeuvres de se faire connaître à l'étranger…



La trame est bien décrite dans la quatrième de couverture, je ne ferai donc que l'esquisser : Ludmilla, plus très jeune, et son père louent deux chambres chez une cartomancienne. Celle-ci a deux fils, l'aîné, Nicolas intelligent mais qui a dilapidé sa fortune et sa réputation, poursuivi par ses créanciers, , et le cadet, Dormedonte, raisonnable et amoureux de Ludmilla. Celle-ci lui préfère toutefois Nicolas et pour lui est prête à tout pour lui éviter déshonneur ou suicide. Sur l'instigation de Nicolas, lui-même influencé par une femme sans scrupules, elle subtilise à son père une traite pour renflouer Nicolas.

Il y aura bien entendu un happy end que je ne vous dévoilerai pas…



C'est une belle histoire d'une femme se sacrifiant par amour, l'auteur réussit à la rendre très émouvante.

Il nous décrit le monde dans lequel nous vivons, plein de tentations et de mensonges, un monde où s'affrontent riches et pauvres, le bien et le mal.



J'ai trouvé intéressante également l'évolution du caractère du fils prodigue, évolution menant au happy end.

Il y a de l'action, j'aimerais voir un jour cette pièce au théâtre.
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L'Orage

Dans cette ville loin de Moscou, Dikoï, riche marchand parvenu, règne sur une société enfermée dans ses traditions et ses certitudes. Tyrannique et colérique tout le monde le craint, surtout son neveu, Boris, venu de Moscou réclamer sa part d'héritage.



Boris jeune homme de la grande ville devient le parfait élément perturbateur, car il a la mauvaise idée de tomber amoureux de Katerina, la jeune épouse romantique de Tikhon, un jeune homme veule qui vit sous le jouc d'une mère possessive.

Marivaudage tragique au bord de la Volga, passion contre raison : qui va l'emporter dans cette petite vie triste archaïque qui broie chaque individu?

"L'orage" la pièce la plus célèbre d'Alexandre Ostrovski créée en 1859 et c'est une belle idée. Nouveaux riches incultes, petite bourgeoisie cyniquement mercantile, retour de la morale religieuse et surtout l'ennui qui se noie dans la Vodka ou dans la Volga.



Il faudra beaucoup de courage aux deux amoureux pour vaincre la peur que distille le monde qui les entoure.


Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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La forêt

Né en 1825 et mort en 1886, Alexandre Ostrovski est souvent présenté comme le véritable fondateur du théâtre russe, auquel il va fournir un répertoire d’environ cinquante pièces. Fils d’un avocat au tribunal de commerce de Moscou, dans lequel il va travailler par la suite, il a l’occasion d’observer l’univers et les mœurs du monde des marchands, qui va lui offrir le décor de la plupart de ses pièces. Ses débuts d’auteur dramatique sont difficiles, sa première pièce Entre proches on s’arrange, est interdite par la censure tsariste, à cause entre autres de son grand réalisme. Ostrovski met en évidence deux traits de l’univers qu’il décrit : le manque de probité des marchands, pour lesquels la malhonnêteté dans les affaires est non une tare, mais une qualité indispensable pour réussir, et la dureté des relations familiales. Le modèle traditionnel patriarcale qui règne dans les milieux qu’il dépeint est très cruel et très rétrograde. Son théâtre s’impose progressivement sur les scènes de son pays, même si certaines de ses pièces sont censurées, et à la veille de sa mort il est nommé au poste de directeur du répertoire des théâtres impériaux de Moscou. Il semble toujours très joué en Russie, même si sa renommée n’a pas beaucoup franchi les frontières, il est surtout connu pour sa pièce La tempête, en partie parce qu’elle a été adaptée en opéra par Leoš Janáček sous le titre de Katia Kabanova.



