Critiques de Dan Brown (2412)
Même si je ne suis pas un fan inconditionnel de Dan Brown, j'aime ces romans parce qu'ils sont faciles à lire. Mon cerveau, bien fatigué après avoir terminé un gros classique, aspirait juste à quelque chose de rapide et sans prise de tête. Qu'on y croit ou pas n'a aucune importance, le but est de se détendre et de suivre les multiples rebondissements de ce récit, dont le schéma ne diffère pas de ces précédents best-sellers.
Robert Landgon, accompagné d'une belle et intelligente demoiselle - cette fois ci une physicienne du CERN ; décidément quel chance pour un vieux professeur d'Harvard ! hihi ! - est plongé dans une course contre la montre à travers Rome pour trouver des cardinaux kidnappés et une bombe atomique dissimulée dans le Vatican. Ces connaissances sur la confrérie des Illuminati et sa capacité à décoder les symboles vont lui permettre de mener à bien sa mission où il sera question de plusieurs morts violentes, de bombe fait à partir d'antimatière, de saut en hélicoptère, de conclave au Vatican etc.
Ce livre est digne d'un film d'Hollywood et ce n'est pas étonnant s'il a été adapté au cinéma quelque temps après sa publication. Il se lit vite, malgré quelques longueurs et des retournements de situations rocambolesques. Bon, ce n'est pas ce qu'on appelle de la grande littérature mais c'est divertissant et ludique. Pour ma part, je trouve qu'écrire un roman sur les théories du complot est une des meilleures recettes pour créer le phénomène « best-seller ». Tant mieux pour le portefeuille de l'auteur et tant pis pour ceux qui y croient, ce qui n'est pas mon cas.
Pour conclure, je vous recommande cette lecture au bord de la plage, allongé sur un transat, tout en sirotant un bon jus de corossol bien frais !
Lien : http://leslecturesdehanta.co..
Robert Landgon, accompagné d'une belle et intelligente demoiselle - cette fois ci une physicienne du CERN ; décidément quel chance pour un vieux professeur d'Harvard ! hihi ! - est plongé dans une course contre la montre à travers Rome pour trouver des cardinaux kidnappés et une bombe atomique dissimulée dans le Vatican. Ces connaissances sur la confrérie des Illuminati et sa capacité à décoder les symboles vont lui permettre de mener à bien sa mission où il sera question de plusieurs morts violentes, de bombe fait à partir d'antimatière, de saut en hélicoptère, de conclave au Vatican etc.
Ce livre est digne d'un film d'Hollywood et ce n'est pas étonnant s'il a été adapté au cinéma quelque temps après sa publication. Il se lit vite, malgré quelques longueurs et des retournements de situations rocambolesques. Bon, ce n'est pas ce qu'on appelle de la grande littérature mais c'est divertissant et ludique. Pour ma part, je trouve qu'écrire un roman sur les théories du complot est une des meilleures recettes pour créer le phénomène « best-seller ». Tant mieux pour le portefeuille de l'auteur et tant pis pour ceux qui y croient, ce qui n'est pas mon cas.
Pour conclure, je vous recommande cette lecture au bord de la plage, allongé sur un transat, tout en sirotant un bon jus de corossol bien frais !
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Le premier Dan Brown que j'ai lu et surement ps le dernier !
Certains trouvent ce livre sans intéret et disent meme que le lire est une perte de temps...Pour ma part ce thriller ésotérique m'a enchantée. La course poursuite est hallucinante, le suspens géant,et le thème principal, l'art au service de la religion( le contraire pour lui ) est passionnant.
On apprend notamment que Jésus a eu une descendance avec Marie Madeleine et que le grand secret c'est le sacré féminin représenté par Mona Lisa, la Joconde. Le sacré est plus dans la Joconde que dans l'Eglise qui profite du peuple.Comment ne pas etre envoutée par ce roman qui raconte le fondement de notre civilisation ?
Par contre, les énigmes disséminées dans le livre sont très simples, trop pour que l'ensemble de l'histoire se tienne.
Tout cela parait un peu invraisemblable, mais comme je n'ai pas les moyens de vérifier ce qui est dit, j'avoue que j'y ai cru pendant deux à trois jours après cette lecture...
Certains trouvent ce livre sans intéret et disent meme que le lire est une perte de temps...Pour ma part ce thriller ésotérique m'a enchantée. La course poursuite est hallucinante, le suspens géant,et le thème principal, l'art au service de la religion( le contraire pour lui ) est passionnant.
On apprend notamment que Jésus a eu une descendance avec Marie Madeleine et que le grand secret c'est le sacré féminin représenté par Mona Lisa, la Joconde. Le sacré est plus dans la Joconde que dans l'Eglise qui profite du peuple.Comment ne pas etre envoutée par ce roman qui raconte le fondement de notre civilisation ?
Par contre, les énigmes disséminées dans le livre sont très simples, trop pour que l'ensemble de l'histoire se tienne.
Tout cela parait un peu invraisemblable, mais comme je n'ai pas les moyens de vérifier ce qui est dit, j'avoue que j'y ai cru pendant deux à trois jours après cette lecture...
