Dans ce roman, Corentino est un cueilleur de noix de coco en Colombie. C'est la tradition à Milcoco, de père en fils. Il ne se voit pas faire cela toute sa vie. Il rêve de Paris et de la France, pays d'origine de son grand-père. Corentino va organiser son expédition. On va le suivre dans son aventure.
Que se passera-t-il une fois arrivé en France ?
J'ai aimé les moments de naïveté de notre héros. Le parcours pour les immigrants n'est pas facile entre le périple qu'ils effectuent pour arriver à destination et après toutes les formalités administratives ou autres à remplir. Un beau partage sur le sujet, vu par un adolescent.
Une société et des pays qui n’ouvrent pas facilement leurs portes aux étrangers. Un roman sur un sujet fort, dur et à la fois plein de chaleur.
Par contre, j'ai moins accroché avec le personnage de Corentino qui m'a paru froid et plein de chaleur également.
Merci à Mes premières 68 et aux Éditions Courtes et Longues de m'avoir permis de découvrir ce livre.
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Sans un sou en poche, certes, mais avec des sous dans les poches des autres !!! Ils voyagent gratuitement, mais qui paye l’essence et l’assurance des véhicules qui les prennent en stop ? Et l’entretien des réseaux routiers ? Quand ce sont les bateaux qui les prennent en charge, c’est pire, même si de temps en temps ils filent un coup de main... On leur offre parfois un coin pour dormir et manger ; mais qui paye l’eau, le gaz qui la chauffe, l’électricité qui éclaire parfois et permet d’utiliser l’ordinateur ? Je préfère nettement le principe du woofing qui, contre de bons et loyaux services vous assure le gîte et le couvert. Comme dit un certain humoriste, ils apprécient qu’on leur offre "le Shitt et le couvert",car tout au long du livre on comprend bien que les pétards font souvent partie de l’aventure, c’est écrit noir sur blanc, ça aide à apprécier les nuits à la belle étoile ! Alors, je suis d’accord avec le fait de vouloir réduire la pollution, et arrêter ce gros gaspillage alimentaire avec les invendus des boutiques ou autres, mais vivre aux crochets de ceux qui se donnent du mal pour travailler et gagner leur argent, non, même si c’est pour voyager de la Hollande jusqu’au Mexique à pied et sans le sou !
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Vivre fauché mais vivre libre, le sous-titre fait déjà rêver. Voici l'histoire du voyage de Benjamin, Nicola et Raphael (respectivement français, italien et allemand) et leur incroyable aventure humaine. D'abord, une décision, partir, voyager, découvrir. Mais pas n'importe comment, non surtout pas. Ils ont des conditions très spéciales :
1. Voyager sans argent (ils emmèneront en tout et pour tout 30€ pour payer des visas)
2. Laisser l'emprunte carbone la plus faible possible
3. Ne pas amener de téléphone et ne se servir de la technologie que pour tenir leur blog
4. Vivre d'échanges, de dons et de recyclage
Tout un programme n'est-ce pas ? Nous allons les suivre un an en partance de La Haye, Pays-Bas et arriver vers Cancun, Mexique, en passant par le Maroc, les Canaries, le Cap-Vert, le Brésil (entre autres). Un voyage parsemé de belles rencontres mais pas exempt de galères. Nuits passées à la belle étoile, journées sans manger, des heures d'attentes pour repartir plus loin. Mais en échange, wouha. De magnifiques rencontres à ne plus finir, des paysages hors du commun, la découverte de petits lieux connus que par les habitants. Et surtout, une philosophie de vie qui leur collera à la peau, un nouveau mode de vie qu'ils développeront tout au long de leur aventure et qui aujourd'hui encore reste leur raison d'être.
Mais vous me demanderez, avec de telles valeurs, pourquoi commercialiser un livre retraçant leur voyage ? Eh bien pour en faire profiter un maximum de personnes, montrer que c'est POSSIBLE et au final l'argent des ventes sera utilisé pour offrir des livres à ceux qui ne peuvent pas l’acheter.
Alors, qu'attendez-vous ?
