Ellie Midwood

Bonjour à tous !



Post lecture terminée #130



J’ai lu “La fille à la robe rayée”, d’Ellie Midwood, chez Faubourg Marigny, je remercie Laury-Anne Fruit et Romain Naudin pour l’envois de ce livre dans le cadre d’une collaboration commerciale non rémunérée, #servicepresse .



Ce que j’ai pensé de cette lecture …



C’est un coup de cœur pour ce roman historique qui m’a bouleversé !



Si vous me connaissez un peu vous savez que j’adore lire sur la seconde guerre mondiale, et ici c’est c’est sous une autre facette que nous découvrons cette période, en effet nous allons suivre le procès de dénazification, et parallèlement nous sommes immergé à Auschwitz. Ce roman est poignant, inspiré d’une histoire vraie il relate le témoignage de Helena, une polonaise déportée à Auschwitz qui va être sauvée in extremis de la chambre à gaz par Franz, un surveillant SS qui va tomber amoureux d’elle. C’est la première fois que je lis un livre qui relate les procès des anciens nazis.



Une histoire peu commune sur la période qui va vous prendre aux tripes, je ne m’attendais pas du tout à ça, dès les premières pages j’ai été complètement happé et emporté par cette histoire et par la plume fluide et addictive de l’auteure. Certains passages sont durs, elle ne nous ménage pas sur la dureté des camps, je suis à chaque fois horrifiée sur la cruauté humaine.



Ce qui est intéressant dans ce roman ce sont les personnages, Helena m’a touché en plein cœur, et bizarrement Franz aussi, alors que l’on devrait le détester pour toutes les horreurs qu’il a commis. Le caractère psychologique de ce roman m’a totalement captivé, un cheminement percutant qui nous fait aujourd’hui penser au syndrome de Stockholm, mais à l’époque le Dr Hoffman ne parvient pas vraiment à y mettre des mots. J’avoue que j’ai été saisie par cette jeune femme car je me demande comment cela est possible, mais comme je dis souvent on ne sait pas comment on aurait pu réagir dans des circonstances autant abominables. Tout porte à croire que Helanna est sous la contrainte, et c’est ce que le tribunal veut vérifier, mais au fil des pages les choses sont de plus en plus confuses.



Vous l’aurez compris je ne peux que vous conseiller ce roman qui nous parle de cette période sombre sous une autre facette très intéressante, avec un procès pas commun.



J’ai eu un coup de coeur pour la plume de l’auteure et je vais rapidement sortir ses autres romans de ma #pal .



Alors ce roman vous tente ? Aimez vous lire sur cette période ?

Encore un livre sur Auschwitz, mais celui-ci est à mon avis vraiment particulier. Ici, nous suivons Alma Rosé, une violoniste professionnelle à la renommée internationale. Elle est enfermée à Auschwitz, mais elle fait partie des "privilégiés". De par sa renommée et son caractère intrépide, elle réussit à rendre son quotidien légèrement plus supportable, et à sauver des vies pour former son orchestre.

J'ai été happée par ce roman, basé sur une histoire vraie, car on voit un autre côté de ce qui pouvait se passer dans ce camp, où certains prisonniers devaient mettre leur dégoût, leur colère, leur honte et leur haine de côté pour pouvoir survivre et aider d'autres prisonniers à survivre.

La plume de l'autrice est prenante, c'est un livre que j'ai lu très rapidement. On s'attache facilement à Alma et à son caractère pas facile, à son histoire, on partage ses joies et on se prend à avoir peur pour elle...

Coup de coeur.



Un énorme coup de coeur pour cette histoire, pour ces personnages, pour la beauté et la poésie de l'écriture d'Ellie Midwood.

Les allées des librairies comptent plusieurs romans sur cette période historique ! Et les récits de cette période sont souvent particulièrement émouvants.



J'ai vraiment tout aimé dans ce roman. Les personnages si attachants. Le personnages d'Alba en particulier est particulièrement inspirant.

