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Critiques de Christine Arnothy (128)
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J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir

Ce roman raconte la vie d'une adolescente Hongroise pendant la seconde guerre mondiale. Lu pendant mon année de quatrième, cette œuvre m'avait bouleversée.
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J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir

Le titre qui a marqué mon adolescence , je pense l'avoir lu au moins 5 fois entre 12 et 14 ans .... Aujourd'hui encore , il me reste des scènes types en mémoire. Très touchant réaliste ...
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J'aime la vie

Ayant déjà lu plusieurs romans de cette autrice, j'ai aussi été charmé par ce livre-ci. Je suis étonné du petit nombre de lecteurs. Allons savoir pourquoi un livre n'accroche pas ?

Quelques personnages ont suffi, un père, son fils et deux autres femmes pour faire une histoire bien construite, un plaisir de lecture et une fin inattendue...





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On ne fait jamais vraiment ce que l'on veut

J’ai beaucoup aimé « On ne fait jamais vraiment ce que l'on veut ».



C’est la première fois que je lisais Christine Arnothy mais sûrement pas le dernière car j’ai bien aimé son style d’écriture.

Ça m’a donné envie de lire ses autres romans, et pourquoi pas de découvrir ses autobiographies.

L’histoire est simple, mais bien trouvée.

Dans ce roman, Christine Arnothy sonde les pulsions qui réveillent la haine et la jalousie pour obtenir un enfant qui n'est plus objet de l'amour mais symbole de pouvoir.

Malheureusement, c’est chose courante de nos jours, de nombreux couples se déchirent pour la garde d’un enfant !

J’ai apprécié le personnage de Clara Martin, elle est très intéressante, et attachante malgré sa carapace et la distance qu‘elle met envers elle et les autres.



J’ai aimé la façon d’écrire de l’auteur, c’est facile à lire. J’ai apprécié les différents personnages et l’histoire est très bien ficelée, elle sait nous intéresser et nous captiver. Je trouve que c’est un livre très agréable à lire.

Je mets quatre étoiles :)
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Vent africain

Quel plaisir de lecture

Je voulais relire ce livre depuis ??? annees

Je l ai extrait de mes PAL pour un challenge.

Tres facile à lire après un début laborieux j ai été très prise par l histoire

Que d'imagination à eu cette auteure.

Ce roman écrit en 1991 pourrait être d actualité

Le monde des riches est difficile à comprendre des fois.
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J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir

Dans une volonté de lire de plus en plus de classiques, je me suis penchée sur ce roman autobiographique.



Ce livre fait partie d'un énième témoignage des rescapés de la Seconde Guerre Mondiale mais du point de vue des hongrois. La reconstruction de sa vie après cette douloureuse période n'est pas toujours simple...



Que dire? J'attendais de lire ce roman avant un grand enthousiasme. Sauf qu'en fait les pages sont longues à avaler...

Je ne veux pas donner l'impression d'être sans coeur mais peu de passages m'ont touchée. Anne Franck m'a beaucoup plus bouleversée. Certes c'est le regard d'une jeune de 15 ans mais je trouve que certaines choses ont l'air d'être d'une facilité (comme Pista qui va et vient quand il veut durant le siège alors que les autres se terrent).

A plusieurs reprises j'ai eu envie de refermer le livre sans scrupules mais j'avais l'impression de passer à côté de quelque chose.

La seconde partie est du même acabit... même si elle montre la volonté de Christine de reprendre le dessus sur la vie.



Je ne ressors pas "grandie" de cette lecture et j'avais hâte qu'elle se termine.
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J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir

J'ai dû lire ce livre quand j'étais en terminal (aux Pays-Bas). A l'époque, je n'avais pas compris grandes choses de cette histoire, mais cela était surtout lié à mon pauvre niveau de français d'ado.



J'ai relu ce live en tant qu'adulte (en 27 ans de vie en France mon niveau de français s'est beaucoup amélioré ;-) ) j'ai été frappée par la gravité d'écriture d'une jeune fille qu'était l'auteure pendant cette période et j'ai aussi appris sur une partie de l'histoire dont j'avais peu de connaissances. J'ai eu un peu du mal à le terminer, mais c'était plus lié au style, que je trouve trop lent qu'à cause de l'histoire même.
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Le Jardin noir

Quel bonheur de se replonger dans la belle littérature des années 70's, celles du féminisme intelligent, de la libertaire Françoise Sagan, de la complicité de Benoîte et Flora Groult, de la militante Gisèle Halimi...



