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Critiques de David Morrell (109)
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Rambo first blood

Lorsque le shérif Teasle décide d’expulser de sa ville un jeune homme vagabondant dans les environs, il n’a aucune idée de ce qui l’attend. Car l’individu en question, John Rambo, est un vétéran de la guerre du Vietnam d’où il est revenu porteur de la plus haute médaille militaire, mais aussi de syndromes de stress post-traumatiques. Très vite, la situation va déraper et une chasse à l’homme s’engager dans les forêts du Kentucky. Mais pour Rambo le naturel reprend vite le dessus et de chassé, il devient vite chasseur.





Le livre est loin de l’image rendue par la série de films qu’il a inspirés et apparait beaucoup plus profond et finement écrit Le rythme est relativement lent au départ, le temps d’introduire les deux protagonistes principaux, et va ensuite crescendo au fur et à mesure que la traque s’intensifieµ. L’alternance des points de vue entre Teasle et Rambo brouille nos perceptions. Au final, qui est le gentil et qui est le méchant, difficile de le dire avec certitude. On a plutôt l’impression de se trouver face à deux perdants dépassés par les évènements et leurs passés respectifs. Le personnage de Rambo lui-même est surprenant : vétéran décoré du Vietnam, il apparait désabusé par l’indifférence voire l’hostilité de ses compatriotes, sorte de hippie marginal hanté par ce qu’il a vécu. Il apparait beaucoup plus profond que l’image laissée par Sylvester Stallone et confère au livre toute sa force et son intensité.





Un livre saisissant qui nous plonge dans la brutalité de la guerre et qui met en évidence les conséquences qu’elle peut avoir sur les soldats. Un roman âpre et violent à lire sans hésitation.
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Premier sang

En choisissant de lire "Premier sang", il faut savoir faire abstraction des films "Rambo" du 1er au dernier...



Car il y a autant de différences entre le livre et l'adaptation cinématographique que de différences entre la musique Classique et la musique militaire.



Rambo, dont on ignore le prénom est rentré aux Etats Unis après avoir été démobilisé du Vietnam...



La guerre au Vietnam n'est pas encore finie, mais elle est déjà perdue...



Nous sommes en 1972.



Rambo le ressent dans ce pays où il est né et où il sent être un étranger...



Le shérif de Madison, une tranquille petite ville, est lui un héros de la guerre.

Pas la seconde. Mais celle d'après. La guerre de Corée.



Le shérif Teasle est un homme assez tolérant à la limite, mais il ne veut pas que des vagabonds le fasse chier, excusez-le du terme (c'est un militaire, bordel !) dans sa douce bourgade et que l'on perturbe ses électeurs bien pensants...



Et quand Rambo arrive en ville...Teasle demande gentiment (si si, je vous l'assure ) au routard de bien vouloir monter dans sa voiture pour l'emmener faire un tour..



A force d'insister, Rambo accepte de monter.

Et l'autre l'emmène à la sortie de Madison en lui disant d'aller tout droit vers d'autres cieux...



Mais Rambo, à beau ne pas être un Stallone bodybuldé mais là faut pas le prendre pour un peureux...

Ni pour un con.



Il retourne en ville, de toute façon il avait un petit creux et le petit Dinner sur la route de Madison fera l'affaire...



Le bras de fer entre Teasle et Rambo ne fait que commencer.

Jusqu'au moment où une étincelle mettra le feu et la violence de Rambo éclatera en plein visage des forces de l'ordre...



Deux bêtes de guerre vont s'affrontées.

Deux mondes les séparent et pourtant ils ont servi sous le même drapeau, en dehors de la terre qui les a vu naître, mais et surtout mais dans des temps différents...



" La guerre, un massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas" comme le faisait remarquer Paul Valéry.



Existe t-il des guerres justes ?

Existe t-il des armées justes ?



En lisant "Premier sang" de David Morrell, vous aurez déjà une ébauche de réponse à ces deux questions...



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Le Protecteur

Démarrage sur les chapeaux de roues. Précis, documenté, haletant, bien ficelé. Du suspense, de l'action. Ca va à 200 à l'heure, overdose d'adrénaline du début à la fin. Sans être de la grande littérature, très bon divertissement.
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La Reine et l'assassin

Hommage aux romans victoriens "à sensation", précurseurs de nos thrillers actuels, cette seconde enquête de Thomas de Quincey se déroule dans le contexte historique des conséquences politiques de la Guerre de Crimée à Londres. On y découvre une reine Victoria sous un jour différent de l'habitude, contestée, et menacée. Emily de Quincey, originale et provocatrice, voit son rôle gagner en importance.
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Les conjurés de la pierre

S’il ne devait y avoir qu’un seul mot, pour Les conjurés de la pierre, ce serait haletant ! Qui est Drew ? Qu’a-t-il voulu enfouir au fond de ce monastère ? Qui est à sa poursuite ? Comment va-t-il remonter jusqu’au commanditaires ?



