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Critiques de Françoise Cloarec (103)
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J'ai un tel désir

Je termine ma lecture et je reste indécise. J'ai découvert la vie de deux femmes dont je connaissais peu de choses. J'ai découvert leur relation dont j'ignorais tout. J'ai aimé suivre leur histoire, les rencontres avec tous ces artistes célèbres. Mais l'auteur m'a perdu à plusieurs reprises : des passages décousus, sans lien parfois, des répétitions inutiles. Je trouve qu'il y a un goût d'inachevé. J'ai davantage apprécié les extraits de lettres, des carnets, des témoignages des proches, mais là encore en nombre insuffisant. Disons que je ne m'attendais pas au style de l'auteur pour une biographie. Elle a aussi écrit celle de Séraphine de Senlis qui m'intéresse grandement...à voir si la patte reste la même...
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J'ai un tel désir

“J’ai un tel désir”, de Françoise Cloarec, est le récit passionnant d’une relation passionnée.
Lien : https://www.telerama.fr/livr..
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Séraphine : La vie rêvée de Séraphine de Senlis

Un essai biographique passionnant sur une artiste totalement imprégnée de religion qui vivait dans une extrême solitude et dont l’esprit fantasque finira par basculer dans la folie.

Séraphine Louis-Maillard, dite Séraphine de Senlis a vécu à la fin du XIXème et au début du XXème siècle. Elle fut une artiste peintre autodidacte dont l’œuvre, difficile à classer, a été rattachée à l’art naïf. Elle peint la nature, les fleurs, les feuilles, les arbres, les animaux avec une grande originalité.

Pourtant rien ne la prédestinait à devenir une artiste. D’origine très modeste, elle est orpheline dès le plus jeune âge. C’est sa sœur qui s’occupe d’elle dans sa prime jeunesse. Elle participe comme elle peut aux travaux domestiques ; elle garde le bétail des fermes voisines. Dès l’âge de 13 ans, elle commence à travailler comme domestique, bonne à tout faire, chez des particuliers puis au sein d'un couvent. A partir de 1902, elle se met au service de plusieurs maisons bourgeoises de Senlis (Oise).

Très imprégnée de religion, elle a une prédilection pour la Vierge Marie qui en 1905 l’aurait enjointe de consacrer sa vie au dessin. C’est alors, âgée de 42 ans, qu’elle fait ses premiers essais. Elle passe rapidement à la peinture à l'huile à séchage rapide, le Ripolin.

Après ses longues journées de travail, Séraphine s’enferme chez elle, dans la pièce unique de son logement qui lui sert également d'atelier. Elle peint en chantant des cantiques. Sa vie devient très difficile car au XIXème siècle, chacun est tenu de rester à sa place. Pourtant un allemand, Wilhelm Uhde, collectionneur et découvreur de Picasso, de Braque et du Douanier Rousseau croit en son talent. C’est grâce à lui que son travail connait aujourd’hui encore une certaine postérité.
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J'ai un tel désir

A travers la vie de Marie Laurencin et son amitié amoureuse avec Nicole Groult, mère de Benoîte et de Flora, c'est à la fois une femme libre et toute une époque que décrit ici Françoise Cloarec, au fil des relations que Marie a nouées grâce à sa liaison avec Guillaume Apollinaire. Enfant qui a connu son père mais n'a pas été reconnue par lui, très proche de sa mère dans une intimité quasi fusionnelle, Marie Laurencin se lance dans la peinture sans y avoir été vraiment encouragée. Elle rencontre Picasso, qui à son habitude, ne dira guère de bien d'elle, mais sera soutenue par Apollinaire envers et contre tout. Leur liaison finira par se rompre, Apollinaire mourra, mais entre-temps Marie aura rencontré la sœur du couturier Paul Poiret, mariée au décorateur André Groult, et les deux femmes entameront une longue liaison que le mariage de Marie avec un allemand et par la suite son exil en Espagne pendant la guerre ne briseront pas. Nicole aura d'autres liaisons et de l'une d'elle naîtront ses deux filles, Benoîte et Flora, que son mari reconnaîtra. La relation privilégiée entre Marie et Nicole deviendra plus distante, et Marie, réfugiée dans sa peinture et protégée (un peu trop semble-t-il) par sa camériste , décédera à 72 ans dans un relatif isolement.

J'ai beaucoup aimé ce livre, qui décrit une artiste singulière en la situant sans cesse dans son époque, ses relations avec les grands artistes de cette époque, notamment Picabia, Cocteau, Max Jacob les Delaunay, le douanier Rousseau, sur lesquels on apprend d'ailleurs beaucoup de détails intéressants, ainsi que sur le regard que Gertrude Stein avait de Marie.

