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Critiques de Bashô Matsuo (87)
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Haïkus en voyage

Ce petit livre a exactement le même format que "Haïkus du temps qui passe". Les textes sont signés par Basho et par d'autres poètes japonais; certains rendent bien dans la langue française, d'autres un peu moins. Toutes les illustrations – très agréables à contempler – sont en parfaite correspondance avec les vers. Cet ouvrage devrait être feuilleté jour après jour, selon l'inspiration du moment. Il peut constituer un cadeau bon marché et pourtant apprécié.
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Bashô à Kyoto rêvant de Kyoto

J'aime le haiku , collier de cristaux qui enchassent et exaltent un instant si humble soit-il. Bashô fut un grand maître de cette forme magnifique . Cet ouvrage fait de lui un portrait illustré d'extraits de ses journaux de voyage , puis une anthologie d'une centaine de ses haiku en version bilingue. Magique!
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Jours de printemps

Petit opuscule contenant quarante et un poèmes en édition bilingue ces haïkus correspondent aux impressions successives qu’offre au voyageur la nature au premier temps de son cycle annuel.Par le grand maître de la discipline . La couverture est ornée d'un portrait imaginaire de Bashô par Buson (autre célèbre nom du haiku) . Les poèmes sont illustrés de calligraphies originales de Shioun Michiko.
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Haïkus : L'art de boire et de manger

J'ai dégoté ce livre à la librairie en recherchant un recueil de poèmes pour le challenge poésie 20/21 "La poésie c'est la vie" .

J'ai été attiré par le format du livre (une sorte de carnet de poche) et la belle couverture. Un peu aussi parce qu'il s'agit d'un recueil d'haikus, cette forme de poème découverte grâce au challenge et que j'apprécie fortement.

Ici les haïkus ont pour thème la nourriture, la préparation des repas en lien avec la pensée.

Ces instants, ces moments portés par des poèmes de Basho, Kikako ...sont à chaque fois illustrés par des estampes des 18 et 19è siècles en lien avec le thème.
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Bashô à Kyoto rêvant de Kyoto

Ce livre est un recueil de différents haïkus de Bashô, collectés dans ses différentes œuvres et mises en ordre par saisons et thèmes.

Avant les poèmes, comme il est de mise chez cet éditeur très pointu et qui fait appel à des spécialistes, il y a une très belle présentation de la vie de Bashô, de son œuvre.

Puis viennent les haïkaïs: beaux, sensibles, poétiques forcéments, ils parlent de nature, révèlent les pensées de l'auteur, ses préoccupations.

Le style est très libre, tous les aspects de la vie y passent, personne n'est oublié, du paysan cultivant son champs au coucou chantant dans son prunier en passant par la mer, la lune et le Mont Fuji.

Bashô n'est pas le plus grand maître de cet art pour rien, en quelques mots, quelques syllabes, il pante un décor, une scène, une ambiance, une atmosphère: douce, froide, pluvieuse, comique, tendre ; à l'envie.



Un petit régal donc, et un très beau livre qui se dévore et s'apprécie à tous moment, par petites notes. Qu'elle est douce la musique de Bashô !
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Journaux de voyage

Beau recueil d'haïkus de Bashô, ces haïkus sont intégrés dans un journal de voyage, nous pouvons donc connaître le contexte des haikus.

Par exemple:

"Ce jour-là, sur le chemin du retour, je m'arrêtai en une certaine boutique de thé; lors une femme nommée Chô [Papillon] m'invita à composer un verset sur son nom; ores voici ce que je traçais sur la soie blanche qu'elle me présentait:

Senteur d'orhidée

aux ailes du papillon

s'est communiquée"
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Cent onze haiku

Que dire de cet ouvrage ! Je suis admirative de ce style particulier que sont les haïkus ! En 3 vers aux règles bien précises...Basho nous offre de petits bijoux de poésie.



