Charles Exbrayat

Je poursuis ma relecture des œuvres de Charles EXBRAYAT, avec ce titre que dans l'ensemble j'ai moins apprécié que d'autres lus auparavant. Ici tout se base sur l'ambiance et l'humour si présent d'habitude est totalement absent. Ca reste une lecture facile et courte, mais l'intrigue autour de l'enquête se devine un peu trop facilement.

Encore un roman d'Exbrayat, qui à mon avis n'aurait pas démérité sur une scène de théâtre. Les dialogues des personnages, les non-dits et les malentendus rocambolesques auraient donné un bon vaudeville. L'enquête qui d'habitude passe un peu en arrière plan est cette fois-ci bien équilibrée par rapport au reste, avec des rebondissements tout au long de l'histoire. Elle finit par être élucidée, je m'étais trompée de coupable (c'était pourtant une relecture) mais je ne vais en vouloir à l'auteur pour autant. Ca se lit très vite le roman ne compte que 190 pages donc si vous cherchez une lecture facile, drôle et rapide, ce livre est pour vous !

Petit livre court, facile à lire, idéal entre les pavés que je lis actuellement. Exbrayat est pour moi une valeur sûre et celui-ci particulièrement parce que j'adore les histoires de vengeance. Il y a une vraie ambiance et une psychologie des personnages intéressante. Même si j'ai trouvé l'adulation d'Estéban pour Concepcion un peu trop poussée.

ce livre m’a un peu fait penser au Soleil des Scorta de Laurent Gaudé. il fait partie des livres qui me donnent irrémédiablement envie de partir vivre en Italie du Sud.

je me suis un peu perdue avec les multiples noms de personnages, mais je trouve que l’intrigue est bien menée, et j’ai passé un bon moment en le lisant.

Encore beaucoup d'humour avec ce titre d'Exbrayat, quiproquos, personnages loufoques, agents secrets pas doués, provoquent catastrophes en série et transforment une paisible ville en champ de bataille. On rit tout le long de l'histoire. Une bonne lecture détente !

Je passe toujours un bon moment de lecture avec les romans de Charles EXBRAYAT, celui-ci est relativement court, (moins de 200 pages) mais a beaucoup de rythme et la fin est surprenante, je ne m'y attendais pas du tout. Un peu moins d'humour que dans d'autres romans, mais les personnages sont très réalistes.

Une histoire rigolote bien dans la veine des petits polars d'Exbrayat, avec ce qu'il faut d'humour dans cette fiction de mémés Corses de Nice unies pour venger l'honneur de leurs compatriotes, et une police ridiculisée.

je ne connaissais pas Imogène, j'espère maintenant trouver d'autres épisodes des "enquêtes" de cette fille aux cheveux roux qui rêverait d'être la descendante de Robert Bruce.

un livre divertissant, dépaysant, exotique. révision de l'Histoire d'Ecosse incluse :)

Berthe attend le retour de son mari Barthélémy parti à la guerre. Pour l’aider à la ferme, elle embauche Mathieu un itinérant et en tombe amoureuse. Quand il repart dans ses montagnes, Berthe le suit. Quand Barthélémy revient de la guerre, il part à leur recherche.

J’aime beaucoup lire les romans policiers et cocasses de cet auteur prolixe mais ici c’est un tout autre registre auquel il s’est attelé. Il s’agit d’un roman d’amour avec beaucoup de références bibliques, un drame aussi.

L’histoire se passe en Ardèche et en Haute Loire en 1913 où la vie peut être rude dans ces montagnes et on suit l’errance et le désarroi de ces trois protagonistes. Un roman qui prend aux tripes face à l’intransigeance du temps montagneux et des habitants, leur bigoterie. Bref un roman qui ne m’a pas laissée indifférente, prenant et touchant.

Que ce soit pour ses livres policiers ou pour ces histoires plus romancées, j'adore la plume de Charles Exbrayat. Cette histoire-ci nous emmène en Amérique au temps des pionniers, où les hommes sont durs comme la vie qu'ils supportent. J'ai trouvé les personnages crédibles et attachants malgré tout. J'ai eu souvent l'impression de me retrouver au sein d'une série comme la petite maison dans la prairie ou docteur Quinn femme médecin.

J'ai lu ce livre depuis plusieurs années. Je ne me souvenais plus de l'histoire mais ce dont je me souviens c'est que j'avais beaucoup ri pendant que je le lisais à haute voix à mon père.

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