AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Christophe Lambert (331)


la prochaine grande catastrophe ne viendra pas d'un immense astéroïde mais plutôt d'un germe impossible à voir à l'oeil nu. Vous pouvez également oublier le trou dans la couche d'ozone, le réchauffement planétaire, la fonte des glaciers et tout le tintouin. Le vrai danger est...en nous !
Commenter  J’apprécie          150
La guerre éduque les sens, mobilise la volonté, perfectionne la constitution physique et provoque des collisions si étroites et si fulgurantes dans les moments critiques que l'homme peut alors prendre toute la mesure de l'homme.
Emerson.
Commenter  J’apprécie          150
-Je vous prédis que dans quelque temps, les éditeurs s'arracheront nos aimables fantaisies, ou celles de nos successeurs si nous ne sommes plus de ce monde. Je l'affirme haut et fort : les futures générations raffoleront des histoires d'elfes, de monstres et de dragons !
-Vraiment ? hoquette Lucius, sarcastique. J'aimerais posséder votre optimisme, mon cher.
-Il ne s'agit pas d'optimisme mais d'une déduction fondée sur l'observation objective de notre société. Voyez comment les choses évoluent. Il viendra un jour où les gens se lasseront des avancées technologiques et de cette emprise grandissante du réel. On ne fera jamais oublier les vertes contrées où l'imagination peut s'ébattre, loin de tout carcan matérialiste. Les anciennes légendes et les mystères sont éternels, tout comme les héros des grandes sagas. Ces récits reviendront tôt ou tard sur le devant de la scène littéraire.
Commenter  J’apprécie          150
Souvent, les journalistes me demandent " Pourquoi écrivez-vous ? ". La réponse, la voilà : j'écris pour déclencher cette sensation, chez le lecteur, la sensation du... " Et après ? ". existe-t-il de plus beaux compliments que " Je tournais les pages sans pouvoir m'arrêter", " Je n'ai pas pu éteindre la lumière avant 2h du mat'" ou " A cause de vous, j'ai raté ma station de métro ? "
Commenter  J’apprécie          140
A cette heure avancée de la soirée, Paris offrait le spectacle d'une cité sombre et déserte. Électricité rationnée. Couvre-feu. La Ville Lumière se transformait en ville fantôme.
Commenter  J’apprécie          140
"Le silence n'est jamais gênant entre les vrais amis."
Commenter  J’apprécie          140
"La douleur le traque jusque dans les replis les plus intimes de sa pensée. Il la fuit en choisissant de se réfugier dans la haine. Celle-ci l'accueille à bras ouverts. Elle lui susurre des mots doux. Oui, la haine est généreuse. Elle est plus forte que la douleur."
Commenter  J’apprécie          140
"Émerveille-toi de la vie, ouvre-toi à l'enchantement de vivre, réconcilie-toi avec la joie pure d'exister."
Commenter  J’apprécie          143
- Ce tankrab est presque deux fois plus gros que ceux de la génération précédente...
- Cela fera juste deux fois plus de ferraille à la casse quand il sera détruit.
Commenter  J’apprécie          140
« C'est donc ça, la vie d'un chat errant : une suite ininterrompue de dangers, d'agressions ? »
Une existence bien périlleuse, à n'en point douter.
« Il faut que je sois plus prudent à l'avenir... Et puis, surtout, il faut que je retrouve mon corps d'homme, parce que cette situation ne peut pas durer ! »
Commenter  J’apprécie          133