La particularité de cette édition est de faire figurer la version japonaise et la version translittéré en plus de la version française.
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L'intégrale des haïkus : Edition bilingue françai..

C'est assez compliqué de faire une vraie critique de ce livre. Je l'ai trouvé dans une boîte à dons et j'étais très curieux de découvrir une autre forme poétique ! Néanmoins, je suis davantage habitué à la poésie occidentale, les autres formes ont plutôt tendance à me laisser de marbre...
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L'intégrale des haïkus : Edition bilingue françai..

L'art japonais a toujours ce petit-je-ne-sais-quoi de tendre et de doux, de délicatesse perpétuelle qui séduit dès les premiers instants.

Basho, quant à lui, est considéré, à juste titre, comme l'un des maîtres de la poésie japonaise.

Sa plume et ses haïkus nous font voyager à travers le temps et les contrées, Basho s'amuse et se plaît à nous décrire les saisons et les geste du quotidien.

L'art japonais tel que nous le connaissons et l'aimons, quelques instants de pur plaisir.
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Haïkus - Les paysages d'Hokusai

Présentation et finition particulièrement soignées (superbe papier satiné), les peintures sont présentées presque toutes en double page (ce qui a l'inconvénient de couper chaque image), compte tenu du petit format du livre. Les haïkus (Je n'y connais strictement rien) sont en fait les présentations des tableaux.

Très joli livre pour s'arrêter dans une contemplation zen.
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Seigneur ermite - Intégrale



"L’automne s’en va –

L’envie de se cacher

dans une semence de pavot"

(315)



Moi qui depuis longtemps n’en avait plus ressenti le désir, je me prends à rêver d’une collection de livres à domicile qui seraient comme des lacs où plonger pour se rafraîchir. Les recueils de haïkus, dans leur intemporalité, se prêtent mal à la pratique des bibliothèques publiques. Empruntés pour un laps de temps donné puis rendus, on aimerait les retenir. Voir leur atmosphère s’effilocher entre les étagères, se diluer sur les vêtements des visiteurs, nous quitter au fur et à mesure de l’avancée dans les travées du bibliothécaire chargé de les ranger, pince le coeur.



J’ai aimé, chez Basho, l’invention du carnet de voyage. Instants sauvés, impressions de lieux au moment de leur découverte, parti pris volontaire d’une certaine précarité qui affine la sensibilité. Pris isolément, ses haïkus ne sont pas toujours parlants. C’est l’ensemble de leurs lueurs qui fait la flamme et le périple. Plus conventionnel qu’Issa – il s’appuie beaucoup sur des images poétiques récurentes et codifiées – il n’en introduit pas moins des touches d’humour ou d’ironie personnelle qui font à mon goût la saveur de ses meilleures créations.



"Les nuages défilent –

un chien qui pisse partout

cette averse d’hiver !"

(68)






Lien : http://versautrechose.fr/blo..
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Haïkaï

Un pur joyau.
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Journaux de voyage

C’est un recueil à savourer, à grignoter petit à petit quand on a envie de s’évader, puisqu’en quelque sorte, on accompagne Bashô dans ses voyages et sa plume poétique nous fait découvrir de sublimes paysages et nous fait passer un moment très agréable.
Lien : https://comaujapon.wordpress..
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Cent onze haiku

Un très beau recueil de haïkus, comme les puristes l'apprécieront. On sait que Basho est l'un des maîtres du haïku, on comprend ci pourquoi. Le style est à la fois maîtrisé et libre, le sujet varié et poétique, l'image spontanée et accessible. Chaqu'un de ces haïku est un portail sur une image, une sensation, un moment que Basho met en relief de manière sublime. Par ailleurs, la mise en page demeure aussi sobre, belle et efficace que l'écriture, où le blanc des pages fait ressortir parfaitement la transcription japonaise calligraphiée des haïku.

