Critiques de Florence Metge (107)
Une histoire simple et intéressante, rien de terrifiant, j’ai bien aimé. La région de Lozère est bien détaillée, un bon moment d’évasion en lisant ce livre numérique.
Héritière de la maison secondaire de ses parents, l’installation et le projet de chambres d’hôtes de Faustine est compliquée à Saint Lucie. Par la lecture de Faustine sur l’histoire de la bête du Gévaudan, est relaté les « prémices » historiques de la Bête.
Une effraction de la clôture du parc des Loups du Gévaudan ? La découverte d’un corps, dans la propriété Faustine, enterré avec les photocopies d’un document concernant une vieille affaire ? Une lycéenne retrouvée morte au pied de la statue de la Bête, à Saint-Chély, Un corps de femme lacéré est retrouvé ? Est-ce le retour de la Bête ?
Héritière de la maison secondaire de ses parents, l’installation et le projet de chambres d’hôtes de Faustine est compliquée à Saint Lucie. Par la lecture de Faustine sur l’histoire de la bête du Gévaudan, est relaté les « prémices » historiques de la Bête.
Une effraction de la clôture du parc des Loups du Gévaudan ? La découverte d’un corps, dans la propriété Faustine, enterré avec les photocopies d’un document concernant une vieille affaire ? Une lycéenne retrouvée morte au pied de la statue de la Bête, à Saint-Chély, Un corps de femme lacéré est retrouvé ? Est-ce le retour de la Bête ?
Je remercie chaleureusement Florence Metge pour l'envoi, en service presse, de son roman : Meurtres en Gévaudan.
Juin 2017, Saint-Chély-d’Apcher.
Le corps d'une lycéenne est retrouvé en partie dévoré au pied de la statue de la bête du Gévaudan. Ce crime ne tarde pas à évoquer ceux commis dans la région par la mystérieuse créature, 250 ans auparavant...
Avril 2018.
Faustine quitte la région parisienne pour s’installer dans l’ancienne maison familiale en Lozère. Elle pensait réaliser son rêve : commencer l’écriture d’un roman et ouvrir des chambres d’hôtes. Pourtant, les cartons à peine défaits, une sinistre découverte brise son élan...
Existe-t-il un lien entre ces événements ? Qui sème de nouveau la terreur dans l’ancienne province du Gévaudan ? Et si la bête revenait hanter la région ?
Meurtres en Gévaudan est un thriller revisitant l'affaire de la bête du Gévaudan.
Nous découvrons une jeune femme de 25 ans, Faustine, venue s'installer dans la maison familiale pour la transformer en maison d'hôte, à proximité du parc à loups du Gévaudan. Les paysages ont l'air magnifiques, et il est très agréable de les découvrir en compagnie de la jeune femme. Elle a la chance de vivre dans un tel cadre, qui va la changer de Paris, même si une découverte macabre dans son jardin va l'horrifier et lui faire se demander si venir ici est finalement une bonne idée...
Faustine est déterminée, elle a du caractère même si rien ne sera facile au début. Les hommes qui l'entourent peuvent être durs, elle va devoir se méfier. Est ce vraiment une bonne idée pour une femme seule de venir dans un coin isolé faire tourner une maison d'hôte ?
Faustine, très intéressée par ce qui entoure la légende de la bête décide de se plonger dans un livre sur le sujet. Avec elle, nous découvrons cette histoire, qui s'est déroulée de 1764 à 1767. Un mystérieux animal a réellement rodé, tuant de nombreuses femmes et enfants.
J'ai beaucoup aimé tout ce coté historique, le fait que la légende, le roman et la réalité se mélangent. C'est très judicieux et bien ficelé.
En parallèle, des corps d'adolescentes sont retrouvés mutilés, comme dévorés par une mystérieuse bête. Beaucoup imaginent que LA bête est revenue.. Qui donc peut tuer ainsi ses jeunes filles, toutes dans la même classe à un moment ou un autre ?
J'ai apprécié Meurtres en Gévaudan, cette revisite est une réussite. La plume de Florence Metge est agréable et m'a transportée avec elle dans son roman.
Le personnage de Faustine m'a beaucoup plu. Je n'avais pas imaginé le dénouement final, et l'ensemble donne un bon roman.
Pas de coup de cœur néanmoins, mais un très joli quatre étoiles :)
Juin 2017, Saint-Chély-d’Apcher.
Le corps d'une lycéenne est retrouvé en partie dévoré au pied de la statue de la bête du Gévaudan. Ce crime ne tarde pas à évoquer ceux commis dans la région par la mystérieuse créature, 250 ans auparavant...
Avril 2018.
Faustine quitte la région parisienne pour s’installer dans l’ancienne maison familiale en Lozère. Elle pensait réaliser son rêve : commencer l’écriture d’un roman et ouvrir des chambres d’hôtes. Pourtant, les cartons à peine défaits, une sinistre découverte brise son élan...
Existe-t-il un lien entre ces événements ? Qui sème de nouveau la terreur dans l’ancienne province du Gévaudan ? Et si la bête revenait hanter la région ?
Meurtres en Gévaudan est un thriller revisitant l'affaire de la bête du Gévaudan.
Nous découvrons une jeune femme de 25 ans, Faustine, venue s'installer dans la maison familiale pour la transformer en maison d'hôte, à proximité du parc à loups du Gévaudan. Les paysages ont l'air magnifiques, et il est très agréable de les découvrir en compagnie de la jeune femme. Elle a la chance de vivre dans un tel cadre, qui va la changer de Paris, même si une découverte macabre dans son jardin va l'horrifier et lui faire se demander si venir ici est finalement une bonne idée...
Faustine est déterminée, elle a du caractère même si rien ne sera facile au début. Les hommes qui l'entourent peuvent être durs, elle va devoir se méfier. Est ce vraiment une bonne idée pour une femme seule de venir dans un coin isolé faire tourner une maison d'hôte ?
Faustine, très intéressée par ce qui entoure la légende de la bête décide de se plonger dans un livre sur le sujet. Avec elle, nous découvrons cette histoire, qui s'est déroulée de 1764 à 1767. Un mystérieux animal a réellement rodé, tuant de nombreuses femmes et enfants.
J'ai beaucoup aimé tout ce coté historique, le fait que la légende, le roman et la réalité se mélangent. C'est très judicieux et bien ficelé.
En parallèle, des corps d'adolescentes sont retrouvés mutilés, comme dévorés par une mystérieuse bête. Beaucoup imaginent que LA bête est revenue.. Qui donc peut tuer ainsi ses jeunes filles, toutes dans la même classe à un moment ou un autre ?
J'ai apprécié Meurtres en Gévaudan, cette revisite est une réussite. La plume de Florence Metge est agréable et m'a transportée avec elle dans son roman.
Le personnage de Faustine m'a beaucoup plu. Je n'avais pas imaginé le dénouement final, et l'ensemble donne un bon roman.
Pas de coup de cœur néanmoins, mais un très joli quatre étoiles :)
Voici mon retour de lecture sur La vallée de l'Enfer : Préparez-vous à visiter l'Enfer de Florence Metge.
Le dérèglement climatique a mené à une politique d'aménagement du territoire favorisant le repeuplement des zones rurales.
Un campus en partie souterrain a été construit dans la vallée de l'Enfer en Lozère.
Apolline, une brillante étudiante, intègre l'établissement prestigieux.
Un nouvel univers s'ouvre à elle, bien différent de ce qu'elle avait imaginé. Les rituels d'intégration inspirés de l'histoire locale se déroulent dans une atmosphère angoissante.
Dans cette communauté isolée et repliée sur elle-même, l'esprit de compétition semble mener à tout, y compris au meurtre ?
La vallée de l'Enfer : Préparez-vous à visiter l'Enfer est un très bon roman, très bien ficelé, qui nous emmène au cœur du Gévaudan, en Lozère.
Nous suivons Apolline, une étudiante qui a intégré le campus d'une grande école. L'originalité est que cet endroit est en partie souterrain, à cause du dérèglement climatique.
J'ai aimé l'idée de vivre en partie sous la terre et je trouve que les difficultés rencontrées sont bien expliquées, et crédibles. Notamment le manque de luminosité naturelle, le fait de se sentir étouffer. Je ne pense pas que j'apprécierais ce genre de vie, j'aime trop le grand air pour ça.
Ce roman est rempli de personnages forts, intrigants. Je me suis vraiment demandé où ce petit monde allait m'emmener.
Je me suis tout de suite attachée à Apolline. Et je me suis vraiment demandé si à sa place j'arriverais à m'intriguer dans une école aussi élitiste.
L'école a un partenariat avec un laboratoire. Là encore j'ai trouvé ça super bien pensé, pertinent.
Beaucoup d'éléments sont crédibles, cela fait froid dans le dos car cette université est un vrai panier de crabes.
Complots, mensonges, « suicides ».. ou meurtres.. peut-être.. Difficile de démêler le faux du vrai.
L'écriture de Florence Metge est fluide, et elle a une sacré imagination. Bravo pour tout le travail de recherche sur cette région, qui lui tient à cœur. Elle a totalement réussi à m'emmener avec elle das les méandres de cette université.
L'ensemble est très bien conçu, j'ai adoré et je vous recommande ce roman sans aucune hésitation.
Ma note : cinq étoiles.
Le dérèglement climatique a mené à une politique d'aménagement du territoire favorisant le repeuplement des zones rurales.
Un campus en partie souterrain a été construit dans la vallée de l'Enfer en Lozère.
Apolline, une brillante étudiante, intègre l'établissement prestigieux.
Un nouvel univers s'ouvre à elle, bien différent de ce qu'elle avait imaginé. Les rituels d'intégration inspirés de l'histoire locale se déroulent dans une atmosphère angoissante.
Dans cette communauté isolée et repliée sur elle-même, l'esprit de compétition semble mener à tout, y compris au meurtre ?
La vallée de l'Enfer : Préparez-vous à visiter l'Enfer est un très bon roman, très bien ficelé, qui nous emmène au cœur du Gévaudan, en Lozère.
Nous suivons Apolline, une étudiante qui a intégré le campus d'une grande école. L'originalité est que cet endroit est en partie souterrain, à cause du dérèglement climatique.
J'ai aimé l'idée de vivre en partie sous la terre et je trouve que les difficultés rencontrées sont bien expliquées, et crédibles. Notamment le manque de luminosité naturelle, le fait de se sentir étouffer. Je ne pense pas que j'apprécierais ce genre de vie, j'aime trop le grand air pour ça.
Ce roman est rempli de personnages forts, intrigants. Je me suis vraiment demandé où ce petit monde allait m'emmener.
Je me suis tout de suite attachée à Apolline. Et je me suis vraiment demandé si à sa place j'arriverais à m'intriguer dans une école aussi élitiste.
L'école a un partenariat avec un laboratoire. Là encore j'ai trouvé ça super bien pensé, pertinent.
Beaucoup d'éléments sont crédibles, cela fait froid dans le dos car cette université est un vrai panier de crabes.
Complots, mensonges, « suicides ».. ou meurtres.. peut-être.. Difficile de démêler le faux du vrai.
L'écriture de Florence Metge est fluide, et elle a une sacré imagination. Bravo pour tout le travail de recherche sur cette région, qui lui tient à cœur. Elle a totalement réussi à m'emmener avec elle das les méandres de cette université.
L'ensemble est très bien conçu, j'ai adoré et je vous recommande ce roman sans aucune hésitation.
Ma note : cinq étoiles.
Le premier mérite de « l’école du futur » est d’être le fruit d’un concours de nouvelles mis en œuvre par les Editions Marathon et d’un concours organisé conjointement par Marathon Editions et la blogueuse Virginie Wicke, de Beltane Secret. Destinées à un public de douze-vingt ans, ces nouvelles ont été rédigées par une quinzaine d’auteurs, autrices, souvent déjà adultes mais parfois très jeunes encore.
Ouvrir la réflexion sur ce que peut être l’école du futur est, en soi, une initiative de nécessité publique. Les textes lauréats de ce concours reposent, comme le genre le veut, sur des écritures imaginatives. Ils se nourrissent des observations du présent, parfois déjà devenu passé et s’ancrent dans le questionnement, l’admiration, les peurs que chaque plume ressent face à l’intérêt affirmé de nos jours pour le développement d’une intelligence artificielle capable d’être plus humaine que la nôtre, selon certains futuristes.
Pourtant, parmi ces textes retenus, écrits selon différents artifices du genre nouvelliste, le lecteur découvre une constante : la méfiance vis-à-vis de l’inhumain. Le besoin de se raccrocher à des méthodes qui, même avec des failles, ont donné leurs preuves… la capacité à l’écriture en étant un exemple.
Derrière les mots, parfois les clichés futuristes quelque peu désuets, voire éculés, on devine le besoin de référents palpables, aides à l’acquisition des connaissances restantes soumises à l’agir de l’homme, à ses choix, à sa maîtrise humaine de l’acte d’apprendre, opposé à la passivité d’être formaté.
Le lecteur ne peut s’y tromper, le jeune public cible de ces nouvelles devrait pouvoir méditer sur ce que chacun devrait vouloir devenir dans le monde en mutation qui est le nôtre, un apprenti sage, vierge de tout mécanisme destiné à penser pour lui.
Pourra-t-on encore dire de l’homme qu’il est pensant ?
Et, je me permets de reprendre les mots de présentation de cet opus : ‘Et parce qu’elles (Editions Marathon et la blogueuse Virginie Wicke, de Beltane (lit en) Secret) déplorent que l’égalité des chances soit malheureusement toujours une cruelle utopie, les droits d’auteurs seront reversés à l’association Apprentis d’Auteuil qui œuvre depuis 1866 à améliorer l’accès à l’éducation et à la formation des plus démunis. Raison supplémentaire pour découvrir ces nouvelles !