L'écriture fluide, l'histoire poignante et si réelle. J'ai tourné les pages, j'ai frisonné, j'ai versé ma larmes. J'ai été révoltée par les faits, j'ai été soulagée de retrouver certains personnages au chapitre suivant, j'ai été émue aux larmes devant l'injustice, la cruauté.

J'ai été impressionnée par la précision des scènes, la description des lieux, des émotions des personnages.



Je n'ai qu'un conseil, lisez ce livre.

Pour le talent qu'a Ellie Midwood pour écrire des histoires pleines d'émotions.

Pour les faits, qu'il ne faut surtout pas oubliera.

Parce que votre bibliothèque doit contenir de nombreuses pépites comme celle-ci !

(Qui sait ce livre sera peut-être votre meilleure lecture de l'année !).



Un roman puissant et émouvant dont les personnages vous hanteront longtemps !



Je me languis de découvrir les autres livres de cette auteure !

Pour les plus curieux.ses 😇 "La fille qui s'échappa d'Auschwitz" déjà paru et "La fille à la robe rayée" qui paraitra le mois prochain

La fille qui s'échappa d'Auschwitz s'est imposé à moi comme un devoir de lecture, entretenir le souvenir de ce que fut la cruauté nazie. J'ai eu beau lire tant de témoignages réels ou scénarisés, l'histoire décrite ici ne m'a à nouveau pas laissée insensible. Et ce fut compliqué de devoir poser mon livre pour reprendre le cour du quotidien...



L'histoire d'amour entre Edek et Mala nous montre la beauté face à la monstruosité, l'amour face à la haine, la solidarité face à l'individualisme. Sur fond d'horreur humaine, de four crématoire, de punition abjecte ... Auschwitz et ses homologues ou ce que l'être humain a pu inventer de pire dans l'inhumanité...

hé bien que d'émotions aux côtés d'Alma, Violette, Zippy, Sofia et leurs consœurs.

Et que de tendresse entre nos deux amoureux du jour...

Alma Rosé est une célèbre violoniste qui fut emprisonnée à Auschwitz au nom de son art, sa musique, le violon. Repérée pour son talent de violoniste elle va se retrouver à la tête d'un petit orchestre de fortune au sein du camps. Dorénavant c'est elle qui va devoir diriger cette symphonie de musiciennes amatrices et en faire de petits prodiges capables de jouer de fabuleux et délicats morceaux devant les SS. Et quelle tâche de titan pour notre musicienne reconnue, pourtant elle va décider de prendre son rôle à coeur et se jurer de tout mettre en oeuvre afin de rendre la plus confortable possible la vie de ses musiciennes et surtout de les maintenir en vie.

Ses Filles comme elles les appellent vont peu à peu devenir les rouages de sa vie, les chatons à protéger, les louveteaux à nourrir et cocoonner. Alma va se vouer corps et âmes à ces jeunes femmes en leur sauvant la vie à moult reprises, et en leur apportant protection et amour. En séduisant le 'Docteur de la mort" j'ai nommé le terrible Mengele grâce aux délicates notes de musique qui s'échappe de son violon elle va réussir à sauver de très nombreuses femmes au sein du camps en les réunissant près d'elle sous couvert d'un "véritable et fabuleux orchestre". Petit à petit elle va devenir la protégée de Mengele véritablement conquis par la femme et la musicienne. A celui-ci vont s'ajouter Mandl la chef de camps mais également d'autres gardiens allemands qui tour à tour vont se prendre d'affection pour Alma. Elle va devenir une figure importante et respectée au seins du bloc.

Comment ne pas s'émouvoir devant ces douces notes de musique qui nous parviennent grâce aux pages qui se tournent frénétiquement, comment ne pas se laisser emporter par la mélodie qui peu à peu se construit au fur et à mesure que les musiciennes progressent et qui résonne à travers les mots que l'auteure nous offre.

