Anna Jacobs

Le premier était pas trop mal..., le second bof bof.

J'ai vraiment un soucis l'écriture, que je trouve peu recherchée. C'est basique et ça manque cruede nuances et même de vocabulaire.

C'est très naïf, peut-être du à l'époque à laquelle ce roman se déroule.

Pas certaine de lire le 3ème tome.

Dans l'ensemble, j'ai apprécié ce roman. Peut-être parce que je l'ai lu en mode détente, sous le soleil.

Ce livre m'a un peu donné l'impression de regarder un téléfilm, comme ceux qui passaient en période de vacances d'été. Ça va de rebondissements en rebondissements... Peut-être un peu trop par moment, ça fait beaucoup pour une seule personne.

C'est typiquement le genre de roman des éditions "l'archipel ".

Ça ressemble un peu à du Tamara McKinley mais en moins bien.

Contre toute attente, Swan Hill nous présente non seulement deux personnages principaux, mais également une vieille fille et son frère, ainsi qu'un père à la recherche de son fils. La présence de ces multiples protagonistes apporte des rebondissements, mais empêche de développer un attachement réel envers l'héroïne Isabella.



J'ai été déçue par le décor trop "décoratif". Je n'ai pas ressenti l'immersion dans l'Australie coloniale, ce vaste territoire sauvage et indompté. En réalité, l'histoire aurait pu se dérouler dans n'importe quelle colonie du XIXe siècle. De plus, l'aspect historique n'est pas suffisamment exploité, et seule la description des vêtements féminins nous donne une vague impression de l'atmosphère de l'époque. Il me semble d'ailleurs que l'auteure souhaitait insuffler une dimension féministe à son roman, mais si un message était présent, il n'a pas été transmis.



Enfin, c'est une histoire où la gentillesse triomphe toujours du mal. Donc le roman est plutôt ordinaire, même s'il n'est pas désagréable à lire.

Quelle belle traversée en compagnie de Maura, la tante de Bram, veuve, mariée à une brute.

Maura part en Australie pour ramener à Bram son frère Ryan , sa sœur Noreen, et sa nièce Brenna, tous trois devenus orphelins suite au typhus qui a dévasté leur village en Irlande.

Une très belle traversée, tourmentée par la tempête, des discordes mais aussi une histoire d'amour naissante.....

J'ai adoré ce troisième tome de Swan hill, un très bon moment de lecture passé en compagnie de toutes ces familles de la saga déterminées à se faire une place à Swan hill ......

Une très belle saga nous entraînant à Singapour, à Galles, au canal de Suez où a eu lieu l'inauguration et naturellement en Australie toujours dans les années 1860 .

La suite du tome 1que j'ai lu avec autant de plaisir .

On retrouve Isabella et Bram dans leur" bazar " en plein essor et leur famille qui s'agrandit....

Puis arrive la sœur de Bram ,Ismay ,qui s'est sauvée pour rejoindre son frère en Australie, martyrisée par son père et son petit ami en Irlande.

Son voyage connaîtra beaucoup d'embûches .....

Anna Jacobs nous fait voyager à travers l'Irlande, l'Angleterre et Singapour toujours dans les années 1860 .

Flora, la sœur de Dougal , décide de quitter sa mère et la pension de famille et part avec son frère à Singapour où elle va faire une rencontre inespérée.....

Une très belle histoire et toujours cette envie de connaître la suite de cette saga.

Que dire de ce premier tome de la saga Swan hill, si ce n'est que j'ai adoré.

Un livre historique des années 1860 et romancée.

On part à la découverte des coutumes chinoises dans les rues de Singapour où l'on fait la connaissance d'Isabella qui devient précepteur d'anglais de la famille Lee ,ceux -ci désirant faire prospérer leur commerce.

Isabella fait la connaissance de Bram et Dougal, arrivés à Singapour en bateau pour se ravitailler en marchandise...... Elle repart avec eux à Swan hill en Australie afin de retrouver sa cousine Alice.....