Le Da Vinci Code a été une de mes plus grosses déceptions littéraires. J'en attendais beaucoup, surtout après tout le battage médiatique, les reportages, examens de l'oeuvre sous toutes les coutures, etc. Je m'étais refusée à lire le livre quand il a "explosé" de succès, attendant de me délecter de ce roman qui était censé apporter moult révélations sulfureuses, et contenir maintes énigmes mystérieuses. Le fait que Jésus, être charnel ayant dépassé la vingtaine d'années, ne soit pas resté vierge et ait eu un, voire des enfants, n'est pas abordé pour la 1ère fois dans le Da Vinci Code, loin de là : c'est un sujet qui a fait couler beaucoup d'encre, et de façon autrement plus sérieuse (ou pas , d'ailleurs !). Le fait que des sectes-pardon, "sociétés secrètes", soient influentes, et gardiennes de secrets, ça alimente bien des romans : Umberto Eco , avec le pendule de Foucault,ou Le nom de la rose par exemple, et avec un talent autrement plus conséquent que Dan Brown, à mon avis. J'avais lu quelques mois avant le Denier Templier de Raymond Khoury , et c'est incomparable. Je ne peux juger de l'écriture de Dan Brown, vu que je lis les traductions en français, mais j'ai trouvé que le langage était pauvre, et les tournures de phrases plates. Ce roman ne m'a pas emporté, ni fait rêver. Les personnages étaient comme inachevés ou caricaturaux. le personnage principal féminin m'a plu, et le flic français aussi, mais tout était...pfff...'trop'... Les ficelles étaient grossières, et l'intrigue sans surprise. Je n'ai vu ni blasphème, ni révélation, et n'ai pas compris la levée de boucliers que l'église catholique lors de sa sortie. Je reconnais être extrêmement exigeante dans ce genre de littérature, et mettre la barre très haut. Je reconnais aussi que l'attente fébrile que j'avais de ma lecture, et ma déception énorme font que j'ai une colère capricieuse à l'égard de ce roman, et du coup, de cet auteur !
J'ai réessayé je ne sais plus quel autre livre de lui, mais j'ai trouvé que c'était assez similaire.
Enfin, c'est juste mon ressenti, et en matière de lecture "les goûts et les couleurs..". On apprécie de trouver des choses différentes dans les livres, et chacun y voit et y met aussi ce qu'il souhaite. J'ai trop lu de romans à énigmes peut-être . J'aurai du me méfier que ce livre plaise autant !
Par contre, j'ai trouvé le film sympa.
J'ai réessayé je ne sais plus quel autre livre de lui, mais j'ai trouvé que c'était assez similaire.
Enfin, c'est juste mon ressenti, et en matière de lecture "les goûts et les couleurs..". On apprécie de trouver des choses différentes dans les livres, et chacun y voit et y met aussi ce qu'il souhaite. J'ai trop lu de romans à énigmes peut-être . J'aurai du me méfier que ce livre plaise autant !
Par contre, j'ai trouvé le film sympa.
Quoi qu'on en dise, Dan Brown a le don de nous emporter dans toutes ses histoires et je ne suis pas étonnée du succès qu'elles obtiennent!
Cette fois, c'est Venise et Florence que l'on visite au cours de l'intrigue toujours bien ficelée, toujours un peu tirée par les cheveux quand même, mais tellement prenante!
Certains diront encore qu'il y a des erreurs dans les faits historiques, vrai ou pas, je dois bien avouer que je m'en fous complètement... Je l'ai lu pour m'évader, me divertir et c'est tout à fait réussi!
Depuis ma première lecture, j'ai d'ailleurs envie d'aller visiter toutes ses jolies villes italiennes, je commence à penser que Dan Brown perçoit des émoluments de l'office du tourisme italien! ;)
Très bonne lecture que je vous conseille donc, vous ne pourrez pas en être déçus! Du moins, c'est mon humble avis...
Cette fois, c'est Venise et Florence que l'on visite au cours de l'intrigue toujours bien ficelée, toujours un peu tirée par les cheveux quand même, mais tellement prenante!
Certains diront encore qu'il y a des erreurs dans les faits historiques, vrai ou pas, je dois bien avouer que je m'en fous complètement... Je l'ai lu pour m'évader, me divertir et c'est tout à fait réussi!
Depuis ma première lecture, j'ai d'ailleurs envie d'aller visiter toutes ses jolies villes italiennes, je commence à penser que Dan Brown perçoit des émoluments de l'office du tourisme italien! ;)
Très bonne lecture que je vous conseille donc, vous ne pourrez pas en être déçus! Du moins, c'est mon humble avis...
La course contre la mort dans la belle Florence et la mystérieuse Istanbul, le Professeur Langdon et la curieuse Sienna, le guide touristique en main, suivent le jeu de piste proposé par le méchant bio-terroriste prétendant résoudre drastiquement la question d’une surpopulation par lui diagnostiquée comme mortelle pour l’espèce.
Oubliez le roman qui ne casse pas quatre pattes à un canard. L’on prendra du plaisir à lire ce guide touristique au ton enlevé. Dommage qu’aucune table ne soit conseillée. Nous sommes en Italie tout de même ! Ah ces ricains !
564 pages et trop cher de toutes façons.
Lectori salutem, Pikkendorff
Lien : http://quidhodieagisti.kazeo..
Oubliez le roman qui ne casse pas quatre pattes à un canard. L’on prendra du plaisir à lire ce guide touristique au ton enlevé. Dommage qu’aucune table ne soit conseillée. Nous sommes en Italie tout de même ! Ah ces ricains !
564 pages et trop cher de toutes façons.
Lectori salutem, Pikkendorff
Lien : http://quidhodieagisti.kazeo..
Les scénarios et les théories de Dan Brown sont sujets à débat : on y croit, on n'y croit pas... Toujours est-il qu'il faut reconnaître son talent pour ébranler nos certitudes et notre vision du monde.
Mêlant toujours intrigue policière, course contre la montre, art et histoire, l'auteur du Da Vinci Code nous embarque dans une nouvelle intrigue pleine de surprises.
Y a-t-il un lecteur de Dan Brown qui ne fasse pas les allers et retours entre le roman et son ordinateur, pour vérifier chaque allégation sur telle ou telle œuvre d'art mentionnée, tel monument ? Et toujours, la surprise en constatant que "Mais oui, c'est vrai !" . Peut-être que des spécialistes en art n'y trouveront là aucune surprise, mais pour un simple lecteur non spécialisé, c'est toujours l'occasion de découvrir des choses étonnantes.
