Alice Quinn

Je viens de lire « La lettre froissée - Une enquête à la Belle-Epoque tome 1 », roman d'Alice QUINN.



La jolie couverture et le résumé fort alléchant m'ont de suite interpellée et j'ai eu très envie de découvrir ce livre se déroulant à la Belle-Epoque, période que j'aime beaucoup et j'ai ainsi découvert la très belle plume de cette auteure.



Aline QUINN nous embarque à Cannes en 1884 où nous suivons les protagonistes très attachants de ce livre : Miss Fletcher, aristocrate anglaise ruinée, Miss Lola (alias Filoména) jeune courtisane abandonnée et l'écrivain Guy de Maupassant. Tous trois vont chercher à élucider les secrets liés au décès de Clara, femme de chambre et amie d'enfance de Lola, qu'ils ont retrouvée sans vie dans le parc du grand hôtel où travaillait la défunte.



L'histoire est originale et prenante. L'intrigue bien menée et pleine de rebondissements. L'auteur décrit à merveille le milieu de la prostitution, les us et coutumes de l'époque, la ville de Cannes, station balnéaire très prisée où notables élisaient leurs quartiers durant plusieurs mois et où écrivains, ducs, princesses vivaient dans l'opulence alors que la classe populaire travaillait d'arrache-pied pour survivre, vivant dans le dénuement le plus complet. Elle souligne également la condition de la femme au 19ème siècle et aborde avec pudeur un sujet tabou à l'époque : l'homosexualité féminine.



J'ai ADORE ce polar historique intrigant et extrêmement bien documenté qui se lit d'une traite tant les personnages sont vrais, pétillants et attachants.



Je lirai assurément d'autres romans de cette auteure et j'attends avec impatience la suite de ce récit.



Excellent moment de lecture !

Je continue petit à petit, ma lancée dans la vie de Rosie avec grand plaisir et remercie l’auteure de m’avoir accordé sa confiance pour toute la série.







Encore une fois (diront certains), Cri cri, se retrouve avec un gosse de plus et encore un amoureux foireux. Certains n’apprennent jamais ;).







Mais même si on pourrait y voir une récurrence, ce n’est pas du tout le cas. Les enfants, les situations et les amoureux étant totalement différents à chaque livre.







La seule chose que l’on pourrait donc vraiment reprocher à Cri cri, c’est son cœur d’artichaut mais c’est aussi un cœur de mère, donc peut-on vraiment lui reprocher d’avoir un défaut somme toute dérisoire ? Ce n’est pas comme si elle se droguait ou se faisait passer avant ses enfants….







Sa fille ainé prend un peu plus de poids dans ce tome, on s’aperçoit que c’est une petite fille très intelligente, enfin on l’avait déjà vu dans les tomes précédents mais là c’est exponentiel…







Encore une fois, les apparences sont vachement trompeuses et les méchants ne sont pas forcément ceux que l’on croit.







Dans ce tome, Rosie, se fait de nouveaux amis très sympa et somme toute très normaux, après tout que ceux qui n’ont pas déjà eu un burn out jettent la première pierre… Certes, là leurs psychose sont extrêmes, mais ce n’est pas que un policier, c’est aussi un chick lit donc à part me faire rire, cela ne m’a pas dérangée plus que ça.







Rosie, commence petit à petit s’en forcément s’en rendre compte à accepter qu’on s’inquiète pour elle et qu’on veuille prendre soin d’elle mais elle reste quand même très indépendante.







J’ai bien aimé que l’auteure intègre à l’histoire des éléments réels qui se sont passé dans les journaux ou à la météo, ça donne un petit coté plus sympa à l’histoire.







Bilan de ce livre, je déteste toujours autant Borelli , il est proprement infoutu de faire confiance à Cricri alors qu’elle a des intuitions du tonnerre et qu’a chaque fois, c’est elle qui résous les enquêtes. J’ai hâte d’attaquer le quatrième tome sur mémé Ruth car je brûle de savoir ce que contiennent les papiers qu’elle à retrouvé dans sa caravane….







Si vous n’avez toujours pas commencé cette série, vite foncez, du policier, de l’humour, de l’amour, de l’histoire, que demandez de plus ?




