Dan Brown

Le Da Vinci Code fait débat parmis les lecteurs, de ceux qui se sentent outrées par le propos, à ceux qui savent détecter les erreurs historiques tout en passant par ceux pour qui l’intrigue n’est que trop facile, les raisons ne manquent pas pour nourrir les détracteurs de Dan Brown.



Mais moi, j’ai adoré ! j’ai dévoré même, impatiente de partir à la quête du Graal avec nos 2 amis, le retournement de situation facilement anticipable n’a pas été celui que je pensais et j’ai donc même eu un gros moment de surprise quand celui ci est arrivé !



Malgré, je sais, les incohérences historiques de ce livre, certaines infos portent tout de meme la vérité, ou tout du moins une vérité, qu’il fut très plaisant de découvrir.



C’est impatiente de découvrir d’autre ouvrage de cet auteur que je clos celui ci.

Un bon moment de lecture aux côtés de Robert Langdon, pour sa première aventure. Une enquête pleine de rebondissements, une intrigue plutôt bien menée et un dénouement assez surprenant. J'ai en plus la chance d'avoir lu l'édition illustrée, où toutes sortes d'images fabuleuses m'ont accompagnée tout au long de la lecture.



[Lu en mai 2020]

C'est plutôt bien raconté, avec beaucoup de suspens, mais, quand on y repense, tout n'est pas nécessairement pertinent, ça a un côté un peu trop complotiste (typiquement, faire de l'opus Dei une espèce de société occulte, p. ex.), même si le rendu final est agréable à lire. L'écriture est efficace, mais n'a pas de beauté particulière.

Best-seller des années 2000, créant des polémiques avec des thèses allant à l'encontre des dogmes chrétiens et notamment catholiques, le Da Vinci Code se présente comme l'ouvrage d'un universitaire qui a voulu exposer ses connaissances de symbolique religieuse par le biais du roman policier. Sur l'aspect policier, le roman tient à peu près la route, mais ce n'est tout de même pas un roman policier très travaillé ou très subtil. À bien des égards, on dirait un ouvrage pour la jeunesse (avec des personnages qui font de longs monologues pour bien expliquer). La traduction n'est pas toujours extrêmement claire, et le lecteur peut parfois vraiment ne pas comprendre la narration (notamment dans les scènes d'action). Le dénouement manque clairement de subtilité. Sur l'aspect de la symbolique religieuse, l'auteur transmet beaucoup de connaissances originales et intéressantes. Le problème c'est que ces connaissances, légitimes parce que fondées, ne sont pas toujours présentées dans le contexte intellectuelle le plus honnête. Par exemple, c'est vrai que Constantin a amené les évêques de son temps à sélectionner et établir un dogme unique sur le Christ pour des raisons politiques, mais ce n'est pas lui qui a réecrit les Évangiles. C'est vrai que, dans l'évangile apocryphe de Philippe, Jésus embrasse Marie-Madeleine sur la bouche mais c'est une figure de style pour désigner la transmission d'un enseignement. Le problème c'est que les choses sérieuses sont mélangées avec des propos simplistes et complotistes, ce qui peut être très dommageable pour un lectorat peu cultivé. C'est vrai que l'Église catholique a eu des comportements très condamnables dans l'histoire, mais c'est simpliste d'en faire une espèce de conscience malveillante unique dans toute son existence. Alors il faut reconnaître que l'auteur peut apporter quelques nuances, notamment à la fin où les masques tombent. Et on a bien noté que l'auteur n'est pas contre la religion ou contre les croyants, mais qu'il cherche à rétablir ce qu'il croit juste de rétablir à partir de ses connaissances légitimes et fondées. De la religion, il reconnaît son rôle, sa beauté et son intelligence. Mais cela ne va pas sans des récupérations simplistes par un lectorat populaire, parce qu'il faut bien dire que le Da Vinci Code reste de la littérature très populaire.

Un des meilleurs thirller de ces dernières années.