Le Symbole Perdu mêle également hypothèses scientifiques et bien sûr thriller. Le rythme est enlevé, le temps est compté et notre souffle s'accélère de plus en plus au fil du roman. Au final, les mêmes ingrédients qui ont fait le succès du Da Vinci Code. On pourrait reprocher à l'auteur de ne pas être original car la trame générale de ses romans est identique et un peu répétitif. Toujours les mêmes ingrédients : fanatiques religieux, messages cachés dans les œuvres d'art, course poursuite et quiproquo...
Cependant, j'apprécie d'être surprise et déstabilisée dans les récits de Dan Brown, de découvrir des détails inattendus et Le Symbole Perdu ne fait pas exception à la règle. Ne pas s'attendre à un roman révolutionnaire, juste à un thriller bien ficelé et à une recette qui a fait ses preuves.
Mêlant toujours intrigue policière, course contre la montre, art et histoire, l'auteur du Da Vinci Code nous embarque dans une nouvelle intrigue pleine de surprises.
Y a-t-il un lecteur de Dan Brown qui ne fasse pas les allers et retours entre le roman et son ordinateur, pour vérifier chaque allégation sur telle ou telle œuvre d'art mentionnée, tel monument ? Et toujours, la surprise en constatant que "Mais oui, c'est vrai !" . Peut-être que des spécialistes en art n'y trouveront là aucune surprise, mais pour un simple lecteur non spécialisé, c'est toujours l'occasion de découvrir des choses étonnantes.
Le Symbole Perdu mêle également hypothèses scientifiques et bien sûr thriller. Le rythme est enlevé, le temps est compté et notre souffle s'accélère de plus en plus au fil du roman. Au final, les mêmes ingrédients qui ont fait le succès du Da Vinci Code. On pourrait reprocher à l'auteur de ne pas être original car la trame générale de ses romans est identique et un peu répétitif. Toujours les mêmes ingrédients : fanatiques religieux, messages cachés dans les œuvres d'art, course poursuite et quiproquo...
Cependant, j'apprécie d'être surprise et déstabilisée dans les récits de Dan Brown, de découvrir des détails inattendus et Le Symbole Perdu ne fait pas exception à la règle. Ne pas s'attendre à un roman révolutionnaire, juste à un thriller bien ficelé et à une recette qui a fait ses preuves.
Le suspense est haletant, l’histoire plein de rebondissement, la fin complètement inattendue…
On est vraiment pris par le tourbillon qui soulève les héros du roman. Je n’arrive même pas à expliquer comment ce provoque cette alchimie face aux mots, qui nous attachent au fil de l’histoire, l’émotion qu’on ressent pour cette fabuleuse histoire. Excellent!
Autant les bons que les mauvais sentiments sont parfaitement décrits ici. L'ingéniosité de l'intrigue, la subtilité avec laquelle l'auteur nous fait comprendre l'état d'esprit des protagonistes, le rythme haletant, la construction brillante, font de ce récit une immense réussite à mes yeux.
Je tiens à faire remarquer que si j'ai autant apprécié ce livre, c'est aussi, et surtout, dû à l'immense talent de conteur de l'auteur.
La fin est tout simplement magnifique et insoutenable de suspence. Pour moi, c'est encore un nouveau chef-d'oeuvre.
On est vraiment pris par le tourbillon qui soulève les héros du roman. Je n’arrive même pas à expliquer comment ce provoque cette alchimie face aux mots, qui nous attachent au fil de l’histoire, l’émotion qu’on ressent pour cette fabuleuse histoire. Excellent!
Autant les bons que les mauvais sentiments sont parfaitement décrits ici. L'ingéniosité de l'intrigue, la subtilité avec laquelle l'auteur nous fait comprendre l'état d'esprit des protagonistes, le rythme haletant, la construction brillante, font de ce récit une immense réussite à mes yeux.
Je tiens à faire remarquer que si j'ai autant apprécié ce livre, c'est aussi, et surtout, dû à l'immense talent de conteur de l'auteur.
La fin est tout simplement magnifique et insoutenable de suspence. Pour moi, c'est encore un nouveau chef-d'oeuvre.
Jacques Saunière conservateur du Louvre est assassiné et manque d’emporter avec lui le secret des secrets, celui qui peut bouleverser le monde entier.
Mourant, Il doit transmettre ce secret à sa petite fille.
Il le fait par une succession d’énigmes qui nous conduisent de fil en aiguille à la connaissance de ce secret.
Superbement écrit, on croit à chaque nouvelle révélation de sorte qu’à la fin un sentiment de complot immense se précise.
Le prieuré de Sion gardien du secret est attaqué par l’Opus dei, lui-même menacé par le Vatican.
Mais quel est le secret du saint Graal, du Sang Réal ?
Si les idées de Dan Brown sont fausse, force est d’admettre qu’il nous introduit une foule de petites révélations avérées et surprenantes et sont talent est de les mettre bout à bout pour échafauder cette théorie.
La non divinité du christ m’interpelle, faisant du Christ, à mes yeux, un homme qui, à l’égal du prince siddharta, fut un guide immense.
Quel était son véritable message ?
Je conçois que l’Eglise ai attaqué ce roman et pourtant comme Jésus en sort grandi !
Mourant, Il doit transmettre ce secret à sa petite fille.
Il le fait par une succession d’énigmes qui nous conduisent de fil en aiguille à la connaissance de ce secret.
Superbement écrit, on croit à chaque nouvelle révélation de sorte qu’à la fin un sentiment de complot immense se précise.
Le prieuré de Sion gardien du secret est attaqué par l’Opus dei, lui-même menacé par le Vatican.
Mais quel est le secret du saint Graal, du Sang Réal ?
Si les idées de Dan Brown sont fausse, force est d’admettre qu’il nous introduit une foule de petites révélations avérées et surprenantes et sont talent est de les mettre bout à bout pour échafauder cette théorie.