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C'est l'histoire de Corentino. Il a 17 ans et vit avec sa famille en Colombie dans le village de Milcoco. Il travaille comme cueilleur de noix de coco. Il monte aux arbres et détache les noix de coco grâce à sa machette. Corentino a un rêve, c'est d'aller en France à Paris. Il réfléchit comment il peut faire. Corentino va se mettre dans le conteneur qui est dans le camion de son père. Il s'est préparé quelques affaires. Sur le bateau, il a le mal de mer. Petit à petit, il apprivoise son espace et le mal de mer. Au bout de plusieurs jours, Corentino arrive en France. Que va-t-il se passer pour Corentino ?
J'ai bien aimé le livre. Il se lit vite. On voit comment peuvent vivre les gens et le peu d'argent qu'ils ont. Corentino a 17 ans et travaille déjà. Il a envie de vivre autres choses. Du coup, il décide d'aller en France. Mais arrivé à destination, ça ne se passe pas comme il l'avait prévu. Il y a la barrière de la langue. Ça complique beaucoup les choses. Il n'a pas de papiers. Il est placé dans des centres. L'administration est longue pour avoir des résultats. Le livre parle d'amitié, d'entraide, de rêve et d'immigration.
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J’avais trouvé beaucoup de sensibilité, de poésie et d’originalité mêlées à une certaine fluidité, simplicité à la plume de Benjamin Lesage dont le précédent roman, son premier pour les ados, Les étoiles qui meurent dans le ciel m’avait laissé une très bonne impression. J’étais donc ravie de découvrir ce nouveau titre qui m’a embarquée tout autant que le premier.
Ici, il nous raconte l'histoire de Corentino, un jeune colombien qui ne veut pas devenir ramasseur de noix de coco, comme la plupart des jeunes de son âge. Lui, il n'a qu'une envie : découvrir la France, le pays de son grand-père.
Alors, il va faire un pari fou : se cacher, se faire enfermer dans un container à noix de coco et attendre qu'on le libère, dans la contrée de ses rêves.
Après un périple éprouvant, il touche au but. Mais rien ne va se dérouler comme il l'avait imaginé...
Ce que j’ai beaucoup aimé dans ce roman, c’est que l’immigration y est décrite différemment de ce que j’ai pu lire jusqu’à présent. Corentino n’est finalement pas un immigré comme les autres. Son départ est motivé par une envie d’ailleurs pas par des problèmes dans son pays d’origine.
Il y a un double regard sur le sujet. Le notre mais aussi celui de Corentino qui ne comprend pas les rouages de l’administration française.
Corentino se retrouve empêtré dans des procédures dont il ne comprend pas le sens.
C’est un roman qui est doux et dur en même temps. Il y a la douceur de vivre combiné à l’ennui en Colombie, qui s’oppose à la difficulté pour une vie en France.
Corentino a t-il vraiment le choix s'il veut être heureux? A-t-il le droit?
C’est un texte qui pose des questions intéressantes et nous montre le destin surprenant d’un garçon courageux et épris de voyages, de découvertes.
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Benjamin, Raphael et Nicola sont jeunes et épris de liberté. Pour donner un sens à leur vie, pour se challenger ou juste pour explorer, ils ont pris le pari de voyager depuis La Haye jusqu’à Mexico sans argent. Le but ? Lâcher prise, accepter le monde tel qu’il est, apprendre à recevoir et non pas à exiger.
Un parcours à la fois humble et discutable : est-ce que c’est éthique de voyager aux dépens d’autrui quand on est Européen ? Les trois compères ne se cachent pas qu’ils n’avaient pas réfléchi à la question avant leur départ et qu’ils se sont sentis plusieurs fois très embarrassés quand des personnes plus démunies qu’eux leur viennent en aide. Cette histoire est une véritable leçon de vie.
Vous vous en doutez, ce voyage ne sera pas de tout repos. C’est la misère et l’injustice qu’ils vont côtoyer – car il semble bien que la pauvreté nous encourage à rester dans l’entraide et que la richesse conduit à l’individualisme. Des horreurs, des galères : c’est le monde dans toute sa noirceur et sa lumière qu’ils vont découvrir.
