Damián Campanario Hernandez

C'est un garçon qui ne vit que pour les jeux vidéo. Ses parents décident de l'emmener chez ses grands-parents où il n'y aura plus de connexion. Il va découvrir qu'à la campagne on peut vivre plein d'aventures. J'ai adoré ce livre car le personnage est comme moi. Il y a de l'humour et de l'aventure, on ne s'ennuie jamais.

Daniel est un jeune citadin accro aux écrans et aux jeux vidéo. Quand il apprend qu'il va devoir passer deux semaines seul chez ses grands-parents qui vivent en pleine nature, c'est le drame pour cet enfant hyperconnecté. Pas de réseau ni de jeu en ligne pour lui, il déprime. Et ce ne sont pas les vieux jeux de société que lui propose son grand père, son "Yayo", qui vont compenser. Heureusement, ses Yayos ne manquent pas de ressources, et vont inventer tout un scénario pour le distraire. Aidé par sa famille et des voisins charmants, le garçon redécouvre les merveilles de la nature...



Bonne humeur et couleurs pepsy au programme de cette bande dessinée jeunesse, dans laquelle le jeune héros redécouvre les plaisirs simples et l'importance des amis et de la famille. Grâce à ses mamans, et à ses grands-parents qui ont a cœur son bien-être, Daniel recrée du lien avec sa famille, se lie avec les voisins, s'ouvre aux autres et à l'inconnu, lui qui a encore peur de dormir seul la nuit.



Si le dessin surprenant m'a au départ déconcertée, il rend l'ensemble d'autant plus vivant, et donne un côté "jeu" à cet ouvrage. Pami les thèmes abordés dans cette BD rythmée aux dessins très modernes, on trouve la déconnexion forcée, l'addiction aux écrans, opposés au retour à la nature, l'écologie donc, mais aussi l'amitié ou encore la diversité. Un bel encouragement pour que les enfants se réapproprient leur environnement, découvrent les plaisirs simples et apprennent à se créer des souvenirs joyeux.



Une belle ode à la nature qui devrait plaire aux enfants !
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Une très jolie bande dessinée qui montre que l'on peut se passer des jeux vidéos et revenir à des plaisirs simples telles que mener des activités manuelles en famille, pratiquer des excursions, jouer dans la rivière. Au fil de son séjour, on observe l'épanouissement du jeune Daniel, son ouverture aux autres, sa découverte du monde. Il se construit petit à petit. Les illustrations donnent beaucoup de charme à l'histoire. C'est une très belle découverte ! (C. Soubic)

Une très jolie bande dessinée qui montre que l'on peut se passer des jeux vidéos et revenir à des plaisirs simples telles que mener des activités manuelles en famille, pratiquer des excursions, jouer dans la rivière. Au fil de son séjour, on observe l'épanouissement du jeune Daniel, son ouverture aux autres, sa découverte du monde. Il se construit petit à petit. Les illustrations donnent beaucoup de charme à l'histoire. C'est une très belle découverte !

Une bande dessinée qui se passe dans un univers futuriste où les protagonistes sont perdu•es et qui aborde également le harcèlement scolaire ? Je prends !



En effet, l'intrigue met en place une classe qui visite les ruines d'un ancien château, où la camaraderie n'est pas franchement présente : accompagné de ses acolytes, Piero harcèle une petite bande. Celle-ci est composée de Sara, en situation de handicap, Mei qu'on considère comme "intello", Arnold qui est gros et moqué pour son poids, et le très - trop ? - gentil Driss. Suite à une énième mauvaise blague dont iels sont victimes de la part de Piero, les quatre ami•es vont se retrouver dans un étrange univers où la nature semble avoir repris ses droits. Perdu•es dans le futur avec leur pire ennemi, il faudra pourtant s'unir afin de sortir de ce bourbier...



Dès le début, il y a beaucoup d'action, puisque les cinq enfants vont très vite se trouver dans une mauvaise posture, au cœur d'une jungle hostile... Les événements s'enchaînent assez rapidement - peut-être un peu trop, parfois - afin de mettre en place le récit.



Dès le premier tome, les personnages vont devoir s'entraider, même si cela signifie s'allier avec leur harceleur. Les auteurs nous livrent une intrigue assez plaisante, avec de jolies illustrations, dans un monde différent du nôtre où l'union fait la force...! C'était un chouette début de saga et je suis curieuse de lire la suite !