La non divinité du christ m’interpelle, faisant du Christ, à mes yeux, un homme qui, à l’égal du prince siddharta, fut un guide immense.
Quel était son véritable message ?
Je conçois que l’Eglise ai attaqué ce roman et pourtant comme Jésus en sort grandi !
La crainte avec les suites c'est de voir que l'auteur n'a pas été capable de prendre de la hauteur vis à vis de son précédent roman, c'est aussi de constater qu'on nous ressasse les sempiternelles même intrigues.
Et bien là non, Dan Brown nous démontre encore une fois sa capacité à se renseigner et à creuser ses sujets avant de les romancer.
Qui plus est il nous permet de découvrir des mondes pour le moins inaccessible tel que le Vatican tout en jouant sur le combat perpétuel des scientistes et des pratiquants religieux démontrant au passage qu'il est aussi possible de concilier les 2.
Comme le 1er livre, ce roman nous permet de suivre les péripéties de Langdon et de la symbologie sans pour autant radoter sur le GRAAL, sujet principal du Da vinci code.
Bref un pur régal qui nous fait enrager de voir qu'il n'y a que trop peu de livre de Dan Brown mais qui nous fait aussi réaliser que la partie de recherche nécessaire à l'écriture de ses romans n'est pas anodines.
Et bien là non, Dan Brown nous démontre encore une fois sa capacité à se renseigner et à creuser ses sujets avant de les romancer.
Qui plus est il nous permet de découvrir des mondes pour le moins inaccessible tel que le Vatican tout en jouant sur le combat perpétuel des scientistes et des pratiquants religieux démontrant au passage qu'il est aussi possible de concilier les 2.
Comme le 1er livre, ce roman nous permet de suivre les péripéties de Langdon et de la symbologie sans pour autant radoter sur le GRAAL, sujet principal du Da vinci code.
Bref un pur régal qui nous fait enrager de voir qu'il n'y a que trop peu de livre de Dan Brown mais qui nous fait aussi réaliser que la partie de recherche nécessaire à l'écriture de ses romans n'est pas anodines.
Un livre qui m'a beaucoup déçue et qui est en plus très très très mal écrit.
Je ne comprends pas l'emballement médiatique pour ce livre.
Je suis tout de même aller jusqu'au bout mais je pense que c'est une grosse arnaque !
Je ne comprends pas l'emballement médiatique pour ce livre.
Je suis tout de même aller jusqu'au bout mais je pense que c'est une grosse arnaque !
Malgré toutes les critiques j'ai lu ce livre, je l'ai même dévoré. J'ai tout aimé et "tant pis " si les faits historiques ou géographiques ne sont pas respectés (c'était la polémique de l'époque). Je me suis sentie embarqué dans une cavalcade incroyable. L'intrigue, les indices découverts au fur et à mesure et avec de plus en plus de risques pour les héros. Une vison autre, cachée des œuvres de peintures, de la religion.
Le fait d'être en haleine jusqu'au bout, bravo!
J'ai aussi apprécié le film.
Le fait d'être en haleine jusqu'au bout, bravo!
J'ai aussi apprécié le film.
Un roman que j'ai vraiment bien apprécié malgré que je l'ai trouvé un peu long. Toutefois, le lire sur plusieurs jours, tranquillement et en prenant mon temps m'a permis de passer un agréable moment.
Surtout que j'y ai appris pas mal de choses intéressantes et qui moi, en temps normal n'était pas du tout curieuse au sujet des Templiers, j'avoue que je vais sans doute faire quelques recherches de mon côté.
J'ai également beaucoup apprécié parcourir l'intrigue avec ce jeu des symboles ainsi que leur signification. On se divertit et on apprends deux ou trois petites choses parallèlement, je suis donc conquise.
Deux petits points négatifs ressortent néanmoins pour moi : la longueur et les personnages.
Bien que le roman soit riche en information, j'ai trouvé l'enquête très longue du coup. On a parfois l'impression de patauger pour pas grand chose et on sent au bout d'un moment les plus de 700 pages de lecture... Ce qui est assez renforcé par la présence des personnages qui ne m'ont absolument pas marqués. Je ne les ai trouvé ni intéressants, ni attachants, ni captivants. Et c'est bien dommage...
Personnellement, je garderai un bon souvenir de ce livre que je ne recommanderais peut-être pas à tous le monde, mais que j'encourage tout de même à découvrir si l'occasion se présente !
Surtout que j'y ai appris pas mal de choses intéressantes et qui moi, en temps normal n'était pas du tout curieuse au sujet des Templiers, j'avoue que je vais sans doute faire quelques recherches de mon côté.
J'ai également beaucoup apprécié parcourir l'intrigue avec ce jeu des symboles ainsi que leur signification. On se divertit et on apprends deux ou trois petites choses parallèlement, je suis donc conquise.
Deux petits points négatifs ressortent néanmoins pour moi : la longueur et les personnages.
Bien que le roman soit riche en information, j'ai trouvé l'enquête très longue du coup. On a parfois l'impression de patauger pour pas grand chose et on sent au bout d'un moment les plus de 700 pages de lecture... Ce qui est assez renforcé par la présence des personnages qui ne m'ont absolument pas marqués. Je ne les ai trouvé ni intéressants, ni attachants, ni captivants. Et c'est bien dommage...
Personnellement, je garderai un bon souvenir de ce livre que je ne recommanderais peut-être pas à tous le monde, mais que j'encourage tout de même à découvrir si l'occasion se présente !