Vous l’aurez compris, le suspense est au rendez-vous. Le scénario est hyper-efficace, le style percutant.



Ce livre, de mon point de vue, est à mettre en parallèle avec deux autres de David Morrell : La fraternité de la rose, et Les conjurés de la flamme. J’ai moins accroché aux quelques qui ont suivi, et je n’ai pas eu l’occasion de lire ceux parus depuis le début des années 2000. En tout, il a publié une petite trentaine de romans, depuis 1972, et le dernier en date en 2016, qui lui ont valu deux récompenses, le prix Bram Stocker pour Creepers en 2005, et le prix Inkpot en 2007. Mais David Morrell, que l’on aime ou pas, a également créé un personnage dont nous connaissons tous le nom : en effet, son premier roman, sorti en 1972 aux Etats-Unis, s’appelle… Rambo ! Je ne l’ai jamais lu – un retard à rattraper, un jour -, mais je me suis laissé dire à plusieurs reprise que le premier film n’était pas si mauvais, et que le livre dont il était tiré, lui, était carrément bon, ce qui lui a valu une réédition en 2013, chez Gallmeister. Alors… merci M. Morrell !
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La Reine et l'assassin

Je remercie Babelio et les éditions Marabout pour avoir eu la chance de lire ce livre dans le cadre d'une opération masse critique.

Ce roman m'a tout de suite plu. L'époque à laquelle il se passe tout d'abord, l'époque victorienne, Londres au XIXe siècle, j'apprécie généralement les romans qui se déroulent à cette période.

Les personnages ensuite, dont le fameux Thomas de Quincey, que j'ai découvert avec ce livre.

J'ai lu ce roman policier en quelques jours tant les éléments s'enchainent de manière intelligente, l'intrigue est bien construite avec une alternance entre les récits d'Emily de Quincey, l'enfance de l'assassin et le temps présent.

L'écriture fluide de David Morell m'a aussi permis de me plonger plus facilement dans cette lecture.

J'ai aussi trouvé qu'encadrer le récit par les faits réels qui ont inspiré l'écriture du roman est une bonne façon d'aller plus loin et de découvrir comment l'auteur a travaillé.

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Captain America : Les élus

Captain America se meurt. Il souhaite voir poursuivre son oeuvre, et se met en quête d'un successeur...

Une fois refermé le livre, plusieurs choses m'interpellent. L'histoire est bien trop courte, une impression de fin bâclée me laisse un goût amer dans la bouche. La projection astrale de Captain America est tout simplement une hérésie. Je comprends l'intention de l'auteur mais peut-être aurait-il pu jouer d'un autre subterfuge. Le patriotisme est comme toujours dans l'univers du héros très présent, mais là on frôle l'indigestion.

Raconté l'ultime aventure de Captain America, tel était l'enjeu de ce livre. La barre était trop haute visiblement.

Dommage...
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La cinquième profession

Un très bon David Morrell, un thriller extrêmement efficace. A vivement recommander aux amateurs du genre.
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Le jeu des ombres

Thriller prenant et captivant. Rythme et intrigue soutenus, un régal pour les amateurs du genre. Un très bon David Morrell.
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Totem

David Morrell, remarquable auteur de thrillers, signe là, un ouvrage qui n'en est pas un...

Amateur de thrillers, passez donc votre chemin, amateur de roman d'épouvante ou horreur, appréciez cette histoire.
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Totem

j'ai découvert en 2003 un auteur de la trempe de Koonts, King, Grangé et compagnie.

il a écrit La Cinquième Profession que je n'ai pas encore réussie a capturer dans mes filets

j'ai eu du mal a lâché mon livre pour aller dormir, pourtant le lendemain j'avais une rude journée qui m'attendais

je l'ai fini le soir même il ne me restais que 30 pages. Auteur à suivre !!!
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Premier sang

C'est un époustouflant premier roman de David Morrell que viennent de rééditer les éditions Gallmeister.