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Je continue la découverte des romans publiés par Amazon Publishing avec La lettre froissée d'Alice Quinn. Grâce à NetGalley, j'ai eu l'occasion de lire plusieurs romans issus de cette maison d'édition et pour l'instant, je n'ai jamais été déçue. Jusqu'à maintenant je n'avais lu que des romances et des romans fantastiques, j'explore un nouveau genre, le policier historique, avec La lettre froissée.



Lorsque Miss Fletcher se présente à la villa "Les Pavots", elle n'imaginait pas un seul instant l'étonnante aventure qu'elle allait vivre au côté de Lola, une jeune courtisane et Maupassant, le fameux romancier. Après le meurtre de la meilleure amie de Lola, nos trois compères s'élancent à la poursuite de l'assassin.



Je dois vous avouer que j'ai souhaité découvrir ce roman parce que Maupassant était un des héros. En tant que fan de l'auteur, je ne pouvais pas passer à coté de l'occasion de le voir prendre vie. Pour cela, je trouve qu'Alice Quinn a été à la hauteur de mes espérances. L'envie de partir enquêter à ses côtés ne m'a pas quitté de tout le roman. Personnage intelligent et perspicace, Maupassant montre aussi quelques petits signes de frivolité. Il ne peut s’empêcher de flirté avec les femmes notamment Miss Fletcher. Il fait d'ailleurs sa connaissance ainsi que celle de Lola par un malheureux concours de circonstances : il vient leur annoncer la mise en vente de la villa "Les Pavots". Il se prend rapidement d'affection pour les deux jeunes femmes et propose à Lola de l'aider dans ses activités en la faisant côtoyer la bourgeoisie cannoise. Au cours d'une sortie mondaine, ils découvrent le corps de Clara, une très bonne amie de Lola, femme de chambre dans un grand hôtel. Voyant la police et le directeur de l'hôtel étouffer l'affaire, nos héros décident d’enquêter. L'enquête les mènera des beaux hôtels cannois aux bas-fonds de la ville, mais aussi dans un mystérieux orphelinat. Chacun va mettre à profit ses connaissances et talents pour découvrir l'assassin.



La lettre froissée est un roman policier qui vous plonge véritablement dans le Cannes de la Belle Époque. On sent que l'auteure s'est beaucoup documentée pour nous retranscrire fidèlement l'ambiance. Elle décrit les us et coutumes de l'époque, mais elle met aussi dans la bouche de ses personnages des expressions utilisées à la fin du 19e. La lettre froissée est un roman très vivant avec des personnages attachants et haut en couleur. Lola sous ses airs de nunuche écervelée se révèle être le personnage le plus intéressant du trio. Très intelligente, elle use de stratagèmes et de ses charmes pour manipuler les hommes, mais aussi Miss Fletcher qui nourrit des sentiments amoureux pour elle. Observatrice, elle analyse tout et comprend rapidement les intentions des personnes qu'elle rencontre. J'ai moins accroché avec Miss Fletcher qui a un coté dépressif un peu agaçant. C'est pourtant un personnage avec un fort potentiel qui j'espère sera exploité dans le prochain tome.



En conclusion, La lettre froissée est un policier historique très réussi. Alice Quinn, que je ne connaissais pas, nous propose une intrigue prenante et un univers parfaitement maîtrisé. J'espère retrouver notre duo d'héroïnes très rapidement.
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La lettre froissée est un roman historique policier d’Alice Quinn dont l’intrigue se situe à Cannes en 1884. La station balnéaire est alors une destination privilégiée pour les têtes couronnées d’Europe qui s’y retrouvent dans divers hôtels de luxe et salons pendant l’hiver. Dans les coulisses toutefois, la réalité est moins glamour et de nombreuses femmes, y compris des femmes issues de la bourgeoisie, sont vouées à la prostitution pour survivre. Elles cherchent à pénétrer cette vie mondaine en devenant actrices, chanteuses ou courtisanes (voire souvent tout cela à la fois).



La narratrice, Gabriella Fletcher, est une Anglaise de bonne famille mais désargentée. A 36 ans, elle est toujours célibataire et doit travailler pour subvenir à ses besoins, sa réputation ayant souffert d’une aventure lesbienne avec une femme de la haute société. Elle s’éprend de Lola, une jeune courtisane fantasque d’une vingtaine d’années qui tente de se faire un nom pour survivre dans cet univers impitoyable.



Suite à un concours de circonstances, Lola et Gabriella font équipe avec Guy de Maupassant (le célèbre écrivain est le principal personnage masculin du récit) pour élucider le meurtre de Clara Campo, une amie d’enfance de Lola qui officiait comme femme de chambre à l’hôtel Beau Rivage.



