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Critiques de Fabien Vehlmann (1404)
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Le Dernier Atlas, tome 1

Très chouette uchronie française qui se passe entre Nantes, l'Algérie et l'Inde.

Elle méle des truands à la recherche d'uranium et des robots gigantesques construits dans les années 50 et 60, et on permit l'édification d'immeubles, la modernisation de la France jusqu'à ce qu'un incident mystérieux nécessite l'arrêt complet de la production et leur démantélement.

Des années après, à la recherche d'uranium, Ismael Tayeb, bras droit d'un truand nantais (qui place des machines à sous dans les bars) profite d'une demande particulière d'un chef de réseau algérien pour tenter de remettre en marche un de ces géants qui le fascinait étant gamin.

BD multiples, avec de l'action, du fantastique, sur une période peu utilisée en BD. L'uchronie est légère mais existante et permet l'existence des ces robots géants.

Bref c'est vraiment bien. Dessin précis, avec de vrais trognes, colorés.

A la base c'est prévu sur 3 tomes.
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Seuls, tome 2 : Le maître des couteaux

Ce second tome m'a laissé sur ma faim. D'un côté, il y a de l'aventure, des rebondissements et d'autres choses qui m'avaient plu dans le premier tome, d'un autre côté les défauts du premier opus y sont aussi : le dessin, notamment. La façon de caser ne s'est pas amélioré. Avec un petit défaut en plus, toutefois : le manque d'originalité. En effet, les psychopathes qui veulent égorger des gamins à l'aide d'un ou plusieurs couteaux, c'est du vu et du revu. Bref, un épisode des plus moyens.
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Seuls, tome 1 : La disparition

Cette bande dessinée m'a laissé mitigé.

D'un côté, il y a des choses plutôt convenables, ce n'est pas désagréable. L'aventure y est.

Mais plusieurs éléments m'ont gêné ; le scénario, d'abord. J'ai eu l'impression que l'auteur désirait davantage remplir des cases, que faire avancer l'action. Dommage, car l'action aurait pu être l'occasion de créer un mystère tout à fait passionnant. Les cases sont remplies de discussions anodines, d'événements secondaires, de peu d'intérêt…

Le dessin m'a également gêné, ou pour être précis la façon de caser. Le dessinateur voulait, de toute évidence, faire monter la tension par une certaine façon de caser, qui, pour ma part, me semble tout bonnement artificielle. C'est tout simplement le recyclage des bonnes vieilles recettes en la matière, et c'est plutôt fatigant.

L'aventure y est, mais elle pourrait être meilleure.
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Polaris : La nuit de Circé

Jeanne Condorcet est lieutenant de police. Elle doit enquêter sue un meurtre apparemment sexuel. Il s’agit d’une jeune femme dont le nom est : Élise Eternay. Un homme, qui avait sans doute été présent dans l’immeuble où fut retrouvée la victime, François Vasseur, a été retrouvé pendu à son domicile. Les deux personnes faisaient partie d’une société secrète, le Cercle de Circé. Le but avoué de ce cercle est les jeux érotiques, plutôt à caractère SM. La police classe vite l’affaire en un jeu érotique qui a mal tourné et dont Élise en est la victime et que François, culpabilisant, s’est sans doute pendu dans la foulée du drame. Mais Jeanne n’est pas satisfaite de l’enquête trop vite bâclée et conclue et, intriguée et attirée par les jeux érotiques du Cercle, décide d’en apprendre un peu plus et de pénétré la société. La jeune femme policière qui ne cache pas non plus envie de libido, décide de devenir membre de cette société et se fait parrainée par l’une des personnes les plus influentes de Circé…



Le graphisme de cette bande dessinée érotico-policière, ou plutôt de ce roman graphique, est assez particulier. Parfois, les visages des personnages sont déformés. On se demande si c’est une volonté du dessinateur o si c’est sa technique particulière. Les dessins ne sont pas toujours aussi beaux que l’on peut l’espérer. Le scénario est quant à lui assez complexe mais aussi assez embrouillé. L’enquête fini par ne plus en devenir une. Il n’y a jamais vraiment de suspens sauf à se demander si Jeanne, l’héroïne, va passer ou non à la casserole. Elle est toujours coincée entre son boulot de flic et ses désirs et fantasmes les plus enfouis. Elle avance et recule. On lui ouvre des portes pour ensuite lui refermer. C’est assez agaçant. Quant à l’érotisme, s’il est bien présent, est étouffé par la lourdeur de l’enquête et de l’histoire et même par la noirceur des dessins. Le texte est serré, cette bande se lit effectivement plus comme un roman que comme une bande dessinée. J’aurais préféré des dessins plus épurés, un scénario plus dynamique et rythmé pour vraiment m’emballer par cette histoire. La fin est aussi étrange, comme si elle était coupée de l’histoire. Bref, c’est mitigé et déçu que j’achève ce livre, avec presque le regret de ne pas l’avoir abandonné en cours. J’attends d’autres avis, je suis peut-être de ceux qui passent à côté d’un livre que d’autres trouveront bon. Lu en format KINDLE sur iPad Pro avec une bonne numérisation.

