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Critiques de Daniel Adam Mendelsohn (222)
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Une Odyssée : Un père, un fils, une épopée

Mendelsohn a réussi de rendre l'Iliade et surtout l'Odyssée actuels. Mendelsohn raconte, en tant que professeur d'université en langues classiques, son aventure de prof et de fils. Le jour où le père octogénaire de Daniel s'inscrit à son cours de l'Odyssée, une aventure commence. Elle emmènera le père et le fils en Méditerrannée où ils vont suivre les traces d'Ulysse. Et l'aventure des deux Mendelsohn ressemblera de plus en plus aux aventures d'Ulysse. Grâce à cette lecture, j'ai redécouvert l'Odyssée que j'avais lu en grec classique au lycée. D'une légèreté surprenante, Daniel Mendelsohn nous fait redécouvrir Homère tout en y ajoutant une touche très personnelle. Un livre d'un grand raffinement.
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Une Odyssée : Un père, un fils, une épopée

Daniel Mendelsohn a écrit un roman concernant la famille de sa mère assassinée lors des massacres de la Shoah : « Les Disparus » -récompensé par le prix Médicis en 2007-, livre qui m’avait beaucoup marquée . (C’était avant Luocine, et je me promets de le relire). Il consacre donc ce temps romanesque et son talent d’écrivain à la quête de la personnalité de son père. Il le fait à travers l’analyse minutieuse de l’Odyssée, ce si difficile retour d’Ulysse vers son royaume d’Ithaque, son épouse Pénélope et son fils Télémaque. On y retrouve tous les récits qui ont construit une partie de notre imaginaire. Ulysse et ses ruses, Pénélope et sa fidélité à toute épreuve, Télémaque, ce fils qui recherche son père, mais aussi le Cyclope, Circé, Calypso, les enfers… tous ces récits, grâce au talent du professeur Daniel Mendelsohn, nous permettent de réfléchir à la condition humaine. On aurait, je pense, tous aimé participer à ce séminaire au cours duquel ce grand spécialiste de la littérature grecque et latine, n’assène pas son savoir mais construit une réflexion commune aux participants et au professeur grâce aux interventions pertinentes de ses étudiants. Je n’ai pas très bien compris si tous connaissent le grec ancien ou si (comme cela me semble plus probable) seul le professeur peut se référer au texte originel. L’épopée prend vie et se mêle à la quête de l’auteur. Qui se cache derrière ce père taiseux, incapable de montrer ses sentiments à ses enfants ou à son épouse ? Certainement plus que la personnalité d’un père ingénieur devant lequel son fils tremblait avant de lui avouer qu’il ne comprenait rien aux mathématiques. Au détour d’une réaction d’étudiant, d’une phrase analysée différemment, nous comprenons de mieux en mieux ces deux fortes personnalités si différentes. On se prend à rêver que tous les pères et tous les fils sachent un jour entreprendre ce voyage vers une réelle connaissance de l’autre. Daniel est écrivain et professeur, le chapitre intitulé « Anagnorisis », où il s’agit bien de « reconnaissance » se termine ainsi :

Quand vous enseignez, vous ne savez jamais quelles surprises vous attendent : qui vous écoutera ni même, dans certains cas, qui délivrera l’enseignement.

Et il avait commencé 60 pages auparavant de cette façon :

Une chose étrange, quand vous enseignez, c’est que vous ne savez jamais l’effet que vous produisez sur autrui ; vous ne savez jamais, pour telle ou telle matière, qui se révéleront être vos vrais étudiants, ceux qui prendront ce que vous avez à donner et se l’approprieront -sachant que « ce que vous avez appris d’un autre professeur, une personne qui s’était déjà demandé si vous assimileriez ce qu’elle avait à donner.…

Quel effet de boucle admirable et toujours recommencée, oui nous ne sommes au mieux que des transmetteurs d’une sagesse qui a été si bien racontée et mise en scène par Homère. J’ai beaucoup de plaisirs à raconter les exploits d’Ulysse à mes petits enfants qui s’émerveillent à chaque fois du génie du rusé roi d’Ithaque, j’ai retrouvé le livre dans lequel enfant j’avais été passionnée par ces récits. Et je crois que comme le père et le fils Mendelsohn, j’aimerais faire cette croisière pour confronter mes souvenirs de récits à ces merveilleux paysage de la Grèce.
Lien : http://luocine.fr/?p=9037
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Une Odyssée : Un père, un fils, une épopée

Remarquable livre sur la relation père/fils, en l'occurrence celle de l'auteur avec son père.

Tiré d'un fait réel, Daniel, professeur de lettres en université anime un séminaire sur l'Odyssée; son père lui demande l’autorisation d'assister à ses séances comme les étudiants. S'ensuit une réflexion et un parallèle sur la recherche du fils et du père comme Télémaque qui recherche Ulysse.

