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Critiques de Anneliese Mackintosh (66)
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Le putain d'énorme livre du bonheur qui va to..

Je suis passée complètement à côté de ce livre.



Je m'attendais vu le titre à un feel good et à passer un bon moment. Mais ce livre ne m'a pas tiré un seul sourire. J'ai même plutôt grincé des dents à plusieurs reprises.



Je n'ai pas réussi à m'attacher à l'héroïne. Ottila McGregor 30 ans alcoolique et fêtarde qui décide d'arrêter de boire et de coucher avec son patron et d'avoir un nouvel amoureux le beau Thalès.

Le putain d'énorme livre du bonheur est une sorte de journal intime.



Si j'ai trouvé original (et encore) la présence de SMS, de mails, de tickets de caisse, de citations, de retranscriptions d'entretiens avec son psy, j'ai trouvé que c'était très brouillon et sans lien. Les 50 premières pages je me suis demandée s'il fallait que je m'équipe d'une boussole pour retrouver le fil de l'histoire.



Ensuite j'ai été gênée par le style. C'est très vulgaire, cracra, familier.



Enfin certaines situations sont vraiment très limites (par exemple sans trop en dévoiler Elle couche avec son patron dans le centre pour cancéreux où elle travaille et se fait attacher grâce à des foulards que portent les malades: je n'ai pas trouvé ça drôle ni sexy mais plutôt gerbant. Et ça ce n'est vraiment pas le pire).



Vite j'oublie et je passe à un putain de bon livre.

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Le putain d'énorme livre du bonheur qui va to..

Je n'ai vraiment rien trouvé de drôle dans ce récit, ni d'attachant il est question d'une sorte d'écriture d'un journal qui va aider Ottila à sortir de son addiction à l'alcool.



L'originalité de ce récit est qu'il est également composé de sms, de snapchat et d'autres documents tel que des tickets de caisses.



Ottila ne m'a pas paru une seule seconde attachante à cause de son énorme penchant pour l'alcool pourtant sa vie familiale est intéressante à suivre. Mais certains éléments m'ont fait rapidement décroché du récit, la scène de viol dans les toilettes comme mentionné dans d'autres avis mais aussi la partie avec les tampons hygiéniques.



Même pour sa vie amoureuse Ottila tombe comme de par hasard sur le frère d'une de ses précédentes relations, le récit était déjà bien tordu et tortueux mais la c'est la goutte d'eau….



De plus le livre est plutôt gros plus de 400 pages j'ai donc du prendre mon mal en patience pour arrivé au bout du tunnel….



Cela aurait pu être une belle découverte mais ce fût tout l'inverse pour mon cas.

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Le putain d'énorme livre du bonheur qui va to..

Quand on ouvre un livre comme ce « Putain d’énorme livre du bonheur qui va tout déchirer », on se doute qu’on va avoir droit au combat quotidien (plus ou moins autobiographique) d’un héros qui va en baver des baquets entiers pour, in fine, triompher de ses démons et retrouver le bonheur. Pas vraiment besoin d’un énorme livre pour nous convaincre du courage qu’il y a à lutter pour vivre. Happy hand, clap de fin !

Alors, quel est l’intérêt d’une telle production ? J’avoue n’avoir pas vraiment saisi la pointe du sujet ! Ce titre et ce qu’en disait l’éditeur avaient un potentiel suffisant pour m’intriguer. Or, l’intrigue dans ce livre s’est révélée totalement absente ! Intriguer suppose susciter de la curiosité, de l’intérêt… Là, par son style, son traitement des idées, le livre a tout faux ! Il est totalement passé à côté de la place qu’il pouvait gagner dans ma bibliothèque.

Tout au plus, dans son acception signifiante d’obsolète, d’entremêlement, le récit peut revendiquer un pâle aspect intrigant tant il arrive à rassembler tout – et souvent n’importe quoi - selon une linéarité aussi caduque que confuse et des personnages ubuesques où il est impossible au lecteur que je suis de se reconnaître, ni en plein, ni en creux, tant ces personnages sont caricaturaux, déjantés, futiles et, le plus souvent (pas toujours, je le concède), vidés des valeurs humaines permettant le vivre ensemble.

Cet énorme livre, même avec une qualification de Putain (avec une majuscule, svp !) n’apporte rien, si ce n’est une allégeance bien inutile à une grossièreté moderne. Cet énorme bouquin ne livre aucune élévation de l’esprit et ne reflète en rien la possible qualité des relations humaines que laissait supposer l’utilisation de quelques belles citations d’humanistes connus (Khalil Gibran, Mère Teresa, Holbrook Jackson, Albert Camus ou encore Bouddha).

Difficile de caractériser l’écriture de l’auteure. Il n’y a aucun style, juste la juxtaposition de différentes notes, relevant tantôt d’une technique épistolaire, tantôt de la rédaction d’un journal intime, de courriels, de sms. Parfois, des notes éparses, des tableaux mémo, des caricatures ou des relevés d’entretiens thérapeutiques. Que tout cela m’est apparu brouillon, brouillon, brouillon ! Avec, en de nombreux endroits des ‘fôtes’ grosses comme des maisons pour, peut-être, sembler mieux coller à la réalité de Ottila, le personnage central de ce roman qui se bat contre ses démons, l’alcool, le sexe, les relations bancales et les amitiés toxiques et même l’amour qu’elle pourrait accueillir.