J'ai été conquise, et subjuguée par l'incroyable destin de cette jeune femme, par sa force de caractère, sa bravoure et son courage, sa dévotion et son humanité.

Et comme dirait un certain Lale (le tatoueur d'Auschwitz) "celui qui sauve une vie sauve l'humanité entière.."

Ajoutons à tout cela cette douce et belle romance qui se noue entre deux musiciens de talent.

J'ai beaucoup aimé cette lecture, à la fois forte et tendre, douce et percutante, terriblement dure et incroyablement mélodieuse.

La fin m'a beaucoup émue et j'ai grandement apprécié découvrir la vie d'Alma Rosé, musicienne de renom qui a permis de sauver la vie de nombreuses femmes au sein de ce camp de la mort.

Ma note : 9/10 coup de coeur

Publié initialement chez @faubourg.marigny , maison d’édition gagnant à être connue pour ses choix éditoriaux originaux et ses magnifiques couvertures, ce roman sort en poche.

L’histoire vraie d’une héroïne qui aurait toute sa place parmi les Culottées de Bagieu. Alma, une femme forte et téméraire, qui mit son talent aux services de ses compagnes d’infortune.

La lecture résonne encore au moment d’écrire ces lignes.

Alma Rosé est une violoniste autrichienne de renom. Déportée en 1943 à Auschwitz dans le bloc des expériences médicales, elle comprend que, pour sauver sa vie, elle doit se montrer indispensable aux yeux de ses tortionnaires. Reconnue par un chef de camp, Alma se voit confier la tâche ardue de diriger un orchestre pour divertir les SS. Tâche qu’elle relève avec brio, jusqu’à s’oublier elle-même.

Bien au-delà de sa mission première, Alma, nièce de Gustav Malher, se dresse en véritable chef de file du Block musique. Elle ose dépasser habilement des limites jusque-là infranchissables et demander plus de droits, sous-couvert d’offrir une musique de qualité aux SS (n'y voyant que du feu) : une douche quotidienne pour être présentable en représentation, des rations supplémentaires pour rester concentrées et répéter, un poêle afin que les instruments ne souffrent pas du froid… Son courage n’a d’égal que sa ruse.

La vie d’Alma au sein du camp permet au lecteur d’en découvrir toute l’horreur. Des enfants assassinés aux prisonniers se jetant sur les barbelés, rien ne nous est épargné. Les pages et les horreurs défilent. Il nous serait facile de fermer le livre et d’oublier. Le lecteur a cette possibilité, les prisonniers non. Aller au bout de ce récit, c’est aussi être solidaire et ne pas les effacer. Alma insuffle détermination. Lorsqu’elle joue, Auschwitz n’existe plus.

Le roman est magnifiquement bien mené, documenté et haletant. Un très grand merci à @elliemidwood d’avoir mis en lumière cette femme (presque) tombée dans l'oubli, seule prisonnière juive à être un incinérée dans un cercueil à Auschwitz.

Même le Dr Mengele viendra lui rendre hommage.

Une lecture inoubliable !

Mais quelle claque !

J'aime beaucoup lire sur cette période qu'est la seconde guerre mondiale, et j'arrive encore a découvrir des choses !

Je ne savais pas du tout qu'il y avait des orchestres à Auschwitz Birkenau : un orchestre de femmes, un orchestre d'hommes.



Ici c'est l'histoire d'Alma Rosé qui nous est racontée, cette violoniste se fait remarquer par la cheffe du camp des femmes et transférer au block musique pour diriger l'orchestre qui diverti les SS.

Alma, devenue kapo du block, va profiter de sa position pour sauver plusieurs femmes.



On découvre un aspect de la vie à Auschwitz plus humain, si je peux dire... Les prisonnieres mangent, portent des vêtements autres que l'uniforme, peuvent faire la sieste, ont des sanitaires privés et leurs habits lavés et désinfectés régulièrement.. incroyable.





Sans aucun conteste ce livre est un grand coup de coeur !