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Paco les mains rouges, tome 2

Ma médiathèque a cette BD, c'est un tome 2, mais elle n'a pas le tome 1 : C'est bien dommage.

Mais un court résumé en début de lecture pose le cadre de départ de l'histoire. Après il n'y a plus qu'à suivre cette histoire avec presque pas de dialogues : c'est juste un témoignage. Ce mode de narration m'a un peu déstabilisé au début, mais finalement c'est un peu comme une voix off sur un documentaire filmé.

Et ce documentaire ci, expose ce qu'était la vie au bagne dans l'entre deux guerres : une communauté à part, une sorte de ville parallèle, ou la survie est une lutte permanente.

C'est assez glaçant.

Mais très intéressant.
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Paco les mains rouges, tome 2

Imagine un décor de carte postale, une île paradisiaque, des pensionnaires bien nourris,

« Mais tu t'emmerdes à un point que tu peux pas imaginer. »

Du coup, sur les îles du Salut, la principale cause de décès, c'est le meurtre, grossier,

pour tuer le temps, ou pour d'autres motifs banals, bref des gamineries.

A part ça, des couples se forment, exclusivement homosexuels (Il n'y a pas de femme sur l'île),

quelques artistes du tatouage, publient une littérature très expressive,

entre rêve et résignation.

Enfin personne n'oublie les requins qui gardent l'île, eux aussi bien nourris,

par les cadavres des prisonniers assassinés.

Bref, cette île est une vrai prison,

et comme dans toute prison il y a des humains, et donc de l'humanité,

que cette Bd se charge de dessiner avec beaucoup de simplicité.

Du même scénariste, on trouvera l'excellent triptyque Green Manor, petite série de meurtres dans la « bonne » société anglaise.
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Les Derniers Jours d'un immortel

La science-fiction a cela de pratique qu'elle permet, en modifiant les conditions d'une situation donnée, de poser des questions philosophiques existentielles : qu'est-ce qui fonde notre humanité ? Dans la société imaginée par Fabien Vehlmann et Gwen de Bonneval, le corps n'a plus d'importance, ni la mort : on change de corps, on transfère la mémoire, on convie ses amis à ses propres funérailles qui sont joyeuses et apaisées. L'humanité se définirait-elle alors dans son rapport avec l'Autre, voire l'Extra-Autre ? Elijah est un spécialiste des protocoles extra-terrestres. Il est celui que l'on dépêche sur les situations problématiques : pour accueillir les peuples candidats à l'adhésion dans l'Union (Union des peuples de la galaxie, basée sur la compréhension mutuelle des systèmes sociaux, économiques et juridiques de ces mêmes peuples) ou encore pour résoudre des enquêtes multi-millénaires.

Ainsi Fabien Vehlmann et Gwen de Bonneval nous livrent-ils une BD très réussie, servie par un graphisme sobre et pourtant très inventif, multipliant les détails astucieux qui montrent un futur à la fois lisse et inquiétant. Une très belle réussite.
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Seuls, Tome 7 : Les terres basses

Dans ce tome, nous voyons une nouvelle fois combien l'amitié et la solidarité sont importantes pour surmonter les obstacles et vaincre la peur. A l'image de Dodji et Saul s'unissant pour pour trouver un moyen de s'échapper de la zone rouge, on comprend que le bien du groupe doit parfois passer avant son bien personnel, afin de garantir la survie de chacun.

Entre l'apparition de l'épaisse brume blanche, celle des zombies ainsi que l'engloutissement progressif de la zone rouge, nous allons de surprise en surprise. Je suis toujours scotchée à la lecture d'un nouveau tome de "Seuls". Gazzotti et Vehlmann n'ont pas leur égal pour bâtir une intrigue aussi riche en rebondissements. En revanche, le dénouement me laisse assez perplexe. Je trouve que l'ensemble devient un peu trop complexe... A trop vouloir en faire, les auteurs risquent peut-être de lasser certains lecteurs.
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Seuls, Tome 3 : Le clan du requin

Dans ce troisième tome, les auteurs relancent habilement l'intrigue en conduisant Dodji et ses amis à la rencontre d'un autre groupe de survivants. D'abord heureux de se mêler à d'autres enfants, nos jeunes héros se sentent bientôt mal à l'aise au sein du clan du requin. L'ambiance est étrange, pesante, menaçante. Ils comprennent rapidement qu'une fois entré dans ce clan, personne ne peut plus en sortir, à moins de ne plus beaucoup tenir à la vie... En effet, sous le masque angélique de Saul se cache un garçon insensible, cruel et menant son clan d'une main de fer. Le refuge se transformant peu à peu en prison, Dodji et les siens entrent en conflit direct avec Saul. La relative tranquillité du parc n'est plus qu'un souvenir...