Qu’est-ce que j’aurais aimé vivre ça à 25 ans, moi aussi…
(Remarque, je suis en bonne voie pour le faire à 30^^)
Plusieurs fois pendant ma lecture, je me suis prise à rêver de faire la même chose. Avec une nuance, toutefois : je préférerai prendre de l’argent pour m’acheter à manger, ou rétribuer les gens qui me viennent en aide. Mais partir en stop jusqu’au sud de l’Espagne, puis prendre un ferry jusqu’au Maroc avant de trouver un voilier pour rejoindre les Amériques, dormir à la belle étoile ou chez des inconnus, n’est-ce pas une aventure fabuleuse ?
Qu’est-ce qui me retient, en fin de compte ?
J’ai si bien intégré le discours « tu es une femme, le monde est dangereux pour toi » que je me retiens encore de faire mes expériences de crainte de me faire agresser. C’est idiot : les hommes aussi peuvent se faire agresser.
C’était donc très inspirant. Mais j’ai quelques bémols à apporter : j’aurais voulu avoir plus de sensations, d’impressions, de réflexions sur ce qu’inspire ce voyage. A certaines reprises, j’avais presque l’impression de lire un compte-rendu : tel jour on était là, puis tel autre on arrivait ici, à Bogotá les gens étaient comme ci, etc.
J’exagère un peu, évidemment : bien sûr qu’il y avait de la poésie et des réflexions. Mais moins que ce que j’aurais voulu, donc j’ai eu du mal à me mettre à la place de nos trois étudiants (chez moi, le chemin extérieur est toujours accompagné du chemin intérieur : c’est ce qu’il m’est arrivé quand j’ai décidé de traverser la France à vélo. Mes impressions étaient si fortes, tout m’émerveillais, et je sentais ma pensée en train d’évoluer grâce à ce que je vivais et il m’a manqué ces impressions pour tout à fait m’identifier). Le livre se déroule sur un an et n'excède pourtant pas les 300 pages. D'énormes ellipses ponctuent leur aventure, alors que j'aurais voulu ressentir le quotidien dans chaque pays qu'ils traversaient.
Une petite mise en bouche, pour moi.
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J'ai reçu ce livre dans le cadre d'une masse critique Babelio.
J'ai donc découvert Corentino, un jeune ramasseur de noix de coco, qui n'a qu'un rêve c'est aller en France, le pays de son grand-père.
Un jour il décide de se cacher dans un container de noix de coco pour aller en France, mais rien ne se passe comme prévu.
Ce roman m'a fait voir l'immigration d'une autre manière que celle qui nous ai présenté habituellement, Corentino a une envie d'ailleurs, il ne fuit pas son pays à cause de ces problèmes.
J'ai beaucoup aimé la plume de Benjamin Lesage. Ce roman me donne également envie de découvrir d'autres romans cette maison d'édition.
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J'aurais aimé que ce livre soit bien plus long !!
La magie d'un voyage hors du commun, au fil des rencontres et des paysages. L'auteur ne nous en livre que des bribes, sans nous donner le fond de sa pensée au gré des événements. Pourtant, j'aurais aimé combler les blancs entre les étapes et profiter davantage de ses réflexions.
A lire pour avoir l'impression de voyager mais aussi pour réfléchir à notre façon de vivre dans ce monde et pour partager, le temps d'une lecture, le rêve de ce jeune homme et de son meilleur ami...
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Je remercie tout d'abord Babelio et les Éditions Courtes et longues pour l'envoi de ce livre.
Dans ce roman, nous faisons la connaissance de Corentino, un Colombien travaillant sur la plantation de Milcoco. Son avenir ? Il le connaît, il va récolter des noix de coco toute sa vie. Peut-être qu'un jour, il pourra conduire le camion pour emmener ces denrées dans la ville la plus proche. Mais disons que ces perspectives ne l'enthousiasment guère. Corentino, c'est un rêveur. Il a entendu beaucoup d'histoires sur son grand-père, le baron qui a fondé la plantation de Milcoco. Un Français. Ce pays, la France, appelle de plus en plus l'adolescent. Il rêve des terrasses de café qu'il a vu dans les films, et d'une vie meilleur, tout simplement. Après mûre réflexion, et avec beaucoup d'audace, il décide un jour de partir. Voilà, il va s'en aller et quitter les cocotiers pour rejoindre les pavés parisiens. Mais la route est longue et le Colombien n'est pas au bout de ses peines...
