Fabrice Parme

L’an passé le premier tome d’Astrid Bromure enthousiasmait autant votre serviteur que sa plus grande fille ; du coup nous attendions avec impatience ce second tome. Impatience largement récompensée au vu de la qualité du scénario de Comment Atomiser les Fantômes, qui voit notre adorable chipie décider de suivre l’enseignement d’une grande école qui répond à l’évocateur nom de Canterville (ceux pour qui ce nom n’évoque rien vont vite aller se procurer l’intégrale des écrits de l’auteur indispensable qu’est Oscar Wilde). Outre ses nouvelles coturnes, des jumelles retorses prêtes à tout pour s’enfuir de l’internat, Astrid va surtout avoir à faire aux innombrables fantômes et revenants qui infestent Canterville. Ce second épisode fonctionne plus comme une histoire à part entière que le premier, qui était plus une suite de gags, et les personnages en sont d’autant plus intéressants, la jeune héroïne en tête. Outre un humour fin et léger, Fabrice Parme fait à nouveau des merveilles point de vue dessin, son style, toujours dans la lignée des dessins animés d’antan, est un vrai régal. ET l'ambiance musicale: http://bobd.over-blog.com/2016/01/week-end-jeunesse-on-a-garde-le-meilleur-pour-la-fin-astrid-bromure-2-vs-the-adventures-of-rocky-bullwinkle.html
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Ses parents viennent à peine de partir en vacances que déjà, Astrid s’ennuie. Il faut patienter quinze jours avant de les revoir. En attendant, Astrid – petite peste maline et capricieuse – va devoir passer son temps avec Benchley (sorte de cousin éloigné du Nestor de Tintin) et Madame Dottie (gouvernante un peu nunuche mais Ô combien bienveillante).



Et c’est, alors qu’une nouvelle journée n’en finit pas de s’étirer pour la jeune Astrid, qu’elle sent une dent de lait bouger. Elle n’en finit plus de questionner les deux adultes qui lui tiennent compagnie, remarque leurs contradictions et en vient à la conclusion évidente que la petite souris n’existe pas. Face à leur refus d’avouer l’évidence, Astrid décide donc de tendre un piège à la petite souris, histoire de surprendre un de ces deux fieffés menteurs la main dans le sac. Au pire, si la vraie petite souris pointe le bout de son museau, Astrid est bien décidée à la dézinguer !



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Fabrice Parme (La Famille Pirate…) se lance dans une nouvelle série jeunesse. Voyons si celle-ci captive son lectorat et s’assure la confiance des parents…



Drôle et enjoué, le scénario a tendance à inciter le lecteur à poursuivre sa découverte. On est face à un univers dynamique et pétillant, où la ruse est présente à chaque page. La personnalité d’Astrid la rend conviviale malgré le fait qu’elle parvient à avoir l’ascendant sur les adultes. Cela reste crédible au vu du contexte : la fillette est l’unique héritière d’un couple bourgeois et influent, les domestiques n’ont qu’à bien se tenir.



Le dessin de Fabrice Parme est pour le moins surprenant. Les planches sont chargées d’illustrations et le propos est trop souvent verbeux. D’ailleurs, ce dernier me laisse dubitative.



En effet, le scénario complique la vie à son jeune lecteur. Bourré de jeux de mots et de références qui ne sont pas à sa portée, il rend quasi impossible le fait que l’enfant-lecteur soit autonome à la première lecture. Proposant un vocabulaire propre à une certaine couche sociale (emploi du juste mot avec un peu de préciosité… attention, nous voilà face à quelque chose de raffiné messieurs dames), les dialogues nous emmènent dans une intrigue qui se complique à mesure que les pages se tournent. L’enfant-lecteur se retrouve immanquablement balloté par la situation et doit gérer, outre le fait que le sens de certains mots lui échappe totalement, une chasse à la petite souris qui révèle l’existence d’une manipulation commerciale assez vicieuse.



