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Critiques de Claude Pujade-Renaud (237)
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Tout dort paisiblement sauf l'amour

Comme dans "Dans l'ombre de la lumière", Claude PUJADE-RENAUD parle d'un homme célèbre à travers la vie d'une femme dont il a été très proche.

Régine Olsen, femme d'un haut personnage danois, a été fiancée quelques mois à Soren Kierkegaard.

La vie de cette femme, et de 3 ou 4 autres proches du philosophe, défile rythmée par les souvenirs, anecdotes etc... se rapportant à cet encombrant ex-fiancé, ce géant-malingre, qui a rompu ses engagements pour se consacrer pleinement à l'écriture.

Livre intéressant malgré quelques redondances.
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Tout dort paisiblement sauf l'amour

Voilà un livre absolument parfait: excellence d'une langue française fine et précise, originalité et qualité de l'angle choisi par l'auteure: elle évoque la personnalité complexe de Soren Kierkegaard, philosophe, romancier, théologien danois du début du XIX° siècle, génial, mais obscur et tourmenté. Le prisme choisi est celui de l'oeil de son ancienne fiancée, Régine Olsen, mariée plus tard à un diplomate. Le début du livre, qui évoque la présence de ce couple en fonction aux Antilles néerlandaises, est sublime: Régine est heureuse, avec ce mari brillant cultivé, tolérant, mais au fond, elle n'a jamais compris pourquoi, des années plus tôt, son fiancé d'alors avait brutalement mis fin - par une simple lettre non motivée - à leur relation et à leur idée de mariage, alors que tous s'y préparaient et qu'aucun nuage concret n'est jamais venu faire douter ni elle ni personne, de ce projet. Kierkegaard avait-il un secret non avouable qui rendait finalement leur union impossible? C'est avec une infinie finesse que C.Pujade Renaud va nous emmener sur les chemins des réflexions personnelles de Régine, et aussi de son mari, et de plusieurs proches de sa famille. Vie aux Antilles en période d'abolition de l'esclavage, vie à Copenhague dans un milieu humaniste et cultivé, quête personnelle, amour, culte lié à un intellectuel génial disparu trop tôt en laissant des mystères..... Chaque élément constitutif de cet ouvrage est sublime, et l'ensemble aussi par conséquent. On voit ici que la littérature ne consiste pas seulement à raconter des histoires mais à évoquer des sentiments, des situations, dans des ensembles qui peuvent être complexes et infiniment humains. Une très belle réussite pour les amateurs de grande littérature.
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Tout dort paisiblement sauf l'amour

Adepte des destins de personnages secondaires injustement oubliés, Claude Pujade-Renaud rend ici un bel hommage à l'unique héritière du penseur.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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Tout dort paisiblement sauf l'amour

C'est audacieux de prendre ce style d'écriture, ça demande une maîtrise totale de l'œuvre de philosophe et de tout ce qu'on écrit sur lui, bravo à l'écrivaine.

Sauf que la présence du philosophe devient parfois trop lourd ainsi que l'éloge accentué.. ainsi que le longueur du récit, heureusement qu'on persévère à le lire et sublimer les derniers chapitres.

C'est un beau hommage au philosophe et une invitation à le lire.
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Tout dort paisiblement sauf l'amour

C'est parce que j'apprécie beaucoup l'oeuvre de Kierkegaard que je me suis accrochée à ce roman, qui explore la vie du philosophe à travers notamment le regard de la femme à laquelle il s'est fiancé et qu'il a ensuite brutalement rejetée.

Tout au long du roman, en relisant des passages d'ouvrages de celui qui fut son aimé, et qui continue à habiter sa vie, en croisant aussi les souvenirs des membres de la famille de Soren, Régine cherche à comprendre ce qui a pu se passer et c'est cette intrigue, dont j'ai attendu le dénouement, qui m'a aidée à poursuivre la lecture.

L'écriture en elle-même m'a semblé pesante, peut-être en écho au chagrin et à l'incompréhension de la jeune fille ?
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Tout dort paisiblement sauf l'amour

Magnifique kaléidoscope biographique !