Si l’intrigue est originale, son exécution est malheureusement ratée et le roman dans son ensemble souffre d’un manque de vraisemblance et d’historicité. On est loin des romans historiques lesbiens de Sarah Waters et j’avoue avoir eu beaucoup de mal avec le style de l’auteure. Il faut dire qu’il s’agit d’un roman léger destiné à des lectrices qui cherchent avant tout le divertissement. Le dénouement de l’intrigue policière est surprenant et bien trouvé mais relaté de manière excessivement théâtrale. C’est dommage, et en ce qui me concerne je ne suis pas prête de relire un roman d’Alice Quinn.



J’AI AIMÉ…

- La description de la société cannoise et des lieux de plaisir plus ou moins cachés en cette fin de XIXe siècle

- Le personnage de Gabriella Fletcher, plutôt attachant et atypique

- La liberté prise par l’auteure avec le personnage de Guy de Maupassant, dont elle fait un homme rusé, intéressé mais aussi ouvert d’esprit et généreux



J’AI MOINS AIMÉ…

- Le manque d’historicité, dans les dialogues en particulier

- Le style d’écriture, très peu subtil
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Je remercie l’auteure pour sa confiance et l’envoi de ce service presse pour Rainbow Library.



Je continue lentement mais sûrement mon chemin au travers du monde fantastique de Cricri.



La couverture est sobre avec des pointes de couleurs flashies. J’adore.



J’aime toujours autant l’écriture de l’auteure, simple, fluide, toujours le mot pour rire même si il y a du sérieux.



Cette fois ci, le résumé nous vend de l’histoire en plus de l’enquête policière et c’est du lourd. La description est tout à fait représentative du livre mais surtout de la série.



J’en suis au quatrième tome et je suis toujours aussi accro à cette série. Je ne saurais dire pourquoi, je pense que c’est surtout grâce à Cricri qui est vraiment « madame tout le monde », une jeune maman qui protège ses enfants et cherche de quoi boucler les fins de mois. Par contre le reste ne vient que de l’imagination de l’auteure et elle en a beaucoup. Pas un seul des quatre livres ne se ressemble.



J’avais hâte à la fin du tome trois d’en savoir plus sur les papiers laissés par mémé Ruth et je n’ai pas été déçue (ou si peu). J’ai encore appris un morceau d’histoire que je ne connaissais pas et si le trésor n’était pas à la hauteur de mes espérances, Cricri à quand même trouvé autre chose. Une amie et elle s’est « rapprochée » de sa grand-mère.



Comme d’habitude, j’ai beaucoup ri malgré certaines situations sérieuses, je déteste toujours autant Borelli…. J’espère retrouver Rosie et sa petite famille dans un cinquième tome un jour.


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Le roman est intéressant et se lit rapidement.

Si j’ai apprécié les idées générales j’ai par contre eu plus de difficultés avec la partie humour. Je pense que malheureusement les policiers ou thrillers avec de l’humour ne sont pas pour moi…



Les personnages sont attachants et on se prend rapidement d’affection pour eux. Ils sont particuliers et n’ont pas peur de dire ce qu’ils pensent. J’ai vraiment apprécié certains traits de leurs caractères.

Il n’y a malheureusement pas de scènes dramatiques ou sérieuses et c’est ce que je reproche un peu à l’histoire… Mettre quelques scènes ou quelques paroles d’humour pourquoi pas mais c’est vrai qu’ici il n’y a que cela et j’ai été perturbée…

Les retournements de situations ne sont présents que lorsque c’est nécessaire ce qui est une bonne chose !

Les chapitres sont assez courts dans l’ensemble. Par contre je me suis parfois demandé pourquoi l’auteure changeait de chapitre alors que c’était la suite directe du précédent…



Les points de vue ne sont malheureusement pas assez différents pour que l’on se mette dans la peau de tous les protagonistes. Je pense que cela aurait pu être intéressant d’avoir d’autres visions à chaque changement de chapitres par exemple.

D’autres personnages secondaires mais pourtant importants sont un peu souvent oubliés, ce qui est dommage selon moi.



Le style de l’auteure est fluide et on a toujours envie de savoir ce qui va se passer ensuite, c’est donc agréable de ne pas se sentir obligé de finir le livre.