Je redécouvrir ce livre et j'ai eu toujours le même plaisir à retrouver Robert Langdon.

La course poursuite est haletante et on s'interroge sur les découverte.

Les pages se tournent toutes seules. Un bon moment garanti. Vous ne verrez pas le temps passer!

Une histoire bien ficelée et sans temps mort mais tous les livres de Dan Brown et de son professeur Langdon repose exactement sur les même ressorts semblerait-il : Langdon est invité quelque part, il est confronté malgré lui à un gros problème, aidé d'une belle jeune femme, il résoudra le problème et sauvera le monde.

ça se lit facilement et c'est distrayant.

Etant en panne de livres pendant mes vacances, j'ai été amené à emprunter "Da Vinci Code" (que je n'avais jamais lu; je n'ai pas vu le film non plus). Mais j'avais quand même une petite idée de ce que j'allais y trouver.

Je me suis donc "farci" presque 800 pages de suspense mené à cent à l'heure (une moitié se déroule en moins de 24 heures, si je ne m'abuse). Les révélations se succèdent au compte-goutte, les rebondissements sont innombrables et répétitifs; c'est un jeu de piste échevelé et… tiré par les cheveux. Fatigant, je dirais même plus: inutilement harassant ! Mais pour moi, ce n'est pas ça le pire. Ce qui m'a vraiment énervé, c'est que Dan Brown a accumulé toutes les élucubrations biscornues et ridicules des farfelus qui se piquent d'ésotérisme. Il a insisté pour accréditer, dans ce domaine particulier, la théorie du complot (notamment en diabolisant lourdement le Vatican). En fait, je ne suis pas choqué par l'hypothèse que Jésus ait été marié à Marie-Madeleine, mais je rigole franchement quand on passe de Jésus aux… Mérovingiens.

Ceci est un tissu de sottises longuement ressassées, qui ne m'intéressent pas.

Premier volet de la série sur le professeur, Robert Langdon. Le connaisseur des symboles est demandé sur une scène de crimes. Un scientifique a été assassiné, avec gravé dans la chair le mot Illuminati.

Une impressionnante chasse à l'homme va se poursuivre, toujours autant en profondeur dans l'Histoire, et cette fois sur les célèbres passages de l'église et du Vatican.

J'adore comme l'Histoire est raconté, entre réels et fictions, entre faits passés et faits suggérés. Le personnage de Robert Langdon est très attachant, touchant, et ses déductions et l'acheminement sont vraiment bons.

Langdon, spécialiste des symboles sacrés, se trouve le principal suspect du meurtre de Saunière, conservateur au musée du Louvre. Il choisit de fuir ou plutôt de suivre la petite fille de Saunière, cryptographe. Celle-ci l'entraîne dans un dangereux jeu de piste confectionné par son grand-père et qui devrait les mener au Graal. Les enjeux sont importants et beaucoup de chrétiens ne voient pas leurs recherches d'un bon oeil : le résultat pourrait en effet provoquer une révolution au sein de l'Eglise si on dévoilait certains secrets restés mystères.

On suit avec engouement cette aventure et je n'ai pu m'empêcher d'associer ce roman à mes lectures d'enfant : Le Club des 5, même si ici ils ne sont que deux...

L'un des plus médiocres (pour ne pas dire mauvais) des romans de l'auteur à succès qu'est Dan Brown. D'aucuns ont qualifié "Forteresse digitale" comme un excellent techno-thriller. Si on compare ce roman aux autres, le coté scientifique est pleinement mis en avant, en revanche, je me suis vraiment ennuyé avec ces digressions technologiques pour une intrigue et un final somme tout décevants ... Mauvaise pioche !

Cela faisait un petit moment que je n'avais plus lu de Dan Brown et les retrouvailles se sont plutôt bien passées !



Origine est dans la droite lignée des quatre épisodes précédents des aventures de Robert Langdon donc pas de surprise le style est rôdé et on retrouve rapidement nos marques. Dan Brown on aime ou pas mais les amateurs seront ravis de ce nouvel opus.