En 1855, Regine Olsen, épouse du gouverneur des Antilles danoises, apprend le décès à quarante-deux ans de Søren Kierkegaard auquel elle fut brièvement fiancée avant qu'il ne rompe brutalement, sans raison objective, si ce n'est probablement l'impérieuse nécessité de se vouer totalement à son oeuvre, persuadé qu'il était de mourir jeune, et sans imposer de surcroit à une compagne son incurable et désormais légendaire mélancolie.



Touchée par ce décès, quinze ans après leur rupture, Regine, épouse heureuse de son ancien précepteur, s'interroge toujours sur les causes de ce qui fut un drame à l'époque mais qui a, avec le recul, incontestablement influencé l'oeuvre de Kierkegaard.

De retour à Copenhague, avec l'aide de membres de la famille du philosophe, elle poursuit sa quête, puisant dans ses souvenirs, leurs échanges, s'appuyant sur les oeuvres majeures, afin d'essayer de comprendre la pensée, l'homme et au-delà de trouver des éléments de réponse à son inexplicable renoncement amoureux.



Ce récit est tout simplement passionnant, réussissant ce tour de force d'être à la fois très documenté sans être aucunement barbant, sensible sans être mièvre, et remarquablement écrit.

Je crois que ce qui m'a particulièrement plu dans ce portrait d'un illustre penseur esquissé originalement par la femme qui a sans aucun doute le plus compté pour lui, c'est le va et vient permanent entre la trame biographique, les nombreuses références aux oeuvres et correspondances de Kierkegaard et les interrogations sentimentales et existentielles dont Claude Pujade-Renaud émaille son récit. Bribes essentielles de vie et d'oeuvre pour tenter de lever le voile sur l'énigme Kierkegaard !

J'ajoute que les chapitres courts, rédigés à la première personne alternent essentiellement les points de vue personnels de Regine et Frederik son mari, et contribuent à maintenir rythme et intérêt jusqu'à la dernière page, du décès du philosophe en 1855 à celui de Regine en 1904.



Pour conclure, ces phrases de Kierkegaard, extraites d'un courrier adressé au mari de Regine en 1849, année du décès de son père, qu'elle a découvert cinquante ans plus tard, ayant refusé à l'époque de les lire :

« Dans cette vie, elle vous appartient ; dans l'Histoire, elle sera à mes côtés.» « Vous la rendez heureuse en cette vie - je veillerai à son immortalité. »



Car, Tout dort paisiblement, sauf l'amour.

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Tout dort paisiblement sauf l'amour

Peut-on se guérir complètement d'un premier chagrin d'amour?

En 1855, Régine Olsen, heureuse dans son mariage d'épouse de gouverneur des Antilles danoises apprend le décès d'un homme qu'elle a beaucoup aimé et qui l'a abandonnée en rompant leurs fiançailles. Une rupture qui fut une vraie douleur pour une jeune fille de 18 ans et qu'elle n'a jamais pu expliquer. Désamour, incapacité à se lier à une femme, malédiction d'une famille aux nombreux décès, comme une fatalité à laquelle l'homme ne peut se dérober?



Pour qui ne connaît pas ou peu ( ce qui était mon cas) le philosophe et écrivain danois, Søren Kierkegaard, cette biographie romancée est une première approche, à la fois mélancolique et empreinte de légèreté car construite sur la narration d'amours contrariés. L'homme érudit et son œuvre se dévoilent peu à peu au travers des souvenirs de ses proches, avec le contrechamp de la société danoise puritaine, où une blessure sentimentale et d'amour propre est sans doute fort difficile à gérer.