Un livre érudit qui nous fait relire le livre d'Homère et un livre émotionnel qui nous raconte le regard d'un fils sur son père vieillissant.
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Les disparus

Le volume du livre pourrait décourager certain lecteur mais il en vaut la peine. On se prend très vite au jeu de découvrir ce qu'est arrivé aux proches de l'auteur. On éprouve de la sympathie pour certaines personnes que rencontrera l'auteur pour mener à bien sa quête ( son " enquête " )
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Les disparus

je n'ai jamais réussi à "rentrer" dans le livre, il n'a suscité en moi que peu d'émotions, du coup je me suis ennuyée et je l'ai trouvé long...La façon d'aborder le sujet était intéressante pourtant, j'imagine que le style de l'auteur ne doit pas me convenir.
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Les disparus

A travers le monde, une quête de savoir, la recherche de lieux, de temps, des comments et des moments de la mort de Shmiel, sa femme et ses filles, détruits comme des millions juifs par les nazis. Un puzzle, voyage improbable de continents en pays, itinéraires vertigineux en forme de roman policier.



Quelques centaines de pages, pour reconstruire les derniers instants de disparu-e-s.



Une immersion dans l’histoire, pour que l’oubli ne submerge pas insensiblement les histoires.
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Les disparus

Daniel Mendelsohn depuis l'enfance sait que le frère de son grand père, Schmiel ainsi que sa femme et leurs quatre filles ont été tués dans l'est de la Pologne par les nazis. Plus grand il décide de comprendre pourquoi et comment ils ont été tués. Commence alors une quête désespérées qui va emmener l'auteur aux quatre coins du monde pour retrouver les témoins de ce drame.



Qu'on ne s'y trompe pas, il y a beau avoir écrit roman sur le livre, cela n'en est pas un pour autant. C'est un formidable témoignage et enquête sur cette famille juive qui a disparue dans ce petit village dans des conditions qui au début du livre sont floues. C'est en découvrant des lettres de Schmiel pressant sa famille installée aux Etats-Unis de leur venir en aide que l'auteur décide d'essayer de lever le voile sur le destin tragique de cette famille. Mais le premier problème qui se pose c'est que les personnes de la famille qui les ont connu sont soit décédés soit ont la mémoire défaillante.Le deuxième problème qu'il rencontrera c'est celui de la faillibilité du témoignage car ce seront souvent des souvenirs indirects, des propos que l'on rapporte d'une autre personne et aussi des choses que seront passée sous silence car douloureux ou sensibles. Car cette histoire est un vrai puzzle qui demande beaucoup de patience, de persévérance et aussi beaucoup de hasard heureux. Des choses que si on les lisait dans un roman on dirait que c'est trop gros, trop invraisemblable. Mais jusqu'au bout l'auteur se demande s'il trouvera la réponse a ses questions et jusqu'au bout il se demande s'il n'a pas fait fausse route. C'est un vraie enquête qu'il mène et il nous la relate honnêtement en nous montrant ses échecs et ses fausses routes. Où j'ai moins accroché c'est sur ses digressions sur la torah qu'il met en parallèle avec sa famille, c'est intéressant mais pour quelqu'un qui a une éducation religieuse limitée, on est vite noyé.



Un livre nécessaire sur le souvenir de cette période, passionnant et construit comme une enquête haletante. A noter que ce livre fait un peu plus de 900 pages.



Ma note 8/10.



Ce livre a eu le prix Médicis étranger 2007
Lien : http://desgoutsetdeslivres.o..
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Une Odyssée : Un père, un fils, une épopée

Coup de cœur pour ce magistral essai tissant une histoire familiale, père-fils à un texte fondateur dont l'universalité continue de nourrir ceux qui s'y intéressent.

Des anecdotes savoureuses et profondes. De vrais moments émouvants. Un texte intelligent nous entraînant dans la richesse et la puissance de l'Odyssée mais aussi d'autres textes issus de cette période faste et brillante de la Grèce.