En somme, après le recueil d'Issa (que je conseille, dans la même édition), me voilà en face d'un autre coup de coeur, que je garderai près du lit pour en lire un de temps en temps, comme il se doit de lire, selon moi, une telle oeuvre.
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Cent onze haiku

Magnifique ouvrage où l'on apprend à entrer en harmonie avec la poésie et la philosophie japonnaise.

A travers ces cent onze haÏku, qui sont à la fois écrit en japonnais mais avec l'alphabet latin, traduits en français et calligraphiés, donc écrits dans la langue et avec l'écriture même du pays, on s'évade.

Livre très beau , tout d'abord pour la texture du papier sur lequel il est imprimé, puis pour les magnifiques calligraphies et enfin pour le sens même des textes ; textes que l'on arrive d'ailleurs pas toujours à saisir toute la portée et la signification mais qui sonnent comme une douce mélodie. Ce livre est fait non seulement pour être lu mais aussi pour être entendu et pour servir de base à de profondes réflexions sur l'existence. L'auteur nous donne une merveilleuse leçon de vie : il faut savoir écouter mais aussi admirer le monde qui nous entoure et savoir parfois se détacher du matérialisme pur et dur dans laquelle la société s'est plongé.

Pensez-y en venant méditer sur cet ouvrage.
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Haïkus : L'art de boire et de manger

Je continue ma découverte de la Littérature japonaise par ce recueil de haïkus. Bonne connaisseuse de la poésie européenne (plus particulièrement de celle du XIXè), j'ai eu un peu de mal au début avec cette forme très ramassée (souvent, je me suis dit "quoi, c'est tout ?") et non rimée ; finalement, je me suis laissée porter par les images, à la fois celles évoquées par les poèmes et celles de cette belle édition, tirées souvent de la documentation de musées.
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Jours de printemps

Ce recueil répond à un des principes d'un haïku : la référence à une saison, et plus particulièrement, le printemps.



Chose que j'ai apprise ici, c'est qu'au japon, pays apparemment marqué par les saisons, celles-ci sont subdivisées.

Comme il l'est précisé à la fin du recueil, l'évocation du prunier appartient à la gamme des premières impressions du printemps : "jeunes pousses et pruniers \ à l'auberge de Mariko \ bouillon d'ignames" , tandis que l'image du cerisier se classe parmi les émotions liées au déclin de la saison "tant et tant \ de souvenirs \au long des cerisiers.



De quoi regarder ce recueil différemment pour en apprécier la lecture.

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Haikus et Notes de Voyage - Nozarashi kikô

J'ai déjà mangé japonais, parlé japonais (enfin quelques mots, quelques phrases de base), j'ai regardé des animés, des dramas et des films en vostfr, j'ai lu des mangas, lu des livres d'auteurs japonais... Alors vous pensez, les haïkus, je connais. Oui, je connais, vite fait croisés au détour d'une lecture, d'un visionnage, mais, pour autant, je n'avais jamais lu de recueil leur étant dédié. C'est heureusement une lacune que j'ai maintenant pu combler. ^^



Et je suis vraiment heureuse d'avoir pu le faire, parce que ça a été un moment très intéressant, rempli de calme, de sérénité, de lecture plaisir comme une douce musicalité non pour les oreilles, mais pour le cerveau. Car oui, j'ai pris énormément de plaisir à cette lecture mêlant haïbuns et haïgas.



Avant de rentrer plus avant dans ma chronique, je vais vous expliquer quelques petites choses, pour les intéressés :





Qu'est-ce qu'un haïku ?

Il s'agit d'un petit poème extrêmement bref visant à dire et célébrer l'évanescence des choses. Ce poème comporte traditionnellement 17 mores (un découpage des sons plus fin que les syllabes) en trois segments 5-7-5, et est calligraphié traditionnellement soit sur une seule ligne verticale soit sur trois.

