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Critiques de Arthur Masson (43)
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La famille Binauche

Que dire, sinon : "Merci Monsieur Arthur Masson !"



Merci de nous offrir des livres aussi bien écrits, même si parfois, certaines tirades sont un peu longues et le style un peu trop académique, mais n'est pas Docteur en philologie et lettres qui veut ....



Merci pour ces moments de vie de gens simples décrit avec réalisme et justesse. Arthur Masson, notre Pagnol belge, n'a pas son pareil pour décrire les joies et les tristesses des gens du terroir du début du siècle dernier. On s'y croirait et on aurait presque envie d'être à leur place.



Merci pour tous ces bons moments passés en compagnie de vos personnages tous plus attendrissants les uns que les autres.



Merci de perpétuer, au travers de vos oeuvres, la tradition de cette belle langue fleurie qu'est le wallon.



Merci tout simplement !
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L'hostellerie du Foyau

Voilà c'est finiiiii !



C'est l'effet que cela me fait à chaque fois que je referme un Arthur Masson. Cet auteur a l'art et la manière d'écrire des tranches de vie pittoresque de nos campagnes ardennaises avec des personnages tous plus attachants les uns que les autres. Ce qui fait qu'à chaque fois que je referme un de ses livres, j'ai un petit pincement au cœur à l'idée de me dire que je ne retrouverai ces personnages que dans quelques années quand l'envie me reviendra de relire le livre.



Nul besoin alors d'ajouter grand chose à cette critique, vous aurez compris que bien que n'ayant pas vécu cette époque (je suis né quelques années après ;-) ), me plonger dans ces livres est pour moi un réel bonheur. Bon tout n'est pas parfait, bien entendu. Le livre a un peu vieilli, rien que par la manière donc les colonies sont décrites et pour la manière totalement non acceptable aujourd'hui dont est décrit le peuple noir ! La religion y est également très présente, mais c'est là la marque de cette époque d'après guerre.



Donc un vrai moment de plaisir de relire ces livres truffés de longues tirades en wallon qui, quoi qu'on en dise, est quand même une langue très belle !
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Thanasse et Casimir

Voila c'est finiiiiii .... j'ai une petite larme au coin de l'oeil. Pas parce que ce livre engendre en moi de la tristesse mais plutôt parce que je vais devoir quitter Thanasse et Casimir c'est deux trublions de Cabussart. Thanasse est un brave homme, pas bien malin, un peu porté sur le péquet, fort colérique, braillard et tout farci d'idées humanitaires aussi hardies que confuses. Et avec ça, il a du coeur a revendre ! Casimir est, quant à lui, un poilu de la grande guerre et son comparse de toujours.



A la lecture des livres d'Arthur Masson, il ne faut pas s'attendre à des histoires alambiquées avec du suspens et des retournements de situation toutes les deux pages. Non, point de ça, mais plutôt une tranche de vie dans un petit village des Ardennes belges au début du siècle dernier. Mais ne vous y trompez pas, on ne s'ennuie pas une seule seconde (sauf pour un des chapitres que j'ai simplement ignoré ...) à suivre les tribulations de ces deux compères "simples d'esprit" comme on les cataloguerait à l'heure actuelle. Mais pour moi, il s'agit plus exactement de gens "simples" dans le bon sens du terme.



Je prends autant de plaisir à lire ces romans du terroir dans lesquels pas mal de dialogues sont rédigés en wallon qu'à regarder le film "Les enfants du marais". Cela me rend nostalgique de cette époque bien que je ne l'aie pas connue !



Pour terminer comme à chaque fois, je vais vous présenter un jeu auquel ce livre m'a fait penser. Comme ce roman se déroule dans un petit village du sud de la Belgique, j'ai immédiatement pensé au jeu "The village" (ou "Descendance" en français). Descendance est un jeu de gestion dans lequel les joueurs doivent faire prospérer plusieurs générations de personnages de leur famille dans un village du moyen-âge. Dans "Descendance" vous allez gérer une famille dont chaque membre va être utilisé pour effectuer des actions. Ces actions consomment du temps, et le temps qui passe fait vieillir vos personnage, et quand on vieillit, on finit par mourir. Donc, plus vous consommez de temps, plus vos personnages vieillissent et meurent.



Vous l'aurez donc compris, ce jeu est un peu particulier car il va falloir gérer la vie et la mort des membres de votre famille pour essayer de prospérer au mieux. Attention, on n'assassine personne dans ce jeu, au contraire, tout le monde meurt de sa belle mort ! A tester de toute urgence !

