Carine Pitocchi

Coup de cœur! J'ai adoré me plonger dans l'Angleterre de 1912. Ce premier tome est très prometteur. L'écriture est très agréable et on est très vite immergé dans ce monde. Les personnages sont hauts en couleur et très attachants. Ce livre aborde aussi de forts thèmes de société qui commencent à questionner les populations quelques années avant que le monde ne bascule une première fois dans l'horreur.

Nous suivons une jeune comtesse, Julia Ashford, vivant dans une belle demeure, Longfield Park. Cela n'aura pas manqué de vous faire penser à Downton Abbey! Je trouve qu'en effet cela s'en approche d'autant plus qu'on suit aussi en parallèle les domestiques. C'est un régal!

Mais les références ne s'arrêtent pas là! En effet, nous suivons en parallèle Will Murphy, un jeune homme qui tient Londres d'une main de fer accompagné de ses frères et de sa soeur. Vous aurez sûrement la référence: les Peaky Blinders! Alors je préfère vous prévenir que c'est léger quand même! Ne vous attendez pas à revivre la série.

Et évidemment, parce que c'est un livre qui a reçu le prix du livre romantique, il faut que ces deux-là, que tout oppose bien sûr, soient des amours d'enfance! Ça y est, vous avez une idée de la saga dans laquelle vous allez vous lancer? Moi oui! Et j'ai hâte de lire la suite car ce tome était trop court! Et cette fin...

J’ai glissé Les rêves de nos mères dans ma valise lors des vacances de Noël, espérant avoir le temps de le lire. Évidemment, j’ai eu le temps entre le couvre-feu et le mauvais temps. Et puis je suis rentrée, j’ai repris le travail et je me suis laissée déborder par le quotidien, si bien que je n’ai pas pris le temps d’écrire la chronique de ce livre. Je m’y attelle donc maintenant.



Les rêves de nos mères a reçu le prix du livre romantique 2020 des éditions Charleston. En 2019, Carine Pitocchi a remporté le prix romancière de JC Lattès pour un autre de ses romans Toi seul.



Les rêves de nos mères est un beau roman historique et une belle histoire d’amour, celle de Julia Ashford et de Will Murphy. Une histoire d’amour contrariée par leurs origines. Julia est une lady, Will est un gangster. Un gangster qui aime Julia de loin et veille sur elle et sur ses proches comme il le peut.



Ce roman est à la croisée des chemins entre Downton Abbey et Peaky Blinders, à une époque où le monde est en train de changer. Il était impossible à lâcher tant l’histoire d’amour entre Julia et Will était captivante.
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Je ferme ce roman et n'ai qu'une envie celle de me ruer sur le deuxième tome (mais il faudra que j'attende un peu...)

Un peu avant la première guerre mondiale, on suit Julia, aristocrate qui vient de perdre son mari, Edna, ancienne cuisinière du domaine mariée à un homme violent, Emily cousine de Julia, femme qui tend vers la modernité et Will, fils de paysan qui a réussi à sortir de sa condition avec ses frères....

Tout ce petit monde va se croiser à un moment ou un autre et leur destins vont bien évidemment être chamboulés par l'arrivée de la première guerre mondiale.

C'est presque un coup de cœur, presque parce que l'on sent bien que c'est la mise en place, la présentation de ces personnages et Carine Pitocchi a bien réussi son coup car qu'une hâte, lire la suite!

Ce roman a reçu le prix du livre romantique des Editions Charleston et oh combien je suis d'accord, mon côté "fleur bleue" a été ravi.

Les rêves de nos mères, un livre romantique ? je ne l'ai pas ressenti comme tel ! même si bien sur, histoires d'amour il y a mais le roman est tellement riche d'évènements que ce n'est pas ce que je retiens en premier, on y parle beaucoup de la condition de vie des femmes de cette époque par exemple et j'ai beaucoup aimé.



Dans ce premier tome, toute l'histoire se passe dans les années 1912-1914, j'ai découvert à la fin qu'en fait il y avait plusieurs tomes et que le dernier n'est pas encore sorti, zut j'aime bien tout lire en suivant, ceci dit, j'ai beaucoup aimé suivre l'histoire de tous les personnages, ils sont tous attachants. Ce roman m'a beaucoup fait penser à une série que j'aime beaucoup "Downtown abbey" on y trouve un peu tous les ingrédients mais en France, j'ai adoré

Un cosy mystery qui se passe à la période de Noël, je ne pouvais pas passer à côté.