Le caractère de Marie Laurencin nous apparaît tout en nuances, avec une volonté de comprendre ce qui a fait d'elle une femme et une artiste si particulière dans le contexte historique et social qui était celui de la Belle Époque, puis de la seconde guerre mondiale. Femme libre, Marie a pu se construire à la fois grâce à son entourage, et aussi malgré lui. Femme seule, artiste vivant dans son monde intérieur, elle n'a pas toujours compris celui dans lequel elle vivait, un peu en porte-à-faux, se brouillant avec un certain nombre de ses proches. Il nous reste ses œuvres très particulières. "D'où viennent-elles ? Où vont-elles ? Où sont leurs attaches ? Dans leurs rêves dans les couleurs pastels, elles s'évadent du monde vers la lumière."

Un grand merci à Babelio et aux Éditions Stock pour ce livre lu dans le cadre de la Masse Critique.

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J'ai un tel désir

La romancière Françoise Cloarec évoque le peintre à travers son amour pour la créatrice Nicole Groult.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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J'ai un tel désir

Après avoir dressé le portrait de Marthe, la muse de Bonnard, dans « L’Indolente » (disponible chez J’ai Lu), Françoise Cloarec nous raconte ici la relation tendre et particulière entre la peintre Marie Laurencin et la couturière Nicole Groult.

Je connaissais déjà un peu l’oeuvre de Marie Laurencin, son style immédiatement reconnaissable, vaporeux et fluide, aux tons roses et gris très doux, ces portraits de femmes gracieuses aux yeux de biche ; je ne connaissais en revanche pas du tout Nicole, styliste et soeur du couturier Paul Poiret, en dehors du fait qu’elle soit la mère des deux écrivaines Benoîte et Flora Groult.



Lorsque ces deux femmes se rencontrent, elles ont déjà un certain vécu sentimental et professionnel – Marie en particulier fut longtemps la maîtresse de Guillaume Apollinaire à qui elle inspira de nombreux textes ; elle fréquenta le fameux Bateau-Lavoir de la belle époque montmartroise et ses non moins fameux occupants, Picasso, Derain, Braque… Toutes deux se reconnaissent : originales et non conventionnelles, sensibles et gracieuses, elles resteront liées jusqu’à la fin.

L’auteure raconte avec précision comment des femmes en avance sur leur temps conquirent leur liberté, leur indépendance et leur place dans des milieux et à une époque où cela n’allait pas de soi. Elle n’occulte pas non plus les quelques nuages assombrissant la vie de Marie Laurencin (l’exil forcé en Espagne avec son époux allemand durant la guerre, des opinions discutables) et livre un portrait très documenté (grâce notamment aux souvenirs de la féministe Benoîte Groult et aux centaines de lettres échangées) de la « dame du cubisme ».
Lien : https://cestquoicebazar.word..
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Séraphine : La vie rêvée de Séraphine de Senlis

Séraphine était employée de famille dans sa ville de Senlis au début du XXème siècle. Un jour, elle se met à peindre...sans avoir jamais appris, elle réalisera de magnifiques tableaux, colorées, gais, foisonnants de vie. Le jour, femme de ménage, la nuit peintre autodidacte. Le collectionneur d'art allemand, Wilhem Uhde, la prendra sous son aile pendant de nombreuses années, lui permettant de vivre de son art, jusqu'à ce qu'elle sombre dans la folie à l'orée de la deuxième guerre mondiale. Elle passera les vingt dernières années de sa vie enfermée dans un asile, où elle ne touchera plus jamais un seul pinceau.

Un destin étonnant racontée par Françoise Cloarec dans une biographie courte, assez impersonnelle. Peut-être est-ce dû au manque d'informations concernant Séraphine à la vie si banale extérieurement ? Les quelques tableaux présentées ainsi que les photos rendent un peu compte de la vie intérieure intense qui devait néanmoins agiter Séraphine.
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Séraphine : La vie rêvée de Séraphine de Senlis

On découvre une artiste dont la vie et le tempérament est particulier. J'avoue que ce fut une découverte intéressante. Se demander si la folie explique ou non le talent
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Séraphine : La vie rêvée de Séraphine de Senlis

Un très joli livre qui évoque le parcours hors norme d'une femme qu tutoie les anges et s'en inspire pour créer à partir d'éléments végétaux et de recettes secrètes des couleurs merveilleuses dans des compositions florales. A lire en complément du visionnage du film dans lequel Yolande Moreau incarne à merveille l'artiste.
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L'indolente

Qui est Marthe Bonnard? Dès sa 1ère rencontre avec Pierre Bonnard, elle ment sur son âge, dit qu'elle a 16 ans au lieu de 24, et ment sur son nom. Dit qu'elle n'a pas de famille alors qu'elle a mère et soeurs. Toute sa vie, bonnard va peindre Marthe.L'oeuvre de Bonnard est fondue avec Marthe. Il ne posera pas de questions. Jamais. Mais Marthe a de l'asthme ou bien souffre de tuberculose. La maladie, le secret, son caractère difficile, tout cela va envelopper Bonnard.

