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Critiques de Benjamin Franklin (15)
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Conseils pour se rendre désagréable

Le titre du livre est trompeur; l'éditeur l'a certainement choisi car il était plus vendeur. Je pensais que c'était un livre humoristique ou satirique, dans la veine de "La modeste proposition" ou "Instructions au domestiques" de Swift. En fait, l'ouvrage comprend plusieurs textes, celui lui donnant son titre au recueil ne couvrant que 5 pages sur 87.



Conseil pour se rendre désagréable est un court texte satirique condamnant le bavardage intempestif, Comment devenir riche, Conseils à ceux qui veulent devenir riche sont des courts essais démontrant que la richesse repose sur le travail et la vertu.



Le texte le plus important est L'art de la vertu. Extrait de l'autobiographie de Franklin, il s'agit d'une méthode pratique, baser sur l'auto-examen, pour maîtriser les 13 vertus que' l'auteur pense indispensables, de la tempérance à l'humilité. L'auteur n'hésite pas à masque les difficultés rencontrées et même un échec relatif. Ainsi il reconnait son orgueil et son incapacité à devenir humble. Pourtant le bilan est positif, puisqu'il sait qu'il s'est amélioré moralement.



En fait Benjamin Franklin résume une éthique protestante dans des conseils de bon sens.
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Conseils pour se rendre désagréable

Ce petit recueil était sur un présentoir à la bibliothèque.

L'œil attiré par le titre, je m'arrête devant, vois le nom de l'auteur, et sans rien regarder de plus (et surtout pas la quatrième de couverture : je fuis comme la peste ces lignes bien trop bavardes) ajoute le livre à ma pile déjà copieuse.

Le titre provocateur et la notoriété l'auteur laissaient présager un bon moment de lecture : j'allais me régaler avec un texte plein d'ironie.



Une précision pour commencer : "Conseils pour se rendre désagréable" n'est que la première des quatre parties de l'ouvrage, et elle n'occupe que cinq petites pages.

Suivent "Comment devenir riche", "Conseils à ceux qui veulent devenir riches" et "L'art de la vertu".

Moi qui attendait des conseils pour me transformer an Tatie Danielle ou en Madame Mac'Miche suis forcément déçue. :-)

Le livre est très court et se lit vite, mais il ne m'en restera pas grand-chose ; je n'y ai trouvé ni l'ironie ni l'humour à la hauteur que j'espérais.

J'ai esquissé ici ou là un petit sourire, mais c'est tout.
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Conseils pour se rendre désagréable

Benjamin Franklin, brillant esprit multidisciplinaire, un des fondateurs de la République américaine, se montre ici gaillardement satyrique envers les mondains dans un très court « conseils pour se rendre désagréable », qu’on devine à l’usage de la bourgeoisie entreprenante, car il s’agit au fond de fuir les plaisirs sociaux frivoles pour travailler et enrichir une nation (et soi-même).

Les chapitres suivants rétablissent un Franklin bourgeois, capitaliste, vantant l’enrichissement (le temps c’est de l’argent est de son crû), non pas pour le plaisir de faire fortune en soi mais pour la prospérité générale, sans jamais rien évoquer des nécessaires partages de cette richesse. Le Dieu des presbytériens, celui de Franklin, ayant énoncé qu’à chaque individu correspondait une destinée, prospérer pour sa divine gloire n’est pas donc un péché.

Dans le petit essai final, « l’art de la vertu », il ne goûte guère les réjouissances d’ici bas : Franklin superpose vertu, bons sens et austérité.

On déduit de ce livre que la prospérité serait vertueuse – reconnaissons que le monde protestant entrepreneurial a offert à l’Occident des décennies d’amélioration de confort et de progrès techniques. On aurait pourtant aimé lire de Franklin, esprit des Lumières outre-atlantiques, qu’une pensée émue s’impose envers ceux que ce système économique a laissé et laissera encore sur le bas côté. Aucune réserve non plus de sa part quant aux risques de déviances de ses certitudes libérales, comme faire de l’argent pour l’argent, toujours plus d’argent, quitte à coter le génome humain en Bourse.
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Conseils pour se rendre désagréable

Franklin, selon son humeur, donne des leçons, ironise ou se confesse. D. H. Lawrence avait beau vomir la "morale pragmatique" du bourgeois Franklin, il était forcé d'admettre que "ce petit démocrate desséché" a plus fait "pour détruire la vieille Europe qu'aucun nihiliste russe".
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L'art de choisir sa maîtresse

Un livre frais, léger, plein d'humour. Je connaissais très peu Benjamin Franklin et ce recueil m'a permis de découvrir des aspects très divers de sa personnalité et de sa vie. Un livre d'une grande modernité qui surprend par sa malice et son ingéniosité. Un vrai régal.
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L'art de choisir sa maîtresse