Ouvrir la réflexion sur ce que peut être l’école du futur est, en soi, une initiative de nécessité publique. Les textes lauréats de ce concours reposent, comme le genre le veut, sur des écritures imaginatives. Ils se nourrissent des observations du présent, parfois déjà devenu passé et s’ancrent dans le questionnement, l’admiration, les peurs que chaque plume ressent face à l’intérêt affirmé de nos jours pour le développement d’une intelligence artificielle capable d’être plus humaine que la nôtre, selon certains futuristes.
Pourtant, parmi ces textes retenus, écrits selon différents artifices du genre nouvelliste, le lecteur découvre une constante : la méfiance vis-à-vis de l’inhumain. Le besoin de se raccrocher à des méthodes qui, même avec des failles, ont donné leurs preuves… la capacité à l’écriture en étant un exemple.
Derrière les mots, parfois les clichés futuristes quelque peu désuets, voire éculés, on devine le besoin de référents palpables, aides à l’acquisition des connaissances restantes soumises à l’agir de l’homme, à ses choix, à sa maîtrise humaine de l’acte d’apprendre, opposé à la passivité d’être formaté.
Le lecteur ne peut s’y tromper, le jeune public cible de ces nouvelles devrait pouvoir méditer sur ce que chacun devrait vouloir devenir dans le monde en mutation qui est le nôtre, un apprenti sage, vierge de tout mécanisme destiné à penser pour lui.
Pourra-t-on encore dire de l’homme qu’il est pensant ?
Et, je me permets de reprendre les mots de présentation de cet opus : ‘Et parce qu’elles (Editions Marathon et la blogueuse Virginie Wicke, de Beltane (lit en) Secret) déplorent que l’égalité des chances soit malheureusement toujours une cruelle utopie, les droits d’auteurs seront reversés à l’association Apprentis d’Auteuil qui œuvre depuis 1866 à améliorer l’accès à l’éducation et à la formation des plus démunis. Raison supplémentaire pour découvrir ces nouvelles !
Je remercie énormément Les éditions du Saule pour l'envoi du recueil Les nouvelles de l'été - Le jour en service presse. J'adore les nouvelles, et j'étais ravie de me plonger dans celles ci, qui nous ramènent en été, chouette :)
Être en vacances, c’est profiter d’une parenthèse durant laquelle il est enfin possible de se reposer, voyager, faire des rencontres, prendre du temps pour soi et ceux que l’on aime. Neuf auteurs ont abordé ce sujet des vacances, pour nous faire rêver, voyager, explorer et replonger dans nos souvenirs d’enfance.
Humdrum ! d'Emma Leryo raconte l'histoire d'une maman qui n'en peut plus de ses deux ados qui se croient à l’hôtel ! Elle sature alors un jour elle quitte son mari et ses deux enfants pour s'envoler en vacances, quelques jours, seule ! Elle est loin de s'imaginer comment va se dérouler ses vacances improvisées, et les conséquences qui en découleront...
J'ai adorée cette première nouvelle. Il y a beaucoup d'humour, en tant que maman il est facile à s'identifier à cette femme excédée par le comportement de ses enfants et son mari. La chute de cette nouvelle m'a fait rire, et j'ai passé un très bon moment de lecture.
Ma note : 5 *
Une simple de cabane de Dominique Koun nous fait découvrir trois enfants dont la maman est décédée dernièrement. Pour les vacances, ils partent chez leurs grands-parents maternels. A la campagne, tranquilles.. L’aînée ronchonne car c'est une adolescente désespérée de ne pas avoir de réseau dans ce trou pourri où elle imagine bien s'ennuyer pendant deux mois :( Mais la jeune fille va être très surprise de la découverte fait par son frère et sa sœur dans la forêt attenante... Cet été pourrait bien les rapprocher de leur défunte mère...
Cette nouvelle est très réussie et très touchante. J'ai beaucoup aimé les personnages. L'histoire est simple mais bien trouvée. C'est joliment écrit et j'ai eu un coup de cœur pour cette seconde nouvelle.
Ma note : 5 *
Voyage de noces entre amies de Sam Castel met en scène Clara, qui doit se marier dans quelques heures. Rien ne se déroule comme prévu et elle part en voyage de noces en Australie... avec une amie proche : Roxane ! Un voyage de noces peu classique, bien loin de ce qu'elle imaginait avec son mari (qui ne le sera jamais...) et qui réserve plein de surprises :)
J'ai apprécié ma lecture, notamment grâce à Clara que j'ai trouvé très touchante et Roxane qui fait tout pour que son amie se sente mieux. Le mariage n'est plus qu'un lointain souvenir mais grâce à ses amies Clara part tout de même en Australie pour un voyage qui va lui faire énormément de bien. C'est assez classique mais ça fonctionne parfaitement et là encore, j'ai adorée cette nouvelle :)
Ma note : 5 *
Itinéraire Bis de Céline Poullain nous fait découvrir Julie, qui doit partir en vacances. Nous suivons son itinéraire.. Je n'en dirais pas plus mais dans cette nouvelle surprenante il y a du surnaturel. La fin est surprenante même si je m'y attendait un peu mais je n'ai pas été déçue.
C'est léger, ça plaira aux amateurs et amatrices d'histoires teintées de fantastique. J'ai bien aimée :)
Ma note : 5 *
Dans Des vacances étonnantes de Morgane Scheinmeer, Romane part en vacances avec ses parents et son petit frère de neuf ans. Elle ne part pas dans le Sud, comme les autres années et elle n'est pas totalement ravie car l'Auvergne, elle imagine ça comme l'ennui. Mais elle va se faire de nouveaux amis... Et apprendre de nombreuses choses sur elle-même, ce qui sera utile pour la suite de sa vie ;)
Je n'en dirais pas plus, à part que j'ai autant aimé que les précédentes nouvelles de ce recueil. Romane est une jeune fille attachante, elle va découvrir que l'amitié, la vraie, n'est pas toujours celle que l'on croit. Et qu'il est facile de se faire avoir par les autres ! C'est mignon, touchant, l'écriture est fluide et je suis ravie de ma lecture :)
Ma note : 5 *
Un été indien de Florence Metge nous emmène... en Inde :) Miquela, qui n'a pas vu son père pendant des années apprend, à sa mort, qu'il lui a légué plusieurs biens... dont un hôtel à Mysore, en Inde. La jeune femme décide de partir voir cet hôtel, et de se renseigner dans le but de le vendre... Mais rien ne va se passer comme elle l'imaginait.. évidemment ;)
Encore une nouvelle qui m'a beaucoup plu. J'ai apprécié ce voyage en Inde, le caractère de Miquela et j'ai une fois de plus passé un bon moment de lecture.
Ma note : 5 *
Retour aux sources de Franck Dozion nous présente Colin. Il a besoin de souffler un peu, de s'éloigner de sa compagne Marion et pour cela il repart dans son village natal...
Là encore, une nouvelle très touchante avec des personnages attachants.
Ma note : 5 *
Trois semaines en août de Christine Jean est une nouvelle qui parlera à tous les parents :) Un couple part avec ses trois enfants (un petit de trois ans et deux ados) pendant trois semaines au camping. Trois semaines qui peuvent être parfois longues quand la marmaille s'en mêle.
C'est simple, je dirais que c'est une tranche de vie pour certains d'entre nous. Cela rappelle forcément des souvenirs, c'est bien écrit et il y a de l'humour.
J'ai passé un agréable moment avec tout ce petit monde.
Ma note : 5 *
Vichy été 1853 de Anna Walders clos ce recueil. C'est une correspondance qui nous fait découvrir le Vichy-les-Bains des années 1800. J'ai trouvé ça très intéressant, là encore c'est bien écrit. Et j'ai apprécié de repartir dans le passé, à une époque très différente de la notre.
Ma note : 5 *
En conclusion, je suis ravie de ma lecture.
Toutes les nouvelles m'ont plu, et ça c'est hyper rare dans un recueil que je ne sois pas déçue par au moins une des nouvelles ! Nous avons ici neuf auteurs très prometteurs, avec des plumes différentes mais toutes agréables à lire.
Bref une excellente surprise qui m'a replongé avec délice en été, et qui mérite bien cinq étoiles :)
Être en vacances, c’est profiter d’une parenthèse durant laquelle il est enfin possible de se reposer, voyager, faire des rencontres, prendre du temps pour soi et ceux que l’on aime. Neuf auteurs ont abordé ce sujet des vacances, pour nous faire rêver, voyager, explorer et replonger dans nos souvenirs d’enfance.
Humdrum ! d'Emma Leryo raconte l'histoire d'une maman qui n'en peut plus de ses deux ados qui se croient à l’hôtel ! Elle sature alors un jour elle quitte son mari et ses deux enfants pour s'envoler en vacances, quelques jours, seule ! Elle est loin de s'imaginer comment va se dérouler ses vacances improvisées, et les conséquences qui en découleront...
J'ai adorée cette première nouvelle. Il y a beaucoup d'humour, en tant que maman il est facile à s'identifier à cette femme excédée par le comportement de ses enfants et son mari. La chute de cette nouvelle m'a fait rire, et j'ai passé un très bon moment de lecture.
Ma note : 5 *
Une simple de cabane de Dominique Koun nous fait découvrir trois enfants dont la maman est décédée dernièrement. Pour les vacances, ils partent chez leurs grands-parents maternels. A la campagne, tranquilles.. L’aînée ronchonne car c'est une adolescente désespérée de ne pas avoir de réseau dans ce trou pourri où elle imagine bien s'ennuyer pendant deux mois :( Mais la jeune fille va être très surprise de la découverte fait par son frère et sa sœur dans la forêt attenante... Cet été pourrait bien les rapprocher de leur défunte mère...
Cette nouvelle est très réussie et très touchante. J'ai beaucoup aimé les personnages. L'histoire est simple mais bien trouvée. C'est joliment écrit et j'ai eu un coup de cœur pour cette seconde nouvelle.
Ma note : 5 *
Voyage de noces entre amies de Sam Castel met en scène Clara, qui doit se marier dans quelques heures. Rien ne se déroule comme prévu et elle part en voyage de noces en Australie... avec une amie proche : Roxane ! Un voyage de noces peu classique, bien loin de ce qu'elle imaginait avec son mari (qui ne le sera jamais...) et qui réserve plein de surprises :)
J'ai apprécié ma lecture, notamment grâce à Clara que j'ai trouvé très touchante et Roxane qui fait tout pour que son amie se sente mieux. Le mariage n'est plus qu'un lointain souvenir mais grâce à ses amies Clara part tout de même en Australie pour un voyage qui va lui faire énormément de bien. C'est assez classique mais ça fonctionne parfaitement et là encore, j'ai adorée cette nouvelle :)
Ma note : 5 *
Itinéraire Bis de Céline Poullain nous fait découvrir Julie, qui doit partir en vacances. Nous suivons son itinéraire.. Je n'en dirais pas plus mais dans cette nouvelle surprenante il y a du surnaturel. La fin est surprenante même si je m'y attendait un peu mais je n'ai pas été déçue.
C'est léger, ça plaira aux amateurs et amatrices d'histoires teintées de fantastique. J'ai bien aimée :)
Ma note : 5 *
Dans Des vacances étonnantes de Morgane Scheinmeer, Romane part en vacances avec ses parents et son petit frère de neuf ans. Elle ne part pas dans le Sud, comme les autres années et elle n'est pas totalement ravie car l'Auvergne, elle imagine ça comme l'ennui. Mais elle va se faire de nouveaux amis... Et apprendre de nombreuses choses sur elle-même, ce qui sera utile pour la suite de sa vie ;)
Je n'en dirais pas plus, à part que j'ai autant aimé que les précédentes nouvelles de ce recueil. Romane est une jeune fille attachante, elle va découvrir que l'amitié, la vraie, n'est pas toujours celle que l'on croit. Et qu'il est facile de se faire avoir par les autres ! C'est mignon, touchant, l'écriture est fluide et je suis ravie de ma lecture :)
Ma note : 5 *
Un été indien de Florence Metge nous emmène... en Inde :) Miquela, qui n'a pas vu son père pendant des années apprend, à sa mort, qu'il lui a légué plusieurs biens... dont un hôtel à Mysore, en Inde. La jeune femme décide de partir voir cet hôtel, et de se renseigner dans le but de le vendre... Mais rien ne va se passer comme elle l'imaginait.. évidemment ;)
Encore une nouvelle qui m'a beaucoup plu. J'ai apprécié ce voyage en Inde, le caractère de Miquela et j'ai une fois de plus passé un bon moment de lecture.
Ma note : 5 *
Retour aux sources de Franck Dozion nous présente Colin. Il a besoin de souffler un peu, de s'éloigner de sa compagne Marion et pour cela il repart dans son village natal...
Là encore, une nouvelle très touchante avec des personnages attachants.
Ma note : 5 *
Trois semaines en août de Christine Jean est une nouvelle qui parlera à tous les parents :) Un couple part avec ses trois enfants (un petit de trois ans et deux ados) pendant trois semaines au camping. Trois semaines qui peuvent être parfois longues quand la marmaille s'en mêle.
C'est simple, je dirais que c'est une tranche de vie pour certains d'entre nous. Cela rappelle forcément des souvenirs, c'est bien écrit et il y a de l'humour.
J'ai passé un agréable moment avec tout ce petit monde.