Tout est charmant dans ce Game au Vert où il y a une belle complicité intelligente pour que Daniel décroche. On n’en dit pas plus. La Louve est la reine de la fête et Daniel redécouvre les joies simples, la gentillesse. Le dessin est parfaitement adapté au récit, joyeux, poétique et souriant. Que du bonheur.
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Obligé d'aller passer ses vacances chez ses grands-parents qui ont déménagés à la campagne, Daniel n'est pas enthousiaste, c'est le moins qu'on puisse dire. En fait dès son arrivée, il boude toutes les activités qu'on lui propose et même la fille des voisin·es venue jouer avec lui. Mais bientôt une mystérieuse louve lui propose de réaliser des défis...

J'ai aimé cette exploration d'activités manuelles et de partage avec les personnes qui entourent Daniel. Aussi variées qu'amusantes, Daniel va oublier l'éloignement de ses mamans et leur raconter ses journées est même un plaisir supplémentaire. Cette expérience sensorielle permettra à Daniel de relativiser la place du jeu vidéo dans sa vie.

A découvrir.

La professeuse documentaliste de cdicollegeguisthau.

L’idée du scénario de cette bande dessinée est originale et peut permettre à de jeunes lecteurs de se poser des questions sur leur rapport aux écrans et aux jeux vidéo. Les grands parents de Daniel cherchent à lui montrer qu’il y a beaucoup d’aventures à vivre dans la réalité et qu’elles n’ont pas toujours besoin d’être virtuelles. L’histoire est drôle et rythmée. Le dessin m’a plu un peu moins, la représentation des expressions est parfois très exagérée.

Bonne découverte!

Deuxième volet des aventures de ces cinq enfants perdus dans le futur. J’aime bien ces cinq anti héros, personnages un peu losers, mais qui prennent de l’assurance au fil de leurs aventures.

Les personnages ont des membres en nouille, le graphisme est dynamique, moderne, avec un aspect de doodle (Gumball), les traits et les formes sont schématiques, mais les détails foisonnent, les couleurs sont intenses, saturées et pourtant très nuancées, les différentes atmosphères sont très élaborées grâce à la gamme colorée bien choisie. Cette ambiance ludique et moderne nous entraîne dans un récit épique, rocambolesque et plein de surprises.

Quelques clins d'yeux et parodies apparaissent dans l’histoire, de Jurassic Park à Mad Max, Walking Dead, les jeux vidéo… avec un groupe de personnages assez formidablement imaginés, un peu potache et horreur à la fois, le style Scoubidou est renouvelé et modernisé avec talent.

L’histoire : Nous suivons Daniel, un jeune enfant accroc aux jeux vidéo qui va aller passer 15 jours chez ses grands-parents pour son plus grand bonheur… ou pas. En effet, là-bas, pas de wifi, pas de jeux vidéo, seulement la campagne et la nature. Le début de ses vacances ne va pas très bien se passer car celui-ci s’ennuie à mourir sans Internet. Cependant, ses grands-parents n’ont pas dit leur dernier mot et ils vont user de ruses pour qu’il ne voit pas le temps passer. J’ai adoré cette Bande dessinée. L’idée est vraiment très originale et j’ai trouvé très intéressant de montrer aux enfants que dans la vie il n’y a pas que les jeux vidéo et internet qui peuvent les rendre heureux. Une belle leçon de vie !



Les personnages : Première Daniel, c’est un petit garçon vraiment très attachant et qui m’a beaucoup touché. Il s’est pris à fond au jeu concocté par ses grands-parents et c’était craquant. Ensuite, ses mamans. En effet, dans cette BD, le petit Daniel à deux mamans et là aussi, chapeau aux auteurs c’était vraiment chouette d’intégrer de la diversité de façon naturelle sans pointer du doigt sans arrêt que ce sont deux mères. Revenons-en à nos moutons, la personnalité de ses mamans. Elles sont gentilles, douces et vraiment attachantes également. Elles ont aidé les grands-parents à mettre le jeu en place et c’était rigolo. On voit qu’ellesaiment énormément leur fils. Puis, on rencontre aussi ses grands-parents forcément, deux personnages sympathiques également. Ils dégagent de bonnes ondes et font tout pour rendre le séjour exceptionnel pour leur petit fils. Enfin, Daniel va se lier d’amitié avec une petite fille

durant ses vacances et ils étaient vraiment mignons.