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Toine Culot, obèse ardennais

J’ai connu Arthur Masson adolescent : étant un (rare) lecteur assidu, on m’en avait fait l’éloge en tant que grand écrivain local. Je me rappelle avoir apprécié, mais les souvenirs s’estompaient. Il m’a été donné l’occasion d’ouvrir un de ses livres à nouveau, et je l’ai fait avec une nostalgie mêlée de crainte : après tant d’années et de lectures différentes, de science-fiction américaine aux contes africains, n’allais-je pas le trouver quelque peu poussiéreux et ringard ?



Et bien, pas du tout ! La magie opère toujours après quelques pages. Certes, c’est plus facile quand on vient soi-même du coin : on reconnaît les lieux, on reconnaît les gens, on reconnaît les phrases en wallon prononcées par les grands-parents. Mais le ton est léger, le récit est drôle. Chaque personnage est très bien croqué, un brin naïf mais attachant, et on a l’impression très vite de vivre soi-même dans ce petit village où tout le monde se connaît, et où tout le monde s’est toujours connu.



Je pense que l’œuvre peut également plaire aux non-Ardennais. Déjà car le texte est déjà empreint de poésie et d’amour de la terre, mais l’auteur sait également jouer avec la langue français, en un savant mélange de français pur et de patois, et n’hésite pas à créer des mots quand la sonorité du vocabulaire officiel ne lui convient pas.



Conclusion : ne jamais snober ses souvenirs et ses jugements de jeunesse !
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Toine maïeur de Trignolles

Second tome des aventures de Toine Culot. Après s’être trouvé un bon métier, s’être marié et être devenu père de famille, il est temps de songer à l’étape suivante : devenir maïeur du village !



C’est l’occasion de se plonger dans la fièvre électorale d’un petit village de campagne, où il faut parvenir à récolter environ 70 voix pour être élu grand vainqueur des élections. Les grandes ambitions, la volonté de transcender son destin personnel bousculent alors les vies jusque-là bien rangées. Dans ce petit monde clos où tout le monde se connaît, l’élection prend un caractère clanique : les vieilles rancunes, les disputes de la vie quotidienne, la jalousie d’un amoureux éconduit, la honte toujours mordante d’une plaisanterie publique, tout est prétexte à un changement de liste.



Ce second tome est aussi agréable que le premier : les personnages, à la fois naïfs et vivants, provoquent des rires francs autant qu’ils arrachent des larmes. Les expressions en wallon rappelleront de beaux souvenirs à ceux qui ont grandi en entendant cette langue. Le roman suscite aussi une forte nostalgie pour une époque révolue, où on pouvait s’engueuler avec son voisin mais quand même compter sur lui en cas de coup dur.
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Toine chef de tribu

Dans ce petit village franco-belge d'après guerre, Arthur Masson crée des personnages à la 'Don Camillo', le gros maire bienveillant mais pas très malin Toine Culot, sans cesse taquiné par son vieux secrétaire malicieux et bon-enfant T. Déome, le maître d'école plein de bon-sens, Monsieur Dardenne, et le terrible inspecteur Chardon qui se laissera séduire par cette ambiance de village ...et par Marie, la nièce de l'aubergiste, et puis les mésaventures du brave Molonzef, fils de Toine et de sa flamande épouse Hilda, dont le service militaire remplaça la graisse par quelques muscles et épousera la petite Augusta du catéchisme.



Ça sent le vécu, c'est inventif, agréable à lire avec quelques dialogues en wallon (avec traduction), inégalable pour narrer une plaisanterie!

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Toine Culot, obèse ardennais

J'ai découvert la série des Toine Culot vers 16 ou 17 ans, lorsque mon grand-oncle me les a léguer. J'étais peu motivée à l'idée de lire ces livres qui "sentaient le vieux". J'ai donc ouvert la premier page avec beaucoup d'appréhension. J'ai été conquise avant de finir le premier chapitre. Arthur Masson écrit divinement bien. Chaque livre est un régal, une bouffée d'oxygène. Ses tournures de phrases recherchées et écrites dans un français délicat se marient subtilement avec le wallon de certaines répliques. Les personnages sont attachants et correspondent bien à ce qu'on imagine trouver dans les campagnes Ardennaises. A découvrir assurément!
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Toine chef de tribu

La parenthèse de la guerre s’est refermée, et la vie normale reprend ses droits dans le village de Trignolles. On ne fera aucune allusion aux événements agités des dernières années, et les personnes qui ne se sont pas excellemment comportés pendant ceux-ci disparaissent du récit.