Quelle agréable nostalgie de revivre Deauville en hiver, celle "d'un homme et une femme" avant la construction de l'horrible marina remplie de yachts, et des tristes "chabadabada" de Jean-Louis Trintignant et Anouck Aimée...



Mais voilà, les années sombres de la Shoah ressurgissent, et viennent perturber une histoire d'amour qui ne demandait qu'à s'épanouir...



Le scénario de ce huis clos, et la complexité des sentiments décrits m'ont passionné et ému. Dommage que de nombreuses redondances dans les dialogues viennent alourdir inutilement ce récit fidèle à une effroyable réalité historique.
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J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir

Vivre dans une cave sous les bombardements quand on a 15 ans... C'est ce que raconte Christine Arnothy, cette adolescence (ou plutôt cette absence d'adolescence) à avoir peur de mourir chaque jour car des combats ont lieu entre Russes et Allemands dans Budapest. La 2e partie de ce court livre évoque quand à elle la fuite de Hongrie quelques années plus tard, l'arrivée à Paris comme nurse, le mariage malheureux et enfin la lumière en la personne d'un nourrisson.

Cette autobiographie est fluide et facile à lire. Elle raconte vraiment le ressenti d'une jeune fille/femme, son quotidien, sans jamais tomber dans le pathétique ou le sensationnel. Mais du coup, j'ai trouvé que le récit manquait parfois un peu de rythme.
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On ne fait jamais vraiment ce que l'on veut

Un roman sympathique à lire, qui n'a rien de transcendant mais qui nous fait passer un bon moment en compagnie de Clara, Mark, Daniel, tous plus handicapés de communication les uns que les autres. On y trouve de l'amour, de la méfiance, de la prudence, du mensonge, des secrets, des aveux, des liens, des recherches de bonheur... De la vie simplement.
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J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir

Reçu des mains de ma mère qui pensait me présenter là un vrai roman adulte parce que "j'avais tout lu"... et j'ai découvert certes un roman pour les grands, mais surtout une autobiographie d'ado, d'une vraie ado, ce qui était rare, et l'est encore.

Bien sûr, c'était raconté par l'adulte, bien sûr aussi, l'époque de ses 15 ans ne permettait pas la comparaison avec les adolescences ultérieures, mais toutefois on pouvait se retrouver dans les sentiments éprouvés, les ressentis bien décrits, et la vision du monde. Si on ne doit lire qu'un Arnothy, alors c'est celui-ci !
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Voyage de noces

Il y a longtemps que j'ai lu Voyage de noces mais j'en garde un bon souvenir. C'est un roman policier haletant, rondement mené et plein de rebondissements. Les personnages sont sans scrupule et on se demande sans cesse qui manipule qui.

Ce n'est pas, à mes yeux, de la grande littérature mais c'est très divertissant.
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J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir

En 1945, pendant le siège de Budapest, la narratrice et sa famille se cachent dans la cave de leur immeuble, avec des voisins. Ils y restent deux mois, jusqu'à l'arrivée des Russes qu'ils espéraient mais qui ne se révèlent pas plus humains que les nazis.

L'édition Livre de poche jeunesse est suivie de "Il n'est pas si facile de vivre" qui raconte la suite. La narratrice et ses parents quittent clandestinement la Hongrie pour l'Autriche, puis elle se rend en France où elle devient nurse et employée de maison avant de se marier et d'avoir un enfant. On peut ainsi découvrir les années 60 en France, vues par un regard extérieur.

Le récit est grandement autobiographique et le courage de la narratrice force l'admiration, d'autant plus que son mariage dans lequel elle place tant d'espoirs n'est pas heureux, ce qu'elle comprend très vite. Elle oscille très bien entre récit de ses souvenirs et commentaires des situations vécues et racontées.
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Chiche !

Avec ce roman atypique, bercé par les idées en l'air de l'après Mai 68, Christine Arnothy se risquait dans la science-fiction avec toute la candeur d'une femme de lettres célèbre et reconnue à laquelle on ne pouvait rien refuser. Cependant, c'est sans aucun académisme qu'elle aborda le genre, et avec le seul souci de mettre en scène une société future qu'elle imaginait dériver de la France de 1970.

Dans ce futur proche, que l'on peut assez précisément situer dans les années 90 ou 2000, Christine Arnothy imaginait une dictature conditionnée par une pollution atmosphérique tellement contaminante que les gens en devenaient allergiques à l'air pur, prisonniers de leurs foyers et de leurs habitudes.