Pourtant, j'avais laissé sa lecture de côté, par crainte d'être déçue.

Et bien pas du tout ! J'ai dévoré ce premier tome des aventures de Jo-Ann, scénariste d'une série en vogue, et dont la vie privée s'étale dans les tabloïds depuis que son fiancé l'a trompée. Elle se réfugie alors à la campagne, dans le cottage hérité de sa grand-tante Gladys. Au calme ? Pas vraiment. Son neveu ado, tellement perspicace et attachant, déboule, viré de son pensionnat et elle retrouve Lawrie, son ami d'enfance, devenu Pasteur.

Et lorsqu'une vieille dame décède dans des conditions similaires à sa grand-tante, et que les deux aïeules étaient amies, Jo-Ann et Lawrie vont s'allier pour découvrir la vérité.



J'ai beaucoup aimé l'ambiance de ce roman, les habitants chaleureux, parfois trop curieux, un brin d'humour, de la tendresse. Et des indices qu'on prend plaisir à suivre. J'ai apprécié le côté mystérieux d'une certaine époque de la vie de Gladys. Les rebondissements tiennent la route, peut-être juste une fausse piste que j'ai trouvé à mon sens un peu too much.



Et puis ce cosy nous offre une slowburn romance sur fond de Friends to lovers, avec des non-dits et des moments de vie difficiles.

La connexion est présente entre Jo-Ann et Lawrie, mais la communication a dû mal à passer !

La romance est d'ailleurs un peu frustrante mais l'auteure est pardonnée, il faut bien ménager du suspens pour le tome suivant ;)



Un très bon moment de lecture et je guette avec impatience la suite !

Une agréable surprise que ce cosy christmas mystery, qui m'a fait passer un bon moment de lecture détente !

L'année de Jo-Ann se termine plutôt mal... Elle quitte Londres précipitamment après avoir découvert l'infidélité de son fiancé et se réfugie dans le cottage de sa grande-tante, dont elle a hérité, dans un petit village du Kent. Ruinée par de mauvais placements financiers, sans travail après avoir quitté la série à succès pour laquelle elle était scénariste, Noël s'annonce plutôt déprimant pour Jo. Heureusement, les habitants du petit village qui l'a vu grandir sont là pour lui remonter le moral, bien que les mauvaises surprises semblent au rendez-vous à St Mary Hill !

Un livre "so british" mais à la française (les traits d'humour étant typiquement français), à l'ambiance de noël bien rendue et au mystère tout de même bien ficelé malgré l'apparente légèreté de cette lecture. La plume de Carine Pitocchi était également très agréable à suivre et pour une première plongée dans l'univers du "cosy mystery", elle a su en respecter et en appliquer tous les codes.

Si je n'avais que moyennement accroché à sa saga historique Les rêves de nos mères, j'ai ici beaucoup apprécié cette lecture divertissante et serai au RDV pour le tome 2 !

La grande scénariste Jo-Ann Brown disparaît mystérieusement, l'Angleterre est sous le choc. Une fuite pour échapper aux journalistes et son superconnard-d'ex, ruinée elle se réfugie dans le cottage hérité de sa grande tante Gwladys.

Passé incognito à St Merry Hill est impossible, voilà que les deux soeurs McPherson, les voisines et le pasteur débarque.

Pour ne rien arranger son neveu Alex lui est confier par son frère.

Les fêtes de fin année virent au cauchemar, plusieurs vieilles dames décèdent de crise cardiaque comme sa grande tante précédemment, un peu suspect, vous ne croyez pas !



Un cosy mystery en pleine fête de Noël, avec un paysage recouvert par la neige, un décor qui ne laisse pas insensible.

Le personnage de Jo est bien sympathique mais sans pour autant avoir un attachement, elle se retrouve à fuir et sans un sou, les galères de Jo-Ann commence sans oublié quelques sentiments enfoui qui se reveille quand son meilleur ami Lawrie tente de l'aider et se rapprocher d'elle, mais celui-ci n'est que le pasteur du village, elle n'était pas au courant de cette reconversion.

Alex et Dasy son ex-assistance vont lui remonter le moral, qui n'est pas de trop avec le nouveau décès. Jo n'a plus aucun doute Gladys a été assassinée comme toutes les autres. Les amis et le jeune Alex partent à la chasse aux indices. Une solidarité extrêmement forte avec les habitants de Merry Hill est réconfortante.