Ma note : 5 *
Vichy été 1853 de Anna Walders clos ce recueil. C'est une correspondance qui nous fait découvrir le Vichy-les-Bains des années 1800. J'ai trouvé ça très intéressant, là encore c'est bien écrit. Et j'ai apprécié de repartir dans le passé, à une époque très différente de la notre.
Ma note : 5 *
En conclusion, je suis ravie de ma lecture.
Toutes les nouvelles m'ont plu, et ça c'est hyper rare dans un recueil que je ne sois pas déçue par au moins une des nouvelles ! Nous avons ici neuf auteurs très prometteurs, avec des plumes différentes mais toutes agréables à lire.
Bref une excellente surprise qui m'a replongé avec délice en été, et qui mérite bien cinq étoiles :)
Un recueil de neuf nouvelles sur un même thème "Vacances d'été" dans une tonalité légère et festive. Le jumeau de la version sombre "Les nouvelles de l'été - La nuit" que j'ai déjà commenté ici.
Objectivement, je dois dire que je suis déçu, dans l'absolu (ou par référence à l'ensemble de mes lectures) et en comparaison avec le jumeau... Cela tient beaucoup aux sujets traités, un peu à l'eau de rose, très loin de mes préférences littéraires ; beaucoup plus qu'aux styles et à l'écriture, car huit des neufs nouvelles se lisent avec plaisir.
Je ferai deux exceptions :
- la seconde nouvelle du recueil, "Une simple Cabane" de Dominique Koun : j'ai beaucoup aimé cette histoire de trois gamins, orphelins de mère, en vacances chez leurs grands-parents maternels, et qui vont retrouver... Non, je ne vous dirai pas la suite, je vous laisse la découvrir, avec sans doute beaucoup d'émotion.
- la dernière nouvelle du recueil : je ne suis pas fan des romans historiques, et là le sujet ne m'a vraiment pas intéressé, d'autant qu'il est traité avec un style d'écriture que j'ai trouvé plutôt pénible. Mais ce n'est certainement qu'une histoire de goût personnel.
Objectivement, je dois dire que je suis déçu, dans l'absolu (ou par référence à l'ensemble de mes lectures) et en comparaison avec le jumeau... Cela tient beaucoup aux sujets traités, un peu à l'eau de rose, très loin de mes préférences littéraires ; beaucoup plus qu'aux styles et à l'écriture, car huit des neufs nouvelles se lisent avec plaisir.
Je ferai deux exceptions :
- la seconde nouvelle du recueil, "Une simple Cabane" de Dominique Koun : j'ai beaucoup aimé cette histoire de trois gamins, orphelins de mère, en vacances chez leurs grands-parents maternels, et qui vont retrouver... Non, je ne vous dirai pas la suite, je vous laisse la découvrir, avec sans doute beaucoup d'émotion.
- la dernière nouvelle du recueil : je ne suis pas fan des romans historiques, et là le sujet ne m'a vraiment pas intéressé, d'autant qu'il est traité avec un style d'écriture que j'ai trouvé plutôt pénible. Mais ce n'est certainement qu'une histoire de goût personnel.
Nouvelle lecture proposée par Marathons éditions que je remercie pour l'envoi de ce service de presse.
L'école du futur est un recueil de quinze nouvelles qui abordent l'avenir en traitant de thématiques diverses comme la robotisation entre autres à travers la plume de quinze auteurs, eures
Des nouvelles qui ne se ressemblent pas, mais néanmoins présentent une voix commune à transmettre au lecteur, et ce par l'intermédiaire d'une imagination qui nous prépare à un avenir proche où le contact et la chaleur humaine feront place à un contact d'une froideur mortel…et il faut dire dans l'instant présent on le vit déjà avec toute cette technologie qui efface les émois de l'homme.
Vivre dans un environnement robotique où tout ne sera que mécanique et sans juste valeur pour l'être humain me donne des frissons, le ressenti est glacial chose qui m'horripile au plus haut point.
Il est vrai que l'on peut s'y plaire par la lecture d'une nouvelle et pas d'une autre ce n'est pas sans dire bien sûr que ceci revient à mon opinion personnelle et n'entache pas la qualité de l'ouvrage en lui-même que j'ai relativement appréciée dans sa globalité.
Je considère que ce livre est une bonne réalisation pour nous aider à comprendre et percevoir ce qui nous attend peut-être dans un avenir prochain
En cherchant à se faciliter la tâche et en ayant recours à toute cette science parfois dangereuse pour sa stabilité l'homme oublie une chose essentielle…
Une courte présentation sur chaque auteur, eure a été prévu et la nouvelle d'une toute jeune auteure de onze ans m'a quelque peu surprise et ébloui comme quoi le talent commence à apparaitre dès le plus jeune âge je me demande si Zoé Faverais Roy ne serait pas née avec une plume dans la main.
Et comme d'habitude, Marathons éditions s'attache à nous offrir de jolies couvertures.
Lien : http://chroniqueuse6.canalbl..
L'école du futur est un recueil de quinze nouvelles qui abordent l'avenir en traitant de thématiques diverses comme la robotisation entre autres à travers la plume de quinze auteurs, eures
Des nouvelles qui ne se ressemblent pas, mais néanmoins présentent une voix commune à transmettre au lecteur, et ce par l'intermédiaire d'une imagination qui nous prépare à un avenir proche où le contact et la chaleur humaine feront place à un contact d'une froideur mortel…et il faut dire dans l'instant présent on le vit déjà avec toute cette technologie qui efface les émois de l'homme.
Vivre dans un environnement robotique où tout ne sera que mécanique et sans juste valeur pour l'être humain me donne des frissons, le ressenti est glacial chose qui m'horripile au plus haut point.
Il est vrai que l'on peut s'y plaire par la lecture d'une nouvelle et pas d'une autre ce n'est pas sans dire bien sûr que ceci revient à mon opinion personnelle et n'entache pas la qualité de l'ouvrage en lui-même que j'ai relativement appréciée dans sa globalité.
Je considère que ce livre est une bonne réalisation pour nous aider à comprendre et percevoir ce qui nous attend peut-être dans un avenir prochain
En cherchant à se faciliter la tâche et en ayant recours à toute cette science parfois dangereuse pour sa stabilité l'homme oublie une chose essentielle…
Une courte présentation sur chaque auteur, eure a été prévu et la nouvelle d'une toute jeune auteure de onze ans m'a quelque peu surprise et ébloui comme quoi le talent commence à apparaitre dès le plus jeune âge je me demande si Zoé Faverais Roy ne serait pas née avec une plume dans la main.
Et comme d'habitude, Marathons éditions s'attache à nous offrir de jolies couvertures.
Lien : http://chroniqueuse6.canalbl..
[SERVICE PRESSE]
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Connected people (recueil Les Indé Lébiles) publié chez Humbird & Curlew
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Je remercie chaleureusement mon partenaire pour ce service presse.
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Ce recueil renferme 14 nouvelles et poèmes dont le thème principal, le futur, est abordé de manière très différente par chacun des auteurs concernés.
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1. L’intuition de soit (Alexandre Zaïrois) : Une nouvelle qui définit particulièrement bien toute l’importance que l’on donne aux appareils électroniques et à la nouvelle technologie, aujourd’hui. Elle nous alerte également sur son évolution incroyable.
2. Thor (Béatrice Galvan) : Le futur complètement flippant où tout est mecanisé, jusqu’aux sentiments
3. PA-21 (Clément Grimbert) : que se passerait-il si les robots se mettaient à penser par eux même, bridés et instrumentalisés par les humains qui les ont créés ?
4. Myxhommatose (Édouard B. W) : Une nouvelle qui nous interroge sur ce que deviendraient nos vies sans la technologie avancée que nous aurions pu connaître, sur la solitude qui serait la nôtre après l’effondrement de cette technologie.
5. A distance (Florence Metge) : Cette nouvelle appuie sur la faiblesse qu’est le fait de ressentir des sentiments pour autrui, cet attachement qu’un humain ne peut s’empêcher de ressentir pour quelqu’un qu’il côtoie au quotidien, quitte à oublier qu’il s’agit d’un androïde
6. Diamantis (J. Leander) : Une nouvelle qui nous alerte sur la dépendance à la technologie, que l’on en ait besoin ou non et au danger de la voir disparaître à cause de la rébellion ou de hackers sans scrupules
7. Petit interlude poétique (Lionel Bonijol) : Poèmes très justes et bien amenés sur notre addiction à la technologie
8. La révolte d’Harlow (Johnathane Hoctor-Anger) : Une petite enquête policière qui inclus des meca-agents mais qui conserve une grande part de réalisme
9. Croqué-cloche (Laurence Alemanni) : Cette nouvelle ravirait les hommes politiques qui souhaitent ‘’nettoyer’’ leurs rues, dans tous les sens du terme
10. Connected (Liliane Fournier) : La chute de la technologie provoquerait à coup sûr une régression importante de l’humanité.
11. La vengeance de l’ouvre-boîte (Marc Gérard) : Lorsque la technologie tombe en panne nous sommes démunis.
12. Oreilles connectées (Monsieur Odin) : Complot via enceintes connectées qui nous maintient dans le monde actuel puisqu’il fut prouvé que nos enceintes connectées nous épient et nous enregistrent.
13. Miroir (Red W) : Quand les machines prennent nos vies en mains et nous dirigent sans vergogne.
14. Commérages digitaux (Thomas Poussard) : Rébellion des machines sous forme de complots
Mon ressenti final :
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Il n’est plus à démontrer aujourd’hui, que la technologie tient une part plus qu’importante dans notre vie, nous rendant toujours plus dépendant, plus feignant, plus idiot. Elle gère notre vie, qu’elle soit professionnelle ou personnelle. Elle s’occupe de nous divertir, de nous informer, de nous rappeler les dates importantes, de faire matcher nos futures rencontres amoureuses… Elle est le lien qui maintient les uns aux autres sans que nous n’ayons besoin de faire le moindre effort. Peu à peu, celle-ci nous enferme dans une solitude qui ne nous saute même plus aux yeux.
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La technologie d’aujourd’hui, c’est le mobile, la machine à laver qui pèse le linge, l’écran tactile, le réveil connecté, l’enceinte connectée qui répond à toutes nos questions, nos envies, nos lacunes. C’est l’ordinateur qui a maintenu le lien entre l’enfant et l’école durant le confinement, la montre qui nous félicite d’avoir fait 1000 pas dans la journée, c’est l’alarme qui prévient les autorités avant nous même, et c’est vient entendu internet, que l’on ne présente plus.
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Certaines nouvelles sont restées assez proches de ce que nous vivons à l’heure actuelles (la révolte d’Harlow, oreilles connectées). D’autres m’ont fait penser à des films parus au cinéma ( Connected, Myxhommatose). Toutes mêlent humains et androïdes, avec partout, cet attachement, cette sensibilité que l’humain possède à la différence de l’AI, et à chaque fois, c’est ce qui coûte le pire à l’humain. La technologie possède cette froideur qui lui permet d’avancer, de toujours faire plus, mieux. Les sentiments prennent trop de place dans l’humanité et cela nous perd à chaque fois.
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Vous savez maintenant, que chaque publication de cette maison d’édition me ravit. C’est donc sans surprise que j’ai passé un moment de lecture exceptionnel. L’humaine que je suis a senti son cœur se fêler à la lecture de ‘’l’intuition de soit’’ puis il s’est brisé à ‘’Diamantis’’. La qualité d’écriture de chacun des auteurs choisis pour animer ce recueil est telle que l’immersion est immédiate et qu’elle fait froid dans le dos. Les Terminator et autres Resident Evil prendront vie dans le futur et ce n’est pas très réjouissant. Rien ne peut arrêter la course au ‘’toujours plus, toujours mieux’’. Des Steve Jobs (paix à son âme) et Elon Musk sont des visionnaires, dont les cerveaux sont déjà à milles lieux de ce qui se fera dans vingt ans et j’avoue que tout cela est assez effrayant
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Si vous souhaitez faire un voyage dans le futur, c’est ici : https://bit.ly/3lKj1aW
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Connected people (recueil Les Indé Lébiles) publié chez Humbird & Curlew
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Je remercie chaleureusement mon partenaire pour ce service presse.
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Ce recueil renferme 14 nouvelles et poèmes dont le thème principal, le futur, est abordé de manière très différente par chacun des auteurs concernés.
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1. L’intuition de soit (Alexandre Zaïrois) : Une nouvelle qui définit particulièrement bien toute l’importance que l’on donne aux appareils électroniques et à la nouvelle technologie, aujourd’hui. Elle nous alerte également sur son évolution incroyable.
2. Thor (Béatrice Galvan) : Le futur complètement flippant où tout est mecanisé, jusqu’aux sentiments
3. PA-21 (Clément Grimbert) : que se passerait-il si les robots se mettaient à penser par eux même, bridés et instrumentalisés par les humains qui les ont créés ?
4. Myxhommatose (Édouard B. W) : Une nouvelle qui nous interroge sur ce que deviendraient nos vies sans la technologie avancée que nous aurions pu connaître, sur la solitude qui serait la nôtre après l’effondrement de cette technologie.
5. A distance (Florence Metge) : Cette nouvelle appuie sur la faiblesse qu’est le fait de ressentir des sentiments pour autrui, cet attachement qu’un humain ne peut s’empêcher de ressentir pour quelqu’un qu’il côtoie au quotidien, quitte à oublier qu’il s’agit d’un androïde
6. Diamantis (J. Leander) : Une nouvelle qui nous alerte sur la dépendance à la technologie, que l’on en ait besoin ou non et au danger de la voir disparaître à cause de la rébellion ou de hackers sans scrupules
7. Petit interlude poétique (Lionel Bonijol) : Poèmes très justes et bien amenés sur notre addiction à la technologie
8. La révolte d’Harlow (Johnathane Hoctor-Anger) : Une petite enquête policière qui inclus des meca-agents mais qui conserve une grande part de réalisme
9. Croqué-cloche (Laurence Alemanni) : Cette nouvelle ravirait les hommes politiques qui souhaitent ‘’nettoyer’’ leurs rues, dans tous les sens du terme
10. Connected (Liliane Fournier) : La chute de la technologie provoquerait à coup sûr une régression importante de l’humanité.