Que de rebondissements dans ce tome ! Le personnage de Saul, à la fois charismatique et sombre, m'a donné la chair de poule. Non seulement, nous découvrons de nouveaux personnages, mais nous commençons aussi à entrevoir les évènements qui ont conduit à cette situation. La mémoire de certains enfants refait surface et libère au compte-goutte d'étranges informations. Finalement, un pan du voile se lève mais nous sommes toujours autant dans l'obscurité ! La suite devrait nous apporter quelques éclaircissements... à moins que le mystère ne s'épaississe encore. Les deux me vont !
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Seuls, Tome 7 : Les terres basses

Les enfants décident de passer dans la zone rouge, seulement une partie de la bande de Saul est transformée en "zombies" (si je puis dire). Les choses se compliquent de plus en plus.
Lien : http://latetedelart2.blogspo..
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Seuls, Tome 4 : Les cairns rouges

La petite bande du début c'est considérablement agrandie, ils ont récupéré tout le clan des requins et ils ont construits une sorte de forteresse pour les accueillir. Bien-sûr tout ne se passe pas comme dans le meilleur des mondes... pas du tout !
Lien : http://latetedelart2.blogspo..
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Seuls, tome 2 : Le maître des couteaux

Les enfants seuls se font plaisir et cèdent à la gourmandise, dévalisent les magasins de jouets, se roulent les pouces... ça tourne mal même pour certains.
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Sept, tome 1 : Sept Psychopathes

L'histoire est celle d'un homme qui rassemble autour de lui 6 personnes plus ou moins psychologiquement stables dans un seul but: éliminer Hitler, ce sémillant chef d'Etat de la première moitié du 20è siècle. C'est sans doute avec 7 Yakuzas le meilleur album de la saison 1. Pourtant, il souffre d'un handicap majeur : la constitution de l'équipe est bien trop longue. Du coup, derrière, l'histoire de butage d'Hitler est plus courte que ce qu'elle aurait méritée d'être. Cependant, le scénario, extraordinaire, inventif et audacieux, relève largement cet écueil. Les sept personnages ont le mérite d'être bien barrés et très distincts. Le dessin joue quant à lui beaucoup sur les jeux d'ombre et l'ambiance de la guerre et de la psychose est bien retranscrite dans le dessin.
Lien : http://croqlivres.canalblog...
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Seuls, Tome 7 : Les terres basses

Il faut fuir la zone rouge. Le sol continue à s'affaisser et certains enfants ont été changé en zombies. Mais par quel moyen réussir à s'échapper alors que la terre elle-même semble vouloir les engloutir? Il s'agit encore une fois encore de rester unis avant tout.



Encore un tome plein d'aventures et qui finit une nouvelle fois par un rebondissement qui nous amène à souhaiter rapidement le prochain volume...


Lien : http://0z.fr/1UL6l
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Les Derniers Jours d'un immortel

Voilà bien longtemps qu'une BD de science-fiction ne m'avait pas autant captivé.



L'histoire est assez complexe et difficile à résumer. Nous sommes dans un futur indéterminé et les humains vivent en harmonie avec plusieurs races extra-terrestres. Ils sont immortels et ne peuvent se reproduire qu'après en avoir reçu l'autorisation. De la même manière la mort résulte d'un choix clairement exprimé par l'individu. Toute personne peut se cloner en plusieurs exemplaires et réintégrer plus tard la mémoire de ces "échos", en contrepartie de la perte de ses souvenirs les plus anciens.

Nous suivons un policier "philosophe" qui doit résoudre les conflits et aplanir les incompréhensions entre les races extra-terrestres.



Au-delà de l'histoire, qui est très cohérente, et dont le futur nous dira si elle a été visionnaire, on est saisi par la simplicité et l'épure des dessins. Il y a aussi tout un tas de trouvailles sur notre vie quotidienne dans le futur qui sont assez exaltantes (la piscine par exemple...).