En plus des protagonistes haut en couleur avec des tempéraments propre à chacun, le récit et bien écrit, une maturité d'écriture appréciable dans ce genre littéraire.

Malgré tous ses bons éléments, il m'a manqué du rythme, j'ai trouvé que c'était assez long à se mettre en place, j'étais impatiente de rentrée dans le vif du sujet.

Niveau suspense, c'est bien ficelé, je l'avoue, je ne m'étais pas engagé sur la bonne voie.

Je pense que j'en attendais trop après avoir Lu tan d'avis ultra positif.

Une lecture mitigée par le manque d'attachement avec l'ensemble des protagonistes et un rythme bien trop lent à mon goût.

Une suite est prévue à voir.

Bonjour mes liseurs, me voilà avec avis sur le dernier roman de Carine Pitocchi



Jo-Ann, une scénariste blessée par une rupture amoureuse, décide de quitter son emploi à Londres pour se réfugier dans le cottage modeste ayant appartenu à sa grand-tante récemment décédée à St Mary Hill.

Elle y trouve un havre de paix.

Cependant, le calme du village est rapidement perturbé par une série de décès mystérieux.

L’intrigue s’épaissit lorsque Jo-Ann, avec l’aide d’un inspecteur à la retraite, d’un nouvel inspecteur au charme magnétique et du pasteur du village, décide de mener une enquête sur ces morts suspectes.

Ce qui semblait être une échappée dans la campagne se transforme en une aventure palpitante, où chaque personnage détient des secrets, et où les liens du passé semblent déterminants.



L’écriture de Carine Pitocchi est moderne et immersive.

Je la connaissais dans le genre historique, elle excelle dans le cosy mystery.

Carine Pitocchi te transporte dans la douceur feutrée du village enneigé.

Les descriptions détaillées du paysage hivernal, des chaumières et des personnages renforcent l’ambiance cosy du roman.



L’humour subtil et les dialogues bien construits ajoutent une touche légère à l’ensemble, cela crée un équilibre entre le mystère et le charme de la vie quotidienne à St Mary Hill.



Les personnages, véritables piliers de l’histoire, sont dépeints avec profondeur.

Ils sont riches en nuances.

Au cœur du récit, tu retrouveras également les animaux de compagnie, une petite boule de poil et un chien, ils ajoutent une dimension de tendresse et de connivence à l’histoire.

Les commères septuagénaires, avec leur humour piquant, surveillent de près les événements du village, ajoutent une touche de légèreté à l’intrigue tout en renforçant le sentiment de communauté.



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aujourd'hui nous partons outre-manche à la rencontre de Lady Ashord qui vient de perdre son mari et de sa famille pour le moins originale : une belle-sœur aigrie et coincée dans ses principes, une cousine excentrique et féministe, un personnel dévoué et un passé qu'on essaye d'oublier. Si tout ce beau monde a décidé de se faire la gueguerre, la "Grande Guerre" va mettre tout le monde au pas.

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Une romance historique à la saveur anglaise qui nous plonge dans la bienséance de l'époque. Des basfonds à la bourgeoisie, l'autrice nous brosse le tableau de ces êtres que seules les classes sociales séparent, mais séparent elles vraiment les êtres humains ? Que peuvent ces différences face à l'amour, la haine, la peur, la violence ? On redevient tous des humains avec des émotions et des cœurs qui battent. Ancrée dans les mois précédents la première guerre mondiale, cette histoire amorce le second tome et le troisième qui se dérouleront pendant la guerre et après. Le contexte historique et social est déjà bien dépeint avec la montée des suffragettes, la présence de Winston Churchill et les avancées médicales. Fort de ces 250 pages environ, cette mise en bouche incite à découvrir tout le menu déroulant que nous a préparé l'autrice.On suit les aventures de nos personnages tel un feuilleton télévisé séparé en plusieurs épisodes. On se délecte de leurs péripéties qui nous font tantôt sourire, tantôt lever les yeux aux ciel , tantôt frémir.

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Plus de 100 ans nous sépare l'époque et pourtant on est embarqué dans le style de Carine qui n'a pas son pareil pour captiver le lecteur et nous plonger dans cette période d'avant guerre.

Un voyage touchant dans le passé tumultueux de la première guerre mondiale.