Quelle belle saga ! On traverse le temps, on découvre les traditions, les coutumes, la dure labeur du travail pour gagner leur vie dans les années 1860 .

J'enchaîne avec le tome 2 hâte de continuer l'aventure en leur compagnie.

Bravo Anna Jacobs pour cette saga qui me fait voyager

Je remercie Babelio et Archi Poche de m'avoir permis de découvrir ce roman.



Je partais avec un petit a priori parce je redoutais une énième romance sous fond de découverte d'un autre pays, avec des éléments trop gros pour être vrais... Comme j'ai pu le voir dans d'autres romans de ce type.



Et bien non j'ai été agréablement surprise. Oui l'histoire est plutôt simple mais bien travaillée avec pas mal de personnages variés que l'on a envie de suivre.



Un bon moment de lecture avec les thématiques de la famille, la violence, l'alcoolisme familial, l'accès à la culture, l'indépendance, la maternité, le deuil, le renouveau...



Par contre gros bémol: IL NE FAUT ABSOLUMENT PAS LIRE LA 4E DE COUVERTURE car cela révèle ce qui arrive à plus de la moitié du roman !! Je n'ose pas lire celle du 2e tome ... Et je préfère le titre en anglais qui est beaucoup plus proche de l'histoire The Irish sisters.

Cette saga familiale était très agréable à lire , riche en évènements qui s'enchainent avec beaucoup de fluidité, avec une belle construction d'écriture.

Cette romance permet une évasion de l'esprit, sans laisser un moindre répit, tant la romance est truffée de rebondissements!.

Certains personnages se montrent odieux, de part leur personnalité et leurs agissements...mais, en face de ceux ci, se révèlent des humains au caractère d'une grande noblesse, dotés de courage et persévérance...ce qui les rend très attachants.

Une trilogie qui permet de se détendre !.

Dans ce nouveau tome de la saga de Swan Hill, de Anna Jacobs, c'est la jeune Ismay Deagan, la sœur de Bram, que nous allons découvrir et dont nous allons suivre le périple.

Nous sommes en 1868 en Irlande et Ismay n'attend qu'une chose : pouvoir rejoindre son frère Bram en Australie, lui que nous avions laissé à la fin du premier tome à la tête d'un magasin florissant et d'une famille épanouie.

Mais pour Ismay, l'avenir s'annonce sombre : son père souhaite qu'elle devienne l'épouse de Rory Flynn, un voisin qu'elle exècre depuis l'enfance, mais qui est près à tout pour obtenir sa main.



Et quand je dis à tout… les lecteurs qui connaissent déjà Anna Jacobs savent qu'elle n'a pas pour habitude d'épargner ses personnages, et Ismay ne fera donc pas exception. Nous allons ensuite la suivre lors de son exil et faire avec elle les rencontres qui bouleverseront sa vie.



Comme à mon habitude, ce roman a été lu très rapidement. Anna Jacobs a une écriture très addictive, les péripéties qui s'enchaînent donnent toujours envie de lire un chapitre supplémentaire avant de reposer son livre.

Cependant, c'est déjà le 5e livre que je lis de l'autrice, et j'avoue que j'ai vu venir certains événements. Le parcours d'Ismay m'a beaucoup rappelé celui de Cassandra dans le premier tome de sa trilogie, ce que j'ai trouvé un peu dommage.