Si Michaël Douglas avait lu ce livre, il n'aurait pas expédié Glenn Close ad patres depuis la salle de bain familiale. En quelques billets et lettres, drôles, caustiques, impertinents, Benjamin Franklin, Monsieur paratonnerre et accessoirement père fondateur des Etats-Unis d'Amérique nous livre ses points de vue sur la société américaine. Editeur de livres, journaux et almanachs populaires, journaliste doté d'une plume élégante et efficace, il use de pseudonymes pour faire passer ses idées, sur un ton faussement badin, et fort réaliste. Il devient ainsi Anthony Afterwit (Anthony le-sage-tardif) pour convaincre les habitants de la Nouvelle-Angleterre de la nécessité d'être économe, Alice Addertongue (Alice langue-de-vipère) pour colporter des scandales et égratigner la bonne société, ou s'auto-adresse des réponses dans ses propres journaux. Homme politique et scientifique, il aborde tous les sujets, dès qu'il s'agit de critiquer les convenances et de défendre ses convictions. Favorable à l'indépendance des Etats-Unis, il ridiculise les Britanniques dans "Pour transporter des serpents à sonnette" ou "Pour humilier les rebelles américains", et parvient à vulgariser la théorie copernicienne dans "Un cuisinier fantasque". Tous les textes sont drôles, habiles et d'une incroyable modernité.

"L'art de choisir sa maîtresse" qui rappelle certains lignes des Petites misères de la vie conjugale d'Honoré de Balzac, s'adresse à un ami qui refuse le mariage. Pour l'aider à faire le bon choix, Benjamin Franklin croque en huit points, l'art de choisir une compagne quand on ne veut pas s'engager. Il faudra, lui écrit-il, qu'elle ne soit pas trop jeune, mais plus âgée, car moins sotte, plus expérimentée ("c'est grâce à la pratique que le tour de main s'améliore") et surtout beaucoup plus discrète: "Quant à la leur (réputation), si l'affaire venait à se savoir, on peut considérer que les gens seraient plus enclins à absoudre une femme d'un certain âge de s'être gentiment préoccupée d'un jeune homme, de l'avoir formé par ses conseils et d'avoir évité ainsi qu'il ruine sa santé et sa fortune avec de vénales prostituées". Et enfin, "parce que le remords est moindre. Avoir rendu une jeune fille malheureuse peut vous faire ressasser de sombres pensées. Rien de tout cela pour avoir rendu une femme mûre heureuse."

Pour connaître les règles afin de devenir un compagnon détestable ou construire un cadran solaire détonant, il ne vous reste plus qu'à lire cette merveille, rééditée par Le Livre de poche dans l'amusante collection" La lettre et la plume", dans laquelle on trouve aussi "Je ne suis pas jolie, je suis pire" de la princesse de Metternich ou " Cette pute me fera mourir" du duc de Saint-Simon, étrangement absents du Lagarde et Michard.



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L'art de choisir sa maîtresse

J’adore les livres de la collection La lettre et la plume du Livre de Poche, je les ai tous je crois (rien que les couvertures sont magnifiques !), mais je n’en ai pas encore lu beaucoup – quatre avec le dernier lu, L’Art de choisir sa maîtresse et autres conseils indispensables, qui est un recueil de courts textes de Benjamin Franklin. Ce sont majoritairement des textes sarcastiques, humoristiques, d’apparence légère mais qui abordent souvent de vraies questions pour les contemporains de Franklin.



Comme à l’habitude, le livre s’ouvre sur une introduction en forme de mini-biographie et présentation de l’auteur des textes. C’était une découverte totale pour moi, et ça m’a beaucoup intéressée. Benjamin Franklin me fait penser à un homme de la Renaissance à certains égards ; un humaniste tout-à-tout, sciences « dures » et sciences humaines, curieux presque à outrance, défenseur ardent de la cause des colonies américaines. Après avoir lu ces quelques pages (l’ensemble du livre en fait moins de 130), je n’ai pas pu m’empêcher de lire les premiers textes, et j’ai dévoré tout le livre.



La plume et l’humour sont absolument délicieux, je savourais chaque phrase, tout en ne pouvant m’empêcher de lire vite. J’ai franchement éclaté de rire plusieurs fois. Ces textes sont en plus une source intéressante sur le contexte du XVIIIème siècle en Amérique du Nord. Alors que cette partie du XVIIIème ne m’intéressait pas particulièrement auparavant, ainsi que ce personnage, maintenant si !



Je vous donne un petit florilège de mes textes préférés. Dans ceux qui sont drôles et moquent gentiment certaines catégories de personnes, il y a Quelques règles pour devenir un compagnon détestable (ou comment faire comprendre aux notables pontifiants qu’il faut la fermer à un moment) et Lettre à l’Académie Royale (celle-là m’a vraiment fait mourir de rire, vu certaines inventions modernes !). Dans les plus engagés, c’est le Discours de Mlle Polly Baker, mère de cinq bâtards, que j’ai préféré. Il y a également un texte qui taille pas mal, et qui en plus a été directement rédigé en français : In vino veritas. Je vous laisse imaginer !