Alternant les personnages dans des chapitres courts, le livre est agréable, empreint de langueur tropicale. Claude Pujade-Renaud décortique les sentiments avec finesse et une capacité à se glisser dans les mentalités du 19ème siècle. Mais, pour moi, l'ennui n'était jamais loin, sans doute du à une narration un peu répétitive.
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Tout dort paisiblement sauf l'amour

À la fin du roman, Claude Pujade-Renaud nous laisse avec ce désir intense : lire Kierkegaard coûte que coûte.
Lien : http://www.lapresse.ca/arts/..
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Tout dort paisiblement sauf l'amour

Ce livre permet, de manière détournée, de découvrir la vie de Kierkegaard. C'est original, mais reste parfois un peu longuet et lassant.

Connaître l’œuvre du philosophe est sûrement un plus pour comprendre mieux certains passages et ne pas être tenté d'arrêter la lecture.
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Tout dort paisiblement sauf l'amour

Il n'y a pas à dire, j'aime ces biographie romancée de Claude Pujade-Renaud. J'avais déjà lu avec plaisir celle de saint Augustin dans "Dans l'ombre de la lumière". Chaque fois, son point de vue est original. Ici, c'est celui de l'ex-fiancée de Sören Kierkegaard. Elle se trouve aux Antilles lorsqu'elle apprend la mort de ce dernier. Elle est alors mariée.

Plusieurs voix vont se succéder pour nous raconter la complexité de cet homme qui avait renoncé à l'amour, mais pas oublié son amour. Alors que dans les années qui suivent sa mort, sa notoriété ne fait que monter, voilà que nous approchons avec une grande sensibilité et une verve poétique, ce philosophe-écrivain inclassable, mais assurément génial.

Un très beau livre.
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Un si joli petit livre et autres nouvelles

Oui c'est un petit livre mais plus que joli! Les nouvelles sont denses, et l'écriture est belle. Et ça parle de famille, de mères beaucoup et parfois de pères, de grand-mères et d'amour, de souffrances et de joies. Chaque nouvelle est une histoire.
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Un si joli petit livre et autres nouvelles

Le recueil « Un si joli petit livre » s’ouvre sur une nouvelle succulente : Suzanne prépare un repas de famille, dont la recette est issue de « La véritable Cuisine de famille de Tante Nanette ». Elle met beaucoup de soin à préparer son pot-au-feu.

« Pour conférer au bouillon une belle couleur d’un brun doré, ce qui est fort agréable à l’œil, faites griller au four deux gros oignons. A défaut, vous pouvez utiliser du colorant qui se vend en bouteille chez tous les épiciers. »

Suzanne vient de faire paraître un recueil de nouvelles, mais ce n’est pas encore le grand succès attendu. Elle pousse le plaisir masochiste jusqu’à aller voir chez les libraires si son nom leur dit quelque chose … et s’aperçoit que non.

C’est long la préparation d’un pot-au-feu. Encore plus long le processus d’écriture.

« Cinq heures pour un pot-au-feu, deux ans pour un mince petit livre. Le premier sera consommé en vingt minutes. Le second peut l’être en une heure. Quant à la trace.. »



Claude Pujade Renaud file la métaphore entre cuisine et écriture.

La famille n’est pas forcément le meilleur soutien pour un écrivain. Seule la grand-tante Alphonsine de 97 ans ou Pierre le neveu étudiant en Amérique ont compris que ces nouvelles parlent de la famille. Le reste de la parentèle n’apprécie pas trop qu’on mette à nu les petites vilenies quotidiennes …

A défaut d’apprécier son écriture, les invités vont apprécier la table. Dommage que la nièce Corinne ne soit pas des hôtes.

Sa mère Edith rend à Suzanne l’exemplaire qu’elle avait dédicacé à Corinne. Sous prétexte qu’il n’est « pas de son âge ». Mais peut-être bien plutôt parce qu’il révèle des choses qu’on ne devrait pas dire en famille.