Heureusement, les choses évoluent au fur et à mesure du roman et l'histoire prend finalement un autre chemin. Mais je ne peux, encore une fois, que déplorer le côté caricatural de certains personnages de ces romans. Je pense que les intrigues gagneraient en qualité à faire dans la subtilité. Ici, j'ai parfois presque l'impression d'être sur du plaisir coupable^^



A ma décharge, le roman comme les précédents aborde tout de même toujours des questions importantes, qui soulèvent les problématiques propres à la condition de la femme à la fin du 19e siècle, telles que l'indépendance et le rôle de la femme et de l'épouse, la toute puissance du père/de l'époux, l'éducation des filles, les violences sexuelles, l'importance des statuts sociaux…



J'ai eu plaisir à revoir les personnages du premier tome, mais également le personnage de Livia, dont nous avons fait la connaissance dans la trilogie de Cassandra. Je suis ravie de la retrouver et j'ai hâte de découvrir ce que l'autrice lui réserve. Le parcours de Flora m'a également fait très plaisir, c'est un personnage qui a souffert et ce qu'elle obtient n'est finalement que justice.

J'ai également beaucoup apprécié le personnage d'Ismay, un personnage féminin fort et déterminé, ainsi que celui de Harriet, protectrice, généreuse et terriblement attachante. Je suis un peu plus mitigée sur le personnage de Adam, certaines de ses réactions m'ont laissée dubitative et j'attends d'en voir plus. J'avoue que généralement, j'ai tendance à préférer les personnages féminins de Anna Jacobs, et j'aime voir la solidarité qui se noue entre ces femmes, quand les hommes sont souvent plus repliés sur leur petit univers.



En tout cas, il reste encore beaucoup à traiter, des personnages du premier tome étaient absents de celui-ci, d'autres ont évolué et doivent encore avancer… vivement le tome 3 pour découvrir tout ça !

J'ai préféré ce deuxième tome au premier car dans celui-ci, on se concentre d'avantage sur les soeurs de Cassandra. Surtout Pandora puisque ayant le mal du pays et apprenant qu'elle et ses soeurs héritent du magasin de leur oncle, elle décide de repartir dans son pays natal.

Le voyage ne sera pas sans quelques péripéties mais c'est cela que j'ai aimé dans ce tome, c'est que rien n'est trop simple.

On suit également des personnages habitant toujours en Angleterre comme les employés du magasin ou encore les notaires. Cela permet de se projeter quand à l'arrivée de Pandora sur le sol britannique.

Il y a toujours une partie de romance mais ce n'est pas mielleux aussi cela ne m'a pas dérangé.

C'est avec grand plaisir que je lirai la suite et fin de cette saga.

Si vous aimez les romans historiques sous fond d’aventures le premier tome de cette saga vous plaira forcément.



Grâce à l’aventure Archipoche, je découvre la plume d’Anna Jacobs et j’ai beaucoup aimé voyager entre l’Irlande et l’Australie du XIXième siècle : le dépaysement est garanti.



J’ai aimé suivre le destin de ces hommes et de ces femmes à la conquête d’une vie meilleure et de liberté.

Côté personnages, j’ai eu une préférence pour Keara, cette jeune femme que la vie n’a pas épargnée (père alcoolique, orpheline …), elle est toujours prête à aider les autres quitte à mettre son propre bonheur entre parenthèses.



Même si j’ai trouvé certaines longueurs, les rebondissements et l’intrigue me donnent envie de découvrir la suite.

Suite au manque de coton, lié à la guerre de sécession, les filatures ne fournissent plus d'emploi. La pauvreté s'installe.

Cassandra essaie de survivre avec son père Edwin et ses trois sœurs. La vie est difficile pour beaucoup. Moins pour leur oncle et leur tante mais cette dernière a prit en grippe les 4 jeunes filles et va manigancer jusqu'à obtenir leur départ pour l'Australie.

Une histoire qui montre combien la vie pouvait vite devenir très difficile au 19è siècle. Les personnages sont attachants, j'ai retrouvé l'esprit de Jane Austen et d'Elizabeth Gaskell.

Une nouvelle vie s'offre pour les sœurs Blake en Australie, pays encore "en friche" ou beaucoup de choses restes à construire.