Le haïku ne se contente pas de décrire les choses, il nécessite le détachement de l'auteur. Il traduit le plus souvent une sensation. Il est comme une sorte d'instantané. Cela traduit une émotion, un sentiment passager, le haïku ne se travaille pas, il est rapide et concis. Il n'exclut cependant pas l'humour, les figures de style, mais tout cela doit être utilisé avec parcimonie. Il doit pouvoir se lire en une seule respiration et de préférence à voix haute. Il incite à la réflexion. Il est préférable de le lire deux fois afin d'en saisir complètement le sens et la subtilité.



Qu'est-ce qu'un haïbun ?

Le haïbun est une composition littéraire mêlant prose et haïku. Il est utilisé pour la première fois par le poète du XVIIe siècle Matsuo Bashô, dans une lettre à son disciple Mukai Kyorai en 1690.



Qu'est-ce qu'un haïga ?

Le haïga est un style de peinture japonaise qui incorpore l'esthétique des haïkus. Les haïgas sont généralement peints par des poètes haïku et souvent accompagnés de poèmes haïku. Comme la forme poétique qu'il accompagne, le haïga est fondé sur des observations simples et souvent profondes du monde quotidien.





Voilà. On n'oublie pas de remercier Wikipédia au passage. ;-)



Maintenant que tout le monde est plus au fait avec le vocabulaire de base, revenons-en à la chronique !



Ce livre, ou plutôt ce carnet de voyage (nozarashi kikô signifie "journal de voyage usé par les intempéries), est un mélange de prose et de haïkus appelé (avez-vous bien retenu la leçon ?) haïbun (bravo aux personnes ayant eu la bonne réponse !). Il a été écrit par Bashô lors de son pèlerinage vers son village natal, un an après le décès de sa mère.



Il commence par une introduction retraçant la vie de ce poète japonais puis continue sur une préface qui nous parle un peu plus du concept du livre, ainsi que de Manda, son illustratrice. Il se termine par quelques petites notes explicatives sur certains noms, lieux, termes employés. Autant dire que ce sont des parties que j'ai lu avec attention, pour bien m'imprégner de ce que l'on voulait me transmettre.

Petit plus à la toute fin, la carte du long voyage de Bashô.



Pendant ce voyage, le poète va coucher sur papier ce qu'il ressent, ce qu'il voit. Il va capturer la beauté et les émotions du moment présent.

Sans le savoir, ses haïkus sont l'ancêtre du smartphone... de façon beaucoup plus subtile, il est vrai. Mais trêve de plaisanterie !



Entre ces très jolies pages de papier glacé, au milieu des haïkus, des haïgas et de la prose, j'ai voyagé. Je me suis laissée porter par leur musicalité, leur beauté, leur subtilité. Autant vous l'avouer, je l'ai dévoré en très peu de temps, trop peu de temps. Snif... Puis j'ai pris plaisir à le feuilleter de nouveau, à rechercher les plus belles peintures, les plus beaux vers.



J'ai particulièrement aimé la mise en page qui sait s'adresser à un large public : au néophyte avec la traduction française ; à une personne possédant quelques notions (comme moi) avec la version romanisée (c'est à dire la prononciation japonais mais avec notre alphabet) ; à l'apprenti qui pourra s'essayer à la lecture imprimée des kanji (hiragana, l'alphabet japonais) à l'expert avec la version japonaise calligraphiée des haïgas.



A chaque nouvelle page, je procédais de la même façon :

- Je commençais d'abord par lire les kanji. Enfin lire... plutôt les regarder vu que je ne sais lire que le no et le ku. lol

- Je continuais par la version romanisée. Même si je n'ai jamais été capable de traduire un haïku en intégralité, j'arrivais (presque) toujours à trouver au minimum un mot, voire trois ou quatre.

- Puis je terminais par la version française, prenant plaisir à confirmer mes traductions, mais encore plus à en caresser le sens subtil et la beauté gracile.



Il n'y a pas à dire, j'aime la culture japonaise, si emprunte de simplicité. Mais, dès que l'on gratte un peu, on s'aperçoit que ladite simplicité est beaucoup plus compliquée qu'on ne le croyait de prime abord, beaucoup plus subtile et réfléchie. J'adore !



