David Foenkinos

L'écriture est déroutante au départ. Des phrases très courtes, plutôt descriptives, pas de dialogue (très peu, une fois par ci par là), on a l'impression de regarder un film de cinéma muet.

Je ne connaissais pas l'existence de Charlotte Salomon, ni sa triste histoire, familiale d'abord, juive allemande ensuite. L'auteur nous la fait connaitre à travers sa propre obsession. Cette manière m'a beaucoup rappelé l'obsession de Modiano pour Dora Bruder.

Les destins de Charlotte et Dora se sont peut être croisés à Drancy, puisque Charlotte , dénoncée, y transitera avant de voyager, enceinte de 4 mois, vers les camps de la mort.

Bien entendu le roman m'a donné envie de découvrir l'œuvre unique mais totale de Charlotte, composée de toiles, de partitions, et de récit, cette œuvre synesthésique réalisée dans l'urgence en une année. Les éditions Le tripode a publié un livre pour le moment indisponible, mais c'est certain que j'irai voir.

Nous suivons deux personnages principaux, Eric et Amélie. Éric travaille chez Decathlon. Un jour il est contacté sur Facebook par Amélie, une ancienne camarade de classe avec qui il n'a jamais eu trop d'affinités. Elle lui propose un travail dans sa boîte. Éric se demande bien pourquoi elle a fait appel à lui. Après avoir monté tous les échelons chez Decathlon, il se lance dans cette nouvelle aventure.

Lors d'un séjour au Japon, afin de présenter un projet, après avoir passé une soirée où l'un et l'autre ont pu réellement communiquer sur leur vie ainsi que les sentiments qu'ils confèrent à leur propre existence, Éric va vivre une expérience qui va le mettre en blackout total. Il part en laissant sa collègue Amélie toute seule face aux financiers.

Être face à sa propre mort cela change une personne. Il faut l'avoir vécu pour le comprendre. C'est ce que va chercher Éric avec sa nouvelle entreprise suite à la nuit passée au Japon. Son entreprise va prendre une très grande ampleur, beaucoup de personnes ont besoin de son aide en quelque sorte.

Voilà plus ou moins la trame de ce roman, je l'ai lu assez facilement mais ne m'a pas vraiment convaincu, ni touché.

Il ne faut pas passer à côté de cette histoire.

Une histoire atypique, des personnages attachants, entre l'amour, la tragédie, la déprime, le goût à la vie, c'est une histoire addictive.

David a une écriture avec une grande sensibilité. C'est toujours raffiné avec lui.

Une seule déception au tableau : la longueur du livre qui m'a paru très court...

《... il y avait quelque chose de très beau dans l'idée que rencontrer la mort vous fasse aimer plus encore la vie.》







Cadre chez Decathlon, Éric, quarantenaire, entre dans une période de sa vie devenue lassante et rébarbative. Une certaine mélancolie l'envahit et c'est pourquoi il accepte une offre d'emploi qui de prime abord ne l'aurait pas intéressée.





C'est un thème particulier qu'aborde David Foenkinos, celui de la symbolique de la seconde vie, enfin l'idée d'avoir une seconde vie après avoir vécu une épreuve terrible et de s'en être sorti.

Cet élan retrouvé après avoir touché le fond.

L'auteur se base sur un fait réel du taux de suicide élevé en Corée du Sud où y règne une pression à la réussite telle que les Coréens préfèrent abréger leur vie.



Dans ce livre il est question de se recentrer sur l'essentiel, sur soi. De retrouver un sens à sa vie.



     J'ai vraiment beaucoup aimé cette thématique originale et comment l'auteur l'aborde. Une fois de plus je me suis laissée happer par sa plume.

Ce livre se lit aisément et il sème une graine au fond de nous, celle de la seconde chance.

J'ai découvert cet auteur grâce aux réseaux sociaux.

J'ai passé un agréable moment avec Hector et Brigitte.

Qu'il est bon de lire une belle histoire d'amour avec un grand A.