11. La vengeance de l’ouvre-boîte (Marc Gérard) : Lorsque la technologie tombe en panne nous sommes démunis.
12. Oreilles connectées (Monsieur Odin) : Complot via enceintes connectées qui nous maintient dans le monde actuel puisqu’il fut prouvé que nos enceintes connectées nous épient et nous enregistrent.
13. Miroir (Red W) : Quand les machines prennent nos vies en mains et nous dirigent sans vergogne.
14. Commérages digitaux (Thomas Poussard) : Rébellion des machines sous forme de complots
Mon ressenti final :
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Il n’est plus à démontrer aujourd’hui, que la technologie tient une part plus qu’importante dans notre vie, nous rendant toujours plus dépendant, plus feignant, plus idiot. Elle gère notre vie, qu’elle soit professionnelle ou personnelle. Elle s’occupe de nous divertir, de nous informer, de nous rappeler les dates importantes, de faire matcher nos futures rencontres amoureuses… Elle est le lien qui maintient les uns aux autres sans que nous n’ayons besoin de faire le moindre effort. Peu à peu, celle-ci nous enferme dans une solitude qui ne nous saute même plus aux yeux.
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La technologie d’aujourd’hui, c’est le mobile, la machine à laver qui pèse le linge, l’écran tactile, le réveil connecté, l’enceinte connectée qui répond à toutes nos questions, nos envies, nos lacunes. C’est l’ordinateur qui a maintenu le lien entre l’enfant et l’école durant le confinement, la montre qui nous félicite d’avoir fait 1000 pas dans la journée, c’est l’alarme qui prévient les autorités avant nous même, et c’est vient entendu internet, que l’on ne présente plus.
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Certaines nouvelles sont restées assez proches de ce que nous vivons à l’heure actuelles (la révolte d’Harlow, oreilles connectées). D’autres m’ont fait penser à des films parus au cinéma ( Connected, Myxhommatose). Toutes mêlent humains et androïdes, avec partout, cet attachement, cette sensibilité que l’humain possède à la différence de l’AI, et à chaque fois, c’est ce qui coûte le pire à l’humain. La technologie possède cette froideur qui lui permet d’avancer, de toujours faire plus, mieux. Les sentiments prennent trop de place dans l’humanité et cela nous perd à chaque fois.
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Vous savez maintenant, que chaque publication de cette maison d’édition me ravit. C’est donc sans surprise que j’ai passé un moment de lecture exceptionnel. L’humaine que je suis a senti son cœur se fêler à la lecture de ‘’l’intuition de soit’’ puis il s’est brisé à ‘’Diamantis’’. La qualité d’écriture de chacun des auteurs choisis pour animer ce recueil est telle que l’immersion est immédiate et qu’elle fait froid dans le dos. Les Terminator et autres Resident Evil prendront vie dans le futur et ce n’est pas très réjouissant. Rien ne peut arrêter la course au ‘’toujours plus, toujours mieux’’. Des Steve Jobs (paix à son âme) et Elon Musk sont des visionnaires, dont les cerveaux sont déjà à milles lieux de ce qui se fera dans vingt ans et j’avoue que tout cela est assez effrayant
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Si vous souhaitez faire un voyage dans le futur, c’est ici : https://bit.ly/3lKj1aW
Je remercie Marathon Éditions pour l’envoi de ce service de presse et m’excuse pour le temps mis à le traiter car ce livre a été publié l’été dernier. Mais il n’est jamais inutile de reparler d’un livre même, et surtout, quelques mois après sa sortie.
Ce recueil, L’École du futur, présente les nouvelles lauréates d’un concours organisé conjointement par Marathon Éditions et la bloggeuse Virginie Wicke, de Beltane (lit en) Secret.
C’est une démarche qui a suscité mon attention car je suis plutôt inquiète au sujet de l’enseignement en général, tel que je le vois pratiqué parfois autour de moi, ou plutôt tel que j’en ressens les effets ; baisse de niveaux, difficultés de lecture et de production d’écrits…
Quinze auteurs, quinze histoires, quinze regards et points de vue à travers la fiction, quinze extrapolations du futur qui attend nos enfants, adolescents, jeunes adultes et toutes personnes désireuses d’apprendre et d’enseigner.
Certains ont joué la carte de la dystopie, décrit des régimes totalitaires, imaginé des fins de monde et proposé des scénarii qui font froid dans le dos.
Naturellement, dans ces visions du futur, les environnements virtuels, les réseaux, les jeux et enseignements en lignes, les connections sont monnaies courantes. Les individus sont réduits à des profils ou des pseudos. Les devoirs scolaires sont toujours faits avec l’aide d’Internet ou de ce qui l’a remplacé, les élèves copient-collent et n’apprennent rien par eux-mêmes.
L’Intelligence Artificielle n’est naturellement pas oubliée : professeurs androïdes ou cyber-robot, terminaux connectés pour les évaluations, téléchargements, numérisations. L’informatique et le numérique règnent.
Il y a aussi des visions apocalyptiques, où chacun(e) apprend sur le tas comment survivre dans les pires conditions après que l’homme ait poussé trop loin la recherche de la facilité ou bien la simplification et le nivellement par le bas, après qu’il ait fini par détruire son environnement.
D’autres auteurs envisagent un retour aux anciennes méthodes, recourent à l’expérience personnelle, imaginent des nouveaux départs à partir de rien, explorent des idées déjà envisagées à notre époque comme de nouveaux horaires davantage adaptés aux rythmes biologiques, la mise en avant de l’autonomie et la scolarisation des enfants différents.
J’ai apprécié que, parfois, la science-fiction soit laissée de côté pour donner libre cours à l’émotion sur la base de situations plus proches de nous ou pour évoquer des relations et des interactions naturelles entre jeunes gens ou entre élèves et enseignants ou que, si avenir futuriste il y avait, ce ne fut pas toujours au détriment de l’humain.
Le chutes des nouvelles répondent aux règles du genre, brutales. Parfois, les auteurs concluent sur une forme de résistance, de prise de conscience salvatrice. Le dénouement peut aussi laisser présager un avenir pire que les terribles péripéties imaginées.
La passionnée de lecture et d’écriture que je suis depuis toujours a souvent frémi en lisant certaines projections dans l’avenir. De même, les propositions d’évolution de la pédagogie et des méthodes d’enseignement m’ont effrayée. Voici un petit florilège de ce qui me fait le plus peur…
Ainsi, par exemple, le livre est décrit comme un objet dangereux et l’apprentissage de la lecture et par la lecture est abandonné au profit d’autres enseignements privilégiant les images vidéo, les hologrammes, des sources dématérialisées, les réalités virtuelles, les téléchargements de données, les mots-clés, les puces implantées directement dans les cerveaux.
La simplification de l’orthographe a considérablement réduit le langage…
L’enseignement s’est complètement déshumanisé, les enseignants sont remplacés par des ordinateurs ou des androïdes…
Parmi les détails qui m’ont particulièrement touchée figure le rôle des grands-parents, comme modèles ou garant de la mémoire.
Les nouvelles explorent différentes pistes ; certaines sont très plausibles, d’autres beaucoup plus fantaisistes. Toutes sont différentes, originales.
Ce recueil est donc une belle initiative ; tous les droits d’auteurs sont reversés à l’association Apprentis d’Auteuil qui œuvre depuis 1866 pour améliorer l’accès à l’éducation et à la formation des plus démunis.
Une courte biographie des auteurs est donnée en fin de volume. Merci, par ordre d’apparition, à Ange Beuque, Philippe Aurèle Leroux, Abel Meiers, Esthel Cozzi, Philippe Caza, Marguerite Aloze, Céline P. Bantam, David Ruiz Martin, Elsa Malkoun, Émilie Chevallier Moreux, Laurent Contie, Marin' Maltese, Zoé Faverais Roy, Mathilde Bernardin, Florence Metge…
Une belle découverte !
https://www.facebook.com/piratedespal/
Ce recueil, L’École du futur, présente les nouvelles lauréates d’un concours organisé conjointement par Marathon Éditions et la bloggeuse Virginie Wicke, de Beltane (lit en) Secret.
C’est une démarche qui a suscité mon attention car je suis plutôt inquiète au sujet de l’enseignement en général, tel que je le vois pratiqué parfois autour de moi, ou plutôt tel que j’en ressens les effets ; baisse de niveaux, difficultés de lecture et de production d’écrits…
Quinze auteurs, quinze histoires, quinze regards et points de vue à travers la fiction, quinze extrapolations du futur qui attend nos enfants, adolescents, jeunes adultes et toutes personnes désireuses d’apprendre et d’enseigner.
Certains ont joué la carte de la dystopie, décrit des régimes totalitaires, imaginé des fins de monde et proposé des scénarii qui font froid dans le dos.
Naturellement, dans ces visions du futur, les environnements virtuels, les réseaux, les jeux et enseignements en lignes, les connections sont monnaies courantes. Les individus sont réduits à des profils ou des pseudos. Les devoirs scolaires sont toujours faits avec l’aide d’Internet ou de ce qui l’a remplacé, les élèves copient-collent et n’apprennent rien par eux-mêmes.
L’Intelligence Artificielle n’est naturellement pas oubliée : professeurs androïdes ou cyber-robot, terminaux connectés pour les évaluations, téléchargements, numérisations. L’informatique et le numérique règnent.
Il y a aussi des visions apocalyptiques, où chacun(e) apprend sur le tas comment survivre dans les pires conditions après que l’homme ait poussé trop loin la recherche de la facilité ou bien la simplification et le nivellement par le bas, après qu’il ait fini par détruire son environnement.
D’autres auteurs envisagent un retour aux anciennes méthodes, recourent à l’expérience personnelle, imaginent des nouveaux départs à partir de rien, explorent des idées déjà envisagées à notre époque comme de nouveaux horaires davantage adaptés aux rythmes biologiques, la mise en avant de l’autonomie et la scolarisation des enfants différents.
J’ai apprécié que, parfois, la science-fiction soit laissée de côté pour donner libre cours à l’émotion sur la base de situations plus proches de nous ou pour évoquer des relations et des interactions naturelles entre jeunes gens ou entre élèves et enseignants ou que, si avenir futuriste il y avait, ce ne fut pas toujours au détriment de l’humain.
Le chutes des nouvelles répondent aux règles du genre, brutales. Parfois, les auteurs concluent sur une forme de résistance, de prise de conscience salvatrice. Le dénouement peut aussi laisser présager un avenir pire que les terribles péripéties imaginées.
La passionnée de lecture et d’écriture que je suis depuis toujours a souvent frémi en lisant certaines projections dans l’avenir. De même, les propositions d’évolution de la pédagogie et des méthodes d’enseignement m’ont effrayée. Voici un petit florilège de ce qui me fait le plus peur…
Ainsi, par exemple, le livre est décrit comme un objet dangereux et l’apprentissage de la lecture et par la lecture est abandonné au profit d’autres enseignements privilégiant les images vidéo, les hologrammes, des sources dématérialisées, les réalités virtuelles, les téléchargements de données, les mots-clés, les puces implantées directement dans les cerveaux.
La simplification de l’orthographe a considérablement réduit le langage…
L’enseignement s’est complètement déshumanisé, les enseignants sont remplacés par des ordinateurs ou des androïdes…
Parmi les détails qui m’ont particulièrement touchée figure le rôle des grands-parents, comme modèles ou garant de la mémoire.
Les nouvelles explorent différentes pistes ; certaines sont très plausibles, d’autres beaucoup plus fantaisistes. Toutes sont différentes, originales.
Ce recueil est donc une belle initiative ; tous les droits d’auteurs sont reversés à l’association Apprentis d’Auteuil qui œuvre depuis 1866 pour améliorer l’accès à l’éducation et à la formation des plus démunis.
Une courte biographie des auteurs est donnée en fin de volume. Merci, par ordre d’apparition, à Ange Beuque, Philippe Aurèle Leroux, Abel Meiers, Esthel Cozzi, Philippe Caza, Marguerite Aloze, Céline P. Bantam, David Ruiz Martin, Elsa Malkoun, Émilie Chevallier Moreux, Laurent Contie, Marin' Maltese, Zoé Faverais Roy, Mathilde Bernardin, Florence Metge…
Une belle découverte !
https://www.facebook.com/piratedespal/
J’avais adoré « Meurtre en Gévaudan » de Florence Metge, c’est donc avec beaucoup de plaisir que je me suis plongée dans son nouveau roman « La vallée de l’Enfer ».
Dans un futur proche, les dérèglements climatiques repoussent les constructions dans les zones rurales, loin des côtes et en altitude, pour éviter les inondations et la canicule. C’est le cas du campus de Peyre, semi-enterré dans la vallée de l’Enfer, en Lozère. A la pointe de la technologie, il fait parti du top 100 des meilleures écoles au niveau mondial et sélectionne l’élite des étudiants.
Le roman débute sur le meurtre d’une étudiante maquillé en suicide. Mais que ce passe-t-il dans la vallée de l’Enfer ?