Notre professeur se rend à une grande conférence d'un de ses anciens élèves, le célèbre scientifique Edmond Kirsch qui veut révéler au monde sa dernière découverte et pas la moindre : il aurait trouvé les réponses sur l'origine de la vie et sur notre avenir !



Mais malheureusement tout ne va pas se passer comme prévu et Edmond va se faire assassiner avant de pouvoir montrer sa découverte. Courses poursuites et énigmes au programme pour Robert qui va essayer de finir ce que le futurologue avait commencé.



Du classique donc mais les thèmes abordés sont intéressants : la lutte entre sciences et religions depuis plusieurs siècles, l'art moderne, l'origine de la vie sur terre et l'essor des nouvelles technologies. Même si l'analyse n'est pas poussée (ce n'est pas le but du roman), elle reste intéressante.



Un très bon Dan Brown qui se lit vite tellement on a envie de connaître la fin de l'histoire !

De passage à Washington DC, Robert Langdon est invité à une conférence donnée au Capitole, par son ami le franc-maçon Peter Salomon. Il apprend alors que Peter s'est fait kidnapper par l'un de ses confrères franc-maçons répondant au pseudonyme de Mala'kh, et que ce dernier n'hésitera pas à exécuter son otage si Robert n'obéit pas à ses ordres. Et voilà déjà Peter amputé d'une main... Une course contre la montre s'engage.



le Symbole perdu ne fait à vrai dire que reprendre le concept qui avait fait le succès des précédents tomes. Dans ce cocktail on a : la franc-maçonnerie, la Bible, la trahison du méchant que l'on croyait héros, le secret ultime de la création, quelques pseudo-rebondissements, et voilà.

Ça reste un page-turner mais en beaucoup plus nébuleux, moralisateur... commercial. le Symbole perdu s'en tirera finalement avec un petit 3/5. Mais cela ne m'empêchera pas de lire Inferno, quatrième tome de la saga littéraire !

Dans le cadre du Challenge Pavés 2018, j'ai décidé de m'attaquer bille en tête au (très) gros morceau qu'est la pentalogie ésotérique "Robert Langdon". Certains la qualifient de chef-d'oeuvre, d'autres de tas d'inepties écrites à la truelle, elle déchaîne les passions, mais pour le moment, je ne le concentrerai uniquement que sur le tome 1 "Anges et Démons".



Waouh. Voici ma réaction en refermant ce livre (au sens figuré, car il s'agissait d'un ebook). Anges et démons est un thriller passionnant de bout en bout, un page-turner irréprochable qui donne envie d'en lire encore et encore. Ce jeu de piste à travers Rome est magnifiquement ficelé, les différentes énigmes nous permettent de faire travailler nos méninges tout en dévorant chapitre après chapitre.



Les ambigrammes Illuminati sont très bien faits, je me suis amusé à chaque fois à retourner ma liseuse pour voir si l'on pouvait les lire dans les deux sens... Et, oui, on peut. La mort atroce de chacun des cardinaux est horriblement fascinante (dans le bon sens du terme), les talents de narrateur de Dan Brown y sont pour beaucoup... Je pense notamment au cardinal "Fire", qui se fait marquer au fer rouge et meurt brûlé vif, crucifié sur une croix imaginaire...



Seul point noir, je n'arrive toujours pas à gober l'histoire De Robert qui saute sans parachute d'un hélicoptère au-dessus de Rome et qui s'en sort parfaitement indemne. Je ne suis pas un spécialiste en la matière, mais à mon humble avis, un pare-soleil ne remplace pas un parachute. Comble de l'incohérence, à son réveil, notre cher Robert est en pleine forme et parle de sa chute comme d'une petite péripétie sans intérêt. Mais bon...



En conclusion, Anges et Démons demeure pour le moment mon coup de coeur 2018. Une petite pépite ! Ce page-turner haletant se place avec facilité à l'entrée de mon palmarès de mes livres favoris.