La plume et les dessins : J’ai adoré la narration. L’intrigue est bien ficelée et il y a assez de texte pour rendre l’histoire profonde et intéressante et en même temps il n’y a pas trop de texte et cela permet une lecture fluide et vraiment agréable. En ce qui concerne les dessins, j’ai vraiment bien aimé les couleurs et le style du dessinateur. C’est totalement mon style de dessins et je pense que cela plaira aux enfants sans problème.



En résumé, c’est une super bande dessinée. J’ai passé un excellent moment de lecture. Il y a pleins de beaux messages pour petits et grands. Des personnages touchants, une intrigue bien ficelée et de magnifiques dessins. Que demandez de mieux ? Foncez la lire, elle en vaut le coup.



J’espère que cette chronique vous aura plus je vous fais de gros bisous et vous souhaite de bonnes lectures.

Il sera toujours naturel de se demander à force d'en compter si les BD ne font pas l'apanage de quelque chose avec la présence de deux parents de même sexe dans une BD jeunesse? Faudrait t-il vraiment les compter, serait une meilleure question, non? Une autre question serait de se demander si il y a matière à vendre quoi que ce soit sur ce sujet aux jeunesses d'aujourd'hui de la part des auteurs ?



Pas vraiment, puisqu'il n'y aura rien à acheter.  Le récit ne se chargera pas de nous dire que cela est bien ni mal, c'est hors sujet puisque la nouvelle société française, les institutions iront déja bien avant les auteurs parfaitement dans ce sens d'ouverture. Les auteurs racontent donc la vie. C'est un fond de décor, il ne s'agira donc pas de donner son avis ici, cela existe et c'est tout.



L'autre fond de décor, la Nature, la forêt. Là aussi, l'écologie aura le vent en poupe auprès de la jeunesse et de son éducation. Et pourquoi pas? Là aussi, il n'y aura rien à acheter, dans la Nature tout est gratuit, pas vrai? Il faudra juste y faire attention, la respecter et cette aventure nous indiquera comment simplement nous reconnecter au réel.





Daniel est un pitchoune à croquer. Notre personnage aura en effet deux mamans mais ceci sera un point anecdotique.

Nous serons dans une fiction du futur, un futur plus évolué que le notre mais tout de même assez proche.

Nous le remarquerons aux illustrations, les villes seront enrichies d'une technologie tout particulièrement moderne et les voitures se conduisent toute seules comme les avions en mode automatique. Cette merveilleuse technologie malgré tout de même addictive sera un élément des sujets de la BD: le retour aux sources.



Les deux mamans travailleront et déposeront leur fiston chez les grands-parents pour les grandes vacances. Ils vivront à la campagne et notre jeune personnage boudera, comme dans un récit de nos jours, la déconnection avec tous ses jouets en réseau et ses copains à distance. L'absence de technologie ludique chez les grands-parents quand on est jeune, la plaie!

Le sens de la BD voudra nous dire : mais comment faisait-on avant pour vivre et s'amuser sans les nouvelles technologies?

Les avait-on attendu pour enfin découvrir le sens du mot jouer?



Daniel va devoir prendre sur lui et ne pas jouer les gamins capricieux parce que malgré tout, on le sentira sans difficultés, il aime aussi très fort ses grands-parents.

C'est l'histoire de son séjour qui va être au coeur de l'aventure, une aventure au vert où Daniel va redécouvrir un peu plus de dialogue ( rhan....), les jeux de société ( pouah!), les balançoires( beurk!), tous ces jeux simples mais excitants, vivifiants qui vont le faire courir, rire et passer un bel été.

Heureusement pour les grand-parents, il y aura une jeune fille de son âge parmi les voisins, Selva, ce qui facilitera la transition au vert et elle sera bourrée d'idées pour le faire entrer dans ses jeux à elle, des jeux de pistes et tout et tout.