A travers les yeux de la jeune Appoline, tout juste recruté en master, ce monde élitiste vivant en vase clos va révéler peu à peu ses côtés sombres…
Un thriller original qui pointe le mal-être des étudiants face à la pression et la compétition qui leur est imposés. Il dénonce les rituels d’intégration humiliants et malsains qui continuent malgré leur illégalité mais aussi les pratiques obscures des grands groupes pharmaceutiques en lien avec les grandes écoles.
J’ai passé un excellent moment avec cette lecture qui mêle légendes urbaines, manipulations et huis-clos. La plume de l’autrice est fluide et l’ambiance oppressante de la vie sous terre très bien retranscrite.
Une jolie découverte et une autrice que je vous conseille.
Dans un futur proche, les dérèglements climatiques repoussent les constructions dans les zones rurales, loin des côtes et en altitude, pour éviter les inondations et la canicule. C’est le cas du campus de Peyre, semi-enterré dans la vallée de l’Enfer, en Lozère. A la pointe de la technologie, il fait parti du top 100 des meilleures écoles au niveau mondial et sélectionne l’élite des étudiants.
Le roman débute sur le meurtre d’une étudiante maquillé en suicide. Mais que ce passe-t-il dans la vallée de l’Enfer ?
A travers les yeux de la jeune Appoline, tout juste recruté en master, ce monde élitiste vivant en vase clos va révéler peu à peu ses côtés sombres…
Un thriller original qui pointe le mal-être des étudiants face à la pression et la compétition qui leur est imposés. Il dénonce les rituels d’intégration humiliants et malsains qui continuent malgré leur illégalité mais aussi les pratiques obscures des grands groupes pharmaceutiques en lien avec les grandes écoles.
J’ai passé un excellent moment avec cette lecture qui mêle légendes urbaines, manipulations et huis-clos. La plume de l’autrice est fluide et l’ambiance oppressante de la vie sous terre très bien retranscrite.
Une jolie découverte et une autrice que je vous conseille.
J’ai toujours été intriguée par l’histoire de la bête du Gévaudan et c’est ce qui m’a poussé à lire ce livre.
Je n’ai pas été déçue, bien au contraire, car l’auteure réussit le tour de force d’évoquer les évènements de cette époque dans un thriller très actuel.
J’ai aimé suivre l’installation de Faustine à Sainte Lucie aux portes du parc des loups du Gévaudan. Elle a tout quitté pour s’installer dans la maison familiale qu’elle souhaite transformer enchambres d’hôtes. Son arrivée ne sera pas de tout repos avec la découverte d’un cadavre enterré dans son jardin ! Celui-ci semble relié au meurtre d’une jeune fille dans un village voisin quelques mois auparavant. La « bête » sévirait-elle à nouveau au travers de ses descendants ?
Du frisson, des meurtres étranges, de la romance aussi dans ce roman addictif. L’écriture très agréable de l’auteure m’a immergée dans cette région brumeuse pleine de mystères et c’est avec une petite pointe de nostalgie que j’ai refermé mon livre. J’y étais bien…
Une jolie découverte que je vous conseille vivement !
Un grand merci à Florence Metge pour sa confiance.
Je n’ai pas été déçue, bien au contraire, car l’auteure réussit le tour de force d’évoquer les évènements de cette époque dans un thriller très actuel.
J’ai aimé suivre l’installation de Faustine à Sainte Lucie aux portes du parc des loups du Gévaudan. Elle a tout quitté pour s’installer dans la maison familiale qu’elle souhaite transformer enchambres d’hôtes. Son arrivée ne sera pas de tout repos avec la découverte d’un cadavre enterré dans son jardin ! Celui-ci semble relié au meurtre d’une jeune fille dans un village voisin quelques mois auparavant. La « bête » sévirait-elle à nouveau au travers de ses descendants ?
Du frisson, des meurtres étranges, de la romance aussi dans ce roman addictif. L’écriture très agréable de l’auteure m’a immergée dans cette région brumeuse pleine de mystères et c’est avec une petite pointe de nostalgie que j’ai refermé mon livre. J’y étais bien…
Une jolie découverte que je vous conseille vivement !
Un grand merci à Florence Metge pour sa confiance.
En juin 2017, dans la petite ville de Saint-Chély-d’Apcher, en Lozère, le corps d’une lycéenne est retrouvé à moitié dévoré au pied de la statue de la bête du Gévaudan. Cet évènement ne manque pas de rappeler aux habitants les crimes épouvantables commis 250 ans plus tôt par cette mystérieuse créature, que personne n’a jamais réellement su identifier.
En avril 2018, dans le village voisin de Sainte-Lucie, Faustine une jeune parisienne avide de changer de vie décide de rénover l’ancienne maison de famille dont elle a hérité. Située à proximité du Parc des Loups du Gévaudan, la propriété est l’endroit idéal pour ouvrir des chambres d’hôtes. Faustine se lance dans les travaux mais son projet est bouleversé lorsque les entrepreneurs découvrent en lieu et place de la future piscine le cadavre d’une femme, enterré dans le jardin. Existe t-il un lien entre ces évènements ?
Il n’y a pas que les auteurs nordiques capables de dénicher les coins les plus reculés pour bâtir des récits intrigants et sombres, Florence Metge nous entraine dans ce petit village de Lozère, un peu à la façon de Ragnar Jonasson, dans son roman Dix âmes pas plus, l’un de mes derniers livres lus, mais je quitte le froid islandais pour le soleil printanier occitan et ça n’a pas été pour me déplaire, bien au contraire ! Tout d’abord, je trouve que l’auteure rend un bel hommage à cette région, on sent qu’elle y a séjourné ou vécu, peut-être y a t-elle même ses racines ? Personnellement je garde de la Lozère d’inoubliables souvenirs de vacances, j’étais donc ravie de me plonger dans ce roman et de redécouvrir la légende de la bête du Gévaudan. L’auteure amène habilement ce sujet : un premier crime, celui d’une jeune fille dont le corps est lacéré de morsures, est retrouvé au pied de la célèbre statue de la bête… Puis Faustine, qui ambitionne d’écrire un roman, se plonge sporadiquement dans la lecture d’un livre historique sur le mythe, c’est en sa compagnie que nous nous remémorons les terribles crimes qui ont traumatisé la population d’une région et durablement marqué la culture populaire. En parallèle de cette lecture se déroule l’enquête sur la découverte du corps dans le jardin de Faustine. La découverte de corps démembrés, en partie dévorés avec ce contexte historique en toile de fond… de quoi intriguer et faire irrémédiablement monter la tension ! Tout tourne autour des loups dans cette région et là aussi j’ai été séduite: leurs hurlements sont omniprésents la nuit en raison de la proximité avec le parc animalier. Le sujet est d’actualité et divise: les loups reviennent dans nos campagnes, représentent-ils encore aujourd’hui une menace, pour les animaux et les humains?
En dépit d’un dénouement assez simple, le récit est bien mené, le suspense est présent, d’autant plus que après la découverte d’un cadavre dans son jardin il est difficile pour Faustine de résister à la paranoïa… Elle rencontre rapidement ses voisins, peu nombreux dans ce hameau isolé : Anthony le restaurateur du parc, Romain le directeur de celui-ci, et Jérémy l’artisan plombier venu réaliser des travaux dans la propriété. Je vous l’avoue il y a un aspect romance qui m’a quelque peu dérangée mais j’ai survécu ! Et puis j’ai apprécié le personnage de Faustine, ses choix, ses doutes et sa persévérance. En bref, Meurtres en Gévaudan est une lecture très agréable, simple et ensoleillée, idéale pour les vacances.
Je remercie Florence Metge de m’avoir invitée via Simplement Pro à découvrir ce premier roman prometteur, et de m’avoir offert cette jolie balade en Lozère.
Lien : https://loeilnoir.wordpress...
En avril 2018, dans le village voisin de Sainte-Lucie, Faustine une jeune parisienne avide de changer de vie décide de rénover l’ancienne maison de famille dont elle a hérité. Située à proximité du Parc des Loups du Gévaudan, la propriété est l’endroit idéal pour ouvrir des chambres d’hôtes. Faustine se lance dans les travaux mais son projet est bouleversé lorsque les entrepreneurs découvrent en lieu et place de la future piscine le cadavre d’une femme, enterré dans le jardin. Existe t-il un lien entre ces évènements ?
Il n’y a pas que les auteurs nordiques capables de dénicher les coins les plus reculés pour bâtir des récits intrigants et sombres, Florence Metge nous entraine dans ce petit village de Lozère, un peu à la façon de Ragnar Jonasson, dans son roman Dix âmes pas plus, l’un de mes derniers livres lus, mais je quitte le froid islandais pour le soleil printanier occitan et ça n’a pas été pour me déplaire, bien au contraire ! Tout d’abord, je trouve que l’auteure rend un bel hommage à cette région, on sent qu’elle y a séjourné ou vécu, peut-être y a t-elle même ses racines ? Personnellement je garde de la Lozère d’inoubliables souvenirs de vacances, j’étais donc ravie de me plonger dans ce roman et de redécouvrir la légende de la bête du Gévaudan. L’auteure amène habilement ce sujet : un premier crime, celui d’une jeune fille dont le corps est lacéré de morsures, est retrouvé au pied de la célèbre statue de la bête… Puis Faustine, qui ambitionne d’écrire un roman, se plonge sporadiquement dans la lecture d’un livre historique sur le mythe, c’est en sa compagnie que nous nous remémorons les terribles crimes qui ont traumatisé la population d’une région et durablement marqué la culture populaire. En parallèle de cette lecture se déroule l’enquête sur la découverte du corps dans le jardin de Faustine. La découverte de corps démembrés, en partie dévorés avec ce contexte historique en toile de fond… de quoi intriguer et faire irrémédiablement monter la tension ! Tout tourne autour des loups dans cette région et là aussi j’ai été séduite: leurs hurlements sont omniprésents la nuit en raison de la proximité avec le parc animalier. Le sujet est d’actualité et divise: les loups reviennent dans nos campagnes, représentent-ils encore aujourd’hui une menace, pour les animaux et les humains?
En dépit d’un dénouement assez simple, le récit est bien mené, le suspense est présent, d’autant plus que après la découverte d’un cadavre dans son jardin il est difficile pour Faustine de résister à la paranoïa… Elle rencontre rapidement ses voisins, peu nombreux dans ce hameau isolé : Anthony le restaurateur du parc, Romain le directeur de celui-ci, et Jérémy l’artisan plombier venu réaliser des travaux dans la propriété. Je vous l’avoue il y a un aspect romance qui m’a quelque peu dérangée mais j’ai survécu ! Et puis j’ai apprécié le personnage de Faustine, ses choix, ses doutes et sa persévérance. En bref, Meurtres en Gévaudan est une lecture très agréable, simple et ensoleillée, idéale pour les vacances.
Je remercie Florence Metge de m’avoir invitée via Simplement Pro à découvrir ce premier roman prometteur, et de m’avoir offert cette jolie balade en Lozère.
Lien : https://loeilnoir.wordpress...
♠ « Connected People » - Les Indés Lébiles ♠
Aujourd'hui, je vous présente le troisième livre du colis envoyé par la maison d'édition Humbird & Curlew. Pour l'instant, je suis très satisfaite de ce partenariat et je remercie toute l'équipe pour ses remarques pertinentes et son aide précieuse. « Connected People » est le troisième ouvrage écrit par Les Indés Lébiles, un collectif composé de cinq auteurs permanents et d'invités participant à l'élaboration de chaque recueil.
Dans celui-ci, les auteurs exploitent des thèmes d'anticipation assez communs mais leur apportent une touche personnelle et originale. Robots majordomes, androïdes amoureux, bancs carnivores, enceintes piratées et miroirs machiavéliques constituent le décor d'un monde 2.0. Et si ce futur évoque des évolutions technologiques et scientifiques, il rime également avec dangers.
ATTENTION SPOILER :
Ce qui m'a beaucoup plu dans cet ouvrage, c'est avant tout la diversité de ses histoires. Taille, nombre et dénomination des chapitres, présence d'une citation, point de vue de narration, forme du texte et taille ; tous ces éléments varient sans cesse et donnent l'impression au lecteur de commencer un nouveau livre à chaque changement. J'ai aussi beaucoup apprécié le regard critique porté sur les innovations et le dénouement brutal ou cynique de chaque nouvelle. Je souligne d'ailleurs un petit coup de coeur pour trois d'entre elles : « La révolte d'Harlow », « Connected » et « Miroir ».
En revanche, j'aurais aimé une petite uniformisation des styles des auteurs. de plus, j'ai trouvé certaines nouvelles assez prévisibles alors que je m'attendais à être surprise.
Bref, si vous aimez les histoires d'anticipation affublées d'un traitement unique et tout à fait ironique, je ne peux que vous conseiller de découvrir ce recueil.
Pour plus d'informations et de chroniques :
Lien : https://www.shanaslibrary.co..
Aujourd'hui, je vous présente le troisième livre du colis envoyé par la maison d'édition Humbird & Curlew. Pour l'instant, je suis très satisfaite de ce partenariat et je remercie toute l'équipe pour ses remarques pertinentes et son aide précieuse. « Connected People » est le troisième ouvrage écrit par Les Indés Lébiles, un collectif composé de cinq auteurs permanents et d'invités participant à l'élaboration de chaque recueil.
Dans celui-ci, les auteurs exploitent des thèmes d'anticipation assez communs mais leur apportent une touche personnelle et originale. Robots majordomes, androïdes amoureux, bancs carnivores, enceintes piratées et miroirs machiavéliques constituent le décor d'un monde 2.0. Et si ce futur évoque des évolutions technologiques et scientifiques, il rime également avec dangers.