Bref, un style d’écriture qui ne m’a pas nourri … ce qui ne veut pas dire pour autant que d’autres n’y trouveront pas du sens, du courage pour vivre et des sujets de réflexions profondes. En attribuant une cote très sévère, je ne prétends pas estimer la valeur de ce Putain d’énorme livre numérique de malheur que j’aurais envie de déchirer si j’en disposais en version papier… Je prétends encore moins jauger la valeur de l’auteure, Anneliese Mackintosh. Je souligne seulement l’inadéquation du livre avec mes attentes et le vire définitivement de ma bibliothèque.

En souhaitant, sincèrement, que d’autres l’apprécient à une plus juste valeur et passent un bon moment en sa compagnie. Merci aux organisateurs du Challenge NetGalley, France et à la maison d’édition Milady de m’avoir permis de le découvrir.
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Le putain d'énorme livre du bonheur qui va to..

Décidément, je me retrouve en total contradiction avec la plupart des avis ici quant à mes dernières lectures... En effet, j'avais détesté Les gens heureux lisent et boivent du café que j'avais comparé à une New Romance d'aujourd'hui, les scènes érotiques en moins, la semblable pauvreté de l'écriture et de l'intrigue garantie. Et me voilà à adorer Le putain d'énorme livre du bonheur qui va tout déchirer alors que beaucoup de chroniqueurs n'ont clairement pas aimé leur lecture... Pourtant, pourtant !! Le putain d'énorme livre du bonheur qui va tout déchirer est une putain de bonne lecture qui déchire tout !



Alors oui, certes, Ottila, personnage principal, est un peu particulière, aussi atypique que le format du livre (sur lequel je reviendrai plus bas) : franche voire crue, attachante voire collante et égocentrique voire narcissique (dernier trait de caractère qui a peut-être été la seule ombre au tableau parfois). Et alcoolique, qui plus est. Mais elle se soigne ! Et c'est là tout le point de départ du roman, de son histoire, de son auto-biographie. Malgré son titre à rallonge à la mode, malgré sa couverture guillerette, Le putain d'énorme livre est loin d'être un putain de feel good book ; et c'est tant mieux ! Parce que moi, les feel good books, j'en peux plus... Il n'y a plus que ça sur les tables dans les librairies, tous les romans finissant par se ressembler plus ou moins, et comme la New Romance à l'époque, comme les vampires jadis, la mode bat son plein en attendant d'être remplacée par un futur prochain courant littéraire envahissant. Je me risquais à acheter Le putain d'énorme livre parmi les feel good books et je ne sais véritablement pas ce qui m'a encouragé à tenter l'aventure. J'avais dû le sentir, que ce roman allait me plaire énormément !



Avec Le putain d'énorme livre du bonheur qui va tout déchirer, nous avons la configuration de base du livre qui fait du bien : une poignée de personnages pas trop complexes, une écriture spontanée pratique, un petit peu de romance, une meilleure copine et un ton relativement léger. Mais finalement, Ottila, au fil des pages, verra la vie peser toujours un peu plus sur ses épaules : elle travaille auprès de personnes malades du cancer, elle se bat contre l'alcoolisme qui bousille sa vie, elle a perdu son père et sa mère a l'air relativement fragile. Et c'est déjà à la toute fin de la première partie que le roman devient bien plus grave que ses toutes premières pages, alors que l'héroïne s'interroge énormément sur sa soeur folle à lier qui se trouve dans une situation toujours des plus délicates et somme toute désespérée. L'annonce tombe comme un couperet, Le putain d'énorme livre prend une toute autre allure et gagne en profondeur ; la légèreté nous glisse entre les doigts, Ottila devient plus intéressante et plus complexe, Le putain d'énorme livre n'a plus rien, finalement, du feel good book léger et sans prétention qu'on prédisait. (Ca peut effectivement destabiliser certains lecteurs pas prêts à ce revirement de situation.)



Grace est la meilleure amie de l'héroïne et la relation que les deux filles entretiennent ne manque pas d'évoluer au cours du roman, l'addiction à l'alcool pesant lourd dans la balance. Grace est une fille culottée et débridée qui peut ne pas plaire à tous les lecteurs. La scène ultra choquante dont certains d'entre eux ont parlé dans leurs critiques (d'ailleurs, les spoils, c'est vraiment pas chic !!) et que relate le personnage dans le roman n'est pas apparu dans mon édition poche du livre ! Milady, censurez-vous vos publications ?! Quoi qu'il en soit, j'ai beaucoup aimé voir les personnages de l'auteure évoluer autant page après page. Anneliese Mackintosh les connait comme le dos de sa main et sait alors faire d'eux quelque chose de censé et d'intelligent. Le roman donne cette impression rassurante de servir à quelque chose.