Bof, que dire qui n'ait jamais été dit. Comme beaucoup, je confesse, pour rester dans le champ lexical religieux, avoir été victime – je n'en suis pas fière - de la propagande exemplaire et mondiale, menée par les media étrangement unanimes comme un choeur de vierges folles, lors de la sortie de ce bidule, censé déboulonner le Vatican et ses acolytes. Sous la pression de journaleux hypnotisés et d'amis enthousiastes, j'ai foncé début 2004, la promenade des Anglais où je me trouvais en vacances exceptionnellement recouverte de neige, dans la première librairie venue, à bord de mes moon-boots achetées la veille. Pour m'emparer du dernier exemplaire restant par hasard disponible, il m'a fallu braver les émeutes, franchir les barrages et échapper à la guerilla urbaine car même la pénurie avait été organisée, pour transformer au terme d'un chemin de croix, l'acheteur en élu, comme une cliente d'un grand couturier qui doit attendre son sac à mains Kelly pendant 5 ans.
Je m'attendais à des révélations croustillantes, je m'attendais à un monument. Ce que j'ai trouvé à l'arrivée, un best-seller à l'américaine, l'auteur ayant probablement fréquenté une de ces écoles us où l'on apprend à pondre des machins approximatifs, médiocres, bourrés d'aberrations, de mensonges. Da vinci code, écrit avec les pieds, est une arnaque, un fatras bidon, creux, ridicule, qui pompe allègrement dans de nombreux ouvrages sans jamais avoir le courage de citer ses sources.
Je m'attendais à des révélations croustillantes, je m'attendais à un monument. Ce que j'ai trouvé à l'arrivée, un best-seller à l'américaine, l'auteur ayant probablement fréquenté une de ces écoles us où l'on apprend à pondre des machins approximatifs, médiocres, bourrés d'aberrations, de mensonges. Da vinci code, écrit avec les pieds, est une arnaque, un fatras bidon, creux, ridicule, qui pompe allègrement dans de nombreux ouvrages sans jamais avoir le courage de citer ses sources.
A fuir
Passant dans la rue devant un rayon de livre à donner, j'ai aperçu la couverture de ce livre lu il y a quelques années. Et je me suis dit que je pouvais peut-être rendre un service à quelqu'un qui ne l'aurait pas lu mais qui hésiterait...
Ecrit avec les pieds, une intrigue abracadabrantesque...Un page-turner en théorie, mais dont le seul plaisir qu'il peut apporter est , lorsqu'une fois fini, on peut enfin libérer de la place dans sa bibliothèque et le donner à son meilleur ennemi...
En revanche le livre est très utile comme maitre-étalon, servant ainsi à valoriser toutes ses autres lectures.
Passant dans la rue devant un rayon de livre à donner, j'ai aperçu la couverture de ce livre lu il y a quelques années. Et je me suis dit que je pouvais peut-être rendre un service à quelqu'un qui ne l'aurait pas lu mais qui hésiterait...
Ecrit avec les pieds, une intrigue abracadabrantesque...Un page-turner en théorie, mais dont le seul plaisir qu'il peut apporter est , lorsqu'une fois fini, on peut enfin libérer de la place dans sa bibliothèque et le donner à son meilleur ennemi...
En revanche le livre est très utile comme maitre-étalon, servant ainsi à valoriser toutes ses autres lectures.
Une initiation aux voies tortueuses d'une énigme, un fameux code à déduire sur fond et voies détournées d'actualités - religiosité ET autres éléments, troublants certes- en bref un livre qui se laisse lire d'un trait - sans que l'on soit censé en être plutôt très avancé ;
Succès planétaire qui ne m'a laissée guère tout loisir à" planer" ...
Succès planétaire qui ne m'a laissée guère tout loisir à" planer" ...
En cette période de semi-confinement pour cause sanitaire, ce fut une drôle d’idée que d’entamer « Inferno » de Dan Brown. Après un début de narration un peu confus (mais c’est fait exprès !) on découvre que Robert Langdon, le héros récurrent que nous connaissons depuis « Da Vinci Code », est sur la piste d’un individu à la fois surdoué et complètement illuminé, qui s’est mis en tête de lâcher sur le monde un virus de son invention… Mais comme ce savant fou est aussi un peu mégalo, il sème des indices pour qu’on puisse savoir qui est l’auteur de la pandémie qui sera déclenchée.
Les indices que Robert Langdon collecte et essaie de déchiffrer ont tous rapport au poète Dante Alighieri, l’auteur de « La Divine Comédie », et aux lieux qu’il a fréquentés au cours de sa vie. C’est pourquoi l’action démarre à Florence, ville natale du poète, pour se poursuivre à Venise et se terminer à Istanbul… Au long du périple mouvementé des héros, on évoque les peintres Vasari, Boticelli, Michel-Ange, Gustave Doré, le poème de Dante, bien sûr, mais aussi son masque mortuaire…
Et tout cela se lit très bien ! Bien sûr l’intrigue est rocambolesque, avec le milliardaire dément, une mystérieuse organisation dénommée Consortium, et l’Organisation Mondiale de la Santé qui jouent une partie plutôt compliquée, d’autant plus que Robert Langdon commence l’aventure en état largement amnésique ! Mais il faut reconnaître, si ce n’est pas là de la haute littérature, que Dan Brown possède un talent certain de conteur, et je me suis volontiers laissé prendre au jeu. Les chapitres s’enchaînent sans effort, on a toujours envie de connaître la suite, et cependant les très nombreuses digressions culturelles se lisent facilement sans entamer le rythme.
Il y a même en filigrane un écho de nos préoccupations actuelles, bien que ce roman ait été publié en 2013 : évocation du réchauffement climatique, des conflits à venir à cause de l’épuisement des ressources naturelles, et bien sûr, des crises sanitaires ! D’ailleurs c’est dans les pages d’ « Inferno » que j’ai trouvé la signification du sigle PCR, alors qu’avant 2020 je n’avais jamais entendu prononcer ces trois lettres.
Donc, en définitive, même si dans quelques mois j’aurai oublié les détails de l’intrigue, je garderai un bon souvenir de cette lecture, et je la recommande à tous les Babelionautes.