ATTENTION SPOILER :
Ce qui m'a beaucoup plu dans cet ouvrage, c'est avant tout la diversité de ses histoires. Taille, nombre et dénomination des chapitres, présence d'une citation, point de vue de narration, forme du texte et taille ; tous ces éléments varient sans cesse et donnent l'impression au lecteur de commencer un nouveau livre à chaque changement. J'ai aussi beaucoup apprécié le regard critique porté sur les innovations et le dénouement brutal ou cynique de chaque nouvelle. Je souligne d'ailleurs un petit coup de coeur pour trois d'entre elles : « La révolte d'Harlow », « Connected » et « Miroir ».
En revanche, j'aurais aimé une petite uniformisation des styles des auteurs. de plus, j'ai trouvé certaines nouvelles assez prévisibles alors que je m'attendais à être surprise.
Bref, si vous aimez les histoires d'anticipation affublées d'un traitement unique et tout à fait ironique, je ne peux que vous conseiller de découvrir ce recueil.
Pour plus d'informations et de chroniques :
Lien : https://www.shanaslibrary.co..
Quel plaisir de retrouver ce collectif pour un nouveau recueil. Cette fois, le thème central est celui de la connectivité à outrance et de l’évolution de la technologie, une évolution qui peut parfois faire froid dans le dos… Les auteurs proposent des visions bien différentes d’un futur qui pourrait être le nôtre, mais ils ont tous un élément en commun : un côté terrifiant avec des conclusions qui glacent le sang ! Il y en a donc pour tous les goûts dans ce recueil, de quoi vous faire frissonner au fil des nouvelles et vous donner envie d’en lire toujours plus.
La première nouvelle, « L'intuition de soi », nous emmène à la rencontre de Joseph qui est le majordome de la famille Hoffner. Il voit sa vie basculer quand des SERF apparaissent de plus en plus dans la maison de ses patrons, ces robots le remplaçant toujours plus dans son travail. Mais la réalité s'avère bien plus complexe et pire qu'il ne pouvait le penser.
L'auteur nous emporte dans sa nouvelle dès les premières lignes et nous avons envie de savoir ce qui va arriver à Joseph et ce qu'il va se passer. Cette nouvelle est assez angoissante, mais très touchante en même temps.
Dans la nouvelle suivante, « Thor », nous faisons la connaissance de Soumy qui retrouve des amies d'école pour une sortie après un long moment sans les voir. Elle qui a toujours été dans l'ombre et insignifiante a une grande nouvelle à leur annoncer ! Une nouvelle qui lui permettra peut-être d'enfin prendre sa revanche...
L'autrice nous propose de plonger dans un futur étonnant et fascinant tout en étant bien effrayant... Avec Soumy, nous allons découvrir l'horreur de l'évolution de cette société. Je n'aimerais vraiment pas vivre dans un tel monde. Concernant la surprise qu'elle réserve à ses "amies", je l'ai adorée et je l'ai trouvée délectable. Je pense qu'on aimerait tous pouvoir clouer le bec ainsi aux gens... Cette nouvelle est donc passionnante et je l'ai adorée !
Dans « PA-21 », nous découvrons une vidéo faite par Johanna pour Adrien, un journaliste, afin qu'il puisse révéler au grand jour son histoire dramatique. Alors qu'elle a failli mourir lors d'un accident, elle va découvrir ensuite que le fait qu'elle soit toujours en vie cache un bien terrible secret...
Comme nous suivons le témoignage en "direct" de Johanna, nous sommes totalement happés par cette nouvelle du début à la fin. L'auteur rend son récit vraiment palpitant et nous conduit vers un final incroyable et terrifiant, tout comme le thème abordé dans cette histoire... C’est un récit tout simplement glaçant !
« Myxhommatose » nous plonge dans une ville futuriste étonnante, où les gens ont bien changé. Alice, notre héroïne est différente d'eux, car c'est une Foirée... Mais voilà qu'un drame va survenir et transformer cette société à jamais.
Avec ce récit, l'auteur nous propose de nombreuses réflexions et nous met face à une évolution de la technologie qui a de quoi inquiéter... Et si... Non, mieux vaut ne pas y penser ! Mais difficile de rester insensible à son message.
Dans « A distance », nous faisons la connaissance de Clio, une chercheuse plutôt douée dans son travail qui va voir sa vie basculer quand une nouvelle personne va débarquer dans l'entreprise où elle travaille. L'histoire va alors prendre un tournant très sombre...
L'autrice nous montre à quel point les faux-semblants et les manipulations peuvent nous conduire à prendre des décisions dramatiques. C'est très intéressant de suivre l'évolution de Clio et de découvrir une fin bien étonnante !
Le personnage au cœur de la nouvelle suivante, « Diamantis », est Alan et il est policier. Il vit dans un futur où très peu de personnes n'ont pas modifié leur corps avec des implants remplis de technologie. Contre ce genre de procédé, il tente de résister à la vague du mieux qu'il peut. Mais voilà qu'un événement va venir tout changer et modifier sa vie à jamais...
L'auteur nous embarque dans un récit qui semble juste une histoire portant sur un drame quotidien, mais qui se révélera être bien plus sombre et bien plus terrible que prévu ! La fin est juste glaçante et montre à quel point certaines personnes n’ont pas les mêmes priorités que les autres…
Dans « Petit interlude poétique », l'auteur nous propose plusieurs poèmes abordant les thèmes de ce recueil : la technologie, les objets connectés, etc., et toutes les dérives qui en découlent. Le tout est formulé de façon très intéressante et pousse à la réflexion. C'est un interlude qui nous interpelle.
Dans « La révolte d'Harlow », nous rencontrons Vanessa qui fait partie de la police et qui est envoyée à une adresse où elle va retrouver une personne de son passé. A partir de là, des secrets vont être révélés, horribles pour certains, sur les dessous de la ville de Harlow. Vanessa est loin d'imaginer ce qui se trame autour d'elle...
L'auteur nous emporte dans une histoire qui surprend et qui nous montre les dessous d'une politique étrange et inquiétante. Elle nous pousse à nous poser de nombreuses questions… Et si certaines choses n'étaient que mensonges ? Le final est terrible et nous laisse pantois.
La nouvelle suivante, « Croque-cloche », nous plonge au cœur d'une citée qui se veut totalement connectée, en version 4.0! Mais cette envie du maire pourrait bien le conduire à prendre des décisions terribles qui pourraient avoir un impact bien sinistre et terrifiant sur sa ville…
L'autrice nous propose une nouvelle qui se dévore et qui nous happe totalement ! Impossible de décrocher avant de connaître la fin ! J'ai trouvé les idées vraiment géniales et terrifiantes en même temps ! C'est vraiment une nouvelle palpitante.
Dans « Connected », nous entrons dans le Monde Unique où les implants et la technologie permettent de ne pas tomber malade et d'éradiquer les virus et autres problèmes de santé. Noé et Lauren travaillent pour Connectys et n'ont jamais remis en question ce qu'ils y font, ni leur vie. Mais le jour où tout va basculer, ils vont faire face à une réalité qui dépasse l’entendement !
L'autrice nous plonge dans une nouvelle qui nous intrigue et qui nous donne envie d'en apprendre plus sur le Monde Unique et le Monde Stérile. Avec nos protagonistes, nous allons découvrir l'envers du décor et autant dire qu'il fait froid dans le dos ! Sans compter que la fin nous met face à une vérité bien pire encore... C'est vraiment une histoire palpitante !
Dans la nouvelle suivante, « La vengeance de l’ouvre-boîte », nous rencontrons Thomas, un retraité sans histoire qui mène une vie paisible jusqu'au jour où une charmante voisine va venir habiter à côté de chez lui. Bien décidé à tout faire pour lui plaire, sa vie va prendre un tournant totalement inattendu et dramatique.
L'auteur nous propose une histoire assez effrayante, car finalement elle pourrait arriver à n'importe qui. C'est terrible de se dire à quel point il suffit de peu de choses pour que tout s'enraye et que le cauchemar commence... Cela questionne beaucoup sur la place de la technologie dans notre quotidien.
Dans « Oreilles connectées », nous faisons la connaissance de Lucas, un jeune homme assigné à résidence suite à un piratage. Alors qu'il devrait rester tranquille et faire profil bas, il ne peut s'empêcher de se lancer un nouveau challenge, sauf que ce dernier pourrait bien lui coûter très cher...
L'auteur nous propose une nouvelle qui nous fait voir d’un autre œil certains de nos appareils... Si au départ, l'idée de Lucas n'est pas terrible, ce qui va se passer après fait encore plus peur. Certains choix peuvent s'avérer très mauvais. Cette nouvelle est vraiment passionnante et palpitante !
Dans « Miroir », nous suivons Natan et son miroir qui fait office d'assistant personnel. En suivant leurs pensées et leurs échanges nous découvrons le rôle de ce miroir pas comme les autres et le côté effrayant de ce dernier...
L'auteur nous propose une histoire qui surprend et qui donne le sourire au début, mais cela va rapidement changer au fil du récit. La fin nous laisse d'ailleurs complètement glacés... C'est vraiment une histoire qui vaut le détour !
« Commérages digitaux » est la dernière nouvelle du recueil et si elle aborde toujours le thème de la connexion, elle le fait de manière différente. Les objets électroniques y tiennent une place différente où ils peuvent communiquer entre eux et où ils se sont donnés une mission qui est bien particulière... et glaçante.
Nous suivons donc leurs échanges et les événements qui se déroulent devant eux, de quoi nous emporter dans une histoire étonnante et originale ! C'est vraiment un récit parfait pour clore ce recueil !
Ce recueil regroupe donc différents auteurs et différentes nouvelles qui sauront plaire à un large public. La façon d'aborder le thème des technologies et de la connectivité est différente en fonction des auteurs, ce qui permet de satisfaire tous les goûts et de contenter le plus grand nombre. Personnellement, je me suis régalée avec ce recueil original et sombre à bien des moments. Il met en avant des faits et des réalités bien effrayants… Allons-nous en arriver là un jour ? Je ne l'espère pas...
En bref, ce recueil est passionnant et nous offre des histoires palpitantes et effrayantes à la fois ! Il est à lire de toute urgence !
La première nouvelle, « L'intuition de soi », nous emmène à la rencontre de Joseph qui est le majordome de la famille Hoffner. Il voit sa vie basculer quand des SERF apparaissent de plus en plus dans la maison de ses patrons, ces robots le remplaçant toujours plus dans son travail. Mais la réalité s'avère bien plus complexe et pire qu'il ne pouvait le penser.
L'auteur nous emporte dans sa nouvelle dès les premières lignes et nous avons envie de savoir ce qui va arriver à Joseph et ce qu'il va se passer. Cette nouvelle est assez angoissante, mais très touchante en même temps.
Dans la nouvelle suivante, « Thor », nous faisons la connaissance de Soumy qui retrouve des amies d'école pour une sortie après un long moment sans les voir. Elle qui a toujours été dans l'ombre et insignifiante a une grande nouvelle à leur annoncer ! Une nouvelle qui lui permettra peut-être d'enfin prendre sa revanche...
L'autrice nous propose de plonger dans un futur étonnant et fascinant tout en étant bien effrayant... Avec Soumy, nous allons découvrir l'horreur de l'évolution de cette société. Je n'aimerais vraiment pas vivre dans un tel monde. Concernant la surprise qu'elle réserve à ses "amies", je l'ai adorée et je l'ai trouvée délectable. Je pense qu'on aimerait tous pouvoir clouer le bec ainsi aux gens... Cette nouvelle est donc passionnante et je l'ai adorée !
Dans « PA-21 », nous découvrons une vidéo faite par Johanna pour Adrien, un journaliste, afin qu'il puisse révéler au grand jour son histoire dramatique. Alors qu'elle a failli mourir lors d'un accident, elle va découvrir ensuite que le fait qu'elle soit toujours en vie cache un bien terrible secret...
Comme nous suivons le témoignage en "direct" de Johanna, nous sommes totalement happés par cette nouvelle du début à la fin. L'auteur rend son récit vraiment palpitant et nous conduit vers un final incroyable et terrifiant, tout comme le thème abordé dans cette histoire... C’est un récit tout simplement glaçant !
« Myxhommatose » nous plonge dans une ville futuriste étonnante, où les gens ont bien changé. Alice, notre héroïne est différente d'eux, car c'est une Foirée... Mais voilà qu'un drame va survenir et transformer cette société à jamais.
Avec ce récit, l'auteur nous propose de nombreuses réflexions et nous met face à une évolution de la technologie qui a de quoi inquiéter... Et si... Non, mieux vaut ne pas y penser ! Mais difficile de rester insensible à son message.
Dans « A distance », nous faisons la connaissance de Clio, une chercheuse plutôt douée dans son travail qui va voir sa vie basculer quand une nouvelle personne va débarquer dans l'entreprise où elle travaille. L'histoire va alors prendre un tournant très sombre...
L'autrice nous montre à quel point les faux-semblants et les manipulations peuvent nous conduire à prendre des décisions dramatiques. C'est très intéressant de suivre l'évolution de Clio et de découvrir une fin bien étonnante !
Le personnage au cœur de la nouvelle suivante, « Diamantis », est Alan et il est policier. Il vit dans un futur où très peu de personnes n'ont pas modifié leur corps avec des implants remplis de technologie. Contre ce genre de procédé, il tente de résister à la vague du mieux qu'il peut. Mais voilà qu'un événement va venir tout changer et modifier sa vie à jamais...