La fin est un peu différente de celle que je m’étais imaginé, mais elle correspond bien aussi à l’état d’esprit du roman.

Ce livre est le tome 4 d’une série, je n’ai pas lu les précédents et même s’il y a parfois quelques références aux autres tomes ce n’est pas gênant et on comprend l’intégralité de l’histoire.

En résumé, si vous aimez l’humour, les histoires d’enquêtes policières et de secrets de famille alors je vous conseille de lire ce roman, vous passerez sans aucun doute un bon moment.


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Comme vous pourrez le remarquer, sur la première de couverture, il est noté que c'est le tome 2. Je n'ai pas oublié de communiquer avec vous sur le tome 1 n'ayez crainte ! Ces tomes peuvent se lire indépendamment des autres.





Je tenais à remercier Alice pour cette gentille dédicace !





La question que vous vous demandez c'est est-ce que j'ai passé un bon moment lecture ? Oui ! Et je vais tout vous dire ou presque...





Rosie est une héroïne qui n'a vraiment pas de bol ! D'ailleurs, son nom de famille lui va comme un gant "Maldonne" ! C'est une femme qui a un grand cœur, elle est très généreuse mais son porte-monnaie ne suit pas malheureusement. Elle a du mal à joindre les deux bouts et elle aimerait faire plaisir à tout le monde ! A ses enfants, ceux dont elle s'occupe... Subvenir à leur besoin les plus importants lui est assez difficile, ajoutez à cela les cadeaux qu'ils veulent pour les fêtes de Noël, c'est mission impossible ! Mais rien n'est impossible pour Ethan Hunt ! Tom Cruise sort de ce corps ! Il suffit à Rosie de trouver un job ! Le hic avec Rosie, si elle est généreuse, elle est aussi naïve...





Rosie va tenir compagnie à une personne âgée, désagréable mais riche ! Alors qu'est-ce que trois heures par jour pour le bonheur de ses enfants ? Rien sauf que ça ne va pas tout à fait se passer comme on pourrait l'imaginer. Dès le second jour, il est assassiné ! Qui va se retrouver suspecté de cet homicide ? Je vous le donne en mille, c'est Rosie ! Pourquoi alors que c'est elle qui a prévenu ? Tout simplement parce qu'elle a décidé de toucher le cadavre et que Max (le vieil homme) avait commandé des jouets pour ses enfants la veille... Mais rien ne dit que ce n'est pas Rosie qui a utilisé cet ordinateur pour faire des achats en utilisant la carte bancaire du vieillard...





Voilà qu'elle va devoir partir en quête de la vérité ! Rosie cherchera par tous les moyens possible et inimaginable pour découvrir le véritable coupable quitte à se mettre dans des situations des plus improbables. Rosie a un langage bien à elle, ce qui parfois peut être inquiétant mais heureusement qu'elle est pragmatique et arrive à rebondir assez vite.





C'est ainsi que l'on va suivre la vie trépidante de Rosie, à la recherche de la vérité et de ce fichu diamant ! Ce roman est riche en intrigues et pleins de rebondissements ! Vous n'aurez pas le temps de vous ennuyer mais peut-être de vous inquiéter pour cette pauvre Rosie et l'avenir de ses enfants qui dépendent d'elle...





Alice Quinn a un style bien à elle ! Elle traite des thèmes de recherches sur Internet, des faux en matière de tableaux, des héritages, des enquêtes et des indices subtilisés. Le ton de l'auteur se veut humoristique pour décrire son personnage qui est vraiment haut en couleur ! Ouvrage qui se veut léger malgré tout et idéal pour un moment de détente.
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Au vu du résumé, je m'attendais à une histoire un peu loufoque, amusante. Et, en effet, c'est le cas. C'est un livre ... particulier, cela, je ne peux le nier.

De plus, l'humour y est bien présent. À plusieurs reprises, j'ai trouvé la situation assez comique ! Cela donne toujours un plus à notre lecture.

Plusieurs petits retournements de situation ont lieu. Cela permet de pimenter le récit et, forcément, de ne pas se lasser. En fait, jusqu'au bout, j'ai eu envie de voir comment tout allait évoluer : si Ranko et ses amis allaient s'en sortir, si le voleur allait être arrêter, etc. D'ailleurs, je pense que 215 pages est tout à fait adéquat : plus aurait pu commencer à m'ennuyer.