Il y a quelques temps déjà, j’ai lu la saga Cassandra et ses sœurs d’Anna Jacobs. J’avais trouvé ces romans rafraîchissants, alors, quand j’ai vu qu’une nouvelle saga s’amorçait, j’ai eu envie de tenter. Pour moi qui n’aime pas les romances, ces œuvres-là ont le bon dosage : de l’aventure, des contrées lointaines et des histoires de cœur en trame de fond.



Le récit débute en Irlande, dans les années 1860. Keara Michaels vit avec sa famille et leur pauvreté n’a d’égal que le courage de la jeune fille. Keara aime profondément les siens, mais le destin lui révèle de bien cruelles aventures : plus d’une séparation l’attend, et bientôt, l’Australie qu’elle devra découvrir seule. Dans le même temps, Mark Gibson se fait chercheur d’or pour fuir les siens, et, tente de refaire sa vie en ouvrant une auberge, en Australie également.



Tout d’abord, la plume d’Anna Jacobs est toujours aussi fluide et agréable à suivre. Le lecteur est emporté en avant dans l’histoire, happé par le destin des personnages, et curieux de savoir ce que le sort leur réserve. La misère du petit peuple est très bien présentée, la souffrance morale et physique de Keara et des siens est perceptible, le côté enfant gâté de Lavinia – l’épouse du Maître du domaine – est parfaitement rendu, tout comme le caractère jovial de son mari l’est. L’autrice sait faire parcourir le souffle de l’inconnu entre les pages de ses livres, elle sait insuffler le rêve d’Ailleurs et l’espoir de renouveau. Cela fonctionne donc très bien. L’alternance entre l’histoire de Mark et celle de Keara est très bien orchestrée et cela fournit un rythme des plus agréables.



Les personnages du roman sont bien construits et nous interpellent. Le père de Keara est tout bonnement détestable et il est pensé pour faire cet effet, à mon avis. Keara force le respect à tous points de vue – même si elle est presque un peu trop parfaite à mon goût. Je trouve cette héroïne un peu plus convenue que ne l’était Cassandra, elle a le piquant de son sens de la répartie et de son esprit libre, mais elle reste une pauvre jeune femme, à la merci des puissants, et qui s’en remet volontiers à ceux qu’elle pense capables de l’aider. Théo Mullane est l’archétype du maître de maison dans les romances : beau, assez riche, malheureux en couple… il est un homme à femmes, mais sa vie sera bouleversée par les actions de son épouse et par une rencontre. Une fois encore, ce portrait masculin est peut être un peu trop lisse pour moi. J’y retrouve trop de choses attendues. Lavinia par contre excelle à devenir détestable au lecteur : et c’est toujours un tour de force de rendre un être haïssable dans un roman sans tomber dans la caricature. C’est le cas ici : chacun de ses actes la rend puérile et versatile, mauvaise et rancunière, mais tout se construit patiemment jusqu’à ce qu’éclate son mauvais fond. Le crescendo est délectable et crée une véritable dynamique. Finalement, ses actions portent en grande partie le récit. En dehors de cela, j’ai beaucoup aimé le personnage de Mark: il est droit, fier, juste et il réfléchit. Fort de sa conscience et de son ardeur au travail, il est l’un des personnages les plus positifs… bien qu’on ne lui épargne pas grand chose, à lui non plus.



J’ai dévoré ce roman en deux après-midi, donc il est impossible de dire que sa lecture soit malaisée ou désagréable, loin de là. Pour autant, je ne suis pas pleinement convaincue cette fois-ci. J’ai malheureusement très vite compris comment les choses allaient tourner. Je n’ai pas vraiment été surprise par l’évolution des personnages ni par leur destin, et cela m’a un peu chiffonnée. J’ai eu l’impression de lire une version à la fois similaire et différente de Cassandra, et il faut dire que la recette est assez proche : des jeunes femmes pauvres, heurtées par la misère et la méchanceté humaine, la découverte d’un Ailleurs – de manière plus ou moins volontaire -, la question des enfants nés hors mariage, l’envie de refonder sa vie, de repartir de zéro, le choc des cultures, les embûches une fois arrivés en Australie… Bien entendu, tout ceci fonctionne très bien, et comme je le disais plus haut, mais j’aime être surprise, décontenancée et là, cela n’a pas été le cas.