Je n'imaginais pas rencontrer avec autant de plaisir et d'acuité des sujets qui me passionnent relatifs à la transmission, les relations familiales, l'identité de soi. Magnifique
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Trois anneaux

Avec ce livre on explore l'histoire de trois écrivains en exil (Erich Auerbach, François Fénelon, et W.G. Sebald), à des époques différentes : XXème siècle et XVIIème siècle pour Fénelon. et des oeuvres qui méritent d'être (re) découvertes au moins par la lecture de cet ouvrage, respectivement : "Mimesis", "Les aventures de Télémaque" et "Les anneaux de Saturne". Personnellement, je préfère de loin avoir une vue d'ensemble de ces ouvrages au travers de ce livre (le deuxième cité me replonge dans mes années lycée, j'en avais présenté un extrait au bac français...) plutôt que de les (re)lire... L'auteur nous expose aussi en détail un procédé littéraire bien connu (également utilisé parfois au cinéma), celui de la composition circulaire, véritable histoire dans l'histoire, - au passage on peut tous dire que ce procédé nous est familier, puisque d'un point de vue historique nos petites histoires personnelles s'inscrivent toutes dans la grande histoire de notre nation et de notre humanité, je renvoie aussi ici un à un film récemment sorti : "Madre paraleles" de Pedro Almodovar, qui aborde aussi brillamment ce thème, mais il s'agit là d'une petite digression ;-)

Le livre a aussi le mérite de nous faire redécouvrir de grands chefs-d'oeuvre et de grands auteurs : L'Odyssée d'Homère, mais aussi la saga de "A la recherche du temps perdu" de Marcel Proust (encore un souvenir de mes années lycée et j'ai appris encore des choses intéressantes sur cette oeuvre...), et les tragédies de Racine (Phèdre que j'ai aussi présenté au bac, décidément...), notamment la rupture entre sujets profanes et sujets religieux qui s'est opérée dans l'oeuvre du tragédien du XVIIème siècle, à un certain moment de sa vie...Amour, quand tu nous tiens...

Les thème de l'exil et de l'Holocauste sont aussi bien présents dans ce livre, ils en sont aussi des flls conducteurs et pour cause, l'auteur a été touché par cette tragédie dans son histoire familiale.

C'est un ouvrage d'une rare richesse par les thèmes qui sont abordés et savamment entrelacés, avec toujours la narration de Daniel Mendelsohn pour toile de fond. Un peu déroutant parfois, on est cependant vite remis sur les rails pour en comprendre les messages délivrés.
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L'étreinte fugitive

Cette autobiographie permet de mieux connaitre Daniel Mendelsohn, l’auteur d’un superbe récit : « les Disparus » que j’ai tant apprécié. Il raconte son parcours avec une grande franchise, comme il l’avait fait en retraçant l’histoire de sa famille. Il est question de la beauté, de recherche d’identité et de relations humaines au cœur du vécu de l’auteur qui veut donner un sens à sa singularité.
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Les disparus

Quel talent de conteur que celui de Daniel Mendelssohn, qui réussit à nous faire cheminer avec lui sur la longue route, parfois semée de doutes et de désespoir, le ramenant dans le berceau de ses ancêtres: la petite ville de Bolechow, située dans l’ancienne Galicie et l’actuelle Ukraine, malmenée par les soviétiques et puis les nazis.



Quelle émotion, lorsque nous voyons cette famille, d’abord rayée de la carte par la barbarie des hommes, ressortir progressivement du néant grâce aux recherches de ce cousin (ou neveu) qu’ils n’ont jamais rencontré.

Et pourtant, Daniel Mendelssohn ne sombre jamais dans la facilité du pathos. Il s’en tient aux faits, aux résultats parfois décevants, parfois enthousiasmants, de son enquête minutieuse sur les vies et les morts de son oncle Schmiel, sa femme Ester et leurs quatre filles : Lorka, Friedka, Ruchele et Bronia.



En remontant le fil de ces six existences, il renoue avec lui-même, avec son frère, celui qui avait toujours eu si peu à partager avec lui; avec son grand-père décédé et tant aimé.

Par cette enquête, Daniel remonte aussi jusqu’à ses racines et celles de sa famille: la petite ville de Bolechòw, le monde presque disparu des Juifs de l’Est, les shtetel, la merveilleuse langue yiddish, la musique et la cuisine, les traditions qui ont traversé le temps et l’océan pour finir dans sa maison aux Etats-Unis, comme un long fil rouge reliant les vivants et les morts.



Lire les Disparus, c’est aussi permettre à ces six personnes d’exister à nouveau, alors même qu’un jour des hommes qui avaient choisi le mal avaient tout fait pour les effacer à tout jamais de la surface de la terre. C’est faire vivre les témoignages de ceux qui ont survécu mais ne sont jamais vraiment revenus de cette époque; c’est ramener vers la lumière ceux qui ont été voués à l’obscurité par la barbarie nazie.
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Une Odyssée : Un père, un fils, une épopée

Un livre maladroitement composé dans le sens où les liens entre la vie de l’auteur et les episodes de l’Odyssee ne sont pas pertinents et peu intéressants,les remarques des étudiants sur les aventures d’Ulysse sont parfois niaises et peu dignes d’une analyse universitaire lorsqu’elles versent dans la psychologie à bon marché .De plus,cet hommage à son père ne s’élève pas au dessus des considérations triviales ,d’ou le manque de cohérence dans le rapprochement avec la grande œuvre qu’est le livre d’Homere.