Daniel recevra la visite nocturne (sous la surveillance des adultes) des personnages de la Nature qui lui confiera des missions et des indices, des choses à rechercher pour elle le lendemain (on supposera bien qu'il s'agira de Selva montée sur les épaules d'un adulte mais chhhht!)

Notre petit Daniel partira un peu de loin avec Dame Nature : "Mais l'eau touche le sol, c'est sale!"





L'aventure est drôle, tendre, vivifiante et elle donnera de bonnes idées pour les grandes vacances ou pour un we.

La stylisation des individus nous fera sourire, proche de la caricature pour chacun des personnages, les rendant tout de suite chacun sympathique

On a vraiment aimé, il n'y aura pas à se forcer pour entrer dedans.

Une BD très intéressante et très actuelle puisqu'elle aborde le thème de l'hyper connexion aux écrans.

Le fait que cet enfant qui n'a pour seule occupation ses jeux vidéos se retrouve chez ses grands parents qui n'ont aucun écran.....c'est sûr que ça promet d'être difficile.

Et de façon astucieuse, il découvre les activités simples en lien avec la nature.

Une BD pour attirer la vigilance des enfants et des parents sur le temps d'écrans. Une façon ludique d'aborder la question et des idées d'activités pour vos séjours au cœur de la nature.

Force est de constater qu'aucune amélioration n'est à noter entre le premier et le second tome de cette série déjantée. Les personnages sont toujours perdus dans le futur, les adultes sont à priori tous morts ou piégés dans un monde virtuel, au choix...Les jeunes, eux, semblent vivre dans un jeu vidéo, tandis que partisans des nouvelles technologies et décroissants s'affrontent. Un cherche et trouve géant permettra-t-il à la petite troupe de rentrer à Carcassonne ?

Daniel est un petit citadin accro aux jeux vidéos. Ses mamans travaillant pendant les vacances, elles le déposent pour 15 jours chez ses grands-parents.

Or, ces derniers vivent en pleine nature, totalement déconnectés d’Internet et Daniel ne voit pas ce séjour d’un très bon œil…

C’était sans compter sur Selva et son papa, les voisins, et sur la Louve, mystérieuse créature qui va mettre un peu de piment dans le quotidien du jeune garçon !



Cette BD est une belle ode à la nature et une invitation à la déconnexion.

Les auteurs mettent également en avant le fort lien entre grands-parents et petits-enfants et l’importance de cette relation pour la création de souvenirs et le développement de l’enfant.

J’ai trouvé très chouette que le schéma familial de Daniel sorte du classique Papa-Maman. Les dessins sont également très intéressants. Notamment la mamie, un peu forte, en short et coupe courte, le papy tout menu à queue de cheval et Daniel avec ses baskets et son sac à dos roses ! Ça nous change un peu de clichés habituels auxquels on ne fait parfois plus attention et on apprécie fortement !!!

Bravo aux auteurs et à Bamboo pour cette BD.

Dans ce tome 2, les jeunes Piero, Sara, Mei, Arnold et Driss arrivent en 2112, dans un parc d'attractions déserté où des monstres en carton pâte sont les seuls vestiges. Petit à petit, ils comprennent que la Terre a connu une terrible apocalypse. A travers cette histoire, l'auteur dénonce la société ultra-connectée qui s'oppose à une poignée de personnes qui cherchent à construire une nouvelle société. Les personnages sont plutôt attachants et drôles et le graphisme est différent de ce que j'ai l'habitude de lire. Mais cette bande-dessinée est plaisante surtout que le lecteur ne sait pas si les enfants vont réussir à ré-intégrer leur monde. Suite au prochain tome.

Game au vert est une BD pleine de légèreté, qui nous offre une jolie galerie de personnages, et un dessin étonnant de prime abord auquel on s’adapte très vite.
Lien : https://www.avoir-alire.com/..

Grâce au dessin très cartoon, mais finement ciselé et détaillé, d’Esteban Hernández, on plonge alors avec plaisir dans cette partie de jeu sans vidéo, au message simple et humble : mettre de côté un peu les écrans permet de voir la variété et la beauté du monde, et enrichir son point de vue. Rien de révolutionnaire là-dedans, mais un album efficace, sincère et dans l’air du temps. Level up !
Lien : http://www.bodoi.info/game-a..