(Lire l'avis intégral sur le blog)
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Qui est à la fois pétillante, loufoque, sympathique, drôle, attachante mais aussi un brin peste ? C'est bien sûr cette nouvelle héroïne pour enfants et adolescents, Astrid Bromure ! Elle débarque avec sa personnalité bien marquée et en 30 pages elle compte bien mener la vie dure à la Petite Souris…( à moins qu'il y en ait plusieurs…) !

Fabrice Parme propose avec Comment dézinguer la Petite Souris, premier tome de la série Astrid Bromure, une BD déjantée et joyeuse, rythmée par l'esprit et la langue bien pendue de la jeune et un peu effrontée Astrid ! Une histoire charmante qui prend pied dans le décor des années 20 avec une héroïne qui a de la suite dans les idées ! Vous n'allez pas vous ennuyer à ses côtés !
Lien : http://www.lirado.fr/astrid-..

Pouic Pouic Houmba



ou plus traditionnellement "A l'abordage"



En effet, après le dessin animée voici la bande dessinée. Je connaissais un peu la série par le biais de mon neveu (ha les gosses et le petit écran). Pré-publier dans Spirou, cela se laisse lire.

Le scénario de Picaut et de Parme reste bien dans la lignée des dessins animées ainsi que le dessin. Va-t-il ravir les grands comme c'est le cas des petits.... faut voir. En attendant, c'est une histoire bien ficelée, un Mac Bernick qui se fait toujours autant avoir par son m'as tu vu de voisin et des personnages qui respectent leurs caractères, défini par la série animée.

Une histoire inédite qui je l'espère, sera suivie par d'autres.

Ce tome 2 est dans la même veine que le précédent: une fillette imaginative, un élément fantastique et de l’humour. Cette fois, nous ne sommes plus dans la maison d’Astrid, située au sommet d’un grand immeuble, mais dans un pensionnat pour fillettes prétendument hanté. Pour de vrai?



C’est mignon et rigolo, même si l’auteur aborde succinctement le thème du harcèlement scolaire. La façon dont c’est fait reste légère et pas approfondie, ce n’est pas la BD à lire si le sujet vous intéresse, mais c’est néanmoins présent.



La BD ne fait que 40 pages, je n’en dis pas plus, mais je vous recommande la série si vous appréciez les séries jeunesse amusantes et bien tournées.
Lien : https://bienvenueducotedeche..

C'est toujours avec plaisir que je me cale dans mon fauteuil avec la malicieuse petite Astrid. Que faire d'autre que de passer un bon moment à rire doucement des jeux de mots, des facéties et des aventures de notre drôle de famille milliardaire ? En effet, focus sur la richesse de la famille dans ce tome avec un style à l'air du temps du cosy mystery. Qui vole les œufs de la collection du père ? Qui pour rembourser Astrid du dollar investi alors qu'elle voudrait sauver ce lapin tout mignon de l'animalerie ? Qui a subtilisé le chapeau coco de la mère ? Alala j'ai bien de la chance d'avoir le 7e volume pas loin de moi !

Il fait froid et Noël approche à grand pas. Astrid me tend la main pour qu'on aille ensemble attraper le yéti. Quelqu'un l'a enfermé dans une cage et il a réussi à s'échapper jusqu'au manoir des Bromure. Les allusions cinématographiques et les petites blagounettes m'ont fait sourire. C'est si bon enfant ! Aucun doute, je poursuivrai ses aventures !

Parmi les 3 tomes que j'ai déjà lus, ce n'est pas forcément mon préféré. Peut-être est-ce du au cliché des sauvageons qu'on retrouve du vintage-raciste (comme le Tintin au Congo) ? Sûrement mais ce n'est pas pour autant que je n'ai pas passé un bon petit moment de lecture avec la pétillante Astrid, pleine de ressources et de malices avec toujours des dialogues drôles et piquants.

