Sur quel artiste peintre portera notre nouvel album, en partenariat avec le musée de l'Orangerie ? Il s'agit évidemment de Claude Monet !
De la fin des années 1890 jusqu'à sa mort en 1926, il se consacre essentiellement au cycle des Nymphéas, dont le musée de l'Orangerie possède un ensemble unique !
Oeuvres mondialement connues, vous les (re)découvrirez en plongeant dans ce récit palpitant de Béatrice Fontanel, merveilleusement illustré par Alexandra Huard, qui ont toutes deux mené un impressionnant travail de documentation.
Le plus ? Une version audio incluse grâce à un QR code, des photos d'archive et des illustrations pour aller plus loin, et découvrir les secrets de Monet.
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Le noir fait chanter toutes les autres couleurs : si tu passais dans un champ de coquelicots, ils paraîtraient bien plus rouges. Et sous tes ailes d'ébène, au temps des moissons, l'or des blés scintillera plus fort encore.
(Hannah commente l'entrée d'Adolf Eichmann à son procès en 1961 à Jérusalem)
Il est entré. On aurait dit un fantôme... En plus, il avait un rhume et il était ravagé de tics. Il faisait toutes sortes de grimaces. Dans sa boîte de verre, il semblait être l'ectoplasme d'une séance de spiritisme.
Et puis, le 8 mai 1945, c'était la fin de la guerre.
Je suis alors devenue directrice à la Commission pour la reconstruction de la culture juive européenne. Ma tâche était de récupérer les biens culturels juifs dérobés par les nazis. Avec une équipe, je devais interroger des réfugiés juifs qui avaient travaillé en Europe dans les bibliothèques ou les musées.
Je découvrais la multiplicité des services et des agences de l'organisation nazie. C'est alors que j'ai commencé à comprendre la structure stratifiée "en oignon" des régimes totalitaires que je développerais dans mon livre "Les origines du totalitarisme".
Aucun des chefs de la Révolution n'aimait le sang personnellement mais une sorte de fatalité obscure les obligeait à le faire couler. Pensaient-ils que leur jargon sanguinaire n'aurait jamais de conséquences ?
[...] il s'endort, bercé par les cahots de la route. Il ne voit pas la grande ville qui approche, tentaculaire et magnifique, avec ses milliers de petites lumières, presque autant que d'étoiles dans le ciel. Voilà Rio ! Rio de Janeiro !
Ma mère m'a dit que j'étais drogué aux jeux vidéo, incapable de m'arrêter, et elle m'a prévenu que, à partir de maintenant elle allait noter précisément sur un papier le temps que j'y passais, parce que -paraît-il- je mentais tout le temps sur l'heure à laquelle j'étais censé avoir commencé. Elle ne se rend pas compte à quel point les jeux vidéo peuvent développer des réflexes, en mode ninja(...)
Taille de guêpe de rigueur, robes d'organdi ou d'organza, chez les bourgeois cela va de soi. Manches bouffantes, tissus chatoyants...les femmes avaient l'air de grosses orchidées ou de papillons de nuit.
"Alors là, n'importe quoi!
pas question, non de non:" s'exclama Frédégonde
Et elle décida tout simplement de se déguiser en garçon.
Son conseiller Rizzio serait l'amant de Mary Stuart. C'est trop d'humiliation pour le mari, Darnley qui décide de l'assassiner. Le 9 mars 1566, alors que la nuit enveloppe de sa cape sombre le château de Holyrood, une tragédie digne de Shakespeare est sur le point de se jouer.
Les hommes de la préhistoire n'hésitent pas à s'enfoncer profondément sous la terre pour recouvrir les galeries d'animaux sauvages... Des millénaires plus tard, l'artiste Pablo Picasso s'exclama au sujet de ces peintures préhistoriques : "Nous n'avons donc rien inventé !"
-Regarde là, c'est la constellation du Petit Cheval qui tire la nuit derrière lui. Il galope dans le ciel sans frontières et ses sabots écrivent là-haut la plus beau mot du monde.
- C'est quoi, ce mot [...]
- Il est gravé là pour l'éternité, c'est "liberté"