Je comprends le succès de David Foenkinos et vais poursuivre cette découverte avec ses autres romans à succès.

« Ce qui me semble beau, ce que je voudrais faire, c'est un livre sur rien qui se tiendrait par la force intérieure de son style. ». Cette citation du livre résume parfaitement mon avis. L’auteur part d'un élément banal et anodin pour nous narrer une histoire universelle. Qui n'a pas déjà vécu un échec dans sa vie. Si cette histoire me paraissait anecdotique de prime abord, la plume et la profondeur de cette histoire m'ont totalement surprise. J’aurais pu trouver ça mélodramatique mais ce petit Martin est si touchant et humain. Reussir a insufflé une telle vie dans un roman aussi court ne peut être qu'une qualité pour moi.

           Certaines thématiques sont survolées le nombre de page ne laissant guère la place à l’épandage. Cela m'a donné un petit goût d'inachevé, la profusion et la créativité de l'auteur pouvant être mieux exploité selon moi. Mais nul doute que sa patte littéraire a su me charmer.

C'est l'histoire d'Eric, qui, après avoir fait une sorte de burn out au travail, tente de trouver et de donner un sens à sa vie.

Une histoire très originale, une réflexion philosophique sur le sens de la vie, une forme de thérapie très spéciale, une renaissance à la vie.

Une écriture fluide, très agréable à lire.

Captivant.

Nos Séparations de David Foenkinos est un roman tendre et drôle qui raconte l'histoire d'amour tumultueuse entre Alice et Fritz. A travers une plume légère et poétique, l'auteur nous entraîne dans les méandres de leurs ruptures et retrouvailles, dressant ainsi un portrait vibrant et touchant des aléas de la vie amoureuse.



Foenkinos alterne avec brio entre humour et émotion, nous offrant un récit rythmé par des anecdotes cocasses et des réflexions profondes sur l'amour, la perte et le temps qui passe. On sourit et on s'émeut en même temps, touché par la sincérité et la justesse du propos de l'auteur.



Alice et Fritz sont des personnages attachants et imparfaits, dont on comprend aisément les motivations et les contradictions. Leur relation passionnelle et chaotique est décrite avec finesse et réalisme, nous rappelant que l'amour n'est pas toujours simple et linéaire.



Malgré les ruptures et les blessures, Nos Séparations est un hymne à l'amour et à la vie. Foenkinos nous montre que même dans les moments les plus difficiles, il est possible de trouver l'espoir et le bonheur.



Nos Séparations est un roman à savourer, qui nous laisse un sentiment doux-amer à la fois drôle et émouvant. Un livre à lire et relire, pour se rappeler que l'amour est l'une des forces les plus puissantes de la vie.

J'aimais bien le "pitch"

L'histoire de celui qui n'a pas été retenu pour le casting d'Harry Potter.

David Foenkinos n'est pas le plus grand auteur de tous les temps (ce titre est d'ailleurs pris par Jean-Patrick Manchette) mais il a une fantaisie sympathique et trouve toujours de bons sujets, je trouve...

Je suis fan de David Foenkinos depuis longtemps maintenant, j’ai lu plusieurs de ces livres et ce sont des coup de cœur à chaque fois.

J’avais envie de découvrir Vers la Beauté depuis un bon moment et bien sûr celui-ci n’échappe pas à la règle.



Son écriture est toujours aussi poétique et belle. Elle est venue toucher directement mon coeur. Le texte est criant de vérité, et les personnages sont puissants, touchants et magnifiquement humains.



L’histoire est complexe, on suit différents personnages sur différentes temporalités. Elle est empreinte d’un certain réalisme qui fait que certains passages sont compliqués à lire. Il y a aussi beaucoup de TW dans ce roman, faites attention avant de le lire
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Un texte qui ne m'a pas touchée malgré une écriture qui reste fluide.

Je vous explique pourquoi je pense être passée à côté.



- Bon déjà, il y a le bon livre au bon moment.