La forêt, une des pièces les plus importantes d’Ostrovski, a été publiée et jouée pour la première fois en 1871. Nous sommes en province, chez une riche veuve, Raïssa Pavlovna. Elle a recueilli une jeune fille, Aksiucha, à qui elle veut faire épouser, Aleksei, le fils d’une de ses amies, pauvre lui aussi. Mais Aksiucha aime Piotr, le fils d’un marchand des environs, avec qui Raïssa Pavlovna est en affaires. Arrive soudainement son neveu, à qui elle doit une part de son héritage, il s’est fait comédien, ce qu’il cache soigneusement à sa tante. Cette dernière se fait voler par le marchand à qui elle venait de vendre un morceau de forêt, mais son neveu récupère l’argent dû. Mais Raïssa Pavlovna dévoile ses batteries : elle s’est mise d’accord avec Aleksei pour se marier avec lui, malgré la différence d'âge, et elles s’apprête donc à chasser Aksiucha sans la doter, ce qui est la condition que met le père de Piotr pour autoriser le mariage des jeunes gens. Aksiucha, enceinte, au bord du désespoir, balance entre le suicide et un départ avec les comédiens. Mais son frère la sauve : il arrache sa part d’héritage à Raïssa Pavlovna, qui aurait bien aimé le garder, et en fait cadeau à Aksiucha, en repartant aussi pauvre qu’il est venu.



La pièce est incontestablement d’une grande efficacité, et d’une vraie puissance dramatique : l’intrigue s’emboîte parfaitement, et la pièce contient une succession de scènes fortes, avec une charge émotive réelle. On pourrait toutefois trouver un manque de subtilité, en particulier dans les personnages, Raïssa Pavlovna est à proprement parler monstrueuse, d’égoïsme, de volonté de dominer. Le père de Piotr, insensible et malhonnête, n’a presque rien d’humain. Mais c’est un peu le principe de ce théâtre, de dessiner des personnages un peu extrêmes, des caractères en somme. Sans doute un peu univoque, il doit être difficile de multiplier des lectures différentes de ce texte. Même si l'univers le décor, est un peu proche, nous n’avons pas les clairs-obscurs que Tchekhov va y mettre.
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L'Orage

C'est parce que je suis allée voir "L'orage" d'Alexandre Ostrovski au théâtre des Bouffes du nord à Paris dans la nouvelle adaptation de Laurent Mauvignier mise en scène par Denis Podalydès que j'ai lu le texte de cette pièce du dramaturge russe.

Je le découvre alors qu'il s'est consacré à la scène en écrivant près de cinquante pièces de 1847 à sa mort en 1886 et que sa réputation est immense dans son pays. Il a aussi travaillé à créer une école d'art dramatique russe.

C'est effectivement le drame qui domine dans "L'orage".

Si l'amour entre Katerina et Boris est au centre de la pièce, la violence des rapports humains est toujours présente.

Loin de Moscou, sur les bords de la Volga, Kouliguine l'utopiste, reste émerveillé par la beauté de la nature. Pourtant, on sent le poids écrasant de la religion, de l'inculture, de l'alcool, dans un système social figé, dominé par les marchands. Pour ces derniers l'âpreté au gain et l'exercice de la tyrannie vont de pair avec une certaine piété. Mais cette religion est fondée sur la peur et non sur l'amour. Alors, lorsque Katerina tombe amoureuse de Boris, elle est hantée par la conscience du péché et la peur de l'enfer car elle est mariée.

Il est vrai que le théâtre d'Ostrovski pose un regard critique sur le pouvoir des institutions familiales, religieuses, mercantiles et politiques.

Malgré une fin tragique, le portrait de la jeune Katerina annonce une réaction au despotisme bien que j'aurai aimé qu'elle vive pour sa liberté. C'est sa belle-soeur Varvara qui va partir, n'acceptant plus ces carcans, belle figure féminine d'une jeunesse qui aspire à l'amour.

Comme l'a écrit Denis Podalydès "L'orage" d'Alexandre Ostrovski est "Une pièce d'hier pour aujourd'hui".





Challenge Riquiqui 2023

Challenge Coeur d'artichaut 2023

Challenge Multi-défis 2023

Challenge XIXème siècle 2023

Challenge ABC 2022-2023

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La sans-dot

Larissa est jeune, jolie et chante bien. Voilà de quoi attirer bien des hommes mais cela est-il seulement suffisant lorsque l’on ne possède ni fortune, ni dot ? Tout ceci ennuie bien Mme Ogoudalova, sa mère, qui ne ménage pas ses efforts pour que sa fille se marie « bien ». Mais la beauté de la demoiselle et les manigances de sa mère peuvent-elles suffire à déclencher un amour sincère chez ceux qui gravitent autour de Larissa ? Entre Knourov, très riche mais âgé, Paratov, un riche et jeune armateur et Vojévatov plutôt snob, Karandychev simple fonctionnaire, a-t-il toutes ses chances ?