Quand j'ai découvert récemment Astrid, j'avais trouvé cette petite si fraîche et si débrouillarde que je me suis dit que je n'allais pas la quitter de si tôt. Quelle chance de tomber sur le seul volume dispo à ma biblio ! Les tomes peuvent se lire séparément mais j'aime bien suivre l'ordre de sortie (on sait jamais ^^). Ici, Astrid s'ennuie à mourir, quoi de mieux que de s'inscrire au pensionnat pour jeunes filles distinguées pour être entourée ? Entourée, elle va l'être .. mais de fantômes !! C'est drôle, pétillant et charmant avec ces couleurs pimpantes.

Astrid s'ennuie. Quand une de ces dents commence à bouger, tout le monde lui dit que la petite souris existe et qu'elle va mettre une pièce sous son oreiller. Astrid décide alors de mettre au point un piège pour prouver à tout le monde qu'elle (la Petite Souris) n'existe pas. Mais d'étranges événements et une pub pour dentifrice vont tout bousculer...

Un album plein de fraîcheur ( bien qu'Astrid soit une peste ) et qui revisite avec humour le mythe de la "Petite Souris".

La série qui avait débuté comme "Une aventure de Spirou et Fantasio par..." change d'intitulé. Il s'agit maintenant pour Dupuis de pleinement assumer l'hommage rendu au groom par les meilleurs orfèvres de la BD. On a donc sur la couverture la mention "Le Spirou de...", ce qui est plus clair et dissipe pas mal d'ambiguïtés.



Alors qu'il s'attend à être viré, Spirou change d'affectation. Il embarque sur un paquebot suite à des réorganisations financières. Il y retrouve la cliente qui lui en voulait au Moustic Hotel. le chien à mémère de cette cliente réagit au quart de tour en présence de Spip, qui se cache le plus souvent dans le calot de son maître, mais va aussi jouer un rôle actif dans l'aventure.



D'ailleurs, petite digression, les 6 premiers tomes de cette série d'hommage ont un trait commun... Spip. C'est assez incroyable de voir à quel point un personnage secondaire est considéré comme incontournable. On a Champignac parfois, Seccotine, Zorglub... mais on a toujours Spip. Idéfix, Rantanplan, Milou, Spip... je suis sûr que les auteurs se creusent pour trouver un compagnon animal à leur héros.



A bord du transatlantique, la vie s'écoule nonchalamment. Spirou croit Spip bien au chaud avec Fantasio pour le garder. Mais à la recherche d'un scoop, celui-ci s'est fait embarquer à l'insu de son plein gré. Il est à bord et mitraille tant qu'il peut la star qui s'y trouve. On croise Champignac chargé d'enquêter sur la disparition d'un autre paquebot de la compagnie. Dotés d'un champ de force, les paquebots devraient être protégés contre les aléas du trajet. Hélas, l'activation du champ de force fait couler le bateau. Protégé, oui mais au fond de l'eau.



Les quiproquos s'enchaînent et le zazou de Fantasio va vite avoir un gros fan club de jeunes célibataires prêtes à tout pour un cliché. Lui n'aura d'yeux que pour la star des pipoles à bord. Attachement qui va se révéler réciproque...



Prenons un moment pour évoquer le graphisme. Très rétro, teinté de ligne claire (on est supposé se trouver dans les années 50, ou 60), pantalons à pinces et robes cintrées très bien rendues. Par contre, les visages et les bras/jambes m'ont moins convaincu. C'est parfois très simple. Trop.



Au scénario, Trondheim donne la pleine puissance de son talent loufoque. Cela part dans tous les sens, mais cela reste cadré (par rapport au tome 5 de la série qui me semblait parfois trop chaotique). Cela dit, 62 planches, c'est long et on s'essouffle parfois avec des cases inutiles et des planches où il ne se passe pas grand-chose.