La chute est à l’image de cette nouvelle très réussie : où l’on voit qu’un livre dédicacé, à défaut d’être lu, peut très bien servir de colorant à un pot-au-feu au goût inimitable …



Que ce soient les relations entre fille et mère (« le jardin d’enfance » où il est question de fille-mère) ou les histoires placées sous le signe du double (« les terrasses » où Claire est partagée entre deux hommes), les secrets de famille de province (« Une visite ») et la solitude avec une nièce qui découvre ce que c’est qu’être femme «(« L’annonce »), le regard de l’homme sur le corps féminin (« Dans la glace ») ou le regard de femmes entre elles dans le cadre d’un sauna (« Tendres tropiques ») , Claude Pujade Renaud dévide son fil avec talent et subtilité. Ses thèmes de prédilection sont le rapport à la nature (le paysage, le temps qu’il fait …), l’attention aux petites choses quotidiennes, qu’elle entrelace toujours avec les relations inter personnelles toujours vues de façon très subtile chez cette auteure.



Claude Pujade Renaud est une grande nouvelliste (genre sous-estimé en France mais beaucoup plus développé dans les pays anglo-saxons).



Elle sait comme peu d’autres décrire les relations intimes familiales : frères et sœurs, mère et fille, lignées de femmes, à l’image de la dernière nouvelle de ce recueil,« D’outre-mère », très réussie elle aussi. Une écriture dont on ne se lasse pas.


Lien : https://www.biblioblog.fr/po..
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Vous êtes toute seule ?

Superbes nouvelles par une grande écrivaine, une femme aux prises avec la solitude, les hommes, la famille de son amant, la folie, l’amour… Et la danse. Quels passages dans cette écriture belle comme des pas de danse ! Un bonheur qui fait souvent sourire.
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Vous êtes toute seule ?

Beau recueil de nouvelles, malgré des inégalités... Analyses fines
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Vous êtes toute seule ?

Ce recueil de onze nouvelles de Claude Pujade-Renaud est un livre héritage de ma mère qui pose la question "Vous êtes toute seule ?" parce que la femme, ses rapports amoureux ou sa solitude sont au centre de chaque texte et j'ai aimé la belle écriture de l'autrice qui donne une harmonie à l'ensemble.

Dans la première nouvelle, le pas de deux, Nathalie la danseuse vit avec Pierre le chorégraphe et découvre la liberté et la jouissance partagée de danser pieds nus dans la nature.

Dans Vous êtes toute seule ? Fabienne ne veut pas déjeuner seule au restaurant et en vient à inviter un sdf pour être accompagnée.

Dans le nuage, Marthe est quittée par son mari Jérôme pour faire un enfant avec une autre parce qu'elle n'en veut pas.

Dans Bagheera Bagheria, Violette au lit avec son amant parlent d'autres expériences vécues.

Dans le clapotis, une nageuse préfère l'environnement aquatique que le face à face avec son mari, une façon de se mettre la tête sous l'eau.

Dans Les lavandières, Virginie est persuadée que sa machine à laver le linge lui en veut et complote après elle malgré la bienveillance de son mari Roland qui tente de la rassurer.

Dans Les îles, Francis et Josy sont en vacances, ils s'aiment mais vivent dans des mondes différents, lui est un doux rêveur qui cherche à retrouver les sensations des souvenirs heureux de l'enfance, elle, matérialiste, est une femme active et joyeuse qui a les pieds sur terre.

Dans le café d'en face, Francine s'installe dans un café pour observer les gens avant sa séance de psychanalyse. Cette nouvelle est particulièrement juste et on se doute que l'autrice aussi est une fine observatrice de ce qui se passe autour d'elle.

Dans Un amour de soie, Odile et Stéphane forme un couple qui, avec le temps, font appel à des fantasmes quand il font l'amour si différents que cela va les éloigner l'un de l'autre.

Dans Insectes, Béatrice est obligée de subir le cérémonial hebdomadaire des Délicieuses, la maison familiale de Claude son compagnon.

Dans le lac des signes, Galina est une vieille dame russe qui se souvient qu'elle a été danseuse étoile.

Et là, on voit que la boucle est bouclée avec le thème de la danse que l'on trouve à l'ouverture et à la fin du livre. Ce n'est pas un hasard car Claude Pujade-Renaud a été professeure de danse, il n'est donc pas surprenant qu'elle décrive parfaitement les gestes et les mouvements des corps.