Le livre en lui-même est peu ordinaire dans sa construction. Bien décidée à prendre sa vie en main, Ottila se procure, sans trop croire en lui sans doute, un exemplaire du Petit livre du bonheur mais comme une revanche sur sa vie, comme pour signifier à quel point elle la prend en main, elle va déchirer des pages du livre de développement personnel pour y ajouter des mails et des lettres (car elle adore entretenir une relation épistolaire avec quelques uns des personnages qui l'entourent), des tickets de caisse, des enregistrements d'entretiens avec sa psy, etc. La narration est inhabituelle mais efficace, les dates des mails envoyés et reçus nous aiguillant quant au temps qui passe. Et l'aventure d'Otilla durera alors plusieurs mois durant lesquels des décisions doivent être prises, l'héroïne faisant preuve d'une ténacité et d'un sens de l'humour qui rendent la lecture captivante au point d'engloutir le roman pour finalement, à contre coeur, dire au revoir à des personnages qu'on a appris à aimer à travers les épreuves de leur vie.



J'accorde ★ ★ ★ ★ ★ à Le putain d'énorme livre du bonheur qui va tout déchirer. Ottila est une sacrée nana, un peu délurée mais pas moins remplie d'humanité et qui fait face à des problèmes qu'on pourrait malheureusement rencontrer dans la vraie vie. Le putain d'énorme livre n'a de feel good que la positivité et l'optimisme qui finit par se dégager du roman malgré tout car il est bien plus puissant et porteur d'un message bien plus fort que la plupart des livres à la mode que l'on peut croiser en librairie aujourd'hui. Bravo Anneliese Mackintosh d'avoir créé un personnage aussi attachant et aussi évolutif. Le putain d'énorme livre du bonheur est aussi réussi que les chroniqueurs divisés. C'est surtout, à n'en pas douter, une de mes lectures les plus passionnantes de cette année !
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Le putain d'énorme livre du bonheur qui va to..

Malheureusement ce livre et moi ne nous sommes pas trouvé. Il y a des livres qui sont pour nous, et d'autres pas. Je le déplore sincèrement car à première vue cet ouvrage avait tout pour me plaire. Cette critique ne va pas être des plus simples pour moi, mais je vais tout de même essayer de vous retranscrire le plus justement possible mon ressenti.





J'ai d'abord abandonné ma lecture à un quart du livre. Puis, prise de culpabilité vis à vis de NetGalley et des éditions Milady (que je remercie chaleureusement au passage pour ce service presse numérique) j'ai tenté de poursuivre jusqu'à un tiers. Cependant cela n'a pas suffit à aiguiser mon intérêt. J'ai donc lu la suite en grande diagonale et lu la fin. J'ai essayé, vraiment. J'aime lire un livre de feel-good de temps en temps ou encore de la chick-lit. Mais ce livre n'est pas pour moi.





Je ne me suis absolument pas attachée aux personnages, quels qu'ils soient. Je n'ai eu aucune empathie pour Ottila. Je dois avouer qu'elle m'a fortement agacé, je n'ai pas apprécié sa personnalité. De plus, elle part régulièrement dans de grandes tirades où elle s'imagine et s'invente des scènes futures qu'elle pourrait vivre. Je n'ai trouvé aucun intérêt à ces passages et j'avoue les avoir trouvé très ennuyeux car ils n'apportent absolument rien à l'histoire. Que la jeune femme « se tape des délires », pourquoi pas, mais pas autant et pas aussi longuement (plusieurs pages à chaque fois).





De plus, je n'ai pas été sensible à la plume de l'auteure que j'ai trouvé très (trop ?) familière. J'ai également manqué cruellement d'émotion à tous niveaux. Cette histoire n'a pas su me toucher.

Je pense que l'événement clef qui a définitivement mis des barrières entre moi et cet ouvrage est celui où Grace, amie de Ottila, raconte s'être fait violer dans les toilettes d'un bar et avoir aimé cela... Inenvisageable pour moi… je suis dans une complète incompréhension de ce livre.





Quelques point positifs tout de même: j'ai apprécié l'originalité de la mise en page. C'est un livre moderne dans lequel on lit des SMS et des mails. On y retrouve également des tickets de caisse ou encore des dessins.

J'ai particulièrement apprécié les citations choisies en guise de séparation de chapitre. Elles apportent une touche poétique à l'histoire (ce qui contraste avec le reste du contenu...), et j'ai également beaucoup aimé l'explication du titre.





Hormis cela, ce fût une lourde déception pour moi. Je ne vous le déconseille cependant pas puisque mon avis est bien évidemment très personnel. Comme on dit, les goûts et les couleurs ça ne se discute pas…

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Le putain d'énorme livre du bonheur qui va to..