J'ai tout simplement adoré ce livre, tiré d'une histoire vraie. Le personnage principal, Corentino, est très attachant. On comprend ce qu'il ressent et on ne lui souhaite que le meilleur. J'ai aimé découvrir tout son cheminement de pensées, du moment où il se demande s'il devrait partir, où il pèse les pour et les rencontre, jusqu'à l'instant où il s'enferme dans le conteneur. Les autres habitants de Milcoco sont également très intéressants à découvrir, ils ont tous leur point de vue sur la plantation et sur leurs perspectives d’avenir. On comprend qu’ils ne sont pas tous pareils, que certains peuvent très bien se contenter de cette vie-là jusqu’à leur dernier souffle. C’est donc intéressant de voir que tout le monde ne rêve pas d’un idéal occidental. Il est important de souligner que ce livre est loin d’être un ode à l’Europe (ou aux États-Unis pour certains) ! Oui, on parle d’émigration, mais même si Corentino imagine un endroit tout beau tout rose, il sait aussi qu’il va laisser sa famille derrière lui et que c’est un déchirement inimaginable.
Quant aux personnages rencontrés en France, ils ne sont pas nécessairement très développés, mais ils nous aident tous à comprendre en quoi l’expérience de Corentino en Europe a pu être positive et/ou négative. Je n’ai donc eu aucune déception du point de vue des protagonistes.
Sur le plan de la narration, j’ai beaucoup aimé la plume de l’auteur. Elle est fluide, facile sans être simpliste, et une fois qu’on commence à lire, on n’a plus envie d’arrêter. J’ai apprécié les dialogues, qui n’étaient pas forcément très nombreux, mais tous pertinents et ils semblaient tous naturels. D’ailleurs, la présence de phrases espagnols et même quelques-unes en anglais apportent une certaine authenticité et montrent la difficulté pour le jeune Corentino de se faire comprendre en France.
S’il y a peut-être une chose qui m’a gêné lors de ma lecture, et qui a fait que je n’ai pas eu de véritable coup de cœur, c’est la partie dans le conteneur. Je l’ai trouvé un peu longue. Alors, certes, le voyage de Corentino est long et laborieux ! Mais sur le papier, j’ai fini par m’ennuyer un peu dans les dernières pages, cela devenait répétitif. Après en y réfléchissant, n’est-ce pas volontaire de la part de l’auteur pour qu’on comprenne (même installé confortablement dans notre canapé) la lassitude qui s’est emparé du jeune Colombien ? Enfin, quoi qu’il en soit, ça n’a pas été un frein à la suite de ma lecture, ni même une immense déception, c’est juste un petit détail qui m’a un peu moins plus.
Quant à la fin, j’ai été vraiment déçue. Non pas du livre, puisque l’auteur ne fait que raconter la stricte vérité, mais du destin de Corentino. Il retourne dans son pays, la tête toujours pleine de rêves, mais avec un esprit beaucoup plus pragmatique et raisonnable. J’aurais aimé qu’il puisse rester en France et ait des perspectives d’avenir plus enthousiasmantes que de vivre au milieu des noix de coco jusqu’à la fin de son existence. Ce qui est tout de même impressionnant, c’est sa résignation. Il ne se laisse pas abattre. Il se montre même plus fort que jamais et c’est un exemple à suivre. Cette histoire a résonné (dans une moindre mesure, bien évidemment) avec ma propre expérience. La conclusion de ce livre, qui est que parfois, il faut voyager et partir loin pour se rendre compte que c’est chez nous qu’on se sent le mieux, est une chose dont j’ai moi-même fait l’expérience. Je comprends tout à fait le tiraillement entre rester près de notre famille pour ne peut-être jamais prospéré comme on l’aurait voulu et nous en aller pour vivre nos rêves au risque d’être en manque d’amour de nos proches. Je ne sais pas où est Corentino aujourd’hui, mais j’espère qu’il est heureux et qu’il a réussi à accomplir au moins une partie de ses rêves.