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Les disparus

Très difficile de critiquer ce livre. D'un point de vue objectif, c'est un sacré livre. Bien documenté, bien écrit, de la grande littérature, à mon avis.

D'un point de vue plus personnel, je n'ai pas réussi à entrer dans le recit. Je l'ai abandonné à mi-parcours et j'ai poutant lutté...je me disais que je ne pouvais pas abandonner une telle oeuvre, que j'allais finir par accrocher, que ça allait évoluer...mais non. L'impression de ne pas avancer, de ne pas en savoir plus à la 350 ème page qu'à la 5 ème...Dommage.
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Une Odyssée : Un père, un fils, une épopée

J'ai adoré ce livre et franchement je pense qu il plaira à l'ensemble des profs de lettres ! Nous suivons l"Odysee autobiographique de l'auteur tout en suivant celle d'Ulysse lors d un séminaire qu'il mène et auquel vient se joindre son père. On apprends des choses sur l'odyssée qu'on relit presque en filigrane et on est ébahi devant tant de virtuosité à associer cette épopée mythique et cette histoire si personnelle ! On se régale de bout en bout ! Une pépite, vraiment !
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Une Odyssée : Un père, un fils, une épopée

Excellent livre de Mendelsohn dans la lignée des précédents : entremêlant avec brio plusieurs fils narratifs dans un même récit fondé sur une lecture de l'Odysée intégrée au sein d'une histoire familiale. Cette histoire se lit simplement et facilement, tout en conduisant le lecteur à réfléchir sur le rôle de la littérature (et de l'écriture?). Une écriture simple et fluide qui sert également d'hommage au père de l'auteur. A recommander sans hésiter. On a envie de rencontrer l'auteur...
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Une Odyssée : Un père, un fils, une épopée

Mêlant tous ces fils narratifs avec le récit d’Homère, dans une construction aussi joyeuse que subtile et raffinée, Mendelsohn nous confie un récit captivant et riche de réflexions profondes sur les rapports père-fils, maître-élèves, et cette question, au cœur de l’Odyssée : qu’est-ce qu’un homme ?
Lien : https://www.actualitte.com/a..
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Les disparus

Finesse, intelligence

Oeuvre incontournable
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L'étreinte fugitive

Sentiments mitigés pour ce récit, pourtant bien écrit, intelligent, mais agaçant par la grande vanité de son auteur. Il y a des moments intéressants, mais souvent gâchés par une tendance à vouloir tout expliquer et globaliser. Les références à la culture grecque (analyse des mythes) ont été sources de découvertes mais les ratiocinations sur les chats AOL de trop. Franchement trop inégal, donc.
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Une Odyssée : Un père, un fils, une épopée

De façon professorale , l’auteur nous fait une analyse de l’odyssée aussi bien sur le fond que sur la forme. On retourne sur les bans de l’école pour apprendre les styles et les différentes manières d’amener les scènes utilisés par Homère, les définitions et les traductions des mots …Puis l’auteur, utilise ce qu’il nous a appris pour nous raconter sa propre histoire. Enfin, la sienne mais aussi celle de ses parents, ses frères, sa famille et leur amis proches, ceux qui comptent, ceux qui le font devenir celui qu’il est.

L’auteur va tout au long de son livre utiliser ce procédé : nous expliquer une partie, un chant du poème, pour mieux plonger ensuite dans sa propre histoire, et recommencer. Or, s’il le fait c’est que son père s’est invité à son séminaire et au lieu de rester tranquillement dans un coin comme promis, il intervient, pose des questions, abat les barrières entre les générations. Il gêne, il ouvre les yeux à son fils.

L’on se prend alors à faire de même. Aux questionnement, aux retours en arrière de Daniel, on fait aussi les siens. Comme le professeur nous apprend à comprendre les motifs de la grande trame qu’est le voyage d’Ulysse pour mieux dessiner ensuite les siens , le lecteur a aussi envie de revoir son propre motif personnel, celui qui l’a construit. Bref un livre que je déguste.


Lien : https://avisdelivreslola.wor..
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Une Odyssée : Un père, un fils, une épopée

Par le récit d’un séminaire, davantage que d’une croisière, Mendelsohn nous livre une vision limpide et fine de l’Odyssée. S’emparer de ce texte dessine alors un portrait sensible de son propre père. Cette quête érudite, souvent diablement sérieuse n’atteint pas tout à fait la profondeur obsessive et obsédante des Disparus mais offre une très belle méditation sur la transmission.
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