L'auteur nous embarque dans un récit qui semble juste une histoire portant sur un drame quotidien, mais qui se révélera être bien plus sombre et bien plus terrible que prévu ! La fin est juste glaçante et montre à quel point certaines personnes n’ont pas les mêmes priorités que les autres…
Dans « Petit interlude poétique », l'auteur nous propose plusieurs poèmes abordant les thèmes de ce recueil : la technologie, les objets connectés, etc., et toutes les dérives qui en découlent. Le tout est formulé de façon très intéressante et pousse à la réflexion. C'est un interlude qui nous interpelle.
Dans « La révolte d'Harlow », nous rencontrons Vanessa qui fait partie de la police et qui est envoyée à une adresse où elle va retrouver une personne de son passé. A partir de là, des secrets vont être révélés, horribles pour certains, sur les dessous de la ville de Harlow. Vanessa est loin d'imaginer ce qui se trame autour d'elle...
L'auteur nous emporte dans une histoire qui surprend et qui nous montre les dessous d'une politique étrange et inquiétante. Elle nous pousse à nous poser de nombreuses questions… Et si certaines choses n'étaient que mensonges ? Le final est terrible et nous laisse pantois.
La nouvelle suivante, « Croque-cloche », nous plonge au cœur d'une citée qui se veut totalement connectée, en version 4.0! Mais cette envie du maire pourrait bien le conduire à prendre des décisions terribles qui pourraient avoir un impact bien sinistre et terrifiant sur sa ville…
L'autrice nous propose une nouvelle qui se dévore et qui nous happe totalement ! Impossible de décrocher avant de connaître la fin ! J'ai trouvé les idées vraiment géniales et terrifiantes en même temps ! C'est vraiment une nouvelle palpitante.
Dans « Connected », nous entrons dans le Monde Unique où les implants et la technologie permettent de ne pas tomber malade et d'éradiquer les virus et autres problèmes de santé. Noé et Lauren travaillent pour Connectys et n'ont jamais remis en question ce qu'ils y font, ni leur vie. Mais le jour où tout va basculer, ils vont faire face à une réalité qui dépasse l’entendement !
L'autrice nous plonge dans une nouvelle qui nous intrigue et qui nous donne envie d'en apprendre plus sur le Monde Unique et le Monde Stérile. Avec nos protagonistes, nous allons découvrir l'envers du décor et autant dire qu'il fait froid dans le dos ! Sans compter que la fin nous met face à une vérité bien pire encore... C'est vraiment une histoire palpitante !
Dans la nouvelle suivante, « La vengeance de l’ouvre-boîte », nous rencontrons Thomas, un retraité sans histoire qui mène une vie paisible jusqu'au jour où une charmante voisine va venir habiter à côté de chez lui. Bien décidé à tout faire pour lui plaire, sa vie va prendre un tournant totalement inattendu et dramatique.
L'auteur nous propose une histoire assez effrayante, car finalement elle pourrait arriver à n'importe qui. C'est terrible de se dire à quel point il suffit de peu de choses pour que tout s'enraye et que le cauchemar commence... Cela questionne beaucoup sur la place de la technologie dans notre quotidien.
Dans « Oreilles connectées », nous faisons la connaissance de Lucas, un jeune homme assigné à résidence suite à un piratage. Alors qu'il devrait rester tranquille et faire profil bas, il ne peut s'empêcher de se lancer un nouveau challenge, sauf que ce dernier pourrait bien lui coûter très cher...
L'auteur nous propose une nouvelle qui nous fait voir d’un autre œil certains de nos appareils... Si au départ, l'idée de Lucas n'est pas terrible, ce qui va se passer après fait encore plus peur. Certains choix peuvent s'avérer très mauvais. Cette nouvelle est vraiment passionnante et palpitante !
Dans « Miroir », nous suivons Natan et son miroir qui fait office d'assistant personnel. En suivant leurs pensées et leurs échanges nous découvrons le rôle de ce miroir pas comme les autres et le côté effrayant de ce dernier...
L'auteur nous propose une histoire qui surprend et qui donne le sourire au début, mais cela va rapidement changer au fil du récit. La fin nous laisse d'ailleurs complètement glacés... C'est vraiment une histoire qui vaut le détour !
« Commérages digitaux » est la dernière nouvelle du recueil et si elle aborde toujours le thème de la connexion, elle le fait de manière différente. Les objets électroniques y tiennent une place différente où ils peuvent communiquer entre eux et où ils se sont donnés une mission qui est bien particulière... et glaçante.
Nous suivons donc leurs échanges et les événements qui se déroulent devant eux, de quoi nous emporter dans une histoire étonnante et originale ! C'est vraiment un récit parfait pour clore ce recueil !
Ce recueil regroupe donc différents auteurs et différentes nouvelles qui sauront plaire à un large public. La façon d'aborder le thème des technologies et de la connectivité est différente en fonction des auteurs, ce qui permet de satisfaire tous les goûts et de contenter le plus grand nombre. Personnellement, je me suis régalée avec ce recueil original et sombre à bien des moments. Il met en avant des faits et des réalités bien effrayants… Allons-nous en arriver là un jour ? Je ne l'espère pas...
En bref, ce recueil est passionnant et nous offre des histoires palpitantes et effrayantes à la fois ! Il est à lire de toute urgence !
Après « La vallée de l’enfer », je viens de lire « Meurtres en Gévaudan » de Florence Metge que je remercie beaucoup pour l’envoi de ce roman.
Tout comme le premier cité, j’ai vraiment beaucoup aimé le temps que j’ai passé dans le Gévaudan à lire ce roman.
Le livre commence par une explication historique des faits passés dans les années 60 du XVIè siècle, d’ailleurs, le Roi Louis XV avait pris cette affaire très au sérieux.
Ensuite on entre dans le XXIè siècle avec la mort de Chloé, retouvée à moitié nue et atrocement mutilé, au début de l’été 2017, à St Chely d’Apcher au nord de la Lozère. La région commence à penser que la bête est de retour.
Puis l’arrivée dans le hameau de Ste Lucie dans la vallée de l’enfer, de Faustine qui quitte Paris pour ouvrir des chambres d’hôtes. Elle occupe la maison qu’elle a héritée de ses parents morts il y a un an.
Au cours de la lecture, on alternera avec des rencontres parmi ses voisins et les artisans qui sont venus et viennent encore faire des travaux dans cette maison datée et la lecture de l’histoire de la bête du Gévaudan,.
Elle s’installe donc, dans cette vallée ou pas très loin se trouve le parc des Loups du Gévaudan qui a racheté presque toutes les maisons de ce hameau pour installer des gîtes. Pas très loin, un chemin menant à Saint-Jacques-de-Compostelle traverse la région, nul doute qu’elle devrait faire le plein de clients pour les mois d’été et au-delà.
Plusieurs personnages vont faire irruptions dans ce roman, notamment des installateurs de piscine qui doivent creuser dans le terrain. Stupeur ! Ils découvrent un cadavre. Décidément cette région est maudite et Faustine commence à prendre peur.
Faustine va rechercher qui peut-être cette femme.
Au fur et à mesure de l’avancé du roman, plusieurs suspects semblent en mesure d’avoir commis ces crimes, et ils tournent presque tous autour de Faustine.
Nous sommes pantelants, on soupçonne untel, est-ce lui, ou lui ? J’ai vraiment aimé cette enquête et pris du plaisir confortablement installé chez moi, loin de cette bête qui sait-on jamais pourrait refaire surface.
Un excellent roman, je recommande la plume de Florence METGE qui selon moi, sera une prochaine vedette du roman policier/thriller avec une connotation régionale qui plaît beaucoup. Je l’encourage fortement.
Tout comme le premier cité, j’ai vraiment beaucoup aimé le temps que j’ai passé dans le Gévaudan à lire ce roman.
Le livre commence par une explication historique des faits passés dans les années 60 du XVIè siècle, d’ailleurs, le Roi Louis XV avait pris cette affaire très au sérieux.
Ensuite on entre dans le XXIè siècle avec la mort de Chloé, retouvée à moitié nue et atrocement mutilé, au début de l’été 2017, à St Chely d’Apcher au nord de la Lozère. La région commence à penser que la bête est de retour.
Puis l’arrivée dans le hameau de Ste Lucie dans la vallée de l’enfer, de Faustine qui quitte Paris pour ouvrir des chambres d’hôtes. Elle occupe la maison qu’elle a héritée de ses parents morts il y a un an.
Au cours de la lecture, on alternera avec des rencontres parmi ses voisins et les artisans qui sont venus et viennent encore faire des travaux dans cette maison datée et la lecture de l’histoire de la bête du Gévaudan,.
Elle s’installe donc, dans cette vallée ou pas très loin se trouve le parc des Loups du Gévaudan qui a racheté presque toutes les maisons de ce hameau pour installer des gîtes. Pas très loin, un chemin menant à Saint-Jacques-de-Compostelle traverse la région, nul doute qu’elle devrait faire le plein de clients pour les mois d’été et au-delà.
Plusieurs personnages vont faire irruptions dans ce roman, notamment des installateurs de piscine qui doivent creuser dans le terrain. Stupeur ! Ils découvrent un cadavre. Décidément cette région est maudite et Faustine commence à prendre peur.
Faustine va rechercher qui peut-être cette femme.
Au fur et à mesure de l’avancé du roman, plusieurs suspects semblent en mesure d’avoir commis ces crimes, et ils tournent presque tous autour de Faustine.
Nous sommes pantelants, on soupçonne untel, est-ce lui, ou lui ? J’ai vraiment aimé cette enquête et pris du plaisir confortablement installé chez moi, loin de cette bête qui sait-on jamais pourrait refaire surface.
Un excellent roman, je recommande la plume de Florence METGE qui selon moi, sera une prochaine vedette du roman policier/thriller avec une connotation régionale qui plaît beaucoup. Je l’encourage fortement.
C'est avec un grand plaisir que j'ai découvert ce 3ème recueil de nouvelles du collectif Les Indé Lébiles qui se compose de 14 nouvelles et poèmes.
Un thème central mais 14 styles différents pour l'aborder, c'est un vrai régal !
A travers ces textes, les auteurs nous plongent au coeur d'une société ultra connectée dans laquelle les robots humanoïdes tiennent une place importante nous donnant une vision d'un futur peut-être pas si lointain.
Y a-t-il des limites à l'IA ? quelles sont les dérives et les conséquences de l'exploitation de cette technologie ?
Certes, cette évolution est inévitable et certainement nécessaire dans certains domaines, mais l'Homme pourra-t-il la maîtriser ?
Les textes et poèmes de ce recueil sont intéressants, pertinents, et surtout percutants. Ils amènent le lecteur à prendre conscience des avantages et des inconvénients d'un monde en pleine expansion technologique, des liens sociaux, des sentiments.
J'avoue que cette lecture ne m'a pas donné une vision très joyeuse de ce futur robotisé mais j'en ai beaucoup apprécié le contenu car les textes sont de qualité, d'une imagination bien exploitée et m'a permis de découvrir de nouvelles plumes.
Un grand merci aux Editions Humbird & Curlew pour ce service presse :)
Un thème central mais 14 styles différents pour l'aborder, c'est un vrai régal !
A travers ces textes, les auteurs nous plongent au coeur d'une société ultra connectée dans laquelle les robots humanoïdes tiennent une place importante nous donnant une vision d'un futur peut-être pas si lointain.
Y a-t-il des limites à l'IA ? quelles sont les dérives et les conséquences de l'exploitation de cette technologie ?
Certes, cette évolution est inévitable et certainement nécessaire dans certains domaines, mais l'Homme pourra-t-il la maîtriser ?
Les textes et poèmes de ce recueil sont intéressants, pertinents, et surtout percutants. Ils amènent le lecteur à prendre conscience des avantages et des inconvénients d'un monde en pleine expansion technologique, des liens sociaux, des sentiments.
J'avoue que cette lecture ne m'a pas donné une vision très joyeuse de ce futur robotisé mais j'en ai beaucoup apprécié le contenu car les textes sont de qualité, d'une imagination bien exploitée et m'a permis de découvrir de nouvelles plumes.
Un grand merci aux Editions Humbird & Curlew pour ce service presse :)
Un recueil de textes, nouvelles et poèmes sur le thème du futur, et surtout de tout ce qui est connecté. Ces quatorze textes ont été écrits de manière bien différente, suivant les auteurs et leur plume.
Je ne souhaite pas vous faire un point détaillé de chaque texte, car moi, j'aime à découvrir de nombreuses plumes et la manière d'aborder un même thème de différentes façons.
Nous passons par des textes qui parlent d'objets qui vont peu à peu prendre la place des humains. Des humains robotisés, qui voient le monde d'un nouvel œil, mais est-ce que l'on ne pousse pas trop loin les objets connectés ? Ces textes vont à la fois nous faire prendre conscience que les objets peuvent être nos amis et un bien qu'il faut prendre, mais surtout, où sera-t-on capable de s'arrêter dans cette course à la connexion illimitée !
J'ai beaucoup aimé lire ces textes, des textes vibrants, des textes vivants où parfois nous sommes plus que surpris de la tournure des histoires, des contenus qui parfois ne laisser pas présager des fins...
Je ne peux que vous conseiller cet ouvrage qui devrait ravir tout un tas de lecteur. Il y en a pour tous les goûts !
Je ne souhaite pas vous faire un point détaillé de chaque texte, car moi, j'aime à découvrir de nombreuses plumes et la manière d'aborder un même thème de différentes façons.
Nous passons par des textes qui parlent d'objets qui vont peu à peu prendre la place des humains. Des humains robotisés, qui voient le monde d'un nouvel œil, mais est-ce que l'on ne pousse pas trop loin les objets connectés ? Ces textes vont à la fois nous faire prendre conscience que les objets peuvent être nos amis et un bien qu'il faut prendre, mais surtout, où sera-t-on capable de s'arrêter dans cette course à la connexion illimitée !