Ainsi, si vous êtes fan de romances douces parcourues du souffle de l’évasion, jetez-vous sur Les Pionnières, si vous avez envie d’une lecture tranquille et dépaysante, ne boudez pas votre plaisir ; mais n’attendez pas forcément un soupçon d’originalité qui chamboulera vos sens de lecteur. C’est là mon vrai regret. En conclusion, Les Pionnières est une très agréable lecture, avec laquelle j’ai passé un doux moment, malgré la déception d’une structure déjà connue.
Lien : https://lesreveriesdisis.com..

C'est grâce à un partenariat avec NetGalley & les Editions L'Archipel que je découvre le premier tome de cette saga. Je ne connaissais pas l'auteur mais j'ai été conquise par sa plume et l'ambiance qu'elle retranscrit dans son écrit à la lecture de ce roman. Grâce à ses mots, j'ai été transporté dans l'Irlande et l'Australie des années 1850/1860. A travers ce roman où l'on découvre deux destins croisés, l'auteure aborde les différences sociales de l'Irlande mais aussi de l'amour et la force de la famille. Même si certaines actions sont prévisibles et qu'il y a quelques longueurs, j'ai été agréablement surprise par cette lecture et je ne manquerai pas de lire la suite quand elle sera publiée. Merci à NetGalley & aux Editions L'Archipel pour la découverte. 

Voilà, je clôture mon voyage dans l'outback australien aux côtés des sœurs Blake. J'ai découvert cette trilogie il y a un an et je dois dire que j'ai été absolument conquise par la plume de l'auteure et le magnifique voyage qu'elle nous a fait vivre.



Je suis vraiment satisfaite du dénouement et je suis vraiment heureuse pour les différents personnages.



◇



Dans ce tome ci nous suivons les jumelles qui sont diamétralement opposé. L'une est casanière tandis que l'autre veut voir le monde. L'une est timide et douce tandis que l'autre ne se laisse pas démonter par les personnes qui l'entourent. Mais elles sont inséparables et nous suivons leurs périples alors que, pour la premières fois, elles vont se séparer.



Je me suis beaucoup attachée aux personnages. Et dans ce roman ils sont tous tellement admirable, ils se battent pour vivre décemment, pour la justice et pour enfin avoir la vie qu'ils souhaitent.



Il y a des rebondissements, même si au début je trouvais ce tome plus calme, lors de la dernière partie les rebondissements arrivent et cela m'a beaucoup plu.

Dans les autres tomes je me trouvais fascinée par les paysages exceptionnels mais dans celui-ci j'ai trouvé que nous étions beaucoup plus attentif aux personnages, aux émotions.

Après mon gros coup de cœur pour le premier tome de la série Swann Hill - Les Pionniers (spin off de la trilogie des Cassandra) j'attendais avec impatience la suite de cette série (même si hélas, je ne les reçois plus en version papier, que je lisais et relisais)

Et surprise, au lieu de la suite, c'est une nouvelle série qui apparait !



Pas de déception pour autant, Anna Jacobs, c'est toujours aussi addictif et réjouissant. Un vrai régal pour moi cette lecture. Le seul problème c'est de ne pas pouvoir la lâcher même quand j'ai autre chose à faire !



Nous allons cette fois encore voyager entre Angleterre, Irlande et Australie.

Deux histoires distinctes dont on se doute qu'elles finiront par se croiser.

Contrairement à d'autres romans de ce type, si Mark part (fuit même) dès le début pour l'Australie, nous faisons un bout de chemin beaucoup plus long avec Keara sur le vieux continent.

