Fabrice Parme

Astrid Bromure, petite fille de parents riches, s'ennuie dans son bel appartement depuis que ces derniers sont partis en voyage. Les quinze prochains jours risquent d'être bien longs... Le majordome et la cuisinière, affairés chacun de leur côté, tentent d'occuper la petite fille en l'invitant à aller jouer à la balle avec Fitzgerald ou changer la litière de Gatsby. Mais, ça ne l'intéresse pas et Astrid s'ennuie toujours. Attendant impatiemment l'heure du repas, elle remarque qu'une de ses dents bouge. Le majordome se réjouit : la petite souris va bientôt passer. Une vieille légende à laquelle Astrid ne croit pas malgré toutes les tentatives de persuasion du majordome et de la cuisinière qui ne manquent pas de donner moult détails sur ce petit rongeur. La petite fille décide alors de l'attraper pour leur prouver que tout ceci sonne faux...



Un premier tome des aventures d'Astrid Bromure, cette petite fille riche qui s'ennuie un peu dans son immense demeure située au sommet d'un building new-yorkais. Ses parents milliardaires s'absentant beaucoup, ce sont essentiellement le majordome et la cuisinière qui s'occupent d'elle. Et cette fois-ci, ils se seront mis d'accord à propos de l'existence ou non de la petite souris qui, selon eux, serait blanche avec des chaussons verts et une lanterne fixée à son chapeau. Astrid veut en avoir le cœur net aussi met-elle un plan pour l'attraper. Fabrice Parme nous plonge dans une ambiance un brin rétro et l'on fait connaissance avec Astrid Bromure, une petite fille attachante, espiègle et à l'esprit vif. Enjoué, vivant, cet album jeunesse a tout pour plaire aux adolescents. Graphiquement, le trait est dynamique et précis, les cases fourmillent de détails et les teintes en aplats pastel collent parfaitement à cette ambiance pétillante.

Une quenotte qui bouge ?

La Petite Souris ne va pas tarder à débarquer...



Mais, gare à toi Petite Souris car Astrid est bien décidée à percer ton secret. Quand on connaît Astrid, cette petite fille de famille archi bourgeoise, très délurée, qui n'a pas la langue dans sa poche et qui n'est jamais à cours d'idées farfelues, il convient de s'inquiéter !



D'abord, est-ce qu'elle existe La Petite Souris qui vient chercher les dents de lait sous l'oreiller et laisse un joli sou bien brillant à la place ? Hum..hum...Ne comptez pas sur moi pour vous dévoiler ce mystère.

Allez plutôt lire Astrid Bromure, une BD pour la jeunesse pleine d'humour et très plaisante à lire ! Vous ne le regretterez pas...

Quelle charmante Bd jeunesse !

Je n'ai pas lu les deux premiers tomes d'Astrid Bromure mais après avoir découvert ce troisième volet, je compte bien me rattraper !

C'est rafraîchissant, bien mené, dynamique et très drôle !



Astrid Bromure est l'enfant d'un couple riche à l'allure guindée et plutôt snobinarde. A son grand regret, elle découvre qu'elle est la seule enfant unique de l'arbre généalogique familial qui, excusez du peu, remonte aux Wisigoths. Alors, quand elle apprend qu'il existe des enfants sauvages au Gabokonga, elle n'a plus qu'une idée en tête. Se rendre là-bas et en ramener un petit frère !

Astucieuse et finaude, elle n'aura aucun mal à décider ses parents. Et hop, embarquement au bord du zeppelin et en route pour la jungle ! Dépaysement garanti et lecture plaisante assurée !



Cette Bd se lit vraiment très bien, avec un sourire perpétuel aux lèvres et quelques esclaffements intempestifs. Fabrice Parme épingle de manière subtile ce que fut la colonisation et le choc des cultures. On y retrouve également le thème de l'enfant sauvage si souvent revisité, exposé ici simplement et de façon très abordable pour des enfants à partir de 8 ans.



Une belle trouvaille !

Il neige chez Astrid et elle s'ennuie...

Heureusement, cela sera de courte durée.

Un yéti vient de s'échapper lors de son transfert au zoo et bien sûr, c'est sur la terrasse de la très haute maison d'Astrid Bromure qu'il vient se réfugier.

Quelle aubaine pour notre malicieuse et débrouillarde héroïne. Voilà de quoi occuper ses journées d'hiver !



Un album toujours aussi plaisant à lire. J'ai particulièrement aimé dans celui-ci l'attitude de la mère, à dix mille lieues de la réalité et très bornée dans ses a priori !



Un dessert servi par l'Abominable Homme des Neiges ? Volontiers !