Les indices que Robert Langdon collecte et essaie de déchiffrer ont tous rapport au poète Dante Alighieri, l’auteur de « La Divine Comédie », et aux lieux qu’il a fréquentés au cours de sa vie. C’est pourquoi l’action démarre à Florence, ville natale du poète, pour se poursuivre à Venise et se terminer à Istanbul… Au long du périple mouvementé des héros, on évoque les peintres Vasari, Boticelli, Michel-Ange, Gustave Doré, le poème de Dante, bien sûr, mais aussi son masque mortuaire…
Et tout cela se lit très bien ! Bien sûr l’intrigue est rocambolesque, avec le milliardaire dément, une mystérieuse organisation dénommée Consortium, et l’Organisation Mondiale de la Santé qui jouent une partie plutôt compliquée, d’autant plus que Robert Langdon commence l’aventure en état largement amnésique ! Mais il faut reconnaître, si ce n’est pas là de la haute littérature, que Dan Brown possède un talent certain de conteur, et je me suis volontiers laissé prendre au jeu. Les chapitres s’enchaînent sans effort, on a toujours envie de connaître la suite, et cependant les très nombreuses digressions culturelles se lisent facilement sans entamer le rythme.
Il y a même en filigrane un écho de nos préoccupations actuelles, bien que ce roman ait été publié en 2013 : évocation du réchauffement climatique, des conflits à venir à cause de l’épuisement des ressources naturelles, et bien sûr, des crises sanitaires ! D’ailleurs c’est dans les pages d’ « Inferno » que j’ai trouvé la signification du sigle PCR, alors qu’avant 2020 je n’avais jamais entendu prononcer ces trois lettres.
Donc, en définitive, même si dans quelques mois j’aurai oublié les détails de l’intrigue, je garderai un bon souvenir de cette lecture, et je la recommande à tous les Babelionautes.
Comme une impression de déjà lu, les romans de Dan Brown ont en commun une pincée d’histoire, un soupçon d’ésotérisme, un couple de héros qui fuit les méchants; un schéma récurrent, rien de bien nouveau sous le soleil d’Italie. Je me suis ennuyé tout au long de ces 570 pages, c’est dire si je les ai vu défiler même si ça se lit assez bien, c’est l’avantage de ce type de roman.
Dan Brown se fait le guide touristique de Florence et de Venise, beaucoup de détails historiques et architecturaux, peut être trop. Et c’est dommage parce que l’idée d’origine est très intéressante : le défi de la surpopulation humaine face aux ressources limitées de notre planète, ça aurait pu être vraiment mieux exploité.
Je referme donc ce livre avec le sentiment d’avoir perdu mon temps et vais le replacer dans la boite à livres d’où je n’aurais jamais dû le retirer.
Dan Brown se fait le guide touristique de Florence et de Venise, beaucoup de détails historiques et architecturaux, peut être trop. Et c’est dommage parce que l’idée d’origine est très intéressante : le défi de la surpopulation humaine face aux ressources limitées de notre planète, ça aurait pu être vraiment mieux exploité.
Je referme donc ce livre avec le sentiment d’avoir perdu mon temps et vais le replacer dans la boite à livres d’où je n’aurais jamais dû le retirer.
QOTD : Des amateurs d'arts et de symboles ?
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Hello les bookivores ! Comment allez-vous ? Que lisez-vous en ce moment ? 📖
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Dans l'ombre de la Grande Galerie du Louvre, gît un corps. Ce corps, c'est celui de Jacques Saunière. Pour préserver le secret de toute une vie, il n'a pas hésité à mettre sa mort en scène. Il laisse donc un message, assez spécial, à Robert Langdon, un professeur passionné de symboles. Mais il se rend vite compte qu'on l'a piégé, et c'est une course poursuite des plus inattendues qui s'annonce. Accompagné de Sophie Neveu, une cryptographe de la police, ils vont tenter de résoudre un des plus grands mystères de l'humanité.
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Cet ouvrage, c'est du génie, tout simplement. Je pense qu'il est impossible d'imaginer les heures de travail que Monsieur Brown a passé sur ce livre. S'il passe par là (l'espoir fait vivre), je veux qu'il sache que je lui témoigne tout mon respect. Je n'avais jamais découvert autant de nouvelles choses dans un bouquin ! Il y avait même des moments où je me rendais sur Internet afin de pousser la recherche et me rendre compte d'à quel point j'avais été bernée. Malgré ça, quelques passages m'ont semblé longs, particulièrement au début, car ce n'est pas le genre de livres dont j'ai l'habitude. Je suis plus habituée à lire des thrillers assez rapides, avec moins de détails, alors parfois, mon cerveau surchauffait un peu et j'avais besoin d'une pause ! Alors qu'au début, c'était un gros point négatif, j'ai tellement aimé la suite, que je n'en tiens plus vraiment compte !
°•
Je n'ai pas regardé le film, et je ne pense pas le faire, pas tout de suite en tout cas. L'avez-vous vu ? Quoiqu'il en soit, si ce genre de sujet vous intéresse, foncez !
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“Sous l'ancienne Roslin, le Saint-Graal nous attend. La lame et le calice le protègent du Temps. Ouvragée avec art par le Maître des Maîtres. Sous la voûte étoilée enfin elle repose.„
°•
PS : Petite dédicace à MC Solaar et son Da Vinci Claude. Grâce à toi, j'ai pu avoir cette chanson en tête durant toute ma lecture. 😂
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Vous l'avez lu ? Vos avis dessus ? Il vous tente ? D'autres de cet auteur ? 🖋️
°•
#lecture #reading #books #davincicode #danbrown #editionsjclattès #histoire #livre #belgique #belgium #french #français #roman #bookworm #bookstagram #livrestagram #bookaddict #art #religion #graal
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Hello les bookivores ! Comment allez-vous ? Que lisez-vous en ce moment ? 📖
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Dans l'ombre de la Grande Galerie du Louvre, gît un corps. Ce corps, c'est celui de Jacques Saunière. Pour préserver le secret de toute une vie, il n'a pas hésité à mettre sa mort en scène. Il laisse donc un message, assez spécial, à Robert Langdon, un professeur passionné de symboles. Mais il se rend vite compte qu'on l'a piégé, et c'est une course poursuite des plus inattendues qui s'annonce. Accompagné de Sophie Neveu, une cryptographe de la police, ils vont tenter de résoudre un des plus grands mystères de l'humanité.
