Citations de Christophe Arleston (980)
- Ces gens sont victimes d'une malédiction ! Nous devons les en délivrer !
- T'as raison. Mettons le feu au village. On fera le tri après.
- Tu ne parlais pas sérieusement, là ?
- Si, pourquoi ?
- Parce que ce sont des méthodes indignes de la chevalerie, Môssieur le grrrand Merlin ! Notre devoir est d'aider ces pauvres gens et de récupérer Excalibur !
La foule est un allié dangereux (…).
A Eckmül, la magie est individuelle et s'exprime à travers des pouvoirs. Au Darshan, elle est collective et donne naissance à des dieux. Il suffit de croire en l'un d'eux pour qu'il se mette à exister réellement : on en dénombre plusieurs milliers. Chaque jour, certains apparaissent grâce à la croyance de nouveaux fidèles, alors que d'autres meurent faute d'être honorés.
Les siècles passent sur l'Afrique sans jamais en changer les données fondamentales. La sagesse y affronte la violence et le mystère est au cœur de toute chose. Et la savane reste le royaume des grands prédateurs...
Hébus : Ça se mange, un dieu ?
Fëh-Rër : Je l'ignore. Les trolls de chez nous n'ont pas essayé. Mais il est vrai qu'ils sont un peu différents de vous.
Ne t’ai-je point enseigné la loi du désert ? Tu ne peux posséder que ce que tu es assez puissant pour défendre !
Il n’est rien de plus précieux que le temps, c’est le prix de l’éternité.
Cixi : Vous êtes marié, Hébus ?
Hébus : Hélas! J'ai connu une fougueuse compagne, mais je l'ai dévorée un jour de colère.
Ces trolls ne cessent d'attaquer les voyageurs, de violer nos troupeaux et de dévorer nos femmes...
Le mercenaire seigneur de la guerre serait aussi un naufragé venu des étoiles ?
Cixi : J'aime bien l'aventure, mais là ça commence à bien faire ! Monstres, pirates, dragons, tempêtes ... Y'en a assez.
C'ian : Toi aussi tu as envie de rentrer au village et de trouver un bon mari ?
Cixi : Ah non ! J'en ai pas marre à ce point !
Ma petite, toutes les civilisations sont identiques : le pouvoir et l’argent sont toujours irremplaçables.
Des militaires qui réfléchissent ? On ne voit pas souvent ça, ici… Votre civilisation est décidément bien singulière.
"Quelle que soit la civilisation, la mort est spectacle qui réjouit toujours les mauvais penchants de l'humanité."
« Excepté dans un lit, il n’y a aucun honneur à être à trois contre une femme »
Ils t’adorent, toi. Tu as plus qu’une vois magnifique : tu sais les faire vibrer. Moi, j’ai beau jouer à la perfection, je ne les touche pas. C’est comme si j’étais transparente. C’est la vérité, mon tempo était excellent, mes notes impeccables. Alors que tu as accroché ton contre-ut, et personne n’a rien entendu.
Jeune homme, je souhaiterais juste récupérer une chose qui m’appartient légitimement, le Danthrakon. Je ne sais pas comment le grimoire est entré dans ton corps, mais la place de l’encre, c’est sur du papier, pas dans des veines.
Les trois formes de magie. Magie du verbe, magie du sang, magie des éléments. La magie du sang est interdite car la bestialité devient incontrôlable. La magie des éléments n’est qu’élixirs, potions et poudres de méprisables kémistes. Seule la magie du verbe est assez noble et puissante pour qu’on lui prête attention.
[...] l'inquisiteur Amutu, habile politicien, avait développé un pouvoir indépendant basé sur la terreur, une technique peu originale, mais toujours efficace.
J’étais stupéfaite. Désemparée. Touchée. L’homme qui avait exprimé tant de sensibilité et d’émotion dans cette toile pouvait-il être un meurtrier ? Avait-il enfoncé sa lame dans le ventre de mon père ? J’étais hypnotisée, je glissais vers une fascinations morbide. Je cherchais un sens à chaque coup de pinceau, je guettais la trace d’un esprit pervers et détraqué. Il devait avoir laissé ailleurs des indices de sa personnalité. Il me fallait approcher l’essence de cet homme. De ce monstre.