Ottilia, le personnage principal de ce roman, aux accents autobiographiques pour qui lit la présentation de l'auteure après l'avoir lu, a de nombreux soucis personnels et familiaux, comme le résume très bien la présentation de l'éditeur. Attendez-vous a être tour à tour amusé(e)s, ému(e)s et dérouté(e)s par son vécu de cette année 2014, pendant laquelle elle tient une sorte de journal, faits d'éléments disparates (bribes de livre de développement personnel, lettres qu'elle envoie ou qu'elle reçoit, SMS, notes d'épicerie, transcription de ses séances chez un thérapeute, etc.). Le langage, le ton est parfois très cru, à l'image de certaines séries télévisées anglaises bien déjantées. Je ne voudrais pas dévoiler trop d'éléments de l'intrigue, sachez seulement que ce ne sera pas rose tous les jours, et dans tous les domaines. Je ne suis pas à proprement parler un lecteur régulier de ce genre de roman mais je dois reconnaître qu'il m'a intéressé au point de le lire très vite : franchement je craignais d'avoir affaire à un récit un peu nunuche et j'ai été surpris !. Merci aux éditions Milady/Bragelonne et à NetGalley pour m'avoir permis de lire ce roman.
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Le putain d'énorme livre du bonheur qui va to..

Je pense que je ne suis pas le bon public pour ce livre. Je précise que je ne lis pas de feel-good.





J’avais été attirée par le résumé. Ce roman avait l’air original et je confirme qu’il l’est.

J’ai trouvé très sympa la construction du livre. Il y a des SMS, des mails, des retranscriptions de séances de thérapie, des smileys, des tickets de caisse, ce que j’ai trouvé très marrant.





Malheureusement, la rencontre entre ce livre et moi ne s’est pas faite. J’ai décidé d’abandonner la lecture. Par respect pour l’éditeur, l’auteur et Netgalley, j’ai quand même essayé plusieurs fois de le poursuivre. Mais je le reprenais à contrecœur. Je n’ai pas réussi à m’immerger dans l’histoire et le personnage principal m’exaspérait. Aussi, à un tiers de l’histoire, j’ai pris la décision de ne pas poursuivre la lecture.





Dans ma vie de lectrice, je n’avais abandonné que trois livres jusqu’à présent. Ce sont des livres qui sont plébiscités par beaucoup de lecteurs, aussi, ne vous basez pas sur mon avis, vous allez peut-être adorer Le putain d’énorme livre du bonheur qui va tout déchirer.





Je ne remets absolument pas en cause la qualité de l’histoire. Ce n’était peut-être pas le bon moment pour moi ou je ne suis pas le lectorat visé puisque je ne me suis pas du tout sentie concernée par l’histoire.





Je remercie sincèrement Milady et Netgalley pour m'avoir permis de lire Le putain d'énorme livre du bonheur va tout déchirer.




Lien : http://www.valmyvoyoulit.com
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Le putain d'énorme livre du bonheur qui va to..

Dès le départ j'ai été intriguée par ce livre et ce d'autant plus que le titre est vraiment accrocheur et original.



Vous aimez les romans feel good et vous souhaitez en lire qui sorte du lot et qui soit surprenant ? Vous avez trouvé le livre qu'il vous faut !



Le Putain d'énorme livre du bonheur qui va tout déchirer est un roman avec de très bons côtés et avec quelques bémols.



C'est un roman unique en son genre, la construction narrative est très intéressante car il n'y a pas que la simple prose : il y a des mails, des retranscriptions de dialogues, le style est ainsi très fluide et ce roman se lit véritablement d'une seule traite.



Ensuite j'ai aimé le ton du livre notamment au début, c'est drôle, hilarant même à l'image de cette phrase que j'adore "il me faudra plus qu'un bouquin merdique sur le bonheur pour me sortir du trou". Et il est vrai qu'il en faudra bien plus pour aider Ottila.



Après les bémols reposent sur ce personnage : Ottila. Il est vrai que sa vie est devenue progressivement un désastre et il va falloir qu'elle puisse s'en sortir mais malheureusement si au départ l'humour permet de contrebalancer son côté défaitiste au fur et à mesure de la lecture l'héroïne dévoile une personnalité légèrement agaçante, se plaignant constamment et ne cherchant pas réellement à prendre en main son destin.



Ainsi ce sont ses rencontres qui vont l'aider à avancer mais j'aurais aimé qu'elle soit plus forte, qu'elle réussisse à se relever aussi par elle-même. Après la romancière décide de donner un aspect peut-être plus réaliste avec des thèmes forts et dramatiques et une héroïne avec des faiblesses plus difficiles à surmonter.



En définitive, un roman qui se lit avec plaisir et d'une seule traite (avec quelques phrases cultes). Ce roman est composé de moments tristes, drôles, joyeux; c'est un premier roman avec ses propres forces et faiblesses, une bonne découverte sans être "le putain d'énorme livre du bonheur qui va tout déchirer".


Lien : http://leatouchbook.blogspot..
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Le putain d'énorme livre du bonheur qui va to..

Et excusez le langage, mais je peux vous que c’était un putain de bon livre !