Ensuite, Alice Quinn change de style en fonction du personnage. Par exemple, pour Ranko, elle utilise un style plus familier, plus "jeune". Tandis que pour Victoria, elle va plutôt avoir un langage courant. J'ai trouvé que ...
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Décidément, j'ai énormément de chance dans mes découvertes! Je viens de finir Un palace en enfer, et laissez-moi vous dire que ce roman est un vrai petit bijou!



Le résumé semble plutôt ordinaire : Rosie, mère de trois enfants (on apprendra par la suite que seuls deux sont vraiment à elle), reine de la débrouille, vit dans une caravane, sur un terrain vague, et doit faire avec le peu d'argent qu'elle a pour survivre. Travail au noir, RMI, tout est bon pour nourrir ses trois enfants. Car elle est comme ça Rosie, elle fait passer ses enfants avant tout.



Elle se prend à rêver d'un monde meilleur, et qui pourrait le lui en vouloir? Mais voilà, parfois les rêves deviennent réalité. Elle tombe sur plusieurs enveloppes remplies de billets dans les poubelles d'un McDo (note à moi-même, faire attention au contenu des poubelles à l'avenir). Et ce sont les ennuis qui commencent pour notre héroïne.



Drôle, survolté, Un palace en enfer nous entraine dans le quotidien d'une véritable héroïne des temps modernes. Rosie n'a pas de super pouvoirs, elle ne possède pas de dragons et elle n'a aucune idée de la manière dont on utilise un flingue. En revanche, elle peut vous en apprendre un rayon sur le système D. Comment s'occuper de trois enfants en bas âge. Comment éviter de se faire repérer par les services sociaux. Comment terminer les difficiles fins de mois.



Rosie EST une héroïne. Réaliste, sans chichi ni faux semblant. Elle n'a pas sa langue dans sa poche et on l'aime pour cela. Alors oui, l'histoire paraît rocambolesque. Mais après tout, c'est bien pour cela que ça s'appelle une fiction. Et puis, si l'histoire semble complètement surréaliste, les personnages eux sont bien réels. Tout comme certaines situations dans les milieux administratifs notamment. Je ne vous en dis pas plus pour ne pas vous gâcher l'histoire.



En tout cas, je découvre un nouvel auteur à mettre dans ma PAL. Alice Quinn a un style d'écriture particulier. Narration au premier degré, langage châtié, mais au final, cela renforce le côté réaliste des personnages. Nous sommes Rosie et Rosie est nous, c'est aussi simple que cela. Je l'ai tout de suite adoptée, et je n'en doute pas que vous en ferez autant car il est impossible de la détester.

Pour un personnage de papier, elle est tellement vivante. Et au fond, je suis certaine qu'elle l'est. Parce que notre pays est rempli de Rosie Maldonne. Des jeunes femmes courageuses, mais pas aidées par notre système.



Truculent, spontané et aussi dénonciateur, Un palace en enfer est un excellent roman, à la fois drôle et d'une certaine manière, quelque peu tragique. J'ai hâte de retrouver Rosie et cie pour de nouvelles aventures.



Je vous recommande très vivement de lire ce livre. C'est un de mes coups de coeur du moment et il vaut vraiment la peine d'être lu.

Best-seller numérique, voici un très chouette polar mené tambour battant par Alice Quinn. Ce n’est pas souvent qu’on découvre un nouvel archétype en littérature, pourtant Rosie Maldonne est de ceux-là. Jeune maman super sexy qui élève comme elle peut sa flopée de gosses (dont la moitié ne lui appartient pas) dans sa caravane sur un terrain vague, Rosie a un sacré franc-parler. De la chance ? De l’éducation ? Elle n’en a jamais eu. Mais – et c’est là toute la richesse du personnage – elle n’en a absolument pas conscience ! Au contraire, c’est une croqueuse de vie qui jongle comme elle peut entre son RSA et un maigre boulot au black. La vie est dure, mais elle compense par une pêche d’enfer : elle aura ses ennemis à l’usure.

Le personnage est follement drôle à se jeter dans les embrouilles avec un enthousiasme qui laisse tous les protagonistes perplexes. Et on rit ! On rit quand elle fait les poubelles et y découvre des liasses de billets. On rit quand elle est poursuivie par des mafieux avec ses quatre gosses dont deux en poussette. On rit un peu moins quand on apprend le kidnapping du bébé de son amie, mais heureusement, Rosie combat les méchants au culot. Son solide bon sens et une intelligence très intuitive ont vite fait de désarçonner ceux qui l’ont vulgairement reléguée au rang de « cas social ». Et on s’attache aussi, car passée la surprise, Rosie est un personnage qu’on ne peut qu’aimer.