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Cet ouvrage, c'est du génie, tout simplement. Je pense qu'il est impossible d'imaginer les heures de travail que Monsieur Brown a passé sur ce livre. S'il passe par là (l'espoir fait vivre), je veux qu'il sache que je lui témoigne tout mon respect. Je n'avais jamais découvert autant de nouvelles choses dans un bouquin ! Il y avait même des moments où je me rendais sur Internet afin de pousser la recherche et me rendre compte d'à quel point j'avais été bernée. Malgré ça, quelques passages m'ont semblé longs, particulièrement au début, car ce n'est pas le genre de livres dont j'ai l'habitude. Je suis plus habituée à lire des thrillers assez rapides, avec moins de détails, alors parfois, mon cerveau surchauffait un peu et j'avais besoin d'une pause ! Alors qu'au début, c'était un gros point négatif, j'ai tellement aimé la suite, que je n'en tiens plus vraiment compte !
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Je n'ai pas regardé le film, et je ne pense pas le faire, pas tout de suite en tout cas. L'avez-vous vu ? Quoiqu'il en soit, si ce genre de sujet vous intéresse, foncez !
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“Sous l'ancienne Roslin, le Saint-Graal nous attend. La lame et le calice le protègent du Temps. Ouvragée avec art par le Maître des Maîtres. Sous la voûte étoilée enfin elle repose.„
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PS : Petite dédicace à MC Solaar et son Da Vinci Claude. Grâce à toi, j'ai pu avoir cette chanson en tête durant toute ma lecture. 😂
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Vous l'avez lu ? Vos avis dessus ? Il vous tente ? D'autres de cet auteur ? 🖋️
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#lecture #reading #books #davincicode #danbrown #editionsjclattès #histoire #livre #belgique #belgium #french #français #roman #bookworm #bookstagram #livrestagram #bookaddict #art #religion #graal
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Pas facile de donner et résumer un avis sur ce livre.
Je dois tout d'abord dire qu'il ne figurait pas dans ma PAL.... mais une recommandation et la perspective d'un long voyage en train ont été des déclencheurs efficaces!
J'avais de surcroît, dévoré il y a longtemps le fameux Da Vinci Code pour son côté particulier : mélange de thriller, de manuel de sciences et d'histoire, de description du symbolisme, de voyage au sein de lieux chargés d'histoire... tout ce qui en a fait, à cette "époque", un livre assez atypique et complet. Puis les suivants ayant repris les mêmes clés, la lassitude était vite venue.
Dans Origine, Dan Brown reprend là encore, la même recette, cette fois-ci en Espagne, autour du monde des religions et des sciences. L'histoire nous captive assez vite même si dès la moitié du roman (600 pages), il devient assez facile de savoir où l'enquête va nous conduire et qui est à la source des différents assassinats.
Le rappel de certaines théories comme celle de Darwin, le septième règne, là encore forment des détours intéressants tout comme le questionnement sur la place des religions et les passages sur l'oeuvre de Gaudi.
Mais, car il y a un MAIS, la profusion de notions telles que l'endosymbiose, la panspermie, l'amalgamation, les génomes primitifs existants, l'expérience Miller-Urey...., casse le bon équilibre du roman, surtout lorsque l'on en arrive à la fameuse démonstration tant attendue de Kirsh sur l'origine et l'avenir de l'humanité. Bien que cette dernière soit "le personnage" principal du livre, sa fluidité s'en trouve fortement mise à mal. La lassitude revient.
La fin traine un peu en longueur... une centaine de pages en moins m'aurait probablement fait donner un avis un peu différent.
En conclusion, bien pour un long voyage en train, avion, mais pas incontournable.
Je dois tout d'abord dire qu'il ne figurait pas dans ma PAL.... mais une recommandation et la perspective d'un long voyage en train ont été des déclencheurs efficaces!
J'avais de surcroît, dévoré il y a longtemps le fameux Da Vinci Code pour son côté particulier : mélange de thriller, de manuel de sciences et d'histoire, de description du symbolisme, de voyage au sein de lieux chargés d'histoire... tout ce qui en a fait, à cette "époque", un livre assez atypique et complet. Puis les suivants ayant repris les mêmes clés, la lassitude était vite venue.
Dans Origine, Dan Brown reprend là encore, la même recette, cette fois-ci en Espagne, autour du monde des religions et des sciences. L'histoire nous captive assez vite même si dès la moitié du roman (600 pages), il devient assez facile de savoir où l'enquête va nous conduire et qui est à la source des différents assassinats.
Le rappel de certaines théories comme celle de Darwin, le septième règne, là encore forment des détours intéressants tout comme le questionnement sur la place des religions et les passages sur l'oeuvre de Gaudi.
Mais, car il y a un MAIS, la profusion de notions telles que l'endosymbiose, la panspermie, l'amalgamation, les génomes primitifs existants, l'expérience Miller-Urey...., casse le bon équilibre du roman, surtout lorsque l'on en arrive à la fameuse démonstration tant attendue de Kirsh sur l'origine et l'avenir de l'humanité. Bien que cette dernière soit "le personnage" principal du livre, sa fluidité s'en trouve fortement mise à mal. La lassitude revient.
La fin traine un peu en longueur... une centaine de pages en moins m'aurait probablement fait donner un avis un peu différent.
En conclusion, bien pour un long voyage en train, avion, mais pas incontournable.