Ce roman historique conte avec force les bouleversements liés à la guerre en différents lieux (Angleterre, France, Russie, Allemagne…) : l’horreur des combats, les traumatismes vécus, l’espoir, la ténacité, la ténacité, l’engagement des femmes, les révolutions …

Nous suivons les histoires entrelacées de plusieurs personnages (certains découverts dans le Tome1) ainsi que leurs émotions, leurs décisions, l’angoisse, l’entraide, la folie, l’amitié …



Une fresque littéraire riche et instructive qui m’a tenue … je m’attaquerai bientôt au tome 3 !

Les cendres sous les coquelicots de Carine Pitocchi, Éditions Charleston



1914, la guerre éclate. Will, le fiancé de Julia et Archie, le fiancé d'Emily, sont envoyés au front. Les deux femmes, elles, décident de s'engager à la croix rouge en Belgique et en Suisse.



Quel plaisir de retrouver les personnages des rêves de nos mères dans ce deuxième tome qui se déroule pendant la première guerre mondiale. J'y ai retrouvé avec plaisir Will, Archie, Emily et Julia ainsi que la famille Murphy, Edna.... mais aussi de faire connaissance avec de nouveaux personnages comme Antoine, Florine, Jackson, un soldat américain noir ou Frédérick, soldat allemand...



Ce deuxième volume est à la hauteur du 1er tome . C'est un plaisir de suivre tous ces personnages. Et j'ai adoré le côté historique. J'ai beaucoup appris. Carine Pitocchi a effectué un véritable travail de recherche . Elle m'a ainsi permis de savoir comment étaient traités les soldats noirs au sein de leur propre armée par exemple. J'ai aimé la partie qui se déroule en Russie également.



Les personnages sont toujours très sympathiques dans l'ensemble.

J'ai parfois eu l'impression de me retrouver dans un épisode de Downtown Abbey, série que j'ai vraiment adoré.



Merci Carine Pitocchi pour ce merveilleux moment de lecture.

Le troisième tome est déjà lu et je vous en parle très prochainement. Tout ce que je peux vous dire c'est que j'ai hâte que le quatrième tome sorte.

Même si je n'aime pas particulièrement les romances, j'aime par contre beaucoup l'histoire, et il m'arrive d'apprécier des romances dites historiques. Bon, le fait que cet opus ait remporté le prix du livre romantique (sic) aurait dû me mettre la puce à l'oreille, soit que je n'allais pas particulièrement l'apprécier.



Cependant, ce ne fut pas non plus un pensum (il est très court) et je ne l'ai pas trouvé particulièrement niais ou illisible. Je l'ai humblement trouvé trop simple, voire simpliste, notamment dans la description des personnages auxquels je ne me suis pas attaché. C'est beaucoup trop manichéen, les gentils sont très très gentils, les méchants très très méchants, et on devine aisément que sous ses abords de mauvais garçon, l'un des personnage a un coeur d'or. C'est cousu de fil blanc, on le sait, on le sent. Cest la même chose concernant les dialogues, qui sonnent faux, téléphonés, creux. Ce qui rend l'ensemble plat, sans relief, sans profondeur malgré de grandes ambitions.

Pourtant, même si je ne précipiterais pas dessus, je pourrais lire le deuxième livre de cette saga qui se laisse lire pour autant. Il parait qu'il est davantage fouillé, je ne demande que cela.



En bref, un roman dispensable, qui reste en surface, certes, mais qui n'est pas désagréable à lire. Une ambiance à mi-chemin entre Downton Abbey et Peaky Blinders qui, si elle se densifie, pourrait devenir très intéressante.

La note que j'ai mis à ce roman parle d'elle-même: pas mauvais, mais pas extra non plus. A voir si le deuxième opus sera de meilleure qualité selon mes critères.

Un troisième tome à la hauteur des précédents!



Carine Pitocchi réussit de fort belle manière à transporter la lectrice · le lecteur dans cette histoire, ou plutôt ces histoires. Et malgré la multitude de personnages et d’histoires, on ne se perd pas, les presque 600 pages se tournent rapidement.



J’ai aimé être plongée dans ces différents univers que ce soit avec:

- Edna, Nesto et Merry dans les quartiers populaires de Londres

- Jackson et sa vie de soldat américain noir victime du racisme et de la ségrégation

- Florine et Antoine qui vient d’être démobilisé en France

- Marina, Elena et Yana devant fuir ou vivant la révolution bolchévique

- Emily et Archie aristocrates progressistes

- Catherine extirpée d’un asile horrible

- Julia et Will qui transgressent les codes en se mariant malgré leur classe sociale différente

- Louisa, Porter et les autres domestiques

- etc etc etc



Bref, j’ai beaucoup aimé ce roman qui mêle histoire, société et romance (sans être mièvre pour autant). Me réjouis de la suite.