Piero, Sara, Mei, Arnold et Driss sont parvenus à effectuer un bond dans le temps, mais au lieu de rentrer chez eux, ils se retrouvent, en 2112, dans un immense parc d'attractions abandonné où seuls subsistent de grands dinosaures en carton-pâte.

Ils réalisent rapidement que la terre a bien changé. Les humains, bien trop hypnotisés par leurs écrans, n'ont rien tenté pour éviter la catastrophe ... Dans ce monde dévasté, deux groupes d'enfants rescapés s'affrontent : les défenseurs de l'ultra-technologie et les partisans d'un nouveau monde à créer. Piégés, Piero, Sara, Mei, Arnold et Driss vont devoir choisir leur camp. Mais parviendront-ils à revenir chez eux ?



Une sympathique découverte au graphisme pétillant et dynamique qui colle parfaitement à l'histoire et qui me rappelle un peu l'univers de "Mad Max". Actions et humour sont de la partie. On ne s'ennuie pas !

On y aborde les thèmes de l'amitié et de l'entraide, tout en critiquant, l'air de rien, notre monde hyperconnecté.



#Perdusdanslefutur #NetGalleyFrance !

Je passe trop de temps sur mon téléphone alors que je suis d’une génération qui l’a découvert tardivement alors j’imagine bien l’impact chez nos enfants… Ici, par choix, les écrans sont limités. Mais ce n’est pas le quotidien de Daniel qui va passer 15 jours de vacances chez ses grands-parents. Eux habitent loin des technologies auxquelles Daniel est (trop) habitué. Alors il n’est pas très enchanté à l’idée de ne plus pouvoir jouer en ligne aux jeux vidéos et n’a aucune envie d’essayer les vieux jeux de société que lui propose son papy. Et jouer dehors ce n’est pas son truc non plus…



Heureusement, ses grands-parents sont plein de ressources et lui concoctent une surprise. Chaque soir, la reine louve, un personnage chargé de mystères et de magie, lui adresse un courrier et lui propose de relever des épreuves en pleine nature. Et c’est ainsi, que Daniel va partir en excursion en pleine forêt et découvrir les merveilles qu’elle recèle : faire des ricochets, cueillir des fruits sauvages, construire un cerf-volant et profiter pleinement de ses vacances ressourçantes pour prendre confiance en lui et partager de doux moments avec ses proches.



Ce n’est pas le sujet principal abordé mais j’ai été touchée que les proches de Daniel se montrent bienveillants et accompagnent Daniel dans sa peur du noir et sa difficulté à dormir seul. J’ai également apprécié que Daniel ait un schéma parental différent de ce que je peux lire habituellement et cela n’a même pas étonné mon fils. Nous avons beaucoup apprécié cette aventure en pleine nature, pleine d’humour et loin de la technologie qui en prime, renforce les liens intergénérationnels. Le livre-objet est superbe et la représentation des personnages plutôt anguleuse rappelle les personnages de jeux vidéo, c’est original et cohérent avec le sujet. Une superbe ode à la déconnexion qui stimule les sens, une lecture ressourçante qui nous incite à lever le nez !
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Daniel ne veut pas aller à la campagne chez ses grand-parents où il n'y a pas de connexion.



Heureusement, ils ont préparé un jeu d'aventure avec des énigmes à résoudre et des défis laissés par une étrange louve.



Le jeune garçon découvre alors le plaisir de jouer ensemble, dehors. Il se lie avec une voisine de son âge. Internet n'est donc pas indispensable pour être heureux.



J'ai aimé la bonne humeur qui se dégage de cette histoire. Elle tisse un hymne à l'enfance et aux jeux sous toutes ses formes. Tout en montrant le rôle que peuvent avoir les grand-parents pour renforcer les liens humains.



Il y a au centre le personnage de la Louve. Elle fait appel aux croyances tout en les transformant.



En effet, au sein du récit, elle passe d'un animal symbole de la dévoration à l'image de la meute et de la communauté.



La clé de cette réussite, celle de cet été si particulier pour Daniel mais aussi celle de cette lecture inspirante est la ludification des apprentissages et des relations.



L'enfant est amené, de défi en défi, à ouvrir les yeux sur son entourage, se libérer de ses peurs et grandir. Un beau programme !


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