Alors j'avoue que je retrouve le Professeur Langdon avec un grand plaisir car je me suis beaucoup attachée à ce personnage. Mais malheureusement, ça s'arrête là.



Finalement, c'est toujours pareil. Dan Brown a une recette pour écrire ses bouquins et du coup, on retrouve toujours les mêmes ingrédients et le même déroulement.

Et en plus, j'ai ressenti un certain essoufflement dans ce livre là : nous tenir en haleine pendant 500 pages pour une grande révélation qui finit comme un ballon qui se dégonfle. Quelle déception...



Bref, j'ai adoré "Anges et Démons", beaucoup aimé "Da Vinci Code", et au fil du temps, la qualité se dégrade et le plaisir s'émousse.

600 pages pour résumer une journée, trépidante certes, et qu'on dévore en 3 jours. Robert, professeur d'iconologie religieuse, est appelé par le directeur du Conseil européen pour la recherche nucléaire en Suisse. Un chercheur a été assassiné et avant sa mort, marqué au fer rouge. Pas de doute, c'est la marque des Illuminati, une secte importante au 16ème siècle, qui avait pour but d'éliminer l'église catholique. La discussion au CERN mène finalement Robert à Rome, au Vatican. C'est justement le jour où un nouveau Pape doit être élu. Mais 4 cardinaux ont disparu. Robert se lance dans un réel jeu de piste à travers Rome pour les retrouver et ensuite tente de mettre la main sur l'antimatière qui risque de faire exploser le Vatican.

On ne s'ennuie pas !

Une relecture agréable, décidément j'apprécie beaucoup Dan Brown. Après avoir lu le livre, vu et revu le film de Ron Howard, qui pour ma part colle assez bien à l'histoire, j'ai pris un grand plaisir à relire ce premier opus de la série du fameux Dr Langdon. Je pense que je vais me refaire toute la série, Da Vinci Code, Le symbole perdu et Inferno.

Dan Brown par ci, Dan Brown par là… Il y a des années que je dois me lancer… J’ai vu les deux premières adaptations qui ne m’avaient pas enchantées plus que ça et je dois dire qu’en entendant parler de la sortie de « Inferno » au cinéma, l’envie m’est revenue. Donc je suis allé chercher « Anges & Démons » dans ma PAL, première aventure chronologique de Langdon !



Panique à Rome, au cœur du Vatican : Une bombe scientifiquement élaboré menace de tout supprimer et réduire à néant le saint pays. Qui serait derrière tout ça ? Les illuminati ! Rien que ça ! Pour résoudre ce problème, Dan Brown nous propose un duo mixte : un historien venu des USA aka Robert Langdon et sa montre disney et de l’autre une scientifique du CNRS !



Et bien je dois dire que je n’ai pas été déçu ! Le rythme du roman nous impose une lecture très rapide. Dan Brown nous tient en haleine du début à la fin et nous offre de jolies rebondissements. La culture géographique des lieux marquants de Rome est très interessante et donne envie de prendre un billet d’avion pour la capitale de l’Italie. On se prend au jeu de chercher des images sur le net. La culture historique également est appréciée.



Bref il rassemble tout ce qu’on attend d’un bon techno-thriller voulant nous happer dans un rythme effréné. Maintenant il faut que je me refasse l’adaotation…

Un universitaire américain de renom, nommé Robert Langdon, se trouve malgré lui entraîné dans une folle aventure ésotérico-policière. le conservateur, Jacques Saunière, est retrouvé mort dans la grande galerie du Louvre. Un inspecteur français célèbre pour ses méthodes, Bézu Fache, est chargé de l'enquête. Rapidement il soupçonne Robert Langdon. le corps de Jacques Saunière est retrouvé dans une position étrange vite reconnue par Robert Langdon qui a été invité à se rendre sur les lieux par l'inspecteur de police. Il n'y a aucun doute. le conservateur, étendu sur le sol, est dans la position de l'homme de Vitruve, oeuvre de Léonard de Vinci.