Un roman policier féminin assez loufoque et qui donne envie pour une lecture légère et divertissante !



Pour le côté loufoque et divertissant, c'est un sans-faute. On sourit souvent, les évènements inattendus et cocasses s'enchaînent : cette Rosie a un vrai don pour se fourrer dans des situations alambiquées au impossible !



Là où j'ai pris moins de plaisir (à vrai dire ça a même été difficile au départ) c'est le style qui laisse un peu à désirer... Certes notre héroïne a un langage fleuri et familier (qui tend régulièrement à la grossièreté même) mais pour le coup tout le roman est écrit comme de sa main et c'est parfois dérangeant, pour ne pas dire désagréable. A mon sens on n'écrit pas comme on parle, désolée, quand bien même cela reflète le personnage. Ok dans les dialogues et pour quelques expressions issues des pensées du personnage mais pas plus.

Ce n'est donc pas véritablement un défaut puisque c'est volontaire, plutôt un mauvais calcul pour moi. Je ne suis cependant pas certaine que cette forme dérangera tous les lecteurs, chacun sa sensibilité !



L'ensemble se lit toutefois assez vite, c'est fluide et rythmé.

Rosie et son petit monde s'avère attachants et malgré quelques rebondissements improbables on a envie de connaître le fin mot de l'histoire.



En résumé c'est un roman amusant et léger malgré un style un peu trop argotique et familier à mon goût !
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Garantie 200% anti-morosité, le roman d'Alice Quinn est une fiction trépidante, loufoque et optimiste.

Rosie Maldonne est une femme époustouflante et ses déboires ont la particularité de nous faire sourire, même si sa situation personnelle semble complètement désespérée. Aznavour chantait : "II me semble que la misère / Serait moins pénible au soleil."

La vie de Rosie, c'est tout à fait ça !

Dans un style populaire, l'auteur réussit un roman déjanté avec une pointe de polar.

Impossible de lâcher le livre une fois commencé. On s'attache aux personnages avec une facilité déconcertante. On ressort revigoré de cette lecture en souhaitant ardemment une suite à cette aventure.
Lien : http://bibliobleu.blogspot.fr

Lien : http://www.alice-quinn.com

J'AI TROOOOOOP AIMÉ CETTE HISTOIRE. Je veux avoir un chat comme Poker. Merci à mes parents qui m'ont offert ce roman pour mon anniversaire. J'ai tout lu en seulement une journée. J'adore les histoires, l'art et je ne pouvais rêver de mieux de voir mes deux hobbies en un seul! OMGGGGGGGGGGG LISEZ-CE LIVRE!!!

Quel plaisir de retrouver notre Poker et ses acolytes !

Et avec une invitée de choix : La Joconde en personne !

Ce nouvel opus est aussi prenant que les deux premiers.

Énormément d'action, de suspense et de soupçons quant au "crimier" !

Un très bon moment qu'on ne voit pas passer !

Bref, j'ai adoré !

Je le recommande fortement aux fans de Cosy mystery et de chats.

Poker, une nouvelle fois est déterminant pour résoudre cette nouvelle enquête !

On oublie pas Calypso évidemment, ancienne star de télé novellas et toute sa bande de joyeux lurons ...

Vivement le tome 4 !!!

Mystère, plaisir et humour

Un chat, un meurtre (ou peut-être deux ?!!), du champagne et vous voilà embarqué dans une enquête aux multiples rebondissements.

J'ai adoré Poker, le chat, et sa façon si particulière de communiquer des indices. Mais évidemment, n'est pas détective qui veut...

Je vous recommande vivement ce livre et ai hâte de lire la suite des aventures du chat du rocher.

Sur le Rocher, Calypso, sa loufoque tante Peggy et le chat Poker sont invités à réveillonner chez l’horripilante Lady Margaret.Lors de cette soirée un meurtre est commis et c’est le début d’une nouvelle enquête…

Dans ce livre vous allez retrouver tous les ingrédients d’un bon cosy mysterie : gourmandises, moments cocooning Celui-ci étant une version Noël on y trouve de petites touches des traditions du Sud de la France.Vous allez craquer pour tous ces personnages attachants que j’ai personnellement beaucoup aimé retrouver notamment les pensées du Chat Poker qui sont à mourir de rire. Les auteures n’ont pas oublié qu’il s’agit d’un roman avec enquête et celle ci est à nouveau très bien menée.