« Quis custodiet ipsos custodes ? »
Panique à la NSA : l'ordinateur TRANSLTR, le petit joujou des Américains chargé de casser n'importe quel code informatique, est tombé sur un os appelé Forteresse Digitale. Derrière la machination se trouve un trio d'hommes d'affaires pas très nets : Ensei Tankado, riche businessman gardant des séquelles des bombardements atomiques de 45 ; North Dakota, son complice vicieux ; et Tokugen Numataka, son client promis à une belle carrière. Une course contre la montre s'engage lorsque Tankado meurt dans d'étranges circonstances, et que Forteresse Digitale menace d'être accessible à n'importe quel internaute, rendant du même coup la NSA obsolète. Un couple de jeunes tourtereaux, Susan et David Becker, va tenter de sauver ce qui peut encore l'être, mais ce ne saura pas chose aisée. Surtout avec un tueur à gages aux trousses...
Lire un Dan Brown, c'est avoir la certitude d'être emporté plus ou moins facilement dans un tourbillon d'action, de révélations et de sensations fortes. Ce thriller-ci est nettement moins ambitieux que Origine ou Da Vinci Code, mais remplit sa mission de nous divertir avec encore plus de brio que ces derniers. Parfait pour mettre son cerveau sur "pause" entre deux lectures plus exigeantes.
Toutefois, Forteresse Digitale a de troublantes similitudes avec son collègue religieux Anges et Démons :
- Un huis-clos (Crypto pour le premier, Chapelle Sixtine pour le second) ;
- En parallèle, une course contre la montre haletante (la chasse à la bague, la traque aux Illuminati) ;
- Le sort d'une nation en jeu (USA, Vatican) ;
- L'employé louche que tout accuse (Greg Hale, Rocher) ;
- La trahison du bon bougre au-dessus de tout soupçon, devenu aveuglé par sa foi (patriotique, religieuse) ;
- Etc...
Vous allez me dire que l'on retrouve ces schémas dans également beaucoup d'autres bouquins de Brown, mais entre Forteresse Digitale et Anges et Démons, la ressemblance est d'après moi très marquée.
Passons. Les trois centaines de pages du bouquin ont défilé sous mes yeux à une vitesse folle. Le début a beau prendre son temps pour se lancer, ensuite, la prose contemporaine de M. Brown ne peut qu'être jubilatoire. Je conseille ce bouquin à ceux qui cherchent un thriller passionnant et pétri de rebondissements, ou qui ont aimé la mécanique de Anges et Démons mais pas la thématique très centrée religieuse.
Revenir vers les écrits de Brown a été une réussite totale, qui m'a même fait oublier ma petite déception de Origine et Le Symbole perdu. Je me réserve le dernier qui me reste, Deception Point de son petit nom, pour un peu plus tard, tout en espérant qu'il soit aussi fascinant que celui-ci (je garde tout de même une préférence pour Anges et Démons et Inferno, je l'avoue).
Sans cire,
Bonnes lectures !
Panique à la NSA : l'ordinateur TRANSLTR, le petit joujou des Américains chargé de casser n'importe quel code informatique, est tombé sur un os appelé Forteresse Digitale. Derrière la machination se trouve un trio d'hommes d'affaires pas très nets : Ensei Tankado, riche businessman gardant des séquelles des bombardements atomiques de 45 ; North Dakota, son complice vicieux ; et Tokugen Numataka, son client promis à une belle carrière. Une course contre la montre s'engage lorsque Tankado meurt dans d'étranges circonstances, et que Forteresse Digitale menace d'être accessible à n'importe quel internaute, rendant du même coup la NSA obsolète. Un couple de jeunes tourtereaux, Susan et David Becker, va tenter de sauver ce qui peut encore l'être, mais ce ne saura pas chose aisée. Surtout avec un tueur à gages aux trousses...
Lire un Dan Brown, c'est avoir la certitude d'être emporté plus ou moins facilement dans un tourbillon d'action, de révélations et de sensations fortes. Ce thriller-ci est nettement moins ambitieux que Origine ou Da Vinci Code, mais remplit sa mission de nous divertir avec encore plus de brio que ces derniers. Parfait pour mettre son cerveau sur "pause" entre deux lectures plus exigeantes.
Toutefois, Forteresse Digitale a de troublantes similitudes avec son collègue religieux Anges et Démons :
- Un huis-clos (Crypto pour le premier, Chapelle Sixtine pour le second) ;
- En parallèle, une course contre la montre haletante (la chasse à la bague, la traque aux Illuminati) ;
- Le sort d'une nation en jeu (USA, Vatican) ;
- L'employé louche que tout accuse (Greg Hale, Rocher) ;
- La trahison du bon bougre au-dessus de tout soupçon, devenu aveuglé par sa foi (patriotique, religieuse) ;
- Etc...
Vous allez me dire que l'on retrouve ces schémas dans également beaucoup d'autres bouquins de Brown, mais entre Forteresse Digitale et Anges et Démons, la ressemblance est d'après moi très marquée.
Passons. Les trois centaines de pages du bouquin ont défilé sous mes yeux à une vitesse folle. Le début a beau prendre son temps pour se lancer, ensuite, la prose contemporaine de M. Brown ne peut qu'être jubilatoire. Je conseille ce bouquin à ceux qui cherchent un thriller passionnant et pétri de rebondissements, ou qui ont aimé la mécanique de Anges et Démons mais pas la thématique très centrée religieuse.
Revenir vers les écrits de Brown a été une réussite totale, qui m'a même fait oublier ma petite déception de Origine et Le Symbole perdu. Je me réserve le dernier qui me reste, Deception Point de son petit nom, pour un peu plus tard, tout en espérant qu'il soit aussi fascinant que celui-ci (je garde tout de même une préférence pour Anges et Démons et Inferno, je l'avoue).
Sans cire,
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