L'auteure à une plume magnifique, les pages se tournent toutes seules, un récit bouleversant, avec des personnages forts. Surtout le personnage d'Alma qui avec son caractère à changer les choses à petite échelle bien sûr. Mais ça lui a permis de sauver des vies pour qu'elles puissent par suite témoigner de l'horreur des camps de concentration.



Si vous aimez les récits historiques qui abordent cette période de l'histoire, je ne vous dirais qu'une chose foncez.

Venez à la rencontre d’Edek et Mala, deux personnages magnifiques et attachants qui m’ont vraiment bouleversé.

En commençant ce livre, je vous avoue que j’appréhendais un peu car je n’ai pas aimé La violoniste d’Auschwitz. 🙈

Eh bien comment vous dire que j’ai adoré ?

J’ai été bouleversé, très émue en lisant ce roman.

On sent que l’autrice a fait beaucoup de recherches.

Une très belle plume, je l’ai dévoré j’ai versé ma petite larme à la fin du livre. 😭

On ressent à travers le livre toutes la souffrance qu’ils ont vécue…

J’ai été vraiment émue et touchée par leurs histoires d’amour.

Mala et Edek sont des personnages inoubliables qui seront gravés en moi à vie.

Ce roman nous plonge dans l’enfer obscur d’Auschwitz et je vous invite vraiment à le découvrir, mais avant je vous conseille quand même de commencer par La violoniste d’Auschwitz.

Un roman historique richement documenté qui nous offre beaucoup d’émotions. Ce livre est dur et émouvant mais il nous raconte le terrible destin d’Edek et de Mala.

Je vous invite vraiment à découvrir ce roman inoubliable.

En 1943, Alma Rosé, une musicienne autrichienne de renom est arrêtée et déportée au camp de concentration d’Auschwitz. Après avoir vécu l’horreur du transport et l’arrivée sur le camp, elle arrive à se procurer un violon et se faire remarquer. Grâce à un élan de survie et un besoin irrépressible de sauver les femmes qui l’entoure, elle déploie une énergie spectaculaire à créer un orchestre et en devient la cheffe.



Alma est une héroïne comme on en voit peu. Cette femme est d’une puissance extraordinaire et avec un rien elle a réussi à sauver des vies. Avec elle, la musique prend un sens très différent : elle inspire la révolte, la résistance, l’humanisme et la force.



J’ai déjà lu plusieurs romans qui traitent de la seconde guerre mondiale mais celui-ci montre encore de nombreux aspects que l’on ne pourrait jamais douter. L’écriture est incisive, mais juste. Le travail de documentation de l’autrice est phénoménal… Je me sens vraiment reconnaissante de pouvoir me remémorer ces pans sombres de l’Histoire à travers un roman aussi bien orchestré.



Le personnage d’Alma n’est pas fictif… Dans le camp, elle n’avait plus rien à perdre et à su offrir tout ce qu’elle pouvait à ses compatriotes à l’aide de sa musique. J’ai tant aimé ce roman que les mots me manquent… C’est un livre à lire, relire, offrir, faire découvrir. ❤️

Ouah, quel bel ouvrage ! Témoin d’une femme forte et courageuse. Un livre qui devrait être lu dans le monde entier. Cette violoniste ne doit jamais être oubliée. Bravo à Ellie Midwood qui a su retranscrire cette terrible histoire au creux de l’enfer.

Pour ne jamais oublier.

Ce roman ce n’est pas seulement une histoire d’amour entre deux prisonniers d’Auschwitz, c’est surtout l’histoire d’une résistance, d’un héroïsme à toute épreuve.

Partez à la découverte de Mala Zimetbaum et Edek Galinski, d’une jeune femme et d’un jeune homme qui, le coeur plein d’espérance et de rage, se sont échappés d’Auschwitz. Leur amour leur a permis de tenir et de se battre pour la liberté, pour celles et ceux qui n’en avaient pas la possibilité.