C’est la première fois que je lis un roman tel que celui-ci. Pas de doute, Anneliese Mackintosh a de l’audace, beaucoup même. Ce roman classé en feel good déroutera sûrement les lecteurs tant sur le fond que sur la forme. Ottila, notre héroïne, a décidé d’être heureuse… Et franchement, attention car elle a des manières assez peu conventionnelles pour y arriver.



Il faut savoir que rien ne va dans la vie d’Ottila. Elle est alcoolique, entourée de gens qui la tirent vers le bas mais une seule personne lui donne envie de sortir de ce merdier et c’est Thalès alors elle va prendre de grande résolution grâce au « Petit livre du bonheur » qu’elle va littéralement transformer en « Putain d’énorme livre du bonheur qui va tout déchirer ». Allez savoir pourquoi, dès les premières lignes j’ai su que ce roman allait me plaire. Il est absolument dingue, c’est un roman pas commun, il se lit super vite car Ottila agrémente son histoire de SMS, de mail, de ticket de caisse, etc… Ce livre c’est un journal intime couplé au livre du bonheur. Sauf que le bonheur selon Ottila ça dépote grave !



En lisant ce livre, je me suis dis qu’il plaira aux lecteurs qui aiment les récit hors normes. Ceux qui aiment les anti-héroïne, car c’est un peu le cas d’Ottila au début de l’histoire. Mais étant donné qu’elle a décidé de prendre sa vie en main, elle devient cette super héroïne qui aura je l’avoue quelques ratés lors de son parcours vers la sobriété mais j’ai admiré son personnage pour tout un tas de raison. Elle a une personnalité totalement borderline, mon dieu, en fait, j’ai adoré Ottila, elle m’a fait rire, mais elle a su me toucher aussi. Ottila n’était pas du genre à choisir de se démener pour s’en sortir, elle a toujours choisi la facilité mais voilà qu’elle se retrouve obligée de rester sobre pour un mois complet à cause d’une déconvenue sexuelle… Bref, tant qu’à arrêter de boire un mois… autant tenter d’arrêter totalement, non ? Et bien, c’est la décision que notre héroïne va prendre en gardant à l’esprit que sa récompense ultime pourrait être de se rapprocher de Thalès.



C’est comme cela que tout démarre dans ce roman totalement déjanté. Vu les thèmes abordés dans le roman, on pourrait croire que le récit va être démoralisant mais pas du tout. Du moins, il n’a pas eu cet effet sur moi et bien au contraire. Ce roman est un peu cynique je ne vous le cache pas mais il y a aussi de l’autodérision, du lâcher prise, de la remise en question et un but à atteindre grâce à ce livre du bonheur qui va rendre folle Ottila.



Ce roman est hyper interactif, il nous immerge dans notre société et j’ai aimé qu’Ottila souhaite se démarquer de toutes ces pseudos règles que le monde nous impose. Qu’on se le dise, elle est particulière, cette femme est même un peu fêlée, on peut le dire comme ça mais elle assume et elle rebondit sur ses échecs. Savez-vous ce que cela demande de combattre une addiction ? Pensez-vous que l’on devient sobre du jour au lendemain lorsque l’on est alcoolique ? Et bien certainement que non, tout comme moi, car je n’ai jamais eu besoin de lutter contre l’alcool, le jeu ou tout autre addiction. Mais c’est ce que notre héroïne va entreprendre, elle va aussi rayer de sa vie tout ce qui la tire vers le bas… Terminé les liaisons avec des hommes mariés… Stop à l’alcool… C’est un long parcours du combattant qui s’annonce Ottila et c’est le lecteur qui en est le spectateur.



J’ai découvert l’autrice avec ce roman et que dire… J’ai adoré son style et son héroïne. Le contexte est particulier et honnêtement ça passe ou ça casse. Personnellement, ce roman m’a vraiment divertie. J’ai adoré tous les aspects de l’histoire et le côté « no-limit » de notre héroïne. Il fallait oser écrire un tel roman, je crois que j’en garderais un sacré souvenir. Anneliese Mackintosh a choisi le cynisme et l’autodérision pour traiter des thèmes lourds de sens. J’ai aimé la construction de l’histoire et l’originalité surtout. J’ai pleurer de rire tout au long de ma lecture, et pourtant le fond de l’histoire est très sérieux. C’est cette dualité que j’ai préférée.



Je ne regrette pas une seule seconde de m’être intéressée à ce roman qui accroche directement avec ce titre de dingue. Je pense que ce genre de roman a un impact particulier sur les lecteurs, du moins sur ceux qui accrochent dès les premières pages. Cela remet en perspective notre propre vie, on a tendance à se plaindre un peu trop facilement à notre époque et il est parfois bon de se dire que tout le monde n’a pas la chance d’entrer dans la vie avec les mêmes cartes en main. Ottila a pris ses problèmes à bras le corps avec une motivation particulière ^^ Les rebondissements m’ont vraiment captivés car le récit ne perd jamais de sa vivacité. Le contenu insolite surprendra les lecteurs et j’espère que vous aurez envie de vivre cette aventure aux côtés d’Ottila.