Mais d’abord, il faut désapprendre ce que l'on croit connaitre de Rambo via son incarnation au cinéma. Premier sang est l'occasion de redécouvrir sa véritable histoire.



Contrairement à ce que le film de Ted Kotcheff a choisi de nous faire croire, Premier sang n'est pas l'histoire d'un malentendu et simplement un délit de sale gueule. Ici, on est très loin du personnage de shérif plouc incarné par Brian Dennehy au cinéma. Pareil pour Rambo qui dans le livre est surnommé le gamin pour sa jeunesse et qui est bien plus bavard que le gars (un peu) pataud incarnée par Sylvester Stallone dans le film.



Ce qu'il y a de troublant dans le texte de David Morrell est sa manière dont il fait doucement évoluer la polarité des deux personnages. Aussi troublant que cela puisse paraitre, notre opinion sur les deux héros du roman évolue en même temps que l'on prend conscience des changements qui s'opèrent en eux. Parce que oui, dans le roman, le shérif Teasle est un héros à part entière. Avec certainement autant de casseroles accrochées aux pieds que Rambo.



David Morrell a écrit un roman à deux voix, mettant face à face deux animaux blessés, deux visions qui s'opposent qui vont même s'intervertir pour finalement ne plus faire qu'une. On alterne les points de vue entre Rambo et le shérif Teasle avec la régularité d'un métronome pour conclure sur un final stroboscopique.



Ce n'est pas que l'histoire d'un duel opposant deux hommes, ou deux générations. C'est une fable qui évoque la part d'ombre que l'on garde en soit et qui nous dévore. Cette chose qui peut hanter des anciens soldats et qui ne demande parfois qu'à sortir. Maintenant, on parle de trouble de stress post-traumatique, comme l'auteur l'évoque à la fin de cette édition.



En filigrane, David Morrell joue subtilement sur la corde sensible en introduisant avec le personnage de Teasle la figure paternelle. Teasle, enfant adopté par un homme autoritaire, Orval (l'homme aux chiens qui devient un benêt lui aussi dans le film) et qui a contribué à faire de lui l'homme intransigeant qu'il semble devenu. Teasle, encore qui voit peut être en Rambo une part de lui même. Sa part d'ombre ?



Du coup, on se retrouve avec un schéma assez curieux : Orval, éleveur de chiens, père de substitution de Teasle. Teasle qui a des relations conflictuelles avec Orval et qui joue le père fouettard avec Rambo. Teasle qui est à la tête d'un groupe d'adjoints dont il se sent responsable. On sait aussi que sa femme l'a quitté quand il lui a signifié son désir d'avoir un enfant. Et Rambo dont les figures paternelles prennent forme sous les traits de Trautman, un être distant dont il ne connait finalement que la voix et bien plus tard, de Teasle. Au fur et à mesure, on découvre donc trois pères (Orval, Teasle et Trautman) dans le dénis ou le regret.

Et un fils qui fait ce pour quoi il a été éduqué.



Il y a certainement mille choses à développer encore à ce sujet. Je comprends mieux pourquoi le roman de David Morrell est longtemps resté un sujet d'étude pour des étudiants.



Ce troublant Premier Sang est un chef d’œuvre du genre et hante son lecteur longtemps après la dernière page. Une histoire à redécouvrir d'urgence.
Lien : http://www.4decouv.com/2013/..
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Le Protecteur

Un bon thriller mené à un rythme effréné. Une histoire intéressante.
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Accès interdit

Un thriller dont l'histoire nous fait ressentir tout ce que l'on aime ressentir dans ce genre de livres (et films). Étant quelqu'un qui adore l'urbex et les thrillers je n'ai pas du tout eu de mal à me plonger dans l'histoire et imaginer les decors et l'atmosphère de ce livre. Une fois commencé on ne peut plus s'arrêter !
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Accès interdit

J'ai eu du mal à accrocher au début, je l'ai trouvé long et intéressant, à deux doigts d'arrêter. Finalement en continuant un peu, je me suis laissée embarqué dans cet univers que j'adore qu'est l'urbex, à la fois glauque et envoûtant et qui de file en aiguille nous amène vers des travers sombres.

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Le Protecteur

Le pitch était intéressant, à savoir que Cavanaugh et son équipe ont comme métier de faire disparaitre des gens en leur fournissant d'abord une protection, ensuite une nouvelle identité, afin qu'ils recommencent une nouvelle vie à l'abri de ceux qui les recherchent (mafia, fisc, ...).