Il neige, Astrid est confinée en haut de son gratte-ciel elle avec ses parents et le personnel. On apprend à la radio que le yéti, destiné au zoo de la ville, s’est échappé. On est parti pour une cure d'espièglerie car évidemment, le Yéti va faire irruption dans la vie d’Astrid et provoquer du ramdam chez les riches. Voici une histoire pleine de quiproquos, de bouleversements, de situations burlesques, c'est un huis-clos qui bouge sans cesse, un très bon épisode de la série (ils sont tous bons), drôle, rythmé, on fait le plein d'espièglerie, une lecture pétillante et rafraîchissante !

Bonjour ! C'est moi Astrid Bromure !

Aujourd'hui, et je n'en suis pas coutumière, je m'insurge contre mon créateur.

Dans quelle pagaille m'as-tu encore fourrée Fabrice ?!!

Pour une fois que je suis sage et obéissante ! Je voulais juste un lapin tout mignon, moi...

Mais, là, je ne sais pas ce qu'il t'a pris ! Tout le monde semble s'être accordé pour n'en faire qu' à sa tête.

Tout d'abord, ma mère et ses chapeaux extravagants. Tout ça pour être en première page des magazines !

Ensuite, mon père avec sa collection d’œufs impériaux. Que ne ferait-il pas pour obtenir le cinquante-deuxième qui lui manque !

Enfin, ma mère, dans un excès de bonté, lui a sauvé la mise en l'achetant aux enchères à ...tenez-vous bien...un million et un dollars. Une bagatelle, me direz-vous pour mes parents milliardaires..Mais je tiens tout de même à dire que si je n'avais pas prêté le seul petit dollar qui me restait dans ma tirelire, eh bien, il lui aurait passé sous le nez son œuf décoré ! Et comment je fais moi maintenant pour m'acheter le petit lapin si mignon qui ne coûtait justement qu'un dollar ?

Je ne vous parle pas de Fitz qui ne trouve rien de mieux que de faire la chasse à trois colombes évadées. Sans parler de Gatsby qui fait voler en éclat un magnifique vase. (Enfin, il s'avère que ce n'était pas vraiment de sa faute à mon pauvre minou..)



Alors, voilà, moi qui voulais juste jouer à cache-cache avec mon petit lapin tout mignon, je me retrouve dans une belle pagaille de chapeaux échangés et d’œufs disparus.

Et si tout cela venait de mon lapin ... charmeur ?

C’est toujours un plaisir de retrouver Astrid, la petite fille riche, espiègle aux idées parfois farfelues, avec le dessin un brin rétro de Fabrice Parme. Les personnages guindés de cette série ne sont pas dénués de piquant, il y a du rythme, du mouvement, un peu de fantastique, et beaucoup de facéties. Les parents sortent, Astrid va se retrouver avec ses cousins sous la garde d’une baby-sitter, Patience Poppyscoop, la nièce de la préceptrice. C’est encore un épisode plaisant, mais un ton en dessous des six précédents, j’ai moins ri, j’ai trouvé Astrid plus sage, moins fantasque, les cousins auraient pu apporter bien plus de bazar encore, est-ce qu’elle s’assagit avec l’âge, j’espère bien que non.

C’est une légère déception, en comparaison avec le niveau global de la série, mais ça reste une bande dessinée sympa.

Qui fera les frais cette fois-ci des nouvelles facéties d'Astrid Bromure ? Ou plutôt de ces demi-cousins qui débarquent un soir de garde.

La baby-sitter ? Ils en ont lessivé plus d'une.

Dans cet album, on ne sait pas bien qui remportera la palme du plus turbulent.

Entre Astrid, ses cousins, les animaux de compagnie et la super baby-sitter, il y a un sacré challenge !



Comme toujours, j'ai beaucoup apprécié cette bande dessinée pour la jeunesse pleine de charme et d'humour. Ceci dit, je l'ai trouvée un peu moins surprenante que les précédents tomes.

Pour autant, je ne m'en lasse pas !

Astrid Bromure est une enfant gâtée, capricieuse et têtue, elle vit dans une grande demeure entre le majordome et la cuisinière, les parents étant absents pour une longue durée. Elle décide de percer le mystère de la petite souris qui vient la nuit échanger les quenottes contre une pièce. Fabrice Parme nous offre une histoire déjantée, burlesque, un peu loufoque, pleine de peps et d’humour, avec un personnage touchant malgré son caractère égoïste. Une lecture divertissante, pleine d’espièglerie, d’humour pétillant, pour tous les âges.

300 000 dollars de frais d'inscription pour envoyer leur chère progéniture en internat, c'est inespéré. Un tel tarif protège de tout : des grossièretés, des mauvaises rencontres...On aurait pu en rajouter mais ce n'est pas dit dans la BD ; cependant, j'imagine bien que la liste doit être longue quant aux raisons de certains parents à ne pas inscrire leur enfant dans le public !

Bref..là n'est pas le sujet !