Si vous ne connaissez pas cette collection, lancez-vous, elle est formidable, et ce titre en particulier est un coup de cœur !
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L'art de choisir sa maîtresse

Benjamin Franklin, nous lui devons l'invention du paratonnerre et les Américains d'être un des Pères fondateurs de la Constitution des États-Unis. Ça pose son homme, un tel curriculum vitae! Mais Benjamin Franklin fut également un facétieux chroniqueur. La collection Les Lettres et la Plume du Livre de Poche a rassemblé dans cet opuscule quelques textes de l'auteur qu'il signait souvent du pseudonyme de veuve Dogwood.



Le titre L'art de choisir sa maîtresse m'a plu d'emblée, surtout posé sur une jolie couverture. Cette première chronique est suivie d'autres "conseils indispensables" qui font la part belle à l'ironie et à la satire. Il dépeint les moyens de devenir une langue de vipère ou un importun grincheux avec humour.

Quant aux conseils pour bien choisir sa maîtresse, sans doute faudrait-il l'offrir aux hommes mariés tentés par l'adultère ou aux célibataires ne souhaitant pas s'engager trop avant. On est surpris, en lisant, par les qualités requises par la parfaite maîtresse.



Bien sûr, ces textes ont aujourd'hui un peu vieilli. Pourtant l'humain reste fidèle à certains points de mentalité. Il n'y a qu'à changer les tenues vestimentaires, échanger la calèche pour une voiture, et le tour est joué.

Le style de Benjamin Franklin, de plus, est piquant et plein de verve, jouant avec les patronymes pour de ce seul nom, poser tout un personnage.



Assurément une petite lecture plaisante et divertissante.
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L'art de choisir sa maîtresse

Et si le vrai Benjamin Franklin n'était pas l'homme du paratonnerre, mais un mixte de Groucho Marx et de James Thurber ? Quelle trouvaille ces petits textes du père fondateur des Etats-Unis !
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L'art de choisir sa maîtresse

Après mes nombreuses déconvenues dans cette collection, dont l’une à la lecture des Mémoires de Pauline de Metternich réputée pour son ton caustique, j’ai été ravie de m’amuser (enfin !) à la lecture de ces chroniques de Benjamin Franklin : sans aller jusqu’à dire, comme l’éditeur, que l’humour ne connaît ni les frontières ni les âges, j’ai souri à plusieurs reprises. L’auteur joue énormément de l’ironie dans ces chroniques journalistiques ou lettres envoyées sous couvert d’un pseudonyme, lui aussi très humoristique et choisi en fonction du sujet développé : Alice Addertongue [Languedevipère] disserte sur les commérages (je me suis régalée à la lecture de ce texte, bien entendu), tandis qu’Anthony Afterwit [Le-sage-tardif] narre sa tardive résolution pour améliorer son mode de vie. De nombreux sujets sociaux ou politiques sont abordés par ce biais ou par celui de la fable. Ces dernières sont plus explicitement moralisatrices et visent souvent à promouvoir un mode de vie modeste et industrieux. Dans ce domaine, Benjamin Franklin m’a semblé très traditionnaliste et un peu mal vieilli quant à sa perception du rôle social de la femme (faire des enfants). Cet aspect de sa personnalité apparaît également dans ses Almanach, dont celui où il enseigne quelques notions d’astronomie à l’aide d’une brève parabole.



En conclusion, il s’agit selon moi d’une anthologie de textes courts très plaisante, que j’aurais aimé plus longue et fournie (j’en redemande !)
Lien : http://minoualu.blogspot.be/..
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L'art de choisir sa maîtresse

Ce livre est très court : 120 pages, et c'est là son seul défaut. Je ne connais B. Franklin que de nom et en voyant ce recueil, et surtout son titre, j'ai été plus qu'intriguée.



C'est évidemment bien écrit, comme tous les livres de cette collection que j'ai lus jusqu'à présent, mais ça va bien plus loin que ça. Ce qui est le plus remarquable, c'est le ton.



Chaque texte fait réfléchir et ce de plusieurs manières. Parfois c'est avec un raisonnement juste mais absurde et tellement absurde qu'on ne peut que comprendre qu'il s'agit d'un dénonciation que de réelles propositions. Dans d'autres textes, il reprend les arguments d'autres et les pousse à l'extrême, les rendant invalides. Ce sont aussi des anecdotes qui dénoncent des types de comportements où les vilaines personnes sont punies pour leur caractère.