Je me suis surprise à y croire jusqu’au bout, mais la fin de cette histoire ne pouvait être que tragique. Le message est d’une puissance irréfutable, jamais nous ne devons oublier ce qui s’est passé. Jamais. Ça noue l’estomac, ça serre la gorge, ça humidifie les joues, mais lire ces pages (parmi tant d’autres) est d’une grande nécessité.

J’ai du mal à dire si j’ai aimé cette lecture. C’est difficile d’aimer ce genre de lecture. Disons que j’ai été profondément touchée par la délicatesse de l’autrice, par son travail. Et par-dessus tout j’ai été bouleversée par l’héroïsme de Mala et Edek ainsi que de leurs camarades.

Une leçon de vie, un devoir de mémoire.

À lire. « La fille qui s’échappa d’Auschwitz » et tant d’autres.

Tant de livres ont été écrits sur Auschwitz, souvent basés sur des témoignages fondamentaux afin de ne jamais oublier. Le titre de celui-ci interpelle immédiatement, car qui aurait pu s'échapper du funeste camp de concentration ? Il est pourtant bel et bien basé sur l'histoire vraie de Mala Zimetbaum. Ellie Midwood s'était déjà inspirée d'une femme hors norme dans La Violoniste d'Auschwitz, et raconte ici comment Mala utilisait sa position "privilégiée" d'interprète au service des SS pour sauver autant de vies que possible. Sa rencontre avec un autre prisonnier, Edek, va lui donner des rêves d'évasion. Et si c'était possible ?

D'emblée, dès les premières pages nous sommes plongés au cœur de l'enfer, au milieu des barbelés et des projecteurs. Mais au sein de cette cité de la mort s'est peu à peu organisée la résistance autour d'un vaste marché noir dont dépend la survie de beaucoup, et c'est le grand intérêt du livre que de raconter le courage de ces hommes et de ces femmes qui savaient que leur mort était imminente et n'avaient donc plus rien à perdre, déterminés à ne pas plier. Mala est-elle réellement parvenue à s'enfuir avec Edek ?

Un rappel nécessaire que même au milieu des ténèbres il restera toujours un peu d'humanité et que même l'espoir le plus ténu permet de garder un homme debout.

Je fais partie de ceux et celles qui ne lisaient pas de livres avec le mot "Auschwitz" dans le titre.



Non pas que la problématique de la Shoah et le thème général de la seconde guerre mondiale ne m'intéresse pas. J'ai beaucoup lu sur le sujet et je lirai encore sans aucun doute de nombreuses histoires autour de cette période.



La trame dramatique de l'époque est riche en récits divers, en événements dramatiques et héroïques. Peu à peu, les récits se précisent. Les langues se délient et les narrations se diversifient. Les points de vue également.



En tant que partenaire des éditions Faubourg-Marigny, j'ai reçu le dernier roman d'Ellie Midwood, "La fille qui s'échappa d'Auschwitz" quelques jours avant sa sortie début novembre.



Je ne me suis pas ruée dessus. Je t'avoue, ce livre me faisait peur. Très peur même.



Déjà, que novembre est un mois quelque peu déprimant, alors en plus me plonger dans un livre se déroulant entièrement dans un camp de concentration (Auschwitz-Birkenhau...)



Comment t'expliquer mon ressenti?



Je craignais de voir sombrer mon moral au plus profond de ma dépression. J'ai remarqué que les livres aux thèmes plus durs impactaient réellement mon état d'esprit.



Cependant, faire partie des "Flamboyants" de la encore jeune maison d'édition est pour moi un engagement à lire tous les livres proposés. J'ai donc pris mon courage à deux mains et surmonté mes appréhensions pour me lancer dans ce roman basé sur des faits réels.



Je tiens à rassurer tout le monde sur mon état mental. Je vais bien. J'ai lu en parallèle un livre de développement personnel bourré de positivisme pour garder le cap.