Cette chère petite Astrid, dont la perceptrice vient de démissionner, se retrouve au pensionnat de Canterville destiné aux jeunes filles de bonne famille. Elle en est ravie : ses parents peuvent dormir sur leurs deux oreilles et elle aussi !

Quoique...

A défaut de mauvaises rencontres, il y a tout de même cette légende pas très rassurante qui raconte que les fondateurs du pensionnant et leurs anciens élèves hanteraient les lieux ... Rien de tel pour ficher la frousse à Astrid !



Voici un album à la portée des jeunes lecteurs toujours aussi sympathique et qui se laisse lire avec plaisir. Fabrice Parme, sans en faire trop, y glisse quelques clins d'oeil faisant référence à l' "univers impitoyable" de l'école : les enfants ayant d'excellents résultats scolaires y sont malmenés par les autres alors que les costauds deviennent vite populaires...mais sous la plume légère de l'auteur, Astrid, toujours aussi perspicace, résolue et pétillante de vie, saura bien naturellement se tirer de ce mauvais pas.



Une lecture à conseiller aux plus jeunes, sans nul doute !

Merci à Babélio et à sa masse critique spécial BD, ainsi qu'aux éditions de Sèvres de m'avoir permis de découvrir cette petite Astrid.

Je ne suis pas une grande fan de BD, mais toujours prête à découvrir, donc partante pour cette aventure.

J'avoue, je lis souvent les BD comme un livre, un roman, sans trop m'attarder sur les dessins.

Je commence donc ma critique sur l'histoire en elle-même. Je la trouve inaboutie. Astrid se retrouve dans un pensionnat plein de fantômes, et...???? Malheureusement je trouve que l'histoire se termine en "queue de poisson" !

En revanche, coup de coeur pour moi en ce qui concerne les dessins. Je les trouve net, précis, jolis, les couleurs sont tendres et agréables à découvrir.

Les bulles et la police d'écriture sont aussi très agréables à lire.

Pour conclure, je pense qu'il s'agit d'une BD très sympa pour les enfants.

D'ailleurs, je vais laisser mes 2 filles de 10 et 7 ans découvrir cette petite fille espiègle !

Menphis, en 48 avant J.-C…

Un soir, Imeni et Antinoüs pêchent tranquillement sur les bords du Nil.

Mais bientôt, une gamine un brin espiègle vient les taquiner en se faisant passer pour la reine Cléopâtre !!! En réalité, elle s'appelle Cléo et elle travaille durement pour un patron de maison de bière. Imeni, lui, ferait n'importe quoi pour se rendre intéressant et le reste du temps il aide son père, un tailleur de pierre égyptien. Antinoüs, lui, est plus malin, c'est le fils d'un vendeur d'olives grec et il est toujours accompagné de son fidèle petit fennec, Fenk, qui a la fâcheuse habitude de mordiller tous les mollets qui se trouvent sur son chemin.

Mais les enfants surprennent une conversation et découvrent que le Général Achillas veut tuer Cléopâtre et prendre sa place. Vite ! Il faut sauver Cléopâtre !

Suspens et aventures sont au rendez-vous du premier roman de la série Les enfants du Nil.

Ce premier tome scelle le début d'une indéfectible amitié entre les trois enfants âgés de 10 ans ainsi qu'une fidélité sans faille à la reine. le récit est rythmé et les illustrations tricolores apportent une dose d'humour supplémentaire à cette série pleine de fraîcheur et de références historiques.



Dès 8 ans.

Cette fois ci c'est en Ecosse que nous suivons l'inénarrable Astrid Bromure.

C'est toujours aussi loufoque, peut être même un peu trop en ce qui concerne cet épisode.

Quoiqu'il en soit, cette BD a un côté vintage très appréciable. L'humour et les clins d'œil amusants sont bien présents et Astrid toujours aussi prompte à faire moult bêtises !

Dans ce quatrième tome de la série, Astrid, la petite enfant gâtée va découvrir l’origine du monstre du Loch Ness. On va aussi faire connaissance avec le petit frère de sa maman, tout aussi farfelu qu’Astrid, il s’adonne à des recherches scientifiques dans le château de famille au bord du fameux lac. Bêtises et catastrophes en tous genres vont nous entraîner dans une aventure improbable, épique, rocambolesque, pétillante et drôle. Les personnages ont de fortes personnalités bien campées et le dessin est dynamique et expressif, tout ce qu’il faut pour une lecture distrayante, amusante et qui donne la banane.

Cette série de Fabrice Parme est vraiment sympathique, on peut la découvrir très jeune, mais il y a quelques petites réflexions disséminées pour être appréciées par un public plus âgé.

J'ai passé un bon moment de lecture mais c'est tout.