Un grand merci à Babelio et à Tertium Editions de m’avoir permis de découvrir Alexandre Ostrovski et une de ses nombreuses pièces de théâtre. Moi qui aime beaucoup les auteurs russes, j’ai été ravie de découvrir et lire cet écrivain et d’être transportée en Russie, au bord de la Volga, au XIXème siècle au milieu de ses personnages.

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La sans-dot

On retrouve dans cette pièce de théâtre d'Alexandre Ostrovski sur la Russie de la fin du XIXe siècle, la difficulté d’être d’une jeune femme intelligente, mais sans dot, Larissa, tiraillée entre l’envie de réaliser ses désirs et la nécessité d’un bon « placement social » : un mariage de raison.

Larissa et sa mère, la veuve Ogoudalova sont entourées d’une cour de bourgeois cyniques qui gravitent autour de la jeune femme. La traductrice a beaucoup de mérite d’avoir rendu à cette œuvre un côté moderne où se mêlent l’humour, les mots d’esprits et le cynisme des personnages.

Je remercie aux Éditions Tertium et à Babelio dans le cadre de la Masse Critique de m'avoir permis de lire ce livre.

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L'Orage

Il est parfois dans la littérature de ces unions qui sonnent en même temps comme des défis et des symbioses. Ainsi cette pièce de théâtre de 1859 d’Alexandre OSTROVSKI adaptée, modernisée par Laurent MAUVIGNIER. Pour se faire, ce dernier a pris appui sur la traduction de 1889 signée Émile DURAND-GRÉVILLE. Notons en passant que d’autres traductions ont vu le jour depuis, notamment celle de André MARKOWICZ chez Les Solitaires Intempestifs en 2005.



Le scénario semble affreusement banal : une famille. La mère, Kabanova, acariâtre et autoritaire, protectrice de son fils Kabanov, homme effacé et soumis, marié à Katerina, femme malheureuse qui aimerait tant aimer, être aimée, s’épanouir et se libérer. Cette Katerina s’est entichée d’un jeune amant, Boris, petit-neveu du notable dogmatique Dikoï, homme méprisant et humiliant, alors qu’un orage s’approche... C’est sur cette base qui pourrait vite devenir poreuse que se joue cette tragédie. Avec presque rien donc. Et pourtant quelle émotion s’en dégage !



MAUVIGNIER n’est pas un débutant dans le théâtre, ni dans la littérature russe. Aussi il sait parfaitement où il met le pied. Je n’ai malheureusement pas pu avoir à ce jour accès à la traduction originale de cette pièce d’Alexandre OSTROVSKI, il ne me sera donc pas permis de comparer les deux œuvres, mais cela importe-t-il tant ? Car il faut bien se mettre en tête que si la version d’OSTROVSKI se déroule au XIXe siècle, celle de MAUVIGNIER prend sa source au XXIe, c’est-à-dire nous est tous points contemporaine.



Humm, pas évident de prime abord cette contemporanéité. Le style d’écriture est classique, un peu suranné (volontairement ?), comme pour rendre hommage au théâtre russe du XIXe siècle. Mais si l’on sait lire entre les lignes, l’histoire d’OSTROVSKI transposée de nos jours est une pure allégorie. Les personnages de Kabanova et Dikoï, deux êtres brutaux sans foi ni loi, de ceux qui ne tolèrent ni le compromis ni la contradiction, pourraient bien être les paraboles de qui vous savez du côté du Kremlin ou de la direction des armées, une violence exacerbée par le rôle pas tellement secondaire de l’orage. Comme dans tout totalitarisme, chez MAUVIGNIER seul le jugement de la mort compte, d’autant que l’auteur est ici encore une fois rattrapé par l’un des thèmes majeurs de son oeuvre : le suicide.



« L’orage » n’est pas un texte à prendre à la légère car il reflète avec justesse tout un théâtre russe dramatique du XIXe siècle (et l’occasion de constater une fois de plus que chez les russes, la littérature fut une raison de vivre, un combat permanent, y compris celui de moderniser et d’inventer). De plus, réécrit par MAUVIGNIER il devient universel, à la fois contemporain et historique, il devient force. Et l’allégorie n’en est que plus remarquable.



