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Citations de Fiodor Dostoïevski (3140)


[...] prononça fortement un Français à l'air aussi avenant qu'imposant, d'une trentaine d'années, et qui portait sur le visage cette noblesse si extraordinaire qu'elle en devient insolente et qui frappe si fort à voir la figure de tous les Français.
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Aucun danger, le couple n'échappera pas à son millier, le million est indispensable, et, à la fin, il apparaît toujours sous forme de récompense de la vertu. Le bourgeois ne se trahira pas.
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C'est l'affaire d'un instant. On couche l'individu et un large couteau s'abat sur lui grâce à un mécanisme que l'on appelle guillotine. La tête rebondit en un clin d’œil.
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Et de fait, le portrait représentait une femme d'une exceptionnelle beauté, en robe de soie noire, d'une coupe à la fois très sobre et élégante ; sous une coiffure d'intérieur, très simple, ses cheveux paraissaient châtains ; ses yeux étaient sombres et profonds, son front pensif. L'expression de son visage était passionnée et plutôt hautaine.
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C'est la coutume dans le pays de saluer les gens qu'on croise et de leur dire bonjour, qu'on les connaisse ou qu'on ne les connaisse pas.
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Un Bulgare m’a récemment conté à Moscou les atrocités que commettent les Turcs et les Tcherkesses dans son pays : craignant un soulèvement général des Slaves, ils incendient, égorgent, violent les femmes et les enfants ; ils clouent les prisonniers aux palissades par les oreilles, les abandonnent ainsi jusqu’au matin, puis les pendent, etc. (...) Ce sont les Turcs qui torturent les enfants avec une jouissance sadique, arrachent les bébés du ventre maternel, les lancent en l’air pour les recevoir sur les baïonnettes, sous les yeux des mères, dont la présence constitue le principal plaisir.
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On compare parfois la cruauté de l’homme à celle des fauves ; c’est faire injure à ces derniers. Les fauves n’atteignent jamais aux raffinements de l’homme. Le tigre déchire sa proie et la dévore ; c’est tout. Il ne lui viendrait pas à l’idée de clouer les gens par les oreilles, même s’il pouvait le faire.
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Je me souviens
de la tristesse intolérable qui m’envahissait ; j’avais envie de
pleurer ; tout m’étonnait et m’inquiétait. Ce qui m’oppressait
affreusement, c’était la sensation que tout m’était étranger. Je
comprenais que l’étranger me tuait.
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Au demeurant, le général était, comme on
dit, encore vert ; il avait cinquante-six ans tout au plus, âge où
l’homme s’épanouit et commence sa vie véritable
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voilà deux cents ans que nous sommes déshabitués de toute action… Des idées fermentent, du reste, dit-il à Piotr Pètrovitch, il y a même une volonté du bien, quoiqu’elle soit enfantine ; on trouve aussi de l’honnêteté malgré l’afflux d’une nuée d’escrocs, mais de l’initiative, il n’y en a pas ! Ça ne court pas les rues.
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Sache, imbécile, que, si nous autres nous ne croyons plus, c’est par pure frivolité : les affaires nous absorbent, les jours n’ont que vingt-quatre heures, on n’a pas le temps, non seulement de se repentir, mais de dormir son soûl.
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Il y a trois jours, dans une auberge, il y eut aussi une histoire : un autre écrivain avait dîné et ne voulait pas payer : « Pour cela j’écrirai un article satirique sur vous dans la gazette », avait-il dit au tenancier. Une autre fois, sur un bateau, un plumitif avait gratifié des plus gros mots la respectable famille d’un conseiller civil (sa femme et sa fille). Il n’y a pas longtemps encore un autre a été botté et jeté hors d’une pâtisserie. Voilà comment ils sont, les hommes de lettres, les littérateurs, les va-nu-pieds… ouais ! Attends que j’arrive moi-même chez toi… gare à toi alors ! Tu entends ? Va-t-en.
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Il aime qu’il y ait dans le discours plus de noblesse que de sincérité ; moi, au contraire, j’aime que mon discours ait plus de sincérité que de noblesse, et tant pis pour la noblesse !
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Eh oui, je le sais bien ; où serait-il, sinon chez le Seigneur ; seulement il n’est plus ici avec nous en ce moment, tout près, comme il restait autrefois. » Oh ! si je pouvais le revoir une fois, rien qu’une fois, sans m’approcher de lui, sans parler, en me cachant dans un coin. Seulement le voir une minute, l’entendre jouer dehors, venir, comme il le faisait parfois, crier de sa petite voix : « Maman, où es-tu ? »
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Concevant la liberté comme l'accroissement des besoins et leur prompte satisfaction, ils altèrent leur nature, car ils font naître en eux une foules de désirs insensés, d'habitudes et d'imaginations absurdes. Ils ne vivent que pour s'envier mutuellement, pour la sensualité et l'ostentation. Donner des dîners, voyager, posséder des équipages, des grade, des valets, passe pour une nécessité pour laquelle on sacrifie jusqu'à sa vie, son honneur et son amour de l'humanité, on se tuera même, faute de pouvoir la satisfaire.
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Fiodor Dostoïevski
L'art sauvera le monde.
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Un chef d'oeuvre intemporel et impérissable
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Son socialisme, ses convictions, ses espoirs, elle les a fondés sur sa foi en la perfectibilité morale de l’homme. Elle avait, en effet, de la divinité humaine, une haute notion, qu’elle exaltait de livre en livre, et ainsi s’associait-elle par la pensée et par le sentiment à l’une des idées fondamentales du christianisme.
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George Sand n’est pas un penseur, mais elle est de ces sibylles qui ont discerné dans le futur une humanité plus heureuse. Et si, toute sa vie, elle proclame la possibilité, pour l’humanité, d’atteindre à l’Idéal, c’est qu’elle-même était armée pour y atteindre.
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George Sand aimait les dénouements heureux, le triomphe de l’innocence, de la franchise, de la jeune et simple bravoure. Était-ce là ce qui pouvait troubler la société, faire naître des doutes et des craintes ?
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