Il avait cru dur comme fer qu'il appartenait à une race élue, supérieure ! Son physique athlétique, ses yeux bleus et ses cheveux de blé taillés en brosse le confortaient dans cette idée. Une vraie affiche de propagande ambulante ! Il avait vécu le début de la guerre (cette revanche tant attendue dont ses professeurs lui rabattaient les oreilles depuis des années) dans une sorte d'euphorie. Admiratif, comme le reste de son peuple d'ailleurs, il avait vu le chef suprême voler de victoire en victoire... La première fausse note avait été la manière dont on les avait traités, lui et ses amis, dans les jeunesses hitlériennes. La mort de Ludwig l'avait choqué au-delà des mots. Il s'était bien rendu compte que, derrière les exercices et les humiliations, on essayait de le décerveler. On ne cherchait rien de moins qu'à les transformer, lui et ses amis, en machines à tuer aveugles et sanguinaires. Au fond de lui-même, il s'était insurgé. Il aimait l'Allemagne, mais les méthodes de ses dirigeants le dégoûtaient... Puis il y avait eu la bataille du ciel où, contre toute attente, l'orgueilleuse Luftwaffe s'était cassé les dents sur la RAF britannique. Et les revers d'Afrique du Nord. Et le front russe. Tous les "surhommes" qui revenaient de l'Est avaient des blessures ou des engelures, voire des membres amputés.
Commenter  J’apprécie          130
Le reste de la cabane évoquait certains de ces clichés qui montrent une grange ou une ferme après le passage d'une tornade. Des débris partout. Des meubles éparpillés. Le grand méchant loup avait mis le paquet.
Commenter  J’apprécie          130
Le Wendigo a avancé jusqu'au trottoir, puis il s'est retourné vers moi, et il m'a de nouveau fait signe de le suivre, avec sa griffe-stalactite.
Le plus dément, c'est que j'ai obéi.
Commenter  J’apprécie          130
L'esprit de Teddy s'élève, toujours plus haut. Toute frontière abolie, il traverse plusieurs couches de terre, des canalisations, mais aussi des sédiments, des alluvions. Perforant le goudron d'un trottoir, il débouche dans une rue encombrée de Chicago, au milieu des badauds qui n'ont pas conscience de sa présence, parmi les coups de klaxon, le brouhaha des conversations, le tintement des conversations, le tintement des cloches du tramway. Puis il glisse le long d'un building. Il monte maintenant vers le ciel comme une flèche.
- Je vole ! Je vole !
- Oui, et tu peux aller n'importe où, fit la voix de Chef.
Commenter  J’apprécie          130
Des siècles de merde j'en ai connu. Mais des comme ça, jamais ! (Zeus à propos des années 1950)
Commenter  J’apprécie          130
Pour l'instant l'eau du torrent est claire, cristalline. Dans quelques minutes, elle rougira du sang de ces traîtres. Vous avez le goût du châtiment, il ne vous suffit pas de vaincre vos ennemis. Il vous faut les écraser, les souiller, les avilir. Voilà ce que c'est, d'être le Lider Maximo. Voilà ce que c'est, d'être Fidel Castro.
Commenter  J’apprécie          130
"La pitié n'existe pas, dans le désert...Existe-t-elle seulement ailleurs ?"
Commenter  J’apprécie          132
"Il dit que les légendes sont comme des graines portées aux quatre vents et qu'elles ensemencent l'esprit des hommes."
Commenter  J’apprécie          130
- J'ai le choix maintenant ? Je croyais que le deal, c'était " bosser avec vous ou alors la prison " ?
- J'ai dit cela pour te persuader de me suivre... Mais à l'heure du vrai choix, chacun est libre...

[p87]
Commenter  J’apprécie          120
Mes pensées ont dérivé vers Martin. Moi qui étais fils unique, j’avais trouvé un grand frère à vingt ans passés, ici, dans la boue. Était-ce la guerre qui rapprochait les gens à ce point ? Si notre rencontre avait eu lieu en période de paix, serait-on devenus aussi inséparables ? Notre amitié allait-elle survivre à ce conflit ?
Commenter  J’apprécie          120



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Christophe Lambert (2479)Voir plus

Quiz Voir plus

Swing à Berlin

En quelle année débute l'histoire ?

1942
1917
1789
1936

10 questions
116 lecteurs ont répondu
Thème : Swing à Berlin de Christophe LambertCréer un quiz sur cet auteur

{* *}