« Voilà ce que c’est, notre ville, cher monsieur. Ils ont fait un boulevard pour que le vide s’étire les jambes et se sente bien à l’aise ! Un boulevard où personne ne se promène, à part peut-être les jours de fêtes, pour que les bourgeois puissent montrer la garde-robe de madame et le complet de monsieur. Il y a bien de temps en temps des employés ivres morts qui traînent en sortant d’un bar, mais c’est tout. Les pauvres n’ont pas le temps de se promener, ils triment jour et nuit ».



Cette pièce de MAUVIGNIER fut jouée sur scène à partir de janvier 2023, c’est dire si elle est récente, elle est mise en scène par Denis PODALYDÈS, je serais fort curieux de voir le résultat tellement cette version papier m’a paru convaincante. Encore une réussite dans l’œuvre de Laurent MAUVIGNIER, à coup sûr l’un des auteurs français actuels les plus puissants, les plus cohérents et les plus originaux, les plus variés, qui ne rechigne pas à prendre des risques malgré (ou grâce à ?) sa notoriété. Cette pièce deviendra-t-elle peut-être un jour à son tour un classique ? C’est tout le mal qu’on lui souhaite. Comme l’ensemble de l’œuvre fictionnelle de MAUVIGNIER, elle est sortie chez Minuit.



https://deslivresrances.blogspot.com/
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L'Orage

Riche beau, bien écrit.

Une pièce sur le bord de la Volga où l'on suit des marchands, des couples un peu trop tranquilles, coincés entre leurs parents et des envies de liberté, entre la tradition et le progrès.



Beau, inventif, ironique pour moi c'est superbe et très fort.
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La forêt

C’est du classique, nous sommes chez un dramaturge russe du XIXème siècle, il écrit du théâtre de mœurs. Jeune, il observe ses semblables.



De ces observations, il nous propose cette comédie en cinq actes. Comédie pas méchante pour un sou mais très distrayante. Car, avouons-le, j’ai réussi à être surprise par un des coups de théâtres.

Nous sommes vraiment sur du théâtre gentillet : les serviteurs campent des rôles typiques : dévoués ou de commères ; tous les personnages en veulent à l’argent de mamie. Mamie étant une vieille veuve dévouée à sa famille, mais qui vend consciencieusement des parts de son domaine (La Forêt) car elle a très justement une idée derrière la tête. Pendant ce temps les amants complotent pour s’enfuir ensemble, alors que le neveu prodigue arrive déguisé de pied en cape !



Oh, il n’a pas inventé, ni réinventé le théâtre, mais c’est un plaisir à lire. Comme un bon film, un bon divertissement très réussi.
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Un amour tardif

Cette pièce de Théâtre m'a énormément plus, elle nous dépeint les Us et Coutumes de l'époque, surtout celle de la bourgeoisie, notamment ici de Madame Lébiodkina, une riche veuve et de Nicolas, le fil de Madame Chablova, cartomancienne, chez qui logent Ludmilla et son père, un avocat ruiné.

J'ai été embarqué dès le début, par l'histoire de Nicolas, de son frère Dormedonte, qui lui est amoureux de Ludmilla, je ne me suis pas ennuyé une seconde, face à ses deux hommes, à l'opposé l'un de l'autre, je me suis demandé tout du long si Nicolas allait adhérer au programme mis au point par Madame Lébiodkina, qui se montre être une vraie conspiratrice pour avoir ce qu'elle veut. Ludmilla, elle est prête à tous pour celui qu'elle aime, je me suis dit mais bon sens, ouvre les yeux et tu verras son vrai visage. J'ai été surprise par la prise conscience de Nicolas. Par contre, j'aurais voulu que Dormedonte, se batte pour avoir celle qu'il aime, même si on peut comprendre pourquoi, il ne le fait pas au vu de l'époque.

Une pièce de Théâtre captivante et passionnante du début à la fin.
Lien : http://jewelrybyaly.blogspot..
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L'Orage

L'orage est une pièce de théâtre qui reprend les codes des valets et des amants bourgeois dont l'amour est impossible. La pièce montre le pouvoir et la pression qu'exerce la mère sur son fils, prenant le rôle de belle-mère toute puissante vis-à-vis de Katarína.

Le fils est une simple marionnette incapable de se révolter.

Le thème de la rébellion est accolé à celui de la religion qui encadre la mentalité des personnages et leurs mœurs.



La pièce est bonne mais ne détache pas plus de pertinence. L'écriture simple et familière entache la lecture.
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