J’ai craqué et j’ai lu les deux premiers tomes de cette saga.

Dans « Le rêve de nos mères », le décor est planté, nous apprenons à connaître les personnages. Dans ce tome 1, nous découvrons deux histoires parallèles : celle avec la jeune Julia Ashford, une noble qui est veuve depuis quelques mois et Will, à la tête d’une bande de malfrats qui va sauver la vie d’Edna. Mais Lady Ashford et Will, se sont connus durant leur jeunesse, et certains sentiments sont toujours présents.

Ce roman se termine avec la Première Guerre Mondiale qui va tout bouleverser.

Ici, de nombreux sujets sont traités comme la maltraitance des femmes, le féminisme… Mais il tourne tout de même, beaucoup autour de l’amour.



Comparé au tome 1, ce second volet est un bon petit pavé de 600 pages dans lequel j’ai été vite emporté ! J’ai beaucoup aimé les descriptions réalistes de l’autrice qui nous emmène tout droit avec elle avec les soldats dans les tranchées, complètement immersif.

On y découvre des hommes qui se battent pour la liberté et des femmes engagées qui participent à leur façon à cette guerre terrible. L’autrice nous propose une grande galerie de personnages, je l’avoue, parfois, j’ai été perdue.

Un roman historique bien écrit, vibrant, dans lequel on y ressent un panel d’émotions. La plume de Carine Pitocchi est fluide, agréable à lire. En fermant ce livre, je me suis rendu compte de la chance que nous avons de pouvoir vivre dans un pays en paix.

J’ai hâte de lire le troisième tome !

Prix romantique 2020 des éditions Charleston, Les Rêves de nos mères est un roman historique qui se déroule au début du vingtième siècle avant la première guerre mondiale. Nous suivons une jeune aristocrate devenu veuve depuis peu mais qui attend un enfant de son défunt mari. Julia a profondément aimé son époux mais a gardé au fond du coeur son premier amour de jeunesse en la personne de Will d'origine irlandaise. Celui-ci fait partie avec ses frères de la pègre londonienne mais une pègre avec un code d'honneur et défendant toujours la veuve et l'orphelin. Carine Pitocchi met en scène une galerie de portraits tous très attachants, notamment en la personne d'Emilie cousine de Julia, incarnant à elle seule la lutte des femmes pour leur émancipation. C'est un roman attrayant que l'on lit vite car il est très court mais suivi par un tome deux Les cendres sous les coquelicots que j'ai déjà dans ma pile à lire. Donc dans la mesure où ce tome est déjà paru on peut enchaîner directement (ce que je n'ai pas fait) pour ne pas avoir l'impression de rester sur sa faim.

J'ai été entraînée sans limites dans ce roman historique. Il est passionnant et exaltant. La vie de Julia entourée de sa cousine Emily et de sa femme de chambre Edna nous emmène dans un monde de femmes qui se battent pour leur vie, pour leur liberté. On a envie de croire au fait qu'elles vont s'en sortir et qu'elles arriveront à leur but, retrouver leur amour. Un premier tome épatant.

Les rêves de nos mères est un roman historique que j'ai beaucoup aimé. Pas un coup de cœur mais on y était proche.



On suit entre 1912 et 1914 Lady Julia Ashford dont le mari vient de décéder tragiquement. Elle réside à Longfield Park avec son beau-frère et sa belle sœur Catherine. En parallèle, à Londres, Edna est mariée à un homme jaloux et violent qui la brutalise de plus en plus. Elle va croiser Will Murphy qui va lui sauver la vie. Et il se trouve que ce Will est le premier amour de Julia. Ce roman est l'histoire de plusieurs destins croisés.



J'ai beaucoup aimé l'immersion dans cette période historique, à l'aube de la guerre, au moment où les sufragettes se font entendre.



J'ai aimé les personnages de Julia, et de sa cousine qui fait fi des convenances. Une femme moderne et avant-gardiste. J'ai aussi apprécié la famille Murphy, bien qu'ils soient considérés comme des gangster, ils ont de vraies valeurs.



La plume de l'auteure est très agréable, fluide et nous captive dès les premières pages. Une fois commencé, impossible de le refermer avant d'avoir lu la dernière page. Je l'ai dévoré en quelques heures.