Mais surtout, ce sont des textes très amusants. Les idées absurdes, les exagérations et les retours de bâton rendent tout cela très drôle sans pour autant dénaturer le message. J'ai passé un excellent moment avec ce livre.
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L'art de choisir sa maîtresse



Benjamin Franklin est un homme aux multiples talents. Et un que je ne lui connaissais pas encore est son humour. Ce livre est très agréable à lire, et pratique quand on est dans les transports, ou que l’on attend un rendez vous. Il est composé de plusieurs lettres avec des thèmes différents. J’ai vraiment passé un bon moment avec ce livre. Benjamin Franklin écrit extrêmement bien, et il est très agréable à lire. J’ai bien rit aussi, ce qui m’arrive assez rarement avec un livre. A savoir que le titre du livre ne fait pas référence à toutes les lettres qui y sont présentes. Il y a même une chanson à boire!



Bref une bonne découverte et je compte bien me procurer d’autres livres de cette collection « La lettre et la plume » qui me semble prometteuse.
Lien : https://mrsturner6259.wordpr..
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L'art de choisir sa maîtresse

Une magnifique édition soignée de la Finitude pour un petit recueil de textes rigolos qui ne valent principalement que de la nature de leur auteur.



Restent de belles drôleries et incongruités, dont ces conseils pour choisir une femme mure pour maîtresse : "elles sont si reconnaissantes !"



Sacré Benjamin, quel coquin !
Lien : http://noid.ch/lart-de-chois..
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La science du bonhomme Richard et Conseils ..

Qu'est-ce que j'ai pu rire avec ce livre! Ce n'était pas du tout fait volontairement par les éditeurs, "Eugène Ardant et Cie, Editeurs", mais ils m'ont bien fait rire avec cette édition "bibliothèque de l'école et du foyer" de "La science du Bonhomme Richard et conseils pour faire fortune avec notice sur l'Auteur, et Introduction et Notes à cette édition".

La découpe rend très difficile l'attribution des textes aux éditeurs ou à Benjamin Franklin.

Une longue introduction met en garde contre Benjamin Franklin et les encyclopédistes à cause des risques concernant "le triomphe de leurs doctrines anti-chrétiennes et de leurs subversives utopies sociales". Les éditeurs expliquent longuement qu'il y a des choses correctes dans l’œuvre de Franklin mais qu'il ne faut surtout pas trop aller voir du côté du personnage et qu'il est hors de question de laisser ça dans les mains des enfants sans surveillance (Franklin ne semble pas faire grand cas de Dieu et de la religion).

Il y a ensuite les savoureuses notes de bas de page, dans des proportions absolument pas raisonnables. Ici par exemple:

"Si quelqu'un vous dit que vous pouvez vous enrichir autrement que par le travail et l'économie,

- Ne l'écoutez pas; - c'est un imposteur! (1)

(1) Par Travail, il faut entendre toutes les branches de l'activité humaine; par Economie, l'épargne et la formation du Capital. -L'assertion de Franklin n'exclut pas la légitimité des héritages, résultat du travail et de l'économie des générations antérieures."

La plupart des notes concernent Dieu, qu'il ne faudrait surtout pas oublier et dont la morale terrienne (et un peu pervertie de Franklin) ne fait pas du tout mention ;).

Concernant l’œuvre en elle même sans les notes d'éditeur, il est facile à lire, intéressant. C'est essentiellement du bon sens, toujours d'actualité: pour avoir plus d'argent il y a deux voies: gagner plus et dépenser moins et quelques tuyaux: éviter les crédits, mettre de côté un peu de ce qu'on gagne, ne pas acheter ce qui est inutile...
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Mémoires de Benjamin Franklin

C'est Donald Trump qui me décida enfin à combler ce manque culturel qu'était pour moi la lecture des Mémoires de Benjamin Franklin, puisque dans une campagne électorale tout en finesse et relatée dans les Aventures de Qaliméro (à paraître prochainement), il s'autoproclamait "génie".

Sans bouillir, j'achetais donc l'ouvrage. Non pas que je doute de la fulgurance d'esprit de Trump, mais tout de même. Si lui est un génie, l'autre ne devait pas être complètement inintéressant ! Même si, je le concède, Franklin ne pouvait se targuer d'attraper les femmes par un endroit que mon éducation m'interdit de nommer ici...



Bref, nous avons ici le récit d'un homme tolérant, juste et moderne avec ses nombreux apports dans les différents domaines, puis ceux qu'on lui a selon lui injustement attribués.

J'espérais plus de détails sur ses inventions (qu'il ne prenait même pas la peine de breveter) puisqu'il n'y a quasiment rien.



Ces Mémoires au plan un peu fouillis mériteraient bien sûr d'être croisés avec une biographie plus complète, d'une tierce personne.



En bénissant le nom de Benjamin Franklin, je ne peux donc pas cacher ma petite déception.
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