Issue d'une famille irlandaise très pauvre à cause d'un père violent, la jeune fille essaie de faire survivre sa famille comme elle peut. Par chance, il y a dans le village un couple qui, ayant perdu leur fille, est prêt à aider d'autres filles à s'en sortir. Un petit rayon de soleil dans un quotidien terriblement difficile.

Keara, dont la famille dépend entièrement du "maître" du lieu, est obligée de partir dans le Lancashire si elle veut continuer à aider les siens. Elle y est très malheureuse malgré quelques retours vers l'Irlande toujours trop courts.

De malheurs en péripéties, elle se retrouve finalement en Australie, où elle doit recommencer une vie à partir de vraiment rien. Là encore, une amitié imprévue va éclairer le roman et réchauffer le coeur.

Pendant ce temps, les ennuis de Mark, une fois qu'il aura compris qu'être chercheur d'or n'est vraiment pas sa destinée, seront essentiellement causés par la rigidité de certaines religions. C'est bien souvent que nous voyons dans ces romans combien une façon dévoyée de considérer la religion peut faire le malheur de beaucoup, combien les "hommes de Dieu" ou qui se considèrent comme tels gâchent des vies par leur attitude.



Bien entendu, il y aura des coïncidences impossibles, des rencontres attendues et "trop belles pour être vraies" mais ce qui m'importe, c'est le plaisir que j'ai à lire. Ces romans éclairent mes journées, et même si d'une certaine façon il y a une vraie fin à ce roman, j'attends avec impatience la suite des aventures de Keara, de Mark, de Theo et de Maggie.



J'aime bien lire en numérique, je trouve cela bien pratique en tous lieux, même si j'aimerais aussi avoir la version papier pour m'y replonger au hasard des pages.

Mais dommage que la mise en page sur Kindle ne soit pas terrible : beaucoup d'espaces incongrues. On pense toujours que c'est un intervalle voulu, mais non. Et des astérisques qui se promènent bizarrement (apparemment séparation de chapitres, notamment quand on passe d'un lieu à l'autre, mais pas uniquement). Ca rend la lecture moins agréable.



Comme dans chaque roman de ce type, j'apprécierais beaucoup une carte schématique d'Australie, pour se repérer dans les différents lieux, parfois proches parfois très éloignés.
Lien : https://livresjeunessejangel..

Un gros coup de cœur pour le premier tome de cette saga. Un récit qui nous relie par moment à la grande histoire.

On ne peut qu’être admiratif du parcours de ces sœurs qui malgré tout ce qu’elles subiront comme coups durs dans la vie iront toujours de l’avant. Elles sont vraiment captivantes, pourtant elles mènent une vie difficile et austère dans les territoires très reculés de l’Australie. Des personnages pourvus d’une grande humanité, qui malgré les difficultés de la vie viennent en aide aux autres sans hésiter.

Une merveilleuse saga historique qui saura captiver les amateurs de ce genre de lecture.



1861, nous sommes dans le Lancashire, Edwin Blake vit avec ses 4 filles : Cassandra, Xanthe, Maia et Pandora.

Suite à la crise du coton qui sévit en Amérique, les filatures anglaises ferment les unes après les autres. Sources principales de revenus des habitants, ceux-ci se retrouvent dans la misère la plus profonde.

La famille Blake n’y échappe pas et la mort du père conduit la famille à la ruine la plus complète.

Cassandra qui fréquente Reece voit tout espoir de bonheur disparaître quand celui-ci décide de partir en Australie où un avenir meilleur lui est promis.

Heureusement dans leur malheur, les sœurs Blake sont aidées par leur oncle, celui-ci est propriétaire d’un magasin d’alimentation qui prospère et il ne peut supporter de voir ses nièces dépérir. Cette générosité déclenche la colère d’Isabel, son épouse, une femme acariâtre et malfaisante.