Divertissant, mais n'ajoutant pas grand-chose à l'univers de Spirou. Sauf pour Spip qui intervient fort à propos à plusieurs reprises pour sauver l'équipage des deux paquebots coincés au find de l'océan. Et dire qu'il manque de finir rôti à la broche par des voyageurs affamés... Chouette scène où Spirou menace lesdits voyageurs de leur lâcher Spip dessus en guise de représailles...

La famille MacBernik est une famille de pirates comme les autres. Les enfants (Scampi et Bigorneau) vont à l’école pour devenir pirates pendant que Lucille, la femme de Victor, est à la maison. Victor, le père, n’est pas un très bon pirate. Mais bon c’est une famille unie. Ils n’ont pas leur langue dans la poche et ont des valeurs et leur propre code d’honneur.

Mais l’Os-à-Moelle est frappé d’une interdiction de naviguer pour « dettes diverses et variées ». Un pirate sans bateau n’est plus un pirate !

Voilà Victor obligé de chercher du travail à Pôle Abordage. Il devient la risée de tous et même la taverne refuse de le servir !

Le pauvre Victor Mac Bernik en est réduit à devenir naufrageur, une activité pourtant interdite sur l’île de la Tortue.

Une nuit, il fait donc échouer un galion. A la place du trésor attendu, il trouve une cale pleine d’esclaves noirs...



Une BD pleine d'humour et très plaisante pour les plus jeunes

Pour une fois, ce n’est pas une BD qui est produite en dessins animés mais l’inverse !

A la recherche d'un mystérieux ouvrage, nos deux espions continuent de déambuler dans la cite des Doges.

C'est toujours aussi drôle, aussi divertissant. Les rebondissements sont épiques, les quiproquos sont au rendez-vous et les dialogues sont piquants à souhait!



On en reprendrait volontiers! Dommage qu'il n'y ait pas de suite.

La Famille Pirate tome 2 ou ce moment étrange où tu te rends compte que tu as beaucoup trop regardé la série quand tu étais gamin car en lisant l'album tu entends la voix de chaque personnage avec leurs façons de parler et leurs intonations.



Rien à dire de particulier sur cette BD si ce n'est qu'elle est à l'image du dessin animé donc si votre enfant aime la série ou s'il apprécie les histoires de pirate, cette aventure lui parlera. Et si vous êtes un adulte en qui cela réveille des élans de nostalgie, vous pouvez ensuite faire un tour sur YouTube pour revoir quelques épisodes de la série : https://www.youtube.com/channel/UCSuviPYajE-Glk-pu5unYCQ/featured

Tout d'abord, merci à Babelio et aux Editions "Rue de Sèvres" de nous avoir envoyé cette bande dessinée que j'ai lu avec mon fils de 9ans. Nous ferons la critique ensemble.

Astrid Bromure vit à New-York dans une magnifique maison entourée du majordome Benchley, de la bonne Dottie, de Gasby, le chat et de Fitzgerald, le chien. Ses parents fortunés se sont absentés et voilà qu'Astrid perd une dent!! La chasse à la petite souris commence pour Astrid qui ne croit pas du tout en son existence....

Beaucoup d'humour dans cette bande dessinée, nous avons ri des idées saugrenues d'Astrid pour attraper la petite souris!!

Les personnages sont attachants, drôles au graphisme rappelant certains dessins animés de mon enfance. Nous avons aimé les dessins et les couleurs clairs.

Une très belle bande dessinées pour les enfants à offrir lors de la perte d ela première dent!!

Astrid Bromure appartient à un longue lignée de terribles gosses : qu’un accueil enthousiaste lui soit réservé !
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..

Des tranches de vie autour des doudous, symboles de l'enfance : Maxime, l'adolescent qui veut se débarrasser de son mignon Kokoala, Hugo, le garnement qui veut un monstre surpuissant pousse Brütor à la bagarre, les filles Tiffany et Dorothée qui ont reçu respectivement un Panda et un poney-licorne-pégase.