Ne m'attendant pas à ce thème, et avec ce titre, je pensais partir pour un texte beaucoup plus joyeux.

- L'auteur y reparle du COVID, comme toute mauvaise chose, c'est un sujet que j'ai enterré tout au fond de ma mémoire sans aucune cérémonie préparatoire à son enterrement.

RIP à tout jamais COVID. "J'ai vécu ça moi ! Non !"

- Je ne me suis pas attachée aux personnages.

- J'ai trouvé le tout un petit peu long et répétitif.



Après, c'est le genre de texte qui te fait poser des questions.

Mais c'est vrai ça ! On dit "Carpe Diem est mon adage préféré" mais on n'oublie bien souvent de le mettre en application.

Bon, c'est décidé, aujourd'hui, je sors danser sous la pluie et j'oublie l'orage comme dit Sénèque.



Bref, je dois reconnaitre que j'ai regardé la couverture à plusieurs reprises pour être sûr d'être dans un roman de Foenkinos. J'avais l'impression de lire un livre de développement personnel comme un Gounelle.



Je vous en souhaite une bonne lecture si vous ne l'avez pas encore lu et une vie heureuse mais un peu moins compliquée que celle de son héros.

N'attendons pas de faire un burn-out pour se remettre en question ;-).

Éric Kherson quitte un poste prestigieux chez Decathlon pour rejoindre le cabinet du ministère du Commerce extérieur. Lors d’un voyage à Séoul, il fait une expérience étrange, il simule son propre enterrement. Il en ressort changé à jamais.



Si le sujet est inattendu, j’ai trouvé le roman dans son ensemble assez creux. David Foenkinos n’a pas réussi à me faire vivre cette expérience et à me convaincre qu’elle valait la peine d’être tentée.





La vie heureuse est un roman de David Foenkinos sur l’ambition et la quête de sens, une histoire de redécouverte de soi, entre Paris et Séoul, grâce à une simulation inattendue. Thème passionnant, mais les personnages sonnent creux.


Lien : https://dequoilire.com/faut-..

J'ai toujours voulu lire un roman de David Foenkinos car j'aime la personne qu'il est. Il semble sensible, calme et quand je l'entends parler, je trouve qu'il envoie des ondes positives.

J'ai lu son dernier roman et je trouve la encore que c'est un livre qui fait du bien.

Le sujet est étonnant : redonner goût à la vie en confrontant les gens à une expérience de mort.

Ici, on n'entre pas dans le pathos, c'est une ode à la vie. Ce roman a un côté un peu poétique. On se laisse porter par l'histoire d'Éric, le personnage principal, dans lequel on peut se retrouver.

Trois romans :

2010 - Bernard

2013 - Je vais mieux

2014 - La tête de l'emploi



Une seule et même histoire :

Un couple apparemment sans problème. Elle décide de divorcer. Lui sombre dans la dépression, retourne habiter chez ses parents, et est finalement sauvé par une inconnue sortie d'un chapeau.

Seuls les prénoms changent, la longueur de la chute, et celle du sauvetage.



Je venais de lire la version condensée de 2014, "La tête de l'emploi", qui m'avait quelque peu ennuyé. J'enchaînai, sans le savoir, sur la version longue de 2013, "Je vais mieux" : inutile de préciser qu'elle m'ait tombé des mains.



Quant au style d'écriture, David Foenkinos tombe dans la facilité ambiante du roman psychologique à deux balles : trois lignes de dialogue insipide, suivis de 15 lignes d'analyse de réflexions intériorisées au ras des pâquerettes. Et on recommence...

Sans compter l'abus horripilant des répliques muettes, transcrites sous la forme de :

— … »



Après mon enthousiasme pour le remarquable "Charlotte" et l'étonnant "Lennon", j'avais envisagé de lire l'entière bibliographie de Foenkinos. "Je vais mieux" a signé la fin de mon intérêt pour les problèmes de couple de David, Bernard and co.