On suivra principalement deux récits : un inspecteur scolaire sévère qui voudra imposer le français et les bonnes manières des villes aux enfants, mais qui sera vaincu par la bonhommie des habitants et la vie paisible du village (et un peu aussi par la beauté des filles du cru, il faut bien le reconnaître) ; et les premières amours du fils de Toine, avec les interventions familiales pour valider les choix des enfants et mettre un peu d’ordre et de bon sens dans les rêves des tourtereaux.



Avec ce quatrième volume, on revient à l’essence de la série – humour, découverte du terroir et jeu avec la langue française –, avec cependant une pointe de nostalgie. Le temps passe, le monde change, les protagonistes qu’on connaît depuis le début prennent de l’âge, et sont plus concernés par les cérémonies d’enterrement que celles des baptêmes et des mariages. Mais on sort toujours du livre avec le sentiment d’avoir passé une bonne journée entre amis.
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Petite ville

Ça fleure bon mon enfance campagnarde 😊

Une description haute en couleurs, dans un vocabulaire un tantinet désuet mais tellement riche et intéressant. Un doux moment, comme une madeleine. Je recommande.
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Toine maïeur de Trignolles



Deuxième volume de Toine et sa famille. Dialogue toujours aussi formidable.

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Toine Culot, obèse ardennais



Vous n’avez pas le moral pour le moment, lisser les aventures de Toine culot dans son joli village Wallon. Livre pour adolescent mais j’adore , ça ma fait bien rire.

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Un gamin terrible

Quelle gouaille mes amis, de l'bwesse à biestries au pourri djône, le monde truculent d'un village perdu du fin fond de la province de Namur ne peut que nous mettre en joie.



Et l'on retrouve alors les jeux oubliés de nos propres parents, sans internet, sans GSM, sans télévision même, et c'est alors la chasse aux hannetons, la capture des lucioles et le plaisir des balades en vélo. Si on ajoute à cela la fabrication d'arc et de flèches, d'une baliste et de boulets, juste pour reproduire en vrai certaines batailles entre Buffalo Bill et les tribus indiennes, on ne peut que s'émerveiller de l'imagination créative de ces môdi djônes.



Nom di djo !, c'était un temps où le maître d'école était encore respecté ; un temps où Mr le curé avait l'oreille attentive des enfants et servait de conciliateur entre eux et leurs parents ; un temps où l'on trouvait de tout à l'épicerie du coin, des conserves au papier à lettres, des torchons aux bons conseils de vie ; un temps où l'on courtisait doucement avec les joues en feu ; un temps où les bébés naissaient encore dans les choux ;-)



C'était un temps où l'on prenait le temps de vivre ; un temps où la famille était vraiment importante même si certains n'échappait pas à l'ironie des autres ; un temps où le village entier faisait partie de la famille, de la grenouille de bénitier au premier de classe boutonneux en passant par li pourri djône ; un temps oublié de nos jours mais qu'il est bon de découvrir ou redécouvrir le temps d'une lecture.



Un coup de cœur, une tranche de rire et une belle plongée dans notre beau wallon si coloré. Et pour ceux que cela effraie, rassurez-vous, les passages concernés sont bien traduits ;-)
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Thanasse et Casimir

Les quelques illustrations intérieures (trop peu) sont d' Octave Sanspoux.



Avec finesse, Arthur Masson s'est dépeint lui-même en ces termes : Un Monsieur quelconque. Article de série. Ni réservé, ni condamné, ni ascète, ni Don Juan. Ni agité, ni endormi. Travaille dur. Se repose à temps. Aime son pays et les bonnes gens toutes simples qui le peuplent.



Ce roman est une petite merveille !

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Toine chef de tribu

Plonger vous dans une bonne humeur en lissant Toine en famille.
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Un gamin terrible

Agréable à lire, on le lis d'une traite. On se détend car le sourire vous tient du début à la fin.
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Toine dans la tourmente

Troisième volume des aventures de Toine Culot dans le petit village ardennais de Trignolles. Mais cette fois-ci, petit village ou non, gens tranquilles ou non, il va falloir entrer dans la grande Histoire… car nous sommes en 1940, et l’Allemagne vient d’envahir la Belgique.



On vit donc cette seconde guerre mondiale de l’intérieur, bien loin du front. D’abord la sidération du village à la tombée des premières bombes dans la région ; puis l’évacuation d’urgence vers la France, en prenant le strict nécessaire dans une charrette, et en essayant d’aller plus vite que l’armée allemande qui talonne. Les réfugiés, d’abord accueillis fraternellement par les voisins, sentent le ton changer quand le flux grandit et que l’armée belge capitule, laissant la France seule face à l’Allemagne ; puis, après l’armistice de l’Allemagne avec la France, le retour dans le village pillé, sous le joug des forces allemandes et rexistes.