En bref, un roman totalement dingue qui illustre parfaitement les difficultés que rencontrent les personnes souffrant d’addictions. Ottila est une héroïne hors du commun qui a décidé de reprendre sa vie en main pour devenir quelqu’un de meilleur, elle a su me faire rire et m’émouvoir au fil des pages et je ne suis pas prête de l’oublier ^^ Ce roman est fun, décomplexé et hilarant. L’autrice a eu l’audace de mettre en scène des personnages atypiques qui ont envie de prendre leur revanche sur la vie.
Lien : http://www.lmedml.fr/2018/06..
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Le putain d'énorme livre du bonheur qui va to..

Un roman qui se lit comme un journal un intime. On pique le livre du bonheur, d'une année de Ottila, jeune trentenaire, alcoolique, avec quelques soucis mentaux et ayant une famille atypique.

Ce qui est novateur dans ce roman c'est le style, on y trouve de tout, comme un vrai journal, des citations du bonheur, des tikets, des sms, des mails, des lettres, sa transcription avec sa thérapeute… on à vraiment l'impression d'avoir piqué le livre d'une autre et de le feuilleté en cachette, pour connaître nous aussi l'existence du bonheur, malgré nos défauts. Ça nous aide à prendre confiance en nous, en nous disant que si une personnes avec tant de difficultés y est arrivé, pourquoi pas nous?

Avec tout ça, on suit la vie d'Ottila, qui lutte contre son addiction aux beuveries, aux fêtes, drogues, et sexualités dévergondées…qui va réussir à changer sa vie, on le découvre, rien qu'avec son vocabulaire qui devient moins cru et vulgaire au fil du roman, avec ses idées moins grivoises et plus saines, elle va faire un réel bouleversement dans sa vie, ce qui la rendra plus stable, plus normal, plus Heureuse.

Ce roman est un peu une conscience, celle du bien le PLDB, et du mal avec les envies souvent bancales d'Ottila. Faut dire qu'avec un nom pareil, l'auteur a su nous peindre le tableau dès le départ; Attila a-t-il réussi à connaître le bonheur avec tous ces massacres et sa vie de tortionnaire?

Ottila, va tout faire pour y arriver, et sa ténacité est une aide pour nous, comme quoi on peut chuter mais y arriver, avec de l'aide aussi, comme Ottila a su l'accepter.

Un roman atypique, qui sort du conventionnel, mais qui a su être dans l'air du temps.


Lien : http://armonyann.over-blog.c..
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Le putain d'énorme livre du bonheur qui va to..

Waouh!... Super roman!

Un grand moment de lecture: Ottila est un personnage féminin fort (malgré ses nombreuses faiblesses, dont l'alcool, les mecs à problèmes et une famille en lambeaux...), le ton est parfois très cru et décoiffant, mais on sent une vraie profondeur dans les sujets abordés (alcoolisme, vie sexuelle débridée, dépression, autisme, quête de l'amour et du bonheur...)

La narration sous forme de scrapbooking est originale, et accentue l'effet dramatique de certaines situations. On rit, on pleure, on s'attache à ces personnages pleins de failles mais aussi très touchants.

N'importe quelle jeune femme moderne se reconnaîtra, au moins partiellement, dans les errements d'Ottila, et dans sa quête vigoureuse d'une vie meilleure.

J'ai vraiment adoré. Une vraie histoire feelgood, mais loin d'être gnangnan. Bravo!
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Le putain d'énorme livre du bonheur qui va to..

Abandon…



Je n'ai pas du tout accroché… J'ai essayé de le continuer et de lire une centaine de pages pour tenter de comprendre l'histoire mais visiblement je n'accroche pas.
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Le putain d'énorme livre du bonheur qui va to..

Livre à lire quand on a le moral. Il paraît que c'est un livre feel good, mais franchement, au fur et à mesure que je tournais les pages, je ne me sentais pas vraiment bien.

Certes, il y a des trouvailles intéressantes, comme le fait de scrapbooker le livre qui vous promet d'atteindre le bonheur - vaste question, soit dit en passant. Ces petits morceaux de réels sont sans doute ce que j'ai préféré.

Maintenant, ce sont tout de même des thèmes très lourds que brasse ce roman. Ottila a perdu son père, et s'aperçoit, finalement, qu'elle ignorait une part très importante de sa vie. Que transmet-on réellement à ses enfants ? Si l'on est soi-même névrosé, risque-ton de transmettre ses angoisses à ses enfants, même si on ne leur en parle pas. Bien sûr, je ne pense pas que la dépression soit héréditaire, mais je pense qu'un enfant sent quand ses parents ne vont pas bien - et la mère d'Ottila ne fait même plus semblant d'aller bien.

Nous attaquons vraiment un sujet très lourd avec la soeur d'Ottila, qui se laisse mourir, litérralement. Elle n'en est pas à son premier internement, elle n'en est pas au premier diagnostique posé, elle en est même au énième traitement, et celui qui lui est proposé n'est pas des plus réjouissants. Comment aller mieux quand on ne sait même pas si on veut aller mieux ?