En résumé, lire ce carnet de voyage a été autant un plaisir pour les yeux, avec ses magnifiques haïgas, qu'avec la délicate subtilité et le sentiment d'éphémère poésie des haïkus de Bashô, emplis d'émotions. J'ai été moins sensible à sa prose, mais tout est une question de goût. Et ça ne m'empêchera pas de me replonger entre ses pages à l'occasion, oh ça non ! ^^

Je n'ai jamais été férue de poésie, je n'y ai même jamais été vraiment sensible, mais j'adhère et j'adore les haïkus.

Si je recommande ce livre ? Absolument ! Tant pour son contenu que pour le contenant : la qualité éditoriale (qualité du papier, format, mise en page, beauté, élastique...) fait que tout est mis en œuvre pour une immersion totale et pleine de plaisir entre les pages de ce nozarashi kikô.



Un second carnet de voyage vient tout juste d'être publié par Synchronique Éditions. Vu qu'il n'est pas disponible sur SimPlement et que j'ai déjà eu deux SP de cette maison d'édition (je ne voudrais pas abuser et passer pour une profiteuse), il y a des chances pour que je le demande à Papa Nowël. Parce que le trouver au pied du sapin me ferait vraiment très plaisir ! :D
Lien : http://booksfeedmemore.eklab..
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Haikus et Notes de Voyage - Nozarashi kikô

Ce carnet de notes de voyage est un mélange de prose et de haïkus appelé haïbun. Nozarashi kikô veut dire "journal de voyage usé par les intempéries", il a été publié par Bashô en 1685.



C'est une édition poche cadeau illustrée de splendides Haïgas en couleur (calligraphies de Haïkus et peintures, un art mêlant l'équilibre et l'harmonie) de Manda et reliée avec un élastique. Le papier effet glacé est de très bonne qualité.



L'introduction, la préface et les notes en fin d'ouvrage sont très intéressantes. On y découvre une courte biographie du poète japonais, quelques mots de Manda l'illustratrice, sur la culture japonaise, quelques significations de divers animaux...., et de l'essence du haïkus tendant à rapprocher nos deux cultures. Un autre plus, c'est la carte des étapes du périple de Bashô. 



Pendant qu'il chemine, le poète s'imprègne de ses impressions sur la campagne, l'horizon, ses rencontres, de tout ce qui l'entoure... puis médite et retranscrit le tout en Haïkus. Il part à pieds rejoindre son village d'origine se recueillir sur la sépulture de sa mère. Pour revenir à son point de départ, il aura parcouru 1562 km en neuf mois et traversé 12 provinces. 



Le lecteur essaye d'imaginer Bashô en position du lotus, respirer, se concentrer, méditer et enfin écrire ses haïkus avec un état d'esprit serein, joyeux et plein de contentement en parfait adéquation avec son soi intérieur. 



Ce qui m'a tout de suite attirée dans ce carnet notes de voyage ce n'est pas seulement mon amour de la poésie, c'est l'univers du Japon et sa culture. J'apprécie particulièrement les estampes de l'artiste japonais Hokusaï et j'ai eu le bonheur de découvrir une de ses œuvres représentant Bashô sous un arbre en pleine méditation. Les illustrations sont magnifiques et quel plaisir de lire ces haïkus ! Je suis vraiment ravie d'avoir fait un bout de chemin avec ce poète japonais.
Lien : http://larubriquedolivia.ove..
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Cent onze haiku

Poésie concise invitant à la méditation et la contemplation. On en oublie que Bashô est un auteur du 17e siècle. Ses haïku sont d'une incroyable modernité.

La mise en page fait regretter de ne pas connaitre le japonais car la juxtaposition du texte et de sa traduction est vraiment très esthétique et si épurée qu'elle sert complètement son contenu.

A picorer à tout moment.
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