Ce livre résulte d'une fascination. Celle qui se voulait neuve, autre, sans passé pour vivre en osmose avec Bonnard, se cache, se fuit.

Un très beau livre qui parle de peinture, d'art, de fusion amoureuse, de complétude, de couple, qui parle de beaucoup de choses avec cette femme qui dit si peu.
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L'indolente

l'histoire de Marthe de Maligny ou de Maria Boursin, compagne puis épouse de Pierre Bonnard. Lors de leur rencontre, Maria dit à Pierre s'appeler Marthe et être sans famille. Aprsè leur mort à tous les deux, la succesion va permettre de découvrir ce mensonge et de poser des questions sur la propriété des tableaux, esquisses..des artistes .

J'ai aimé l'histoire, et du coup j'ai (re)découvert un peintre, mais pour moi il y a trop de longueurs, de répétitions....
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L'indolente

Ce livre nous entraine à la découverte du peintre Pierre Bonnard et du mystère qui entoure son épouse, modèle de la grande majorité de ses tableaux. Omniprésente dans l’œuvre et la vie de l’artiste, Marthe Bonnard est-elle celle qu’elle dit être ? Pour Pierre Bonnard, comme pour ses proches et les lecteurs de ce récit, le voile se lève progressivement et l’affaire défraiera la chronique bien après la mort des deux protagonistes.

Un livre que j’ai lu, un doigt sur la souris pour (re)découvrir en parallèle l’œuvre de l’artiste et jouir des couleurs chères à Bonnard.

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L'indolente

Ce livre m’est vrai­ment tombé des mains, il m’a aussi rendue triste et mise en colère. Tombé des mains, lors du fasti­dieux rappel des 16 ans de procé­dure pour régler la succes­sion du pein­tre. Triste, que l’auteur cher­che à mettre en lumière ce que de leur vivant, Pierre et Marthe ont préféré taire. Mise en colère, car le roman n’apporte rien à la compré­hen­sion de l’œuvre de Pierre Bonnard. On ne sait pas grand chose sur cette Marthe épouse de Bonnard, ni lui ni elle n’ont voulu dévoi­ler les secrets de la vie de cette femme. Pour­quoi dian­tre, faut-​il aller remuer les rares pistes dévoi­lant l’origine de Marthe qu’il a peinte si souvent pour lais­ser à la posté­rité de très beaux nus, trou­blants sensuels et souvent très éroti­ques. Pour­quoi racon­ter les 16 ans de procès de la succes­sion de Pierre Bonnard ? Est ce que cela rend plus présent l’œuvre de ce pein­tre ? Bien sûr que non, cette enquête ne mène à pas grand chose sinon à se dire qu’ils ont voulu tous les deux préser­ver leur inti­mité et ne dévoi­ler que ce qui se voit sur de magni­fi­ques tableaux.
Lien : http://luocine.fr/?p=7325
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L'indolente

Superbement bien documenté ce roman-biographie nous fait découvrir Pierre Bonnard dans son intimité. En se plaçant sous l'angle de son épouse Marthe ou Marie, l'auteur dresse un tableau très précis de ce peintre, de son époque et des autres peintres de la même génération . Un bel équilibre entre roman et biographie.
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L'indolente

Ce roman constitue une très bonne biographie de la vie de Bonnard et de sa muse. C'est une histoire d'amour, mais également l'histoire d'une imposture. Cette découverte de Bonnard, ce peintre bourgeois, est bien documentée, mais le texte manque un peu de rythme.

La dernière partie du roman sur la propriété des oeuvres est également intéressante, mais sort du cadre du roman.

Un bel hommage à ce couple mais manque d'émotion.
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L'indolente

Françoise Cloarec nous entraîne dans la vie de Pierre et Marthe Bonnard et le mystère de leur relation.

Marthe Bonnard qui a été peinte et magnifiée maintes et maintes fois par Pierre Bonnard à une autre réalité.

Ces différents tableaux nous la présente comme une femme souvent nue, belle lascive et jeune.