Une mission tourne mal en ce sens que 4 collaborateurs de Cavanaugh sont tués alors qu'ils protégeaient Daniel Prescott, un brillant scientifique qui a développé une hormone qui provoque une peur panique, même chez les hommes les mieus entrainés.



Je ne savais pas que l'auteur, David Morrell, était le "père" de Rambo ...

La suite du roman est une affaire de testostérone et de superman (Cavanaugh), ce qui je trouve nuit à l'intérêt potentiel de l'histoire.



Lecture pour amateur de pif paf pouf !
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Accès interdit

Il m'arrive souvent de ressentir de la curiosité en présence de lieux abandonnés, qu'il s’agisse de vieille usine détruite ou de masure au toit effondré ou aux murs éboulés. Quelles histoires demeurent imprégnées en ces murs ? J'éprouve une sorte de fascination pour ces lieux oubliés.Aussi lorsque j'ai mis la main sur ce livre de poche à la couverture illustrant un grand escalier au délabrement avancé j'ai senti que je tenais là de quoi bouquiner avec félicité.

Et cette exploration en mode urbex du vieil hôtel Parangon associé à d'étranges rumeurs m'a soufflé quelques frissons satisfaits.
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Rambo first blood

Nom de nom minou j’aurai jamais deviné (toi encore moins) que j’allais prendre un kiff aussi énorme qu’en lisant l’histoire de Rambo.



Le film m’avait grave gonflé (genre niais et violent ce qui est débile je trouve comme situation) mais le roman wah wah wah...



Tant que t’y goûtes pas tu peux pas comprendre d’façon. Laisse de côté les scènes d’action qui sont un peu grosses, mais laisse toi emporter par la tension de la chasse à l’homme, du survivalisme, de la schizophrénie de Rambo (qui s’appelle pas du tout John d’ailleurs dans le bouquin)...



Pfiou. Et cette fin, cette fin ! Elle va te cramer la gueule juré je jure, tu peux me croire et tu verras en plus la postface te raconte les divergences entre le film et le roman et tu comprendras mieux certaines choses et tout tu vois ? Un conseil, vas-y pour de vrai, c’est de la putain de bombe !



Parole de Lou
Lien : https://www.instagram.com/lo..
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La fraternité de la rose

Il y a cette citation en exergue :

"Enseignez-leur la politique et la guerre afin que leurs fils puissent étudier la médecine et les mathématiques. Ainsi pourront-ils donner à leurs enfants le droit d'étudier la peinture, la poésie, la musique et l'architecture."

John Adams (deuxième président des USA) ;

et après c'est un roman d'espionnage pas si retors que ça, lorgnant plus au total vers Ian Fleming que vers John Le Carré. Il y a tout de même des velléités de se hisser au niveau le plus respecté du genre par des points de contact avec la grande Histoire (l'affaire Kim Phillby, un complot originel ourdi dans les coulisses des accords de Munich en 1938, etc.), ainsi qu'une théorie séduisante, il faut bien le dire, pour expliquer pourquoi toutes ces histoires de renseignements, vraies ou avérées, et aussi passionnantes soient-elles, me semblent obstinément s'annuler les unes les autres et constituer au final une agitation parfaitement vaine... Ça se laisse lire, il faut bien le dire, mais les faiblesses se voient quand même gros comme le nez au milieu de la figure. Je crois qu'à l'avenir je préférerais les vrais maîtres du genre à un nouveau David Morell.
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Les conjurés de la pierre

un thriller avec une intrigue menée, on vit dedans, on a envie de connaître la suite, de découvrir ce qui va se passer, les personnages sont attachants avec un passé parfois lourd et douloureux.

on est dans une intrigue terroriste et politique internationale qui débutera dans un monastère.

Dans le silence d'un monastère du Vermont, un homme, Drew, cherche l'oubli d'un passé terrible.

   Une nuit, un commando inconnu exécute tous les moines de la communauté. Seul Drew parvient à lui échapper. Mais le voilà rejoint par la violence qu'il avait voulu fuir. Qui a ordonné le massacre ?

   Drew replonge dans sa vie : le souvenir de ses parents assassinés. Arlene, la femme qu'il a aimée. Son passé de tueur anti-terroriste. Ses réflexes de fauve dressé pour le combat.

   Des alliés inattendus vont lui prêter main-forte une société secrète formée de soldats de Dieu qui, pour défendre l'Église, s'autorisent à tuer.

   On les appelle : les Conjurés de la Pierre.

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