En tout cas les amateurs de SF passeront un très bon moment.
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La Cuisine des Ogres : Trois-fois-morte

Cette BD est délicieusement horrible. Nous sommes plongés dans l'univers des ogres et plus particulièrement de leur cuisine. Les détails sont parfois un peu écoeurants mais une fois embarqués dans l'aventure on veut savoir où cela va nous mener. La Blanchette est une petite fille très courageuse et pleine de ressources. On croise quantités de personnages très intéressants. C'est drôle, plein d'énergie et quelques réflexions bien pensées sur le courage, l'entraide et les blessures infligées aux enfants. Et la qualité des dessins et couleurs est formidable. Je recommande pour ceux qui aiment les univers fantastiques.
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La Cuisine des Ogres : Trois-fois-morte

L’histoire raconte la mésaventure de Blanchette, une jeune fille aux cheveux blancs, capturée avec ses amis par un croque-mitaine nommé Grince-matin qui les emmène au cœur de la montagne appelée « La Dent du Chat ». Dans cet endroit caché aux yeux des humains règne une population d’ogres gastronomes, fervents amateurs d’ingrédients délicats. Malheureusement, Blanchette et ses amis se retrouvent sur un marché de vente de nourriture prêt à partir précisément dans la cuisine des ogres, condamnés à une destinée culinaire peu enviable, ils se retrouvent plongés au milieu des fourneaux...



C’est dans ce contexte que nous découvrons le monde d’ogres gourmands et leurs secrets de cuisine, un endroit souterrain caché où l’espoir subsiste de trouver des amis avec qui apprendre à ruser, développer des stratégies et trouver le courage pour échapper à un destin funeste.



Ce superbe conte horrifique nous invite à réfléchir sur la détermination, le courage, l’amitié, la chaîne alimentaire et la liberté. Les illustrations remarquables sont sublimes, précises et complètement immersives, donnant vie à un univers à la fois monstrueux et incroyable, avec des décors richement détaillés et tous en finesses. Les couleurs sont toutes aussi recherchées, vibrantes et créent des atmosphères envoûtantes.



Un coup de cœur !

Nous avons adoré l’univers graphique merveilleux, peuplé de créatures extraordinaires et agrémenté d’un Lac à vaisselle stupéfiant, les nuances de couleurs offrant des ambiances fascinantes ; et l’intrigue riche offrant une plongée dans l’univers incroyable de la cuisine sanglante des ogres, mais où la magie opère avec une fantastique alchimie.



Ce one-shot sera suivi d’une suite comprenant deux histoires à venir, mettant en lumière un personnage secondaire. Vivement !
Lien : https://www.instagram.com/bd..
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La Cuisine des Ogres : Trois-fois-morte

Chef d'oeuvre! Et je pèse mes mots.



Fabien Vehlmann et Jean-Baptiste Andrea nous racontent une histoire. Celle d'une enfant, Blanchette, la fille du boucher. Ses cheveux ont blanchi d'un coup suite au décès de sa mère et pour une raison qui nous ait inconnue au début du récit, elle a fugué.



On la découvre donc en compagnie d'orphelins en mode survie.



Le récit démarre très vite par le rapt des orphelins par le Croque-mitaine. Puis survient un preux chevalier qui attrape Blanchette et se rue à la poursuite du kidnappeur. Et tout ce petit monde atterrit dans la cuisine des Ogres.



Je ne vous raconterai pas la suite pour ne pas vous spoiler. Mais sachez que les auteurs vous ont déployé un monde riche. Riche de grasse nourriture. Riche de mythologie. Un monde où se croise des fées, des korrigans, kraken et minotaure. Riche de danger mais aussi d'amitié. Un monde cruel dans lequel une promesse ne peut être brisée.



Les illustrations sont magnifiques, à la hauteur de l'inventivité du scénario. Les planches sont très immersives et servent parfaitement l'ambiance du récit.



On retrouve dans ce volume l'esprit de Jolies ténèbres du même scénariste. Je vous invite également à bien regarder les planches car il y a quelques caméo en clin d'oeil aux autres ouvrages de Fabien Vehlmann.



L'histoire est complète et n'appelle donc pas de suite mais comme j'ai très envie de retourner sur les rives du lac vaisselle, j'espère que les auteurs continueront d'exploiter cet univers empreint de merveilleux.



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Seuls, tome 9 : Avant l'Enfant-Minuit

Mes neveux, 8 et 10 ans, sont fans de cette BD. Ils la lisent et la relisent.



Il me fallait donc savoir de quoi il en retourne.



Et me voilà à la découverte de cet univers.



Dans ce tome, il est question de choix, de peur, de séparation, de damnation.
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Seuls, tome 2 : Le maître des couteaux

J'avance tranquillement et me voilà maintenant la fin du tome 2.



Je m'attache aux personnages et les intrigues sont toujours autant intrigantes 😉



La fin de ce tome est particulier car on apprends, ou plutôt on spécule sur un nouveau personnage sans pour autant être sur de qui il est....

Intrigant n'est-ce pas 🙃
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