Le début du récit pouvait laissé espérer quelques références historiques, mais ce n'était que la mise en situation on passe vite dans une histoire assez loufoque digne de Laurel&Hardy, où les situations qui semblent inextricables s'enchaînent avec des rebondissements improbables menés par deux espions plein de ressources.

Faut-il croire aux fantômes?



Astrid espère guérir son ennui dans un pensionnat pour jeunes filles. Elle va apprendre à se faire des amies et comment devenir populaire. Mais dans cet internat, il n'y a pas que des élèves et des enseignants et Astrid n'est pas très rassurée...



Mon coup de coeur lors du tome 1 est renouvelé avec ce deuxième tome toujours aussi soigné et agréable! J'ai replongé avec joie dans ces tons pastels qui participent de l'ambiance singulière. Cette fois la petite fille est moins cinglante dans ses propos car moins rassurée (puisque hors de chez elle) mais tout aussi perspicace et drôle. Elle est le seul personnage à avoir d'aussi grands yeux, on la reconnaît aussitôt dans le groupe. Astrid affirme son caractère particulier et je suis séduite.

Le chat et le chien apparaissent mais ne participent pas à cet épisode. En revanche une part plus grande est laissée aux parents, offrant des scènes fort amusantes. Je crois bien d'ailleurs qu'il n'y a pas une seule page sans une situation comique ou une bonne réplique!

J'ai adoré quand Astrid tente de monter à la corde et surtout lorsqu'elle est de corvée de nettoyage! Quel brio ! Sans parler de la course poursuite dans la grande bâtisse de l'école en pleine nuit!!!

Les décors sont somptueux et on en a un superbe exemple page 25.



Astrid Bromure c'est un condensé de bonne humeur!

Fabrice Parme signe là un magnifique album! Je suis déjà en attente de lire le prochain!!!



De vifs remerciements aux éditions Rue de Sèvres pour ce cadeau et grand merci à Babelio pour cette Masse Critique!

J'ai aimé cette bande dessinée découverte complétement par hasard, les dessins de la cité vénitienne sont vraiment très beaux et les espions envoyés sur place sont très agréable à suivre.



Dès le début nous assistons à leurs chamailleries et comme ils logent au même endroit cela n'est que le début de leur galère.



Ils ont bien sûr tous les deux des talents également, elle en tant que cantatrice et lui en tant que peintre. Mais tous deux ont des identités différentes lorsqu'il est question d'espionnage.



J'ai le tome 2 que je vais m'empresser de lire, une lecture agréable avec de très beaux dessins.

J'ai dévoré le premier tome et j'ai tout de suite entamé le second, j'ai été un tantinet déçu car je l'ai trouvé en dessous du premier opus.



Les dessins sont cependant toujours aussi beau et le récit tient la route, j'aurais bien suivi l'Aigle et le Scorpion pendant d'autres aventures…



Une jolie découverte je ne regrette pas ces deux lectures.

Spirou va aller faire le groom ailleurs. Sur un paquebot de croisière de luxe par exemple. Fantasio est aussi du voyage (cherchant quelques bons scoops pour son journal) ainsi que le conte de Champignac qui est embauché par les assurances de la compagnie pour éclaircir un mystère. Effectivement il a doté deux paquebots d'un champ de force pour résister aux icebergs. mais le premier à partir ne mer à disparu sans laisser de trace depuis 1 semaine.



Cette fois-ci ce sont Lewis Trondheim et Fabrice Parme qui vont donner leur version de Spirou. Un tome qui renoue avec la légèreté et l'humour.

Je trouve que le ton, comme le dessin, est un peu trop enfantin. Les personnages de cette bande dessinée sont très caricaturaux, toujours gesticulant et dans l'excès. Bon c'est sur que ça fait du remue ménage tout ça!

L'histoire est un peu farfelue, rien de sérieux là dedans! Complétement même devrais-je dire! C'est assez rigolo au début mais je trouve cela un peu lassant sur le tong terme. On enchaine plus les gags et les situations burlesques qu'autre chose. il faut le prendre comme un divertissement léger qui pourra plaire aux plus jeunes.

Après avoir lu le tome 7 des aventures d'Astrid Bromure, j'ai emprunté le 1er tome à la Médiathèque.

C'est une variante très humoristique de l'histoire de la petite souris qui dėmontre à nouveau l'esprit très imaginatif de cette Demoiselle Bromure. Elle écoute chaque jour un "feuilleton" à la radio qui, bien sûr, diffuse des publicités et, en particulier, celle-ci "votre feuilleton préféré vous a été proposé par les dentifrices Quenottes ! Quenottes chasse les caries, pas les amis !".

Elle vient justement de perdre une dent mais ne croit pas â cette histoire de petite souris et va donc mener une enquête digne "d'Hercule Carotte".

J'ai beaucoup souri et lirai avec plaisir les autres tômes de la série.