J’étais impatiente de retrouver Poker, le chat détective pour un cosy mystery qui se passe en plus à Noël. L’ambiance de la fête n’est pas aussi présente que dans une romance de Noël, mais j’ai apprécié le décor.



On retrouve Calypso quelques mois après le tome 1. Elle galère à écrire son roman, mais Lady Margaret, une figure du Rocher, vient la débaucher (et surtout Poker) pour découvrir qui veut l’assassiner. Calypso n’est pas très convaincu, mais devra vite se rendre à l’évidence. La menace était réelle.



Lors d’un dîner de Noël digne d’un Cluedo, la liste des suspects s’étoffe et le commissaire Pavlov va, à nouveau, devoir enquêter avec une actrice à la retraite et un chat dans les pattes. Poker est, comme dans le premier tome, exceptionnel : il semble avoir tout compris depuis le début ! Et Calypso qui ne comprend pas ce qu’il veut lui dire : c’est très drôle !



J’ai bien aimé les échanges entre Calypso et le commissaire et j’aurai voulu en lire plus. Ce dernier semble lui faire une place dans l’enquête mais ce n’est pas encore la franche complicité… Ca viendra… enfin j’espère 😉



J’ai trouvé l’enquête très bien menée. Même si j’avais des soupçons sur le coupable depuis un moment, la fin m’a tout de même un peu surprise. Quant à l’épilogue, je n’ai qu’un mot à dire : vivement le tome 3 !
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Quel plaisir de retrouver Calypso dans cette nouvelle enquête ! Invitée avec sa tante Peggy et le chat Poker chez la riche Lady Margaret pour le réveillon de Noël, elle est chargée de démasquer qui pourrait en vouloir à sa vie.

En effet, derrière ses sourires et ses belles manières, Lady Margaret est odieuse avec ses proches, même avec ses propres enfants. Et n'hésite pas à les rabaisser en public, tout en jouant sur la corde sensible de l'héritage.

Les lumières s'éteignent, un verre se brise, avant l'arrivée du dessert...qui ne se passe pas comme prévu.



Démarre alors une intrigue très bien ficelée, où chaque invité devient suspect. Une histoire d'empoisonnement digne d'Agatha Christie, avec une belle touche d'humour, des personnages toujours haut en couleur et un chat fin observateur, qui, même sans la parole, sait mettre la patte sur des indices clés et aider face au danger.



Calypso, se servant toujours de son expérience d'actrice et de son rôle de détective, explore chaque piste, avec un train d'avance sur le commandant Vadim Pavlov. D'ailleurs, est-ce que l'ambiance de Noël ne serait pas propice à un petit rapprochement ?



Sandra Nelson et Alice Quinn nous offrent une histoire pleine de rebondissements, j'ai trouvé que leur style s'était affiné avec ce second tome, un "who done it" bien mené entre secrets de famille, mensonges, et un fantôme qui ne demande qu'à révéler la vérité.



Si vous ne connaissez pas cette série, n'hésitez pas. Ce cosy mystery est à découvrir dans l'abonnement Kindle et il existe en broché également.

Joseph est quelqu’un de profondément gentil et attentif aux autres. Son quotidien de prof est simple et calme. C’est un homme meurtri par la mort de sa femme et la séparation que lui impose sa fille. Mais arrive une nouvelle voisine et en même temps un événement soudain vient bouleverser sa routine, sa vie et remettre en question son existence paisible.



J’ai vraiment adoré ce livre vers lequel j’ai été attirée du fait de l’expérience familiale que j’ai en commun avec Joseph. Les personnages sont attachants et l’écriture est jolie, délicate et précise.



Et qui ne s’attacherait pas à Pouf, ce gentil petit chien, qui nous raconte son quotidien. L’idée de lui faire raconter son vécu , sa séparation avec son enfant, sa quête pour le retrouver et toutes les expériences sur le chemin, est un vrai régal.



Un roman attendrissant, parfois triste mais aussi très positif, qui fait chaud au cœur. Je l’ai écouté en audiobook et la lecture était excellente.