C'est un roman historique mais avec des sujets tellement d'actualité encore, tel que les violences conjugales. C'est aussi un roman qui met à l'honneur les femmes et leurs combats.



Ce premier tome d'une saga historique est assez court. J'aurais aimé que l'auteure prenne un peu plus son temps pour développer certains points et découvrir davantage Emily la cousine de Julia. Mais il pose le contexte pour la suite. Je regrette d'ailleurs de ne pas l'avoir dans ma PAL, car j'aurais aimé poursuivre l'aventure avec tous les personnages. Mais une chose est sûre, je la lirais !



Un premier tome prometteur que je vous conseille si vous aimez les romans historiques !

Bonsoir,

J’ai terminé ce jour Les rêves de nos mères de Carine Pitocchi.

Un roman historique à l’ambiance downton abbey.

Je l’ai lu en 3 jours, il est très court.

J’ai beaucoup aimé me retrouver dans cette ambiance à Longfield Park.

Les personnages sont très attachants, notamment Julia, Émily et Edna.

Les femmes commencent à revendiquer leurs droits, à cette époque où seuls les hommes ont le pouvoir.

Certains passages sont tristes, horribles et d’autres doux.

J’ai été happé par la jolie histoire d’amour naissante.

Je ne vous en dit pas plus… à vous de découvrir.

Si vous êtes amateurs de roman historique, c’est pour vous.

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Résumé :

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Angleterre 1912, dans la tourmente qui s'annonce. Lady Julia Ashford, comtesse du prestigieux domaine de Longfield Park, vient de perdre son mari quand elle découvre qu'elle est enceinte de lui. Alors qu'elle tente de refaire surface, tenir son rang et survivre au deuil, la jeune veuve voit resurgir Will Murphy, son amour d'enfance, devenu un des chefs de la pègres londonienne. Une histoire que Julia ne peut pas se permettre de mêler à la sienne. Pas plus que celle d'Edna, son ancienne domestique qui ploie sous les coups de son mari violent. Et encore moins celle de sa cousine Emily revendiquant haut et fort son statut de femme libre pour qu'avance la cause suffragiste. La grande Histoire, celle qui précipite tout, va pourtant en décider autrement.

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Je n’ai pas l’habitude de lire ce type de roman mais j’ai accroché surtout car on veut savoir ce qui va se passer. Aussi, des sujets importants sont abordés (maltraitance envers les femmes) mais le côté historique est trop peu présent. Bon la fin était un peu trop romantique, mais c’était une belle lecture. Hâte de lire le second tome.

Lady Julia Ashford vient de perdre son mari, et avec lui son envie de vivre. Mais voilà qu'elle découvre que juste avant de la quitter, il lui a laissé un cadeau très personnel. Pendant ce temps, Edna, son ancienne femme de chambre, trouve refuge auprès d'un gangster au grand cœur et sa famille, à l'abri d'un mari qui a bien failli la tuer lors de son dernier passage à tabac. Ce gangster se trouve être une ancienne connaissance de Julia et ne lui demande en échange de sa protection, que des nouvelles de leur connaissance en commun. Pourquoi donc ?

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Faire un tour en Australie avec Cassandra et ses sœurs m'avait donné envie de relancer Poldark (ne cherchez pas le rapport, il y a d'autres lectures entre les deux, moi je me comprends), voilà que Carine Pitocchi me fait rêver à Downton Abbey (vivement le deuxième film d'ailleurs !). L'ambiance d'une aristocratie anglaise changeante sur fond de prémices d'une guerre que nous savons bientôt mondiale est passionnante.

Carine Pitocchi nous propose là une jolie histoire avec une belle écriture. Ni trop simple ni alambiquée, c'est fluide et facile, on plonge dans ce début de XXème avec délice et on se laisse porter par deux univers en ambivalence et des personnages forts et attachants.

Bémol pour le titre et la quatrième de couverture. Si j'ai apprécié le roman grâce à son autrice, j'ai été surprise car le contenu n'est pas vraiment ce qu'on attend et imagine en lisant le résumé, et alors encore moins avec le titre. Je cherche vraiment le lien mais je n'en trouve aucun, je me suis sentie un peu comme dans le reel de @licares sur le choix du titre et du résumé justement !

C'était une jolie lecture partagée grâce à @thebooktrotteuses qui va pouvoir continuer son voyage chez sa prochaine lectrice.