Langdon ne sent pas le piège de Bézu Fache se refermer sur lui. Seule l'intervention de Sophie Neveu, jeune inspectrice de la police scientifique française, lui ouvre les yeux. Mais quelle n'est pas la surprise de Robert Langdon lorsqu'il apprend que Sophie Neveu n'est autre que la petite-fille de Jacques Saunière. A partir de là tout s'enchaîne. Robert Langdon et Sophie Neveu s'enfuient. Bézu Fache les traque sans relâche. Les deux jeunes gens découvrent que Jacques Saunière, outre le fait qu'il soit le conservateur du Louvre, est le dernier Grand Maître d'un ordre secret : le Prieuré de Sion...



Si le résumé vous parait, à juste titre, alléchant, il ne faut néanmoins pas occulter qu'il ne s'agit que d'un roman, même si le début de celui-ci tendrait à affirmer le contraire. Il y est en effet écrit que la plupart des descriptions de lieux, ainsi que les faits décrits sont avérés. Et c'est bien cela qui fera bondir bon nombre de journalistes qui, après enquêtes, prouveront que la plupart des allégations introduites par la roman s'avèrent n'être que pure imagination. Par exemple, Dan Brown prétend que la ligne méridienne, gravée sur le sol de l'église Saint-Sulpice de Paris, serait en fait un vestige d'un temple païen qui aurait existé à cet endroit, ce qui après vérification est totalement faux. Il en est de même pour la pyramide du Louvre qui, selon l'auteur, serait composé de 666 losanges de verre, chiffre doit-on le rappeler Ô combien satanique, et serait la façon artistique de perpétuer la transmission du secret du Saint Graal, toujours selon Brown bien sûr. Mais la presse ne fut pas la seule à réagir. En effet, s'il y a bien un institution qui s'indigna publiquement de tels propos, c'est bien entendu l'église Catholique, par la voix du Vatican, ouvertement prise pour cible tout au long du récit. L'impact fut tel que le Pape de l'époque, Jean-Paul II, appela solennellement les catholiques du monde entier à ne pas lire ce livre. Il faut dire que Dan Brown a frappé fort en défendant une thèse contraire aux plus grands principes de l'église, à savoir la thèse païenne du Féminin Sacré. En effet, le célèbre romancier réfute la thèse selon laquelle Jésus n'a jamais eu de femme, et va même plus loin en affirmant qu'il était marié et avait un enfant. Sa femme, Marie-Madeleine, aurait, (selon Dan Brown), été décrite par l'église comme prostituée dans l'unique but de protéger sa cause, basée sur le principe que seul le masculin mérite le titre de divin. Et cela n'est qu'un exemple parmi tant d'autres. Je me garderais bien de vous en révéler d'autres, de peur que votre envie de lire ce livre vous passe.



Bref, il y a de quoi comprendre l'offuscation de l'église, attaquée sur ses plus grands principes. Dan Brown rouvre visiblement, intentionnellement des débats vieux de la naissance du Christ. La question est de savoir s'il le fait par pure conviction ou avec marketing... Quoi qu'il en soit, le succès du "Da Vinci Code" est sans appel : 25 millions de lecteurs. Et ce succès ne profite pas qu'à l'auteur et à sa maison d'édition, mais également à tous les lieux cités dans le livre qui ont vu leur fréquentation touristique exploser un document à tel point qu'une société américaine propose à tous lecteurs avides de constater par eux-mêmes, pour la modique somme de 2299 $, un circuit de huit jours en Europe sur les traces de Robert Langdon, le héros du livre. Comme quoi, la polémique reste un atout majeur pour la vente d'un bouquin.