Des quiproquos et de la mauvaise foi car Panda pense que Tiffany est son cadeau de Noël, Brütor qui préfère la discussion et les travaux d'aiguilles voulait une petite fille et Tigre blanc, l'esseulé qui se cherche un doudou/propriétaire.

Chacun a ses raisons pour partir à la recherche de la sorcière maigre et de l'ultime dragon pourpre dont le donjon est protégé par le gardien des clefs (une bien pratique pour fermer les bouches).

La baby sitter arrive à point nommé pour mettre bon ordre à l'aventure et tout le monde au lit !



Lewis Trondheim (scénariste) et Fabrice Parme (dessinateur) signent une fable pleine de tendresse et d'humour, qui fait la part belle à l'imaginaire, dans un pays de cocagne où les peluches ont la parole et où le décor est en confiseries.
Lien : http://ocommecolomb.blogspot..

Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Astrid Bromure ?

"C'est Emjy Dingleybell qui m'a conseillée cette bande-dessinée à plusieurs reprises, aussi bien pour mes neveux que pour moi et il est rare que je ne suive pas ses conseils mais je ne la trouvais jamais en librairie. Alors, quand j'ai fini par tomber dessus, je n'ai pas hésité."



Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

"Astrid s'ennuie sans ses parents, dans son immense maison, en compagnie de son chat, de son chien et du petit personnel. Elle décide donc de prouver que la petite souris n'existe pas..."



Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

"Si l'héroïne s'ennuie, nous pas du tout et, à condition de ne pas devoir passer derrière elle pour réparer ses bêtises, on s'amuse bien ! J'adore les dessins, qui fourmillent de petits détails à observer et décortiquer, et je l'ai trouvée aussi très lisible, bien mise en page, avec une écriture majuscule. Ça peut paraître être un détail mais je pense que c'est vraiment un plus pour les plus jeunes. Finalement, Astrid est la digne héritière d'Eloïse avec, en bonus, un chat qui parle. Que demander de plus !"



Et comment cela s'est-il fini ?

"J'ai bien sûr envie de lire la suite, c'est vraiment une chouette petite bande-dessinée à un prix très raisonnable et je vais maintenant la faire découvrir à mes neveux avec grand plaisir."
Lien : http://booksaremywonderland...

Astrid est une gamine richissime et dont le plus grand problème actuellement est l'ennui. Ah tout de même, un événement va perturber ce calme plat mortel : une de ses dents de lait bouge, la petite souris devrait passer. A elle de prouver que la bête n'existe pas ! C'est drôle, fantaisiste, fou-fou et très divertissant. BD humoristique sortant du cadre et bien chouette à lire !

D'abord attirée par la couverture montrant le personnage principal à l'allure bien déterminée entouré de ses petits compagnons que sont son chat et son chien, j'ai dans un second temps était interpellée par le sous titre "Comment dézinguer la Petite souris". J'ai trouvé osé de s'attaquer à cette légende et ce d'autant plus que ce titre s'adresse aux enfants, aussi j'ai été très curieuse de voir comment cela allait être traité. Au final cette BD est bourrée d'humour et respecte totalement notre légende enfantine. Le dessin est superbe, les couleurs sont très bien choisies car elles collent vraiment au contexte. Bien que l'histoire parte un petit peu en tous sens celle ci reste bien mignonne et les personnages sont très sympathiques (j'aime beaucoup le chat). Enfin j'ai apprécié le choix effectué pour l’enchaînement et l'agencement des vignettes . Au prime abord cela semble être une présentation assez classique toutefois on se rend vite compte que l'histoire ne se joue pas seulement via le dessin et les dialogues mais passe largement par la présentation de l'image. Cela est flagrant dans cette BD. Voici donc un bel objet graphique, ne vous laissez pas impressionner par le titre, les enfants prendront certainement plaisir à le découvrir.