Je mentirais si j'affirmais que j'ai dévoré ce roman. Non. Cette lecture était compliquée. Ce genre de roman est pour moi bien plus glaçant que le meilleur des thrillers.



J'adore les livres de Franck Thilliez. J'aime me plonger de temps à autre dans un petit thriller. Mais ici, je n'ai pas trouvé le même plaisir de lecture. Dans un thriller, je sais que l'esprit de l'auteur est tordu.



Le thriller a de bon que l'auteur se contente d'écrire des livres. Il ne passe pas à l'acte (enfin j'espère). Son imagination est débordante, glauque, perverse, machiavélique...Il se contente d'écrire des livres.



Dans "La fille qui s'échappa d'Auschwitz", tu sais que même si le texte est romancé, les atrocités décrites sont vraies. Les humiliations, les coups, la misère, la faim, la mort, la crasse, la violence ont eu lieu.



Cette douloureuse vérité m'a emplie d'effroi.



Il y a une différence entre la deviner et la vivre à travers un récit. Il me semble important de pouvoir se protéger de certaines vérités. La fuite n'est pas l'idée de ce propos.



Non. Loin de là.



Lorsque l'on est hypersensible et que l'on perçoit les horreurs derrière les mots choisis, il est important de pouvoir mettre des limites.



Je ne regrette pas ma lecture. Loin de là. Dire que j'ai aimé me semble indécent. Cependant, découvrir un pan de la vie au cœur des camps d'Auschwitz et Birkenau est hyper intéressant.



Note que Mala et Edward étaient tout deux dans les prisonniers favorisés des camps. Ils avaient des compétences. Ces dernières leur permettaient d'accéder à certains privilèges dont une alimentation légèrement plus fournie.



La traduction de Typhaine Ducellier est de qualité. Le texte d'Ellie Midwood est bon. L'autrice a fait un excellent travail de recherche. La partie romancée est crédible historiquement.



Ce roman tient la route et est enrichissant même si je ne suis pas fan du titre. Pour moi, la mise en avant d'Auschwitz n'était pas nécessaire...



Je le conseille à toi qui aime cette période. Surtout si tu as un moral d'acier et que tu te sens prêt.e à découvrir la vie au cœur des camps de concentration. Fais comme tu le sens!




Lien : https://lire1x.com/2022/12/1..

Un véritable coup de cœur.

Je n’ai pas les mots, ce roman est une œuvre !

J’ai souvent été émeus en lisant certains romans, mais jamais je n’ai versé des larmes comme avec celui-ci.

Nous suivons Alma Rosé, ses craintes, ses peurs, sa tristesse et surtout son histoire avec "ses filles" au sein de l’orchestre du camp d’Auschwitz.

J’aime tellement les romans historiques et d’autant plus quand il s’agit d’une histoire vraie. Ça m’a bouleversé.

J’ai régulièrement fait des pauses pendant cette lecture pour assimiler toutes les monstruosités qui ont pu exister.

Je n’arrive pas forcément à exprimer tout ce que je ressens face à ce roman mais tout ce que je peux dire, c’est qu’il est atrocement incroyable.

Une lecture qui prend au corps et au coeur!



L'année dernière, toutes les lectrices des éditions avaient été marqué par Le violoniste d’Auschwitz ! Une lecture très émouvante,bouleversante et saisissante. Alors imaginez notre réaction quand nous avons appris qu'au mois de novembre, l'auteur Ellie Midwood allait publier de nouveau un roman intitulté " La fille qui s'échappa d'Auschwitz". Nous étions toutes en apnée, guettant la sortie de ce roman afin de s'y plonger dedans.



L'HISTOIRE PARLE DE



Mala est une prisonnière juive, Edek est un prisonnier politique; elle, occupe un poste d'interprète auprès des SS et par conséquent a droit à certains avantages. Lui, fait partie de la résistance au sein des camps et prépare son évasion. Quand ils se rencontrent, ils décident de mettre ce plan à exécution ensemble. Soit ils s’échapperont tous les deux , soit ils mourront ensemble...