Ottila tente d'en finir avec l'alcoolisme, et avec une vie amoureuse des plus bordélique. Seulement, ce n'est pas si simple. C'est drôle, parfois : disons que la vie vous joue parfois de sacrés tours.

Un livre que j'aurai aimé davantage apprécier.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Les femmes ne viennent pas de Mars, mais el..

Le cœur et la raison

Quand on est une femme de trente-sept ans, l’horloge biologique commence à se faire entendre de plus en plus fort… Pour Solvig, il en va un peu différemment. Elle n’a jamais ressenti l’envie d’une maternité, peut-être en raison de sa propre mère décédée lorsqu’elle avait 3 ans et dont elle n’a que peu de souvenirs, peut-être en raison de son métier, très exigeant et peu compatible avec un bébé. Solvig est plongeuse en saturation, elle effectue des missions à haut risque en mer du Nord, sur des navires ou des plates-formes pétrolières et s’absente de son foyer pendant de longues semaines. Pourtant, elle réfléchit à la proposition que James, son compagnon, lui a faite récemment : ne serait-il pas temps de tenter de fonder une famille ? Dans le même temps, Solvig s’inscrit (un peu sur un coup de tête) au programme Objectif Mars dont le but est de sélectionner des postulants à une éventuelle mission spatiale, un voyage aller, sans retour possible sur Terre. Solvig n’imagine pas que sa candidature puisse être retenue et qu’elle soit obligée à faire un choix impossible.

Ce livre me tentait bien : la couverture me laissait imaginer une lecture un peu feel-good mâtinée de voyage spatial et de féminisme. Mais le titre en français est assez trompeur, et dans ce roman, il n’y a ni feel-good, ni voyage spatial… Reste le féminisme : oui, c’est vrai, dans une certaine mesure c’est un livre qui met les femmes à l’honneur.

Toutefois, je termine cette lecture avec un ressenti très mitigé. Le personnage de Solvig ne m’a pas convaincue : pire, à de nombreuses reprises, elle m’a franchement exaspérée… Je peux comprendre son indécision quant au tournant que peut prendre sa vie mais elle est totalement égocentrée… Elle ne se préoccupe pas des sentiments de son compagnon, elle délaisse même sa meilleure amie…

Je pense que je vais oublier très vite ce roman.

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Le putain d'énorme livre du bonheur qui va to..

Bien loin de ce à quoi je m'attendais, ce livre est un mix entre des citations sur le bonheur, des réflexions personnelles, des SMS, mails, snap, lettres, des transcriptions de séances de thérapie... qui retrace l'histoire d'Ottila, jeune femme de 30 anw au comportement auto destructeur. Alcoolique, elle décide d'arrêter l'alcool, prend conscience de son parcours chaotique jusque là et redresse péniblement la barre.

Un homme marié en guise de petit ami toxique, un ex qui ne vaut guère mieux, une meilleure amie alcoolique et occasionnellement droguée, une bissexualité qui lui sert d'excuse contre l'engagement, un père décédé, une mère qui commence à craquer, une soeur suicidaire... la vie n'a pas vraiment gâté l'héroïne et pourtant pas une once d'apitoiement dans ce livre. Juste les faits, déroulés de manière un peu anarchique mais avec une pointe d'humour qui rend le tout très facilement lisible. J'ai trouvé la forme très intéressante mais l'ensemble ne m'a pas vraiment convaincue, je ne me suis pas attachée aux personnages et je n'ai pas ressenti les émotions que l'auteur essayait de faire passer
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Le putain d'énorme livre du bonheur qui va to..

Il m'a fallu un peu de temps pour faire cette chronique. Je suis sortie de ce livre avec une telle indécision. J'étais incapable de dire si j'avais aimé ou pas. Et je pense que c'est par l'originalité du fond comme de la forme. Ce livre bouleverse les codes. Ce n'est ni un roman, ni une autobiographie, pas non plus un mémoire, et, à mes yeux, encore moins un feel-good où il est censé être classé. C'est un ovni, voilà. Je n'ai pas d'autre mot seul pour le décrire. C'est un peu un croisement entre un journal intime, un blog et une boîte à souvenirs. Dans ce livre, on croise des sms, des lettres, des snapchats, des pensées, des souvenirs, des extraits de brochures ou autres bizarreries. Le putain d'énorme livre du bonheur qui va tout déchirer est un pèle-mêle (imposant) d'une alcoolique déconfite qui se reprend en main. Et recul pris, il est brillant ! Sa déconstruction totale est à l'image (je suppose) du bordel général de la vie et du cerveau d'une alcoolique en quête de sobriété. Sa forme est aussi brouillonne que la vie d'Ottila qui vrille sur un peu tous les bords entre ex douteux, meilleure amie toxique, tentative de petit-ami normal, boulot à charge émotionnelle intense, famille tout sauf pilier serein et assuré. Je l'avais mis dans ma PAL pour son titre loufoque, je l'ai sorti de la PAL pour son titre à plus de 11 mots (et hop les 3 points du #tournoidesbooksplorateurscompulsifs), je l'ai continué par curiosité, fini par impossibilité de ne pas connaître la fin. J'en regretterai presque finalement de l'avoir lu en ebook car je l'aurai probablement gardé sur l'étagère celui là.
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Le putain d'énorme livre du bonheur qui va to..