Henri Raymond est professeur d'histoire dans un collège parisien où l'enfant, devenu roi, impose sa présence à des enseignants devenus de simples serviteurs. Ils doivent notamment faire acte de présence même si un seul élève vient en classe - puisque bien entendu les enfants seuls décident s'ils doivent ou non aller à l'école.

À l'approche d'un jour férié, occasionnant un pont de plusieurs jours à la toute fin de l'année scolaire, Henri Raymond aimerait bien rentrer en Normandie, voir sa mère qui tient l'une des dernières fermes existantes. Mais hélas, il doit composer avec un élève qui s'accroche désespérément à ses cours, le petit Jean Martin, enfant insolite, assez solitaire, et curieux des choses du passé. Ulcéré à l'idée de passer ce pont en classe avec un seul élève, Henri Raymond lui propose tout bonnement de l'accompagner chez sa mère en Normandie. Jean est tenté, mais a besoin de l'autorisation de sa mère. Henri accompagne donc l'enfant chez lui, et découvre dans quel enfer il vit. Sa mère, abandonnée par son mari, est une femme névrosée au dernier degré, qui écoute toute la journée des programmes radiophoniques débilitants et paranoïaques, n'a aucune affection pour son fils et se cherche absolument un homme qui la supporterait. Elle s'oppose en tout cas à ce que Jean accompagne son professeur en Normandie. Comprenant qu'il a affaire à une demi-folle qui n'existe que pour être le centre d'intérêt de l'attention des autres, Henri propose à Mme Martin de venir avec Jean et lui en Normandie. Flattée de cette invitation, et caressant l'idée d'attirer le jeune enseignant dans ses bras, Mme Martin accepte et l'étrange trio monte dans la voiture du professeur, et s'en va passer quelques jours en Normandie.

L'intrigue de ce roman est assez simple, car elle ne sert que de canevas à une fantaisie littéraire visant à dépeindre une société future cauchemardesque, sorte de prolongement surréaliste du temps présent. Christine Arnothy y dévoile une imagination délirante et hallucinée, soucieuse du moindre détail - ce qui n'exclut pas néanmoins un certain nombre d'incohérences bien naturelles chez quelqu'un qui n'a pas l'habitude de façonner des mondes imaginaires. Cette imagination flamboyante fait de "Chiche !" une sorte de visite touristique fascinante dans une France fictive, dictatoriale et néanmoins chaotique et bariolée, au travers de laquelle Christine Arnothy tente d'alerter sur la pollution, la bétonisation du pays, l'enfermement des villes et le renoncement aux choses simples de la vie naturelle.

Bien que cette flamboyance hippie, qu'on croirait parfois véritablement née d'un trip au LSD, constitue l'intérêt littéraire et historique majeur de "Chiche !", force est de constater que cinquante ans plus tard, le roman de Christine Arnothy accuse son âge, et si certaines trouvailles ont été parfois visionnaires, voire prophétiques, bien d'autres relèvent de la frilosité infantile type d'une catholique de gauche qui reste fortement marquée par les souvenirs effrayés de la Seconde Guerre Mondiale qui a marqué son adolescence. Christine Arnothy a exprimé beaucoup de ses peurs intimes dans ce futur proche formé au final de beaucoup de réminiscences d'après-guerre, et auxquelles il est peu probable que la jeunesse de 1970, ivre d'idéaux nouveaux, se soit identifiée. Ajoutons également que, né vraisemblablement d'une improvisation littéraire, "Chiche !" souffre quelque peu de lacunes, de contresens, d'idées qui ne mènent nulle part, à l'image de l'accident tragique qui clôt le roman, et dont il est difficile de saisir la signification ou le symbole. Si Christine Arnothy ne manque pas d'idées fixes motivées par son pessimisme envers l'avenir, beaucoup de dialogues ou de passages extrapolatifs de son roman sont au contraire arbitraires et déconnectés. Ses personnages, tout d'une pièce, semblent les émanations d'un rêve et manquent terriblement de consistance. Le roman laisse un peu le lecteur sur sa faim : tant d'idées agitées, et au final, pour en arriver où ? Pas très loin, voire nulle part. "Chiche !" fut peut-être rédigé partiellement dans un état second, et à ce titre, il a sa place dans la culture psychédélique. Mais sur le plan littéraire, il souffre quelque peu de cet abandon ponctuel à l'aléatoire et d'un manque de suivi et de rigueur sur le plan rédactionnel.