MON AVIS



Alors que je referme ce roman, j'ai les larmes aux yeux et je sens que j'ai besoin de quelques minutes pour retrouver mes esprits. Quelle histoire! Quel destin! Quel courage! Quel homme! Quelle femme!



Deuxième roman lu de l'auteur, je l'attendais avec tellement d'impatience et je n'ai pas été déçue.



C'est un roman bouleversant de réalisme. On retrouve la plume de l'auteur qui nous propose une véritable immersion au coeur des camps de concentration. On voit ces prisonniers, la maltraitance, le processus de déshumanisation; on sent la crasse, la boue; on entend les pas des SS qui rythment les journées. C'est une plongée dure, saisissante et prenante dans cet univers que nous propose l'auteur et au milieu de l'horreur elle campe des personnages forts, plus que courageux qui ravivent l'espoir: l'espoir de vivre, d'être libre et de croire encore en l'humanité. Avec Alma, le personnage de son précédent roman, on assistait à une destinée marquante; ici c'est toujours le cas. Mala et Edek incarnent la résistance, la lumière au milieu des ténèbres et c'est criant de vérité, de sincérité. Il ne faut pas oublier qu'il s'agit d'une histoire vraie. Difficile de retenir ses larmes à la lecture de certains passages qui sont profondément bouleversants. Je me souviendrai longtemps de Mala et d'Edek, de leur force, de leur intégrité et de leur espoir.



J'ai lu de nombreux livres sur le sujet et je crois que celui-ci restera gravé dans ma mémoire longtemps. L'auteur a fait de nombreuses recherches pour nourrir son récit, ça se sent car c'est très réaliste. On retrouve le personnage d'Alma à certains moments et c'est émouvant de la retrouver.



Une lecture difficile mais nécessaire pour que le devoir de mémoire perdure et surtout pour ne pas oublier ces destins , ces hommes et ces femmes!

Quel beau roman des éditions Faubourg-Marigny !



Des romans sur la seconde guerre mondiale, il y en a beaucoup, mais celui-ci fait parti de mes préférés sur cette période. Cette histoire est romancée mais se base sur des faits réels. On y découvre la vie d’Alma Rosé, cette talentueuse musicienne, déportée et devenue cheffe d’orchestre à Auschwitz, ainsi que son tragique destin.



Ce que j’ai aimé dans celui-ci, c’est de suivre une prisonnière qui fait partie des privilégiés du camp. Alma arrive à s’attirer les faveurs des SS hauts placés grâce à sa musique, ce qui lui vaut son rôle de cheffe d'orchestre et de kapo du Block Musique. Cela lui permet d’obtenir un Ausweiss pour pouvoir circuler librement sur le camp, des vêtements, des rations supplémentaires pour elle et les filles de l’orchestre, un poêle pour chauffer leur bâtiment. Que de privilèges pour des prisonniers d’Auschwitz. Nous ne suivons que de loin les horreurs perpétrés sur les prisonniers. C’est donc un roman dur, mais pas aussi difficile que certains livres sur ce sujet.



Alma est une femme exceptionnelle qui n’a pas hésité à affronté les SS au péril de sa vie pour toujours demander plus de privilèges. Elle s’est fait la promesse de protéger coûte que coûte les filles qu’elle a recruté dans l’orchestre et sauvé d’une mort certaine.



Cette lecture a aussi été enrichissante car j’ai appris de nombreuses choses supplémentaires sur le fonctionnement d’Auschwitz, notamment sur les différents directeurs de camps qu’il y a eu et leurs personnalités, le Kanada qui permet du troc pour récupérer des affaires des déportés exterminés dans les fours crématoires, la résistance dans le camp.



On ressent beaucoup d’émotions tout au long de cette lecture, et en particulier sur la fin qui est bouleversante. J’ai beaucoup aimé la façon dont l’auteure nous a conté cette histoire et je salue le gros travail de recherche que cela a dû lui demander.