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Déçue par ce livre dont le titre avait immédiatement accroché mon regard dans les rayons de la bibliothèque...
Le récit m'a laissé une impression de "baclé", trop vite raconté et les personnes rencontrées ne sont qu'à peine décrites... Difficile de se plonger vraiment dans l'atmosphère, même si l'avantage c'est que le livre se lit vite !
En dehors de la forme du livre, j'ai du mal avec le fond, le principe du voyage qui consiste à prendre ce qu'ont les autres à offrir sans rien offrir en retour... même si l'idée du voyage sans argent pousse à réfléchir !
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'ai lu ce roman dans le cadre de la sélection @mespremieres68
Corantino a 17 ans et vit en Colombie, dans le village de Milcoco. Village créé par son grand-père, riche français venu se lancer dans la production de noix de coco. Aujourd'hui, l'avenir de Corantino est tout tracé. Il deviendra un cocotero. Mais il aspire à autre chose... A la France, pays de son grand-père. Un projet se dessine alors dans sa tête, mais la réalité est différente de celle des cartes postales...
🚢 Je n'ai pas trop accroché à ce roman, même s'il relate une belle histoire, celle d'un jeune Colombien qui décide de partir découvrir la France. L'auteur décrit avec précision le parcours difficile d'un immigré arrivant en France.
🚢 Le thème de l'immigration est donc abordé et cela peut être intéressant de le travailler avec des jeunes. Surtout que le narrateur raconte une histoire inspirée de faits réels et ça c'est le point positif.
🚢 J'ai aussi beaucoup aimé les dernière pages et la réflexion de l'auteur. Mais chut... Je ne vous en dis pas plus.
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Dans son ouvrage Benjamin Lesage raconte son parcours pour créer une communauté écologique basée entre autre, sur l'économie du don.
Un récit où il montre la construction d'un tel projet, l'évolution, les questionnements les remises en question. L'idée de communauté prend tout son sens lorsqu'il laisse la parole à d'autres acteurs du projet ce qui permet d'avoir des points de vus différents.
Bref j'ai trouvé cet ouvrage passionnant pour toute personne qui s'intéresse à tous ces sujets (écologie, décroissance, économie du don...). La curiosité est suffisante pour s'intéresser à ce livre, pas besoin d'avoir le projet de s'installer dans un éco-village pour lire avec plaisir cet ouvrage !
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Un récit prenant dans lequel nous partageons les joies et les galères de ce trois jeunes aventuriers européens en quête de sens, de solidarité et de rencontres. Ces 3 étudiants partent des Pays-Bas et se rendent au Mexique sans argent (ils partent avec 50€ pour un visa). Ils mangent ce qu'on leur offre ou ce qu'ils trouvent dans les poubelles des restaurants ou des marchés. Ils connaîtront la faim, la soif, les nuits à la belle étoile, l'attente.
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Un enfant qui observe le ciel voit s'éteindre une étoile. Sa vie s'écrit à ce moment précis. Que deviennent les étoiles qui meurent dans le ciel et pourrait-on empêcher cela ? Trouver les réponses sera sa quête. Un très beau roman aux faux airs de Jules Verne.
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Eotopia est un grand projet qui né dans la tête de Benjamin après son voyage sans un sou en poche. C'est impressionnant de voir la détermination de ce dernier pour réaliser son projet. Bien que compliqué, il ne lâchera pas l'affaire. Avec l'aide d'autres compagnons et de sa femme, il s'attèle donc à la lourde tâche de construire un village sans argent, autonome, où l'on peut vivre. J'ai trouvé ce livre très intéressant, il nous prouve que nous pouvons vivre avec peu d'argent ! (et sûrement pas d'argent du tout si la société été basée sur l'échange)
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