"Da Vinci Code" est, malgré toutes les critiques qui peuvent être formulées à son sujet, un livre incontournable. En effet, il est difficile de résister à la qualité de l'intrigue, qui allie avec brio suspense et intelligence de l'action. Cet ouvrage vous fera vivre une aventure passionnante, agrémentée d'allusions bibliques et religieuses donnant à ce récit un aspect symbolique intéressant. La structure de l'histoire rappelle à s'y méprendre celle de la célèbre série américaine 24 heures chrono, dans laquelle rebondissements et coups de théâtre sont omniprésents, pour le plus grand bonheur des spectateurs. Je fus relativement surpris par la capacité que ce livre avait à me retenir. En effet, il était difficile le soir de décider à quel moment arrêter la lecture de cette aventure sur papier. Fort heureusement, la taille réduite de ses chapitres permet au lecteur de reprendre l'histoire le lendemain sans pour autant en oublier les éléments principaux. Certes, "Da Vinci Code" n'est pas un livre de grande littérature, et il faut avouer que l'écriture de l'auteur est quasiment dépourvue de style, il est néanmoins vrai que la lecture de ce bouquin reste un très agréable plaisir, l'intelligence et la force de l'intrigue y étant non négligemment pour quelque chose. Soyons clair, ne vous attendez pas à un chef-d'oeuvre littéraire. Attendez-vous simplement à une formidable histoire qui vous fera voyager des méandres du musée du Louvre aux bas-fonds d'une organisation secrète née de l'ordre des Templiers. Dan Brown vous permettra de facilement visualiser chaque lieu de l'histoire grâce à des descriptions toutes plus précises qu'imagées.



En somme, vous l'aurez compris, "Da Vinci Code" est, malgré toutes les critiques, un bouquin incontournable pour tous les passionnés du genre, ainsi que pour tous ceux qui souhaitent passer un bon moment de lecture. Il faut néanmoins, comme dit précédemment, ne pas trop prêter attention à tout ce qui est présenté comme fait au début du livre, et ne considérer ce livre que comme un simple roman de fiction. Ce livre est tout autant adapté pour une lecture dans un train que comme livre de chevet, mais reste néanmoins réservé à un public adulte du fait de la complexité de certains passages et de la nature de l'histoire. Un excellent Dan Brown passionnant que je vous conseille vivement. Amen... †

Après la noirceur de L’Adversaire de Carrère, j’avais besoin de couper court aux idées noires et de me plonger dans un nouveau roman qui empêchera mon esprit de réfléchir. Une façon de décompresser et vider ma tête de ce qui l’encombre.

D’abord, il faut savoir que j’ai adoré les films « Da Vinci Code » et encore plus « Anges et Démons ».

Confiante, je me lance dans Inferno et comme j’aime me laisser aller avec les délires des écrivains, j’ai tout de suite pris Sienna en sympathie en me disant : elle tombe bien celle-là ! Les plus sceptiques diront : mais comment ça se fait ?

Dans Inferno, il est question de « La Comédie Divine » de Dante et en plus de nous faire découvrir cette œuvre magistrale, ce roman nous offre un voyage dans Florence à travers ses rues, ses palais, ses légendes et ses musées. C’est le dépaysement assuré. Moi, qui voulais une lecture plaisante, je suis bien servie.

Une fois commencé, il est difficile de lâcher ce livre. D’ailleurs, il ne quitte plus mon sac. Une aventure trépidante qui vous surprendra mes amis Babeliotes.

J'ai enfin pris le temps de lire le livre que des millions de lecteurs ont dévoré de par le monde. Pour être tout à fait honnête avec vous, j'avais tenté de le lire à sa sortie en poche, mais j'avais abandonné ma lecture au bout d'une trentaine de pages. Puis j'avais vu le film, et j'ai beaucoup ri de la théorie de Dan Brown. J'ai vu aussi quelques reportages / documentaires sur cette fameuse théorie décriée par la chrétienté. Personnellement, cela me fait rire. Je ne suis pas croyante pour deux sous, je suis même anti-cléricale. Alors, j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai relu le livre. Je reconnais qu'il y a un certain suspens, en particulier pour les énigmes. Mais sinon, je me suis plutôt ennuyée. Peut-être est-ce dû au fait que j'ai vu le film avant ?Et d'ailleurs, c'est moi, ou il y a quelques coquilles ?
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