Je ne peux que vous recommander de partir à la rencontre d’Alma. Ce roman est un véritable hommage à cette femme remarquable et à la musique.

Un coup de cœur ♥♥♥ phénoménal !!!! Je savais que ce roman allait me plaire car les critiques étaient bonnes et aussi parce que j’adore lire sur cette période mais là !!! J’ai reçu un uppercut !!!!



Ce roman est un pur bijou !!! La plume de l’autrice est magnifique !! Elle nous décrit les choses ,les lieux , et les émotions si bien que nous imaginons à peu près ce que cette femme a pu ressentir !!



Alors , bien entendu je dis « à peu près » car il sera toujours impossible pour nous d’imaginer ce que ces gens ont pu ressentir dans les camps . Et on se demande (moi en tous cas ) comment des choses pareilles ont existé !!



Évidemment on ne va pas refaire l’histoire ….. mais si j’ai un conseil à donner lisez ce livre !!!! Un grand bravo à l’autrice pour ses recherches et son écriture .

Ce livre rend hommage à Alma Rosé violoniste de renom enfermée dans le camp d'Auschwitz pendant la guerre . Avec une plume sûre et efficace, Ellie Midwood partage son histoire, nous faisant osciller entre espoir et désespoir. L'auteur place le lecteur au cœur d'une symphonie parfaitement orchestrée par Alma . Elle se démène, s'organise du mieux qu'elle peut et use de tous les petits pouvoirs que son statut lui confère au sein du camp pour protéger ses musiciennes envers et contre tout .

Et puis malgré toute l'horreur, malgré l'inimaginable, la musique se joint à l'amour, à la solidarité et glisse petit à petit un peu de magie dans cet enfer sans nom.

Ce roman est un coup de cœur! Il se lit facilement malgré les émotions qu'il inspire. L'auteur connaît la limite à ne pas franchir et sait calmer le jeu quand c'est nécessaire. On ne peut pas faire autrement que de continuer jusqu'au bout malgré les larmes, malgré l'apnée déclenchée par la lecture de cette réalité. Effectivement, le lecteur ne sortira pas indemne de ce livre mémoire .Et c'est très bien comme ça car jusqu'aux dernières pages, Ellie Midwood nous tient en haleine avec beaucoup de talent!

Wow… je ne sais pas trop par où commencer. J’ai du mal à trouver les mots précis pour vous parler de cette histoire. J’ai lu de nombreux témoignages et histoires centrés sur les camps nazis d’Auschwitz-Birkenau. Chaque histoire en révèle davantage, non seulement sur la haine et le mal perpétrés par le régime nazi, mais aussi sur l’incroyable bravoure, la résilience et la force des prisonniers.



C’est un livre tellement douloureux mais si bien écrit… On parvient à se mettre dans la peau des détenus et ce dont ils ont été témoins jour après jour. Comment les soi-disant humains peuvent être si sans âme, je n’en ai aucune idée.

Mais ce que je sais avec certitude c’est que Ellie Midwood a créé une histoire qui met en lumière la vie d’Alma Rosé, son influence, son intégrité et son héritage - comment elle a pu donner de l’espoir à une orchestre de détenus dans l’endroit le plus dur et difficile, comment elle a pu construire des rêves au milieu d’un chaos, comment elle a pu donné de la force et du courage à un groupe de femmes affamées qui respiraient l’air contaminé par la mort. Apporter le pouvoir magique de la musique au milieu de l’enfer, c’est ça ce qu’Alma a réussi à faire.

L’histoire est émouvante, touchante et chargée d’énergie. La plume est très fluide, c’est un roman qui se dévore. Mais c’étaient plutôt les mots de l’auteure à la fin de l’œuvre qui m’ont bouleversé.



S’il vous plaît, lisez ce livre 🥺 et oui, préparez vos mouchoirs…