J'ai beaucoup aimé lire ces textes, des textes vibrants, des textes vivants où parfois nous sommes plus que surpris de la tournure des histoires, des contenus qui parfois ne laisser pas présager des fins...
Je ne peux que vous conseiller cet ouvrage qui devrait ravir tout un tas de lecteur. Il y en a pour tous les goûts !
Et un service presse de plus qui me permet de découvrir une nouvelle auteure et un de ses romans. Celui-ci mêle une intrigue et des faits historiques, c’est d’ailleurs une chose que j’ai apprécié. Je ne connaissais absolument pas l’histoire de la bête du Gévaudan et ce livre permet d’en apprendre plus sur les légendes de cette région. J’ai aussi aimé passer un peu de temps avec Faustine, jeune femme qui a tout quitté pour ouvrir des chambres d’hôtes dans la maison familiale en Lozère. Elle aussi va s’intéresser à l’histoire de la bête du Gévaudan, c’est aussi grâce à cela que nous, lecteurs, nous en apprendrons davantage, et elle être directement confrontée aux différents meurtres établis dans la région. Se mêle à cela des histoires « d’amour » bien sure, il en faut toujours un peu… Même si ce livre ne présente pas tous les éléments qui m’animent d’habitude pour mes lectures, j’ai largement apprécié le lire, j’ai été captivée et je suis arrivée à la fin sans vraiment m’en rendre compte. La fin, elle aussi m’a satisfaite, ce qui n’est pas toujours le cas. Bravo donc à l’auteure pour ce roman très agréable que je vous recommande.
Lien : https://heylowdylitdeslivres..
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J'avoue que je ne savais pas trop à quoi m'attendre avec ce résumé. L'histoire de la Bête du Gévaudan qui a sévi il y a plus de 250 ans a suscité bien des questions mais si peu de réponses. Les adaptations et les interprétations sont foison et ne se valent pas toutes.
J'avais donc une petite appréhension mais au final j'ai été vraiment très agréablement surprise ! Le roman est relativement court, 200 pages, et se lit très facilement. Ce qui fait qu'à peine commencé, aussitôt fini. Et puis l'histoire était captivante.
En Lozère, juste après l'inauguration d'une statut de la Bête du Gévaudan, le corps d'une lycéenne est retrouvé à ses pieds. Déjà, les foules s'affolent. Certains pensent au retour de la mythique bête tandis que d'autres préfèrent accuser les loups du parc. Qui a raison ? En tout cas, cela n'empêche pas Faustine de tout quitter à Paris pour venir s'installer en Lozère dans la maison héritée de ses parents. En même temps, elle n'est pas au courant. Elle, elle veut juste ouvrir une maison d'hôte et écrire son roman. Tout bascule le jour où elle décide de faire construire une piscine dans son jardin. En creusant, elle était loin de se douter que les employés tomberaient sur le cadavre d'une jeune femme.
Très rapidement, j'ai été happée par l'histoire qui alterne entre le passé et le présent. Cela nous plonge complètement dans l'ambiance et tout comme Faustine, on a vraiment envie d'en apprendre plus sur les mystères entourant la Bête du Gévaudan : loup-garou, loup, chien hybride dirigé par la main de l'homme, meurtrier en série ? Il est très probable que ce mystère ne soit jamais résolu. A-t-on seulement envie qu'il le soit ? N'est-il pas plus intéressant de garder une part de mystère ? En tout cas, j'ai trouvé que l'auteur était vraiment très bien documentée, tant sur le passé (avec notamment toute la partie sur la famille Chastel) que sur le présent avec le parc aux loups.
Faustine est une jeune femme que j'ai trouvé très sympathique. Marquée par la perte de ses deux parents, elle a su prendre son courage à deux mains et tout claquer pour réaliser son rêve. Un rêve plein de modestie mais j'ai trouvé très beau. Déterminée à ne pas abandonner son héritage familiale, elle fait tout pour conserver sa maison et ne pas la céder aux promoteurs du Parc aux Loups. Non, sa maison ne deviendra ni un logement de fonction ni un attrape-touriste. Alors, même si ça ne sera pas évident, elle va persister. Et ce n'est pas un cadavre qui va l'en empêcher. Ça va juste la ralentir. Par contre, la zone n'étant pas particulièrement peuplée (il y a plus de loups que d'habitants), ça serait bien de trouver qui commet tous ces meurtres. Enfin... si le meurtrier est encore dans le coin.
Florence Metge va distiller le doute. Tous les protagonistes présents ont leur part d'ombres et des secrets à cacher. Le meurtrier pourrait-il se cacher parmi eux ? C'est ce que la police va s'attacher à découvrir le plus rapidement possible.
J'ai vraiment apprécié cette lecture même si la fin m'a un peu déçue. Je l'ai trouvée un peu trop légère et rapide. Elle est amenée quasiment d'un coup et même si, grâce aux pointes de doutes amenées, on finit par se douter de l'identité de la personne coupable, j'aurais aimé une enquête légèrement plus complexe à résoudre.
Conclusion
Mêlant l'histoire au présent, Meurtres en Gévaudan nous emmène dans un thriller court mais efficace, en plein cœur de la Lozère, où de sombres événements ont eu lieu par le passé et se reproduisent des siècles plus tard.
Lien : https://flowerpanda04.wixsit..
J'avais donc une petite appréhension mais au final j'ai été vraiment très agréablement surprise ! Le roman est relativement court, 200 pages, et se lit très facilement. Ce qui fait qu'à peine commencé, aussitôt fini. Et puis l'histoire était captivante.
En Lozère, juste après l'inauguration d'une statut de la Bête du Gévaudan, le corps d'une lycéenne est retrouvé à ses pieds. Déjà, les foules s'affolent. Certains pensent au retour de la mythique bête tandis que d'autres préfèrent accuser les loups du parc. Qui a raison ? En tout cas, cela n'empêche pas Faustine de tout quitter à Paris pour venir s'installer en Lozère dans la maison héritée de ses parents. En même temps, elle n'est pas au courant. Elle, elle veut juste ouvrir une maison d'hôte et écrire son roman. Tout bascule le jour où elle décide de faire construire une piscine dans son jardin. En creusant, elle était loin de se douter que les employés tomberaient sur le cadavre d'une jeune femme.
Très rapidement, j'ai été happée par l'histoire qui alterne entre le passé et le présent. Cela nous plonge complètement dans l'ambiance et tout comme Faustine, on a vraiment envie d'en apprendre plus sur les mystères entourant la Bête du Gévaudan : loup-garou, loup, chien hybride dirigé par la main de l'homme, meurtrier en série ? Il est très probable que ce mystère ne soit jamais résolu. A-t-on seulement envie qu'il le soit ? N'est-il pas plus intéressant de garder une part de mystère ? En tout cas, j'ai trouvé que l'auteur était vraiment très bien documentée, tant sur le passé (avec notamment toute la partie sur la famille Chastel) que sur le présent avec le parc aux loups.
Faustine est une jeune femme que j'ai trouvé très sympathique. Marquée par la perte de ses deux parents, elle a su prendre son courage à deux mains et tout claquer pour réaliser son rêve. Un rêve plein de modestie mais j'ai trouvé très beau. Déterminée à ne pas abandonner son héritage familiale, elle fait tout pour conserver sa maison et ne pas la céder aux promoteurs du Parc aux Loups. Non, sa maison ne deviendra ni un logement de fonction ni un attrape-touriste. Alors, même si ça ne sera pas évident, elle va persister. Et ce n'est pas un cadavre qui va l'en empêcher. Ça va juste la ralentir. Par contre, la zone n'étant pas particulièrement peuplée (il y a plus de loups que d'habitants), ça serait bien de trouver qui commet tous ces meurtres. Enfin... si le meurtrier est encore dans le coin.
Florence Metge va distiller le doute. Tous les protagonistes présents ont leur part d'ombres et des secrets à cacher. Le meurtrier pourrait-il se cacher parmi eux ? C'est ce que la police va s'attacher à découvrir le plus rapidement possible.
J'ai vraiment apprécié cette lecture même si la fin m'a un peu déçue. Je l'ai trouvée un peu trop légère et rapide. Elle est amenée quasiment d'un coup et même si, grâce aux pointes de doutes amenées, on finit par se douter de l'identité de la personne coupable, j'aurais aimé une enquête légèrement plus complexe à résoudre.
Conclusion
Mêlant l'histoire au présent, Meurtres en Gévaudan nous emmène dans un thriller court mais efficace, en plein cœur de la Lozère, où de sombres événements ont eu lieu par le passé et se reproduisent des siècles plus tard.
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C’est le premier roman que je lis de Florence Metge (merci à elle pour l’envoi de ce SP) et ce n’est sûrement pas le dernier (je pense lire prochainement : Meurtres en Gévaudan).
En effet j’ai apprécié une lecture simple, précise et entrainante. Je ne me suis pas ennuyé une seule seconde. Cela commence par une description du pourquoi un bâtiment fut construit sous terre afin d’accueillir un campus universitaire dans un milieu ou les nuisances écologiques seraient moindre, suite au réchauffement de la planète.
Un millier de personnes devront vivre sous terre dans une vallée presque inconnue de la Lozère. Un endroit presque hostile, dans la « vallée de l’enfer ». Un peu d’histoire pour expliquer les différents personnages habitants de cet endroit où les catholiques, les protestants firent de nombreux morts et destructions au nom de leur religion… Ces précisions m’ont été très instructives car bien rédigées contrairement à l’école qui a participé à mon aversion de l’histoire (il y a quand même longtemps, mais je n’ai jamais eu envie d’en apprendre plus, c’est ainsi…)
Nous découvrons ensuite qu’une étudiante ayant reçu un message a rendrez-vous sur un viaduc avec un inconnu, hélas pour elle, cet individu la jette par dessus bord et elle s’écrase 60 mètres plus bas. Pour la direction de l’établissement c’est un suicide.
Appoline arrive après avoir été sélectionnée parmi plus les 30 heureux élus sur plus de 1000 candidats. Elle va nous raconter ce qui se passe dans cette communauté. Déjà le lieu est assez austère, manque de soleil, de lumière, de vue sur la nature, puis l’ambiance est lourde, des bizutages qui officiellement n’en sont pas, bref pour elle ce n’est pas sa tasse de thé. Heureusement pour le lecteur, elle est atypique de ce monde estudiantin.
Elle va être témoin de faits qu’elle découvre au fur et à mesure de son intégration, de ses rencontres et jusqu’à la dernière page nous allons nous-mêmes découvrir des pratiques hors normes (sauf si notre monde se transformait selon la volonté de ces pirates) que l’on ne peut que rejeter. Nous avons appris, depuis que certains scientifiques ont commencé à diffuser hors médias nationaux et à révéler que les plus grands laboratoires pharmaceutiques n’avaient aucun scrupules à nous mentir pour faire du fric, et que le monde médical et politique, avait accepté des corruptions sur ordre ou non, mais en tout cas leur richesse avait nettement augmenté.
Pour en revenir au roman, Florence METGE a beaucoup d’imagination et réussi parfaitement à la mettre en valeur pour nous tenir en haleine.
En effet j’ai apprécié une lecture simple, précise et entrainante. Je ne me suis pas ennuyé une seule seconde. Cela commence par une description du pourquoi un bâtiment fut construit sous terre afin d’accueillir un campus universitaire dans un milieu ou les nuisances écologiques seraient moindre, suite au réchauffement de la planète.
Un millier de personnes devront vivre sous terre dans une vallée presque inconnue de la Lozère. Un endroit presque hostile, dans la « vallée de l’enfer ». Un peu d’histoire pour expliquer les différents personnages habitants de cet endroit où les catholiques, les protestants firent de nombreux morts et destructions au nom de leur religion… Ces précisions m’ont été très instructives car bien rédigées contrairement à l’école qui a participé à mon aversion de l’histoire (il y a quand même longtemps, mais je n’ai jamais eu envie d’en apprendre plus, c’est ainsi…)
Nous découvrons ensuite qu’une étudiante ayant reçu un message a rendrez-vous sur un viaduc avec un inconnu, hélas pour elle, cet individu la jette par dessus bord et elle s’écrase 60 mètres plus bas. Pour la direction de l’établissement c’est un suicide.
Appoline arrive après avoir été sélectionnée parmi plus les 30 heureux élus sur plus de 1000 candidats. Elle va nous raconter ce qui se passe dans cette communauté. Déjà le lieu est assez austère, manque de soleil, de lumière, de vue sur la nature, puis l’ambiance est lourde, des bizutages qui officiellement n’en sont pas, bref pour elle ce n’est pas sa tasse de thé. Heureusement pour le lecteur, elle est atypique de ce monde estudiantin.
Elle va être témoin de faits qu’elle découvre au fur et à mesure de son intégration, de ses rencontres et jusqu’à la dernière page nous allons nous-mêmes découvrir des pratiques hors normes (sauf si notre monde se transformait selon la volonté de ces pirates) que l’on ne peut que rejeter. Nous avons appris, depuis que certains scientifiques ont commencé à diffuser hors médias nationaux et à révéler que les plus grands laboratoires pharmaceutiques n’avaient aucun scrupules à nous mentir pour faire du fric, et que le monde médical et politique, avait accepté des corruptions sur ordre ou non, mais en tout cas leur richesse avait nettement augmenté.
Pour en revenir au roman, Florence METGE a beaucoup d’imagination et réussi parfaitement à la mettre en valeur pour nous tenir en haleine.
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