L'une des trouvailles étonnamment visionnaires de Christine Arnothy est d'imaginer la jeunesse marginale de ce futur proche, dérivée des hippies, et qu'elles nomment les "suricates", jeunes gens désespérés et suicidaires, qui s'enterrent eux-mêmes dans les espaces verts pour s'y laisser mourir. Si l'on s'abstrait de la forme surréaliste, le nihilisme dépeint par le biais cette génération de "suricates", censée succéder à l'idéal hippie, n'est pas sans évoquer ce que sera plus tard la génération punk et son "no future". Étonnante prémonition, en 1970...

Si "Chiche !" n'est pas aussi réussi qu'on pouvait l'espérer, il demeure une curiosité littéraire, une expérience, un trip, qui est à la fois l'instantané d'une époque et l'interprétation très personnelle qu'en fait une femme de lettres plus très jeune, et au fond moins "soixante-huitarde" qu'elle ne le pense elle-même. Par le biais de cette fantaisie semi-psychédélique et faussement positive, on sent malgré tout chez Christine Arnothy un fond de rigidité catholique, de dessèchement sensuel, qui révèle à quel point sa vision des idéaux de l'après 68 est sans doute née d'un compromis intérieur avec un mysticisme rural et conservateur.

À noter enfin que Christine Anothy a réalisé, quatre ans plus tard, un prolongement de ce roman à travers le scénario de la bande dessinée "Clodomir Free", dessinée par Jean-Louis Goussé, dans laquelle on retrouve exactement le même univers, les mêmes idées et les mêmes qualités que dans "Chiche !", mais avec un scénario plus rigoureux, plus ambitieux et merveilleusement illustré par Jean-Louis Goussé, graphiste extraordinaire dont ce fut pourtant le seul album. Les lecteurs (trices) qui ont apprécié "Chiche !" ont grand intérêt à se procurer "Clodomir Free", s'ils veulent pousser plus avant ce rêve hippie d'un autre temps.

Enfin, terminons cette critique en signalant que "Chiche !" fit suffisamment de vagues en son temps pour justifier une interview de Christine Arnothy dans l'émission littéraire de l'ORTF "Le Fond et la Forme", au cours de laquelle plusieurs passages du roman furent joués en saynètes par des comédiens, avec même une participation de Georges de Caunes. L'émission peut être visionnée gratuitement sur Ina.fr
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Le bonheur, d'une manière ou d'une autre

Pas vraiment un roman policier, un peu long (559 pages dans mon édition) où contrairement aux conventions, on connait l'assassin dès le début. Thomas, chimiste internationalement réputé, a déjà neuf kilos d'explosifs dans son sac à la première page. Il veut faire sauter le barrage d'Assouan qui lâchera des tonnes d'eau meurtrière. On ne saura jamais pourquoi, même si à la fin, il est vaguement question de mystérieux chinois et arabes et peit-être d'un trafic de tableaux anciens, vrais, faux, ou substitués. Le titre du roman est le nom de la chanson d'un club de vacances, en Egypte, pour lequel il s'est inscrit, et où on élit miss Néfertiti entre eux excursions. Avant de faire sauter le barrage d'Assouan, il y a de multiples épisodes d'atmosphère, mais un peu longs, et surtout des scènes de coucheries entre les vacanciers du club, sur lesquelles l'auteur s'attarde plus que sur les mobiles de l'attentat, préparé par ailleurs par un homme charmant autant qu'équilibré en apparence. Quelques exemples

- Elle défit son chemisier pour montrer ses seins impeccables… (et lui dit) voulez-vous que je continue?

- Elle vint près du lit. Elle ôta sa robe, le corps zébré d'une lumière extérieure, elle attendait un encouragement.

- Tu veux m'amener à Paris pour coucher avec toi?

- Allons faire l'amour, dit-il, au lieu de faire des discours.

- Tu as couché avec lui? - Oui. - Tu étais plus heureuse qu'avec moi? - Ce n'est pas comparable. - Pourquoi? - Parce que lui, je l'aime, toi, tu me plais.

- (L'élue miss Néfertiti) se dénuda pour qu'on puisse la photographier couronnée.