Pour se venger, Isabel fait enlever Cassandra par des voyous qui vont la séquestrer dans un bordel et abuser d’elle à leur guise. Isabel ordonne aux trois sœurs de partir pour l’Australie si elles veulent revoir Cassandra vivante. Heureusement, Cassandra parviendra à s’échapper et parviendra à embarquer sur le même bateau que ses sœurs pour l’Australie. Cassandra y retrouvera-t-elle Reece ? Une nouvelle vie attend les quatre sœurs en Australie.

Merci aux éditions de l'Archipel et à Netgalley de m'avoir permis de découvrir cette auteur dont c'est le premier livre que je lis.

J'aime beaucoup ces histoires d'émigrants qui abandonnent leur pays dans l'espoir de jours meilleurs.

A ce titre, je peux d'ailleurs vous conseiller "Les émigrants" de Moberg (des Suédois émigrant vers l'Amérique) ou "Dia-Linn" de Marie Pierre Bardou (des Irlandais partant en Amérique).



Ce roman avait donc tout pour me plaire. Et il m'a plu ! Tant au niveau de l'histoire qu'au niveau des personnages. Je l'ai lu quasiment d'une traite, et je lirai sans aucun doute le suivant avec beaucoup de plaisir.



La première partie du roman nous invite à découvrir le quotidien des personnages, et leur histoire personnelle qui les conduira à émigrer. Soit par choix, soit pour fuir, soit parce qu'ils y sont contraints. En particulier la jeune Keara, jeune femme au père alcoolique, aux origines modestes mais pleine de ressources et dévouée.

Le récit alterne entre l'Irlande avec Keara et l'Australie, avec un autre personnage principal, Mark, jeune homme qui fuit sa famille car il ne veut pas s'engager avec une femme. Mark commence à céder aux sirènes de la recherche d'or pour finalement s'installer comme aubergiste.

Au fil du récit, l'histoire de ces deux personnes va converger pour devenir un récit commun.



Tous les ingrédients sont réunis pour nous faire passer un bon moment : action, histoire d'amour, trahison, suspense (un peu).

Et comme tout n'est pas résolu à la fin du premier tome, il nous tarde de lire le suivant.

Véritable coup de coeur.



J'ai reçu ce livre lors de l'opération Masse Critique Littérature.



Je l'avais déjà repéré il y a quelques temps et il me tentait énormément, je suis très contente de l'avoir reçu et j'ai littéralement adoré.



La plume de l'auteur est douce, on voyage, on découvre les coutumes et les moeurs de l'époque des années 1800.



Les personnages sont tous à la fois attachant et détestable. On lit ce livre sans s'arrêter. On est pris par les lignes, on est ému, touché, on ressent beaucoup d'émotions.



Ce que j'ai le plus aimé, c'est l'époque, ce livre fait penser à un livre historique, on est plongé dans le passé et on a vraiment l'impression d'évoluer avec les personnages.



Je le recommande à tout ceux qui aiment les romans d'histoire, qui veulent en savoir plus sur la vie de l'époque dans les années 1800, si vous voulez voyager en restant chez vous.



Un immense coup de coeur et je remercie les Éditions Archipel et Babelio pour m'avoir parmi de découvrir cette merveille littéraire qui mérite d'être lue.



Eline du compte @meslivresdepoche
Lien : https://www.instagram.com/me..

Une sympathique fresque d'une autre époque qui nous transporte à Singapour puis en Australie

Beaucoup de personnages sont attachants comme Isabella, Bram, Flora, d'autres énervants voire inquiétants. Heureusement cela se termine bien et on a hâte de connaître la suite de leurs aventures dans cette colonie de pionniers où tout semble possible pour qui a envie de travailler et de bonnes idées

Je remercie Net Galley et les Éditions de l'Archipel de m'avoir permis de lire ce livre

#NetGalleyFrance

#SwanHill