Ce livre a été publié en 1946, et ça se ressent. La guerre vient tout juste de s’achever, et des années d’humiliation et de rancœur peuvent enfin s’exprimer. On est bien loin des pudiques « fusillés par l’ennemi » sur les plaques commémoratives, et des « il y a eu des victimes innocentes dans les deux camps ». À cette époque, on sait très bien qui est l’ennemi : l’Allemand, le Boche, qui est, encore une fois, venu ensanglanter la terre natale et priver des familles de pères et de maris. Il n’y aura donc pas de nuances dans les descriptions : les allemands seront décrits comme un peuple composé uniquement d’individus aux traits porcins, soit bêtes et lourdauds, soit tyranniques et cruels, dont il est vain d’espérer quoi que ce soit de meilleur.



Le ton du livre reste malgré tout assez léger, bien qu’avec des accents fortement patriotiques. Les envahisseurs sont stupides, et les collabos des gens déjà méprisés avant l’invasion par les Trignollais. Tous les autres villageois leur joueront donc des bonnes farces, soulignant par là leur stupidité : une troupe armée jusqu’aux dents, essayant de semer la terreur en braillant des ordres en allemand, reste impuissante face à la malice des habitants du cru dans leur bon droit.



Un volume bien plus engagé que les précédents, mais qui offre un témoignage important sur la seconde guerre mondiale, en décrivant la vie comme elle a du se passer dans des centaines de petits villages, occupés à vivoter chichement loin des grandes manœuvres, et en offrant assez de résistance passive pour sauver son honneur sans mettre sa famille en danger. Arthur Masson parvient tout de même, au milieu de ces drames, à nous tirer quelques larmes de joie et d’émotion.
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Toine Culot, obèse ardennais

Atypique, vieillot un peu, tendre et simple sans doute,voila un livre qui remonte de loin et qui vient témoigner de la vie dans un village du nord au debut du siecle dernier ...et on voit la vie de dérouler....

raffraichissant et bien écrit!
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Le grand gusse

Agréable à lire, on le lis d'une traite. On se détend car le sourire vous tient du début à la fin. Plus j'en lis, plus ça me plait.
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Contes de Paques et de Noël

Agréable à lire, on le lis d'une traite. On se détend car le sourire vous tient du début à la fin.
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Toine Culot, obèse ardennais

Nous sommes dans la fin des années 1880 en pleine campagne Ardennaise dans un petit village de Wallonie, perdu dans les arbres à trois jets de pierre de la France.

Son nom, Trignolles. Un micro-univers vivant en autarcie au milieu des bois.

Pour entrer à Trignolles, oubliez tout ce que vous connaissez de la vie actuelle et de la vie en ville. Là-bas, on parle de « Charlerwé » et de « Bruxelles » comme d’un univers lointain et incompréhensible.

Là-bas, tout le monde se connaît et… tout le monde connaît les secrets de tout le monde.

On vit au ralenti ou au rythme des saisons. On s’arrête pour parler, s’installe, le plus souvent possible ensemble devant une tasse de café (du cru) et on prend le temps de vivre.

Là-bas, on trouve toujours un cordonnier, un sabotier, un forgeron, un marchand de graine. On cultive le Wallon comme on oublie le Français.

Là-bas, enfin, vit le gros Choumaque, cordonnier de son état, un quadragénaire dont la femme donnera bientôt naissance à un garçon.

Vous allez me dire. Comment à l’époque savait-on dire si on allait avoir une fille ou un garçon ? A dire vrai, lui et sa femme Phanie, n’avait tout simplement pas envisagé l’autre possibilité en attendant la venue au monde de leur héritier.

Ils auraient pu se tromper mais les statistiques étaient en leur faveur puisqu’après tout, une telle prédiction se réalise un peu moins d’une fois sur deux.

Le Choumaque aura un fils, compensation qu’il juge bien méritée au regard d’une belle-mère à supporter. Ce fils, il s’appellera Antoine, Toine Culot.

Un petit bout de paradis wallon, bien à l’abri du monde, des parents attentionnés, une famille aimantes, le cousin T. Déome et un bon repas trois fois par jour que demandé de plus pour grandir. De la chance peut-être ? Car c’est vrai que Toine Culot n’a pas de chance et c’est peut-être pour ça qu’il va vivre autant d’aventures.



Lisez Toine Culot, c’est l’odeur de la Terre d’Ardenne, de notre passé et de notre patrimoine, un moment qui se savoure comme un bain de jouvence après une fatigante journée de travail.

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