- Il faut que tu me déshabille, dit Liz à Bruno…. Voulait-elle enfin coucher avec lui? … Alors, dit Bruno, si tu couches avec moi, c'est par curiosité? - Oui, pour comparer. J'ai envie d'une douche chaude et du lit; entre les deux, on peut s'essayer… Avec Raphaël, ça a duré cinq minutes…. J'ai l'impression que tu m'arrives jusqu'au plexus solaire, à l'intérieur. Je n'ai jamais eu de vrai plaisir; on va voir avec toi… A la dernière seconde, Bruno réussit à planter son drapeau. Liz avait subi le choc simultané. Tu cherches des compliments, dit-elle, et de la main, elle montra le chiffre trois: tu m'as fait jouir trois fois.

- Je l'ai eue. - Tu l'a eue? C'est elle qui t'a eu! Il n'y a plus de femmes qu'on peut "avoir".

- Elles commencent toutes si jeune les Américaines? ca dépend du collège.

- Est ce qu'il ne va pas me considérer comme une femme facile? Coucher avec lui au bout de trois jours. - La sérénade sous la fenêtre et la visite dominicale avec le bouquet de fleurs à sa bien-aimée, sont dépassés.

- Elle énumérait les hommes du groupe… lequel prendrait-elle comme remède? Bruno Desjardin,... l'amant de la jolie suissesse, … vint ensuite Thomas Koenig… Alex Brown. Coucher avec Alex Brown? … elle choisit Koenig.

Et ça continue, et je passe les passages les plus crus. Pendant ce temps, à Paris, Samuel a découvert les projets de Thomas et essaie en vain d'alerter les autorités.

Bruno quitte le groupe avec Liz qu'il amène à Paris. Elle le quitte après quatre jours.

Pour son dernier jour, le groupe arrive à Assouan et Thomas, resté seul prépare ses explosifs. La nuit, il est dans le lit avec Marthe qui découvre soudain qu'il est mort. Des lettres révèlent qu'il s'est donné la mort et que, pris de remords, il a renoncé in extremis à faire sauter le barrage. L'organisateur du voyage, Eddy, est consterné pour la réputation du club. Au petit déjeuner, on ne dit rien aux touristes qui partent pour le barrage. Thomas laisse toute sa fortune à sa première épouse. À l'époque, elle n'a pu l'apprécier.







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J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir

Roman classé "jeunesse', j'ai trouvé sa lecture toutefois très dure puisqu'il s'agit du récit de personnes vivants dans une cave pendant les bombardements de leur ville au cours de la dernière guerre mondiale. Peut être faudrait il accompagner cette lecture d'explications par des adultes.
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Toutes les chances plus une

Lisa, jeune interprète, rencontre Laurent Jay, candidat à la présidentielle française et malheureux mari d'une femme avec qui il ne reste que pour son rang. Lisa et Laurent tombent dans les bras l'un de l'autre. Lisa le suit à Paris quelques temps alors que lui est en pleine campagne. Jusqu'au jour où la femme de Laurent revient et décide de mettre Lisa à la porte.

Il y a 2 plans dans ce roman : 1) les arcanes de la politique, du pouvoir et surtout d'une campagne électorale. Intéressant parfois, longuet aussi quelquefois. Une fin un peu facile et un rebondissement inutile à mon sens. On pourrait penser que l'auteur ne savait plus comment en finir...

2) l'histoire d'amour entre les deux personnages. Une histoire d'amour quoi ! ...

Bref, en résumé, pas mal, sans plus.
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Chiche !

J'ai lu ce roman il y a exactement trente ans lorsque j'en avais quinze, par obligation pour l'école ; mais je m'en souviens encore. Je l'ai dévoré en trois jours. Il se lit facilement, l'histoire est prenante et les personnages tous touchants. Témoin d'une époque quasiment révolue (l'école a énormément changé depuis), ce roman nous plonge néanmoins dans l'ambiance par des détails très réalistes aujourd'hui disparus. Par exemple, pourrait-on encore entendre un bruit de pas d'écolier sur le pavé un jour où il serait le seul élève ?



J'aime beaucoup les contrastes entre les personnages, entre les décors, entre les époques... et là, j'ai été servie. Il y a non seulement le contraste entre la ville et la campagne, mais également entre le début et la fin...
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J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir

Livre dévoré en quelques heures seulement !

Arrivée à la fin, surprise, une suite ! Dévorée dans la foulée !

Passionnant, prenant et réaliste !
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Vent africain

Quelle antipathique personnage ce Éric. ce profiteur de basse classe qui souhaite profiter des plus riches. Il y parviens progressivement. Même s’il est déplaisant le scénario de l’histoire est bien. elle semble se dérouler en trois parties. la première intéressante, la ennuyante et la fin plutôt pas mal. l’histoire est bonne mais beau coup de longueurs cependant !







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