Challenge Plumes féminines 2022

Challenge Coeur d'artichaut 2022

Challenge Riquiqui 2022

Challenge XXème siècle 2022

Challenge ABC 2022-2023

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Vous êtes toute seule ?

Recueil de nouvelles trouvé dans une boîte à livres. Un auteur que je découvre. Onze nouvelles d'une longueur variable, le point commun entre elles... Elles sont déprimantes, mettent mal à l'aise. Rien à dire quant à la qualité de l'écriture, mais après lecture je ressens un malaise profond et veux passer à une lecture moins pesante pour oublier cette sensation très désagréable de solitude, de ratage, d'échecs successifs, d'incompréhension, de rencontres qui ne se sont pas faites.
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Vous êtes toute seule ?

J'ai découvert ce recueil de nouvelles vraiment par hasard, dans une librairie de livre numérique. Il s'agit d'histoires très courte (d'une dizaines de pages à une trentaine grand maximum) qui du coup, ce lisent vites. Elles traitent toutes de solitude à différents degrés, d'histoires de couples avec la lassitude de la monotonie de la vie qui s'installe, mais aussi de passions amoureuses.



Dans une écriture légère, ces histoires se lisent mais ne nous transportent malheureusement pas avec elles. Une centaines de pages au total, d'histoires de vie platonique sans grand intérêt. C'est vraiment dommage !



Ma préférée : Le café d'en face.

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1 - Pas de deux : Quelques pages qui nous font virées et chavirées dans des rythmes de danses entre deux artistes, Nathalie et Boris sur la scène mais aussi en coulisse avec Nathalie et Pierre, le chorégraphe et amant.

2 - Vous êtes toute seule ? : Fabienne, célibataire, mange tous les midis au "Rendez vous des amis" et se rend compte de la grande différence qui existe entre les clients en couple et les clients qui sont tout seuls. Elle va ainsi inviter un SDF pour ainsi offrir, à lui un bon repas et a elle, un peu de chaleur humaine.

3 - Le nuage : Marthe a été abandonné par son ami car il voulait à tout prix un enfant qu'il est allé faire avec une autre qui en voulait, elle.

4 - Bagheera Bagheria : Violette a fait une rencontre il y a peu et, ils se racontent mutuellement leurs dernières histoires. Babheera est le prénom de la chatte en manque de liberté a cause de son maître, et Bagheria qui est la précédente destination de vacances et où vit Clarissa.

5 - Le clapotis : Ils sont en vacances a la mer et sa seule vrai distraction à elle, c'est de se retrouver avec son masque et son tuba, à jouer avec les poissons. "La vacuité des vacances révèle le vide de leur couple".

6 - Les lavandières : Virginie, maman de Laura et femme de Roland, s'interroge sur sa fidèle et docile servante, sa machine à lavé suite a une seule et unique chaussette sortie abîmée d'un de ses programmes sans aucune explication.

7 - Les îles : Francis et son île de sucre, qui est devenue au fil des années, son île au trésor. Depuis sa plus tendre enfance cette "île" est son meilleur exécutoire de la vie réelle, une magnifique histoire, un véritable défouloir personnel.

8 - Le café d'en face : Francine a l'habitude de venir prendre un café lorsqu'elle est en avance sur ses séances. Un habitué, Mr Bernard, a de longues discussions avec le patron et ils ont pour habitude de chercher ce que font les autres habitués dont un certain homme très précis sur les heures...

9 - Un amour de soie : Odile et les filles de la nuit se retrouvent toutes dans un endroit indéfini lors de l'acte avec leurs partenaires.

10 - Insectes : Béatrice et son marie Claude, séjournent dans la maison de campagne des parents de Claude où, araignées, fourmis, cafard, rats et autres insectes pullulent de toute part. Un univers de traditionalisme et de souvenirs familiaux regorge dans cette maison dont Béatrice est bien lointaine.

11 - Le lac des cygnes : Galina (ou Oulana), était une danseuse, pendant une quarantaine d'années qui ont défilé a une vitesse folle, elle a maintenant 76 ans, bientôt.

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