De David Foenkinos, mais pas son meilleur, de loin

L’histoire d’une rupture amoureuse, d’un amour passionnel mais peu décrit tel quel, qui plonge l’actrice dans une dépression profonde, et une jalousie amère (envers la fille pour qui il l’a quittée, et sa soeur qui vit un bonheur presque parfait avec sa fille et son mari) lorsque leur univers s’effondre.

J’ai trouvé le parallèle entre la mort de la mère et la différence de perception de l’accès au bonheur des deux filles intéressant. La symptomatologie de la dépression, et le changement de personnalité, avec accès de folie, qui s’en suit très réalistes.

On voit la chute arriver (comme il dirait, drôle d’expression)… malgré la mise en tension progressive !

Surprenant car plus sombre que ses autres livres, qui force la limite du thriller à la fin.

Comme d’habitude, j’ai beaucoup aimé ce roman de David Foenkinos. J’aime ses personnages qui sont tout sauf des héros et auxquels on peut facilement s’identifier car leurs failles sont assez universelles. Ici on rencontre Eric directeur commercial chez Décathlon, divorcé et père d’un ado qu’il voit peu. Sa vie bascule quand une ancienne camarade du lycée Châteaubriand à Rennes décide de créer un groupe facebook pour retrouver d’anciens étudiants de la promotion. C’est par ce biais qu’Amélie va reprendre contact avec Eric et lui proposer de la rejoindre au commerce extérieur. Eric démissionne et la suit dans cette aventure qui le mène jusqu’en Corée du Sud où il découvre une étrange pratique : celle des enterrements fictifs. Les Coréens simulent leur propre enterrement, ils se rapprochent de la mort pour mieux se reconnecter à la vie. C’est en s’allongeant dans un cercueil qu’ils comprennent l’importance de la vie et modifient du tout au tout leur rapport au monde. Cette expérience est décisive pour Eric. Ce que j’ai beaucoup apprécié c’est de voir l’évolution d’Eric vers plus de lumière et d’apaisement. Plus on avance dans le livre, plus Eric devient complexe et intéressant. C’est ce qui rend ce livre qui tourne autour de la mort paradoxalement très lumineux.
Lien : https://monpetitcarnetdelect..

Ce roman se déroule de 1917 à 1943, en Allemagne et en France.

David Foenkinos s'est inspiré de la vie de l'artiste peintre Charlotte Salomon (1917 - 1943), morte à Auschwitz pour écrire ce roman.

Charlotte est née en 1917 dans une famille juive de Berlin, d’un père médecin, Albert, et d’une mère, Franziska, à tendance dépressive, qui se suicidera, comme plusieurs membres de sa famille. Albert se remarie avec Paula, une cantatrice.

Charlotte va devenir une artiste talentueuse, chantant, peignant, écrivant. Elle va étudier à l’Académie des Beaux-Arts de Berlin. Mais à partir de 1933 les restrictions atteignent les juifs : son père ne peut plus enseigner, sa belle-mère, ne peut plus se produire sur scène. Charlotte croisera Alfred, prof de chant de Paula, dont elle tombera éperdument amoureuse.

En 1938, pour la protéger, Albert et Paula l'envoient vivre dans le Sud de France, à Villefranche-sur-mer, auprès de ses grands-parents maternels, en zone libre.

Entre 1940 et 1942, Charlotte va réaliser « Vie ou théâtre », 800 gouaches accompagnées de textes et de partitions musicales, et se marier.

Le sud de la France va devenir zone occupée, par les Italiens, puis les Allemands.

En 1943, elle fut dénoncée, arrêtée, déportée et gazée . Elle avait 26 ans et était enceinte de quatre mois.

Avant de partir, elle avait confié ses toiles à son médecin qui les remettra par la suite à ses parents qui s’étaient réfugiés à Amsterdam et ont survécu.

La forme de ce roman est très originale et peut dérouter : c'est une sorte de long poème en prose, avec des phrases courtes, tenant sur une ligne.