En vérité Marthe est atteinte d'asthme chronique et d'une difficulté à vivre qui fera que sa vie deviendra de plus en plus un recroquevillement sur elle même.

De plus elle cache son identité sous les personnalités de Maria Boursin -Marthe Bonnard ou encore Marthe Solange.

Le livre sous forme de roman documentaire ,de questionnements et de recherche de l'auteur va nous permettre d'appréhender la grande bonté de Pierre Bonnard et surtout nous faire vivre sa peinture.

Les passages du livre qui traitent des couleurs des ciels sont magnifiques.

De même la partie traitant de la propriété des oeuvres après la mort de l'artiste .

En synthèse il s'agit d'un livre qui se lit avec grand intérêt et qui ouvre à l'oeuvre de Pierre Bonnard par le prisme de Marthe.
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L'indolente

C'est en usant des pouvoirs alliés du romanesque et de l'investigation psychologique que Françoise Cloarec mène avec talent l'enquête sur cette personnalité tout ensemble attachante et âpre, fragile et revêche.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
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Séraphine : La vie rêvée de Séraphine de Senlis

Je l’admets, les avant-propos m’ennuient. Je compte donc que ce livre commence p. 33 et se termine p. 170. Cent quarante pages, finalement, c’est peu pour raconter la vie d’une peintre méconnue. Peu, mais Françoise Cloarec préfère raconter ce qu’elle sait plutôt que de romancer – et c’est tout de même nettement mieux ainsi.

Peu de peintres ont eu une vie aussi simple. Fille du XIXe siècle, elle est la quatrième et dernière enfant de sa fratrie. Elle ne connaîtra que sa soeur aînée, son autre soeur et son frère sont morts jeunes, sa mère mourra alors qu’elle a un an. Placée jeune, comme c’était la coutume à l’époque, elle travaillera toute sa vie, ses « travaux noirs » et peindra le soir, avant d’être révélé par un marchand d’art allemand, pour lequel elle travaillait.

Le succès, oui, et les difficultés – Wilhelm Uhde, son protecteur, éprouvera plus que des difficultés pendant la première guerre mondiale, puis viendra ensuite la crise de 1929. Quel est l’origine de l’inspiration de Séraphine ? Elle disait entendre des voix, mais ces voix la conduiront d’abord à cesser de peindre puis à être internée en 1932 – jusqu’à sa mort, dix ans plus tard. Elle n’est pas la première artiste à subir un internement, ce qui permet à l’auteure de rappeler ce qu’était un asile à cette époque, non plus que le sort des malades mentaux pendant la seconde guerre mondiale.

Séraphine est une biographie nette et précise d’une artiste que le film de Martin Provost a permis de redécouvrir.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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De père légalement inconnu

La quatrième de couverture vantant un sujet passionnant - une femme à la recherche de ses racines, de son père - j'y allais avec un a-priori très positif. Je m'attendais à des personnages fouillés, à une histoire émouvante, du moins à rester attachée à ce roman tout au long de l'histoire.



J'en suis fort déçue. J'ai pourtant essayé, essayé de m'attacher aux personnages qui apparaissent, essayé de faire abstraction de l'écriture laborieuse pour me concentrer sur l'histoire distillée ici et là, essayé de construire moi même des personnages qui tenaient la route. Mais en fait, non, vraiment non. Un livre de 140 pages qui pourrait tenir dans une copie double, l'impression de se faire avoir comme quand on regarde un film chiant et qu'on se dit " quand même, il va se passer quelque chose!".



J'ai vraiment l'impression d'être passée à côté de quelque chose, je l'ai fini parce que c'était dans le cadre d'un masse critique, mais honnêtement, dans toute autre situation, j'aurai survolé ce bouquin juste pour voir si enfin le truc décollait. (même au milieu, quand enfin on rentre dans l'histoire de l'enfance de l'héroïne, c'est ennuyeux...).
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De père légalement inconnu

Les Masses Critique Babelio, "c'est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber"...Et bien cette fois-ci c'est sur Libretto, une maison d'édition que j'affectionne particulièrement pour m'avoir fait rencontrer la Princesse Angine.

Mais passons, ici nous parlerons de Camille, enfin, surtout de son père, le véritable personnage principal de ce court roman. J'avais très envie d'en savoir plus sur Camille, mais non: il est ici question non pas de la recherche d'un père par sa fille, mais plutôt du cheminement, des causes qui ont poussé cet homme à refuser la reconnaissance de son enfant aimé...bien maladroitement.

Un très beau récit, émouvant pour mon cœur de maman, qui se lit très vite, trop vite, j'aurais vraiment aimé rester plus longtemps avec Camille, je suis certaine que c'est une femme formidable.
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