Je pensais que Le Putain d'énorme livre du bonheur qui va tout déchirer allait être une lecture légère, feel-good. Mais pas du tout ! L’autrice nous donne à lire un roman, certes drôle, mais basé sur des faits difficiles : alcoolisme, deuil, relations familiales et amoureuses difficiles, etc.



A travers ce roman, le quotidien difficile d’Ottila se dévoile. C’est une jeune femme que la vie n’a pas épargnée. Le récit débute avec une prise de conscience : elle ne peut plus continuer à vivre comme ça. L’alcool, les relations toxiques et le déséquilibre sont en train de la tuer à petit feu. C’est donc une femme pleine de doute, mais aussi de détermination, qu’on suit d’une page à l’autre. Ottila veut en finir avec sa spirale autodestructrice.



Je me suis beaucoup attachée à elle pour son côté très humain : elle fait des bêtises, n’est pas sûre de prendre les bonnes décisions, mais elle va toujours de l’avant. C’est un personnage atypique, qui m’a parfois rappelé Eleaonor Oliphant, autre héroïne que j’avais adorée. Son parcours est loin d’être facile, mais Ottila est très forte.



J’ai bien aimé la manière dont était construit le roman. En plus de suivre Ottila à travers les quelques textes qu’elle écrit, on peut aussi lire le point de vue des autres personnages secondaires à travers leurs lettres, mails ou sms. Ainsi, on apprend à connaître Thalès, la mère et la soeur d’Ottila, Grace, etc. Cela donne encore plus de profondeur à l’histoire. Le tout est ponctué de punchlines inspirantes et citations pour donner la pêche.



C’est une lecture qui ne laisse pas indifférent pour son contenu et la souffrance que traversent les personnages, mais j’ai tout de même passé un très bon moment.


Lien : http://mybooksntea.wordpress..
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Le putain d'énorme livre du bonheur qui va to..

Eh bien j'ai envie de vous dire que cette lecture est très "bordélique". D'abord j'ai adoré la mise en page, rien avoir avec les mises en page classiques et pour cause, vous trouverez dans ce roman :



- des lettres,

- des SMS,

- des emails,

- des mantras et citations,

- des affiches, tickets de caisse, badge etc,

- des séances de thérapie,

- des souvenirs,

- des délires/lubies de notre narratrice,



Bref ce roman est un beau bordel ! Et ça le rend juste génial ! C'est un roman qui fait réfléchir mais qui n'est pas prise de tête. Ottila pourrait être n'importe laquelle d'entre nous (on est tous et toutes un peu barré par moment avouez-le).



Citations : " Le vrai bonheur c'est "accepter" la douleur. Faire des erreurs. Souffrir. Parfois le bonheur ça fait mal. Tout est une question d'équilibre... "
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Le putain d'énorme livre du bonheur qui va to..

C'est un livre qui n'en est pas un vraiment, original par sa présentation, une succession de mails, de sms, de comptes-rendus psy etc ... voilà voilà c'est tout !

J'ai eu beaucoup de difficultés à m'attacher aux différents personnages, à éprouver de la compassion, l'histoire est très désordonnée, l'écriture se veut familière mais n'est pas parvenue à me toucher, l'émotion n'est pas passée.
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Le putain d'énorme livre du bonheur qui va to..

Le putain d'énorme livre du bonheur qui va tout déchirer de Anneliese Mackintosh m'a été envoyé par net galley et les éditions Milady, que je remercie même si cette fois-ci mon avis est assez mitigé.

Ottila a un problème. Enfin, elle en a un paquet. D'abord elle est alcoolique. Son père est mort pendant qu’elle se complaisait dans une éternelle gueule de bois. Sa sœur a été internée. Sa mère est en train de craquer. Et ses amis la tirent vers le bas. Sauf Thalès, le type le plus sain qu’elle ait jamais rencontré. Thalès donne envie à Ottila de devenir meilleure...

Le résumé me tentait énormément. Malheureusement, ce roman ne fut pas à la hauteur de mes espérances.

Je n'ai pas du tout apprécié le personnage de Ottila. Il est vrai que j'ai du mal avec les personnes alcooliques, merci papa merci maman ! Et du coup, je n'ai pas réussi à faire preuve d'empathie vis à vis d'elle, cela m'a été impossible. Elle m'a agacée, j'ai lu son histoire avec beaucoup de recul et je n'ai pas vraiment réussi à apprécier ce livre.

Pourtant, en soi il est original et plutôt sympathique. Le récit n'est pas linéaire, on trouve un peu de temps dans ce livre : liste, sms, dessins.. C'est varié, il n'y a pas que du texte.

L'ensemble m'a donc laissé plutôt dubitative, et je mets juste la moyenne, soit deux étoiles et demie.
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