J'ai aimé Charlotte, jeune femme amoureuse, talentueuse, au destin tragique, qui raconte sa vie et ses émotions dans ses toiles, un peu comme Anne Franck l'a fait dans son Journal.

J'ai retrouvé Aloïs Brunner, "l'un des pires responsables SS, le plus cruel peut-être", dont Sorj Chalandon parle aussi dans "Le Quatrième Mur".

C'est encore un livre que je n'oublierai pas.
Lien : https://www.unebonnenouvelle..

Un roman qui commence en douceur avec Antoine qui arrive aux Beaux-Arts. On va avoir quelques pages pour s’imaginer ce qui a pu le pousser à disparaître ainsi sans donner aucune explication à ses proches ! J’ai bien aimé cette découverte mais la puissance du roman arrive dans la deuxième partie. Je ne vous recommande pas de lire ce que j’écris après si vous voulez découvrir ce livre sans rien savoir de plus qu’un prof qui quitte tout. (juste lisez les TW !)

L’histoire de Camille est vraiment très impactante, très touchante et aussi très triste, beaucoup de “très” mais ce roman va vous faire ressentir beaucoup d’émotion. Même si je trouve qu’il en manque un peu vers la fin mais c’est très personnel.

J’ai lu ce mois-ci pas mal de livres sur le sujet du viol, et plus particulièrement sur les enfants, comme dans celui-là. Je ne sais pas si je me réinfligerai ça mais celui-ci vaut la peine d’être lu. On ne sait jamais si un proche peut avoir ce genre de geste sur nos enfants et je pense qu’un livre comme "Vers la beauté" est nécessaire pour faire de la prévention.

Pour finir sur une touche un peu moins triste, je pense que pour les amoureux de l’art ce livre peut vous intéresser aussi, moi je n’y connais rien donc j’ai déjà oublié les peintures citées !


Lien : https://saladedelivre.com/

Ce roman est construit en 3 parties avec des chapitres courts qui s’enchaînent. On suit la vie d’un homme, Eric Kherson que son entourage perçoit comme quelqu’un d’absent de lui-même et des autres. Une sorte de mélancolie le caractérise. Il fuit, se sent en décalage.

Il est divorcé. Son fils vit avec son ex-femme. Il le voit peu et le regrette mais ne fait rien pour changer les choses. Sa relation avec sa mère est compliquée. Il sent qu’elle lui reproche la mort de son père. Peu à peu l’auteur dévoile le passé de son personnage principal et les choix qui ont orienté sa vie.

Éric a gravi les échelons de l’entreprise Décathlon. Une ancienne camarade de lycée le contacte via un groupe Facebook pour lui proposer de travailler avec elle. Amélie Mortiers est directrice de cabinet du secrétaire d’Etat au Commerce extérieur. Ils partent à Séoul pour défendre la candidature de la France pour l’implantation d’une entreprise coréenne à Mulhouse. Sur place rien ne se passe comme prévu. Éric y découvre le concept Happy Life qui organise de faux enterrements. Éric rédige son épitaphe et une notice biographique, puis il pose pour la photo de son cadre mortuaire. Il s’allonge ensuite dans son cercueil. Le couvercle est fermé et l’expérience peut commencer. Éric en ressort changé et sa vie également.

On a tous envie de changer de vie, de faire quelque chose qui sorte de l’ordinaire, de faire une expérience unique, d’être heureux. Les lecteurs pourront facilement s’identifier à cet homme.

J’aime beaucoup la plume de David Foenkinos. Il a le sens de la formule et de belles analogies entre le roman et la vie. Il a une bienveillance pour son personnage qui fait du bien. C’est un écrivain généreux avec des histoires humaines. Ce livre a un côté feelgood tout en nous amenant à la réflexion. J’ai dévoré ce roman et je vous le recommande si vous voulez passer un bon moment de lecture.
Lien : https://joellebooks.fr/2024/..