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Critiques de Frédéric Bézian (94)
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Docteur Radar, tome 2 : Terreur en Italie

Avec les coups de crayon de Bézian, ciselés voire acérés et si caractéristiques, la narration est remarquablement servie par le dessin dont le lecteur appréciera la fluidité et le rythme tout aussi haletant que le scénario.
Lien : http://www.auracan.com/album..
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Docteur Radar, tome 2 : Terreur en Italie

Alors que rôde un bandit machiavélique comme Fantômas et rusé comme Arsène Lupin, l’Europe des années 1920 a raison de trembler.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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Docteur Radar, tome 1 : Tueur de savants

Dans le Paris des années 20, un jeune détective nommé Ferdinand Straub se lance à la poursuite du Docteur Radar, qu’il soupçonne être le meurtrier de plusieurs savants, spécialisés dans l’aéronautique.

Avec cette enquête endiablée, ses moult rebondissements et courses-poursuites, cette BD est, d’un point de vue narratif, dans la digne lignée d’un Maurice Leblanc ou d’un Gaston Leroux. L’originalité réside assurément dans le dessin de Frédéric Bézian, acéré et vif, virevoltant comme en éternel mouvement. Ses choix de perspective et de champ sont audacieux ainsi que ceux des couleurs choisies. Ces dernières, souvent en monochromie, renforce l‘intensité du dessin, surtout sur les scènes nocturnes.

J’ai hâte de découvrir le second tome...
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Docteur Radar, tome 1 : Tueur de savants

Un tueur qui tue des savants travaillant sur l'espace. Mais qui est ce fameux docteur radar?

Une BD dont le scénario est intéressant mais tout est gâché par des dessins qui voudraient exprimer le mouvement mas qui ressemblent à des gribouillis. Pas aidés par une colorisation unique et sombre sur beaucoup de cases.

Une déception.
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Docteur Radar, tome 1 : Tueur de savants

c'est pas mal maif finalement les dessins m'on decu malgrè une bonne enquete
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Docteur Radar, tome 1 : Tueur de savants

Des savants se font assasiner et cela interpelle un gentleman détective qui décide de mener l'enquete.. le tout dans les bas fonds parisiens des années 20.



L'histoire en elle même n'est déjà pas très originale, mais elle n'est pas non plus égayée par des graphismes fantastiques loin de là. Mais il faut avouer que même si le coup de crayon est assez simplisite il correspond bien a l'athmophère de cette BD.

Je m'attendais franchement a quelque chose de plus passionnant mais l'intrigue se tient quand même tout au long de la lecture.
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Les garde-fous

Une oeuvre captivante en ce sens qu'elle peut aussi bien fasciner que dérouter... Un graphisme d'un esthétisme éblouissant. Une atmosphère insaisissable entre la folie et le dégoût... Presque une impression d'être dans la vision d'un cerveau malade.

Captivant donc mais déroutant car une impression d'inachevé ou plutôt de manque d'exploration détaillée... Mais un univers qui laisse un goût prononcé de "revenez-y"
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Aller-retour

un nouveau livre tout en atmosphère. Après 'les garde-fous' qui se déroulait essentiellement dans une maison moderne et désincarnée, cet 'aller retour' se déroule au contraire dans un village très traditionnel et enraciné dans un climat étrange teinté de nostalgie. Ces deux récits sont d'ailleurs relié, mais ce récit se suffit amplement à lui-même.

Raconter l'histoire n'aurait guère de sens. Basile Far 'enquête sur une disparition' dans un village du côté du Canal du Midi. Mais quelle étrange enquête puisqu'il se contente d'errer sans but.

Narré essentiellement à travers une voix off monocorde (qui, à une seul moment passe de la troisième à la première personne), ce récit monochromatique et brumeux invite à la contemplation. Bézian réussit admirablement à traduire cet aspect contemplatif. Son dessin et surtout sa mise en page donne corps à ce voyage immobile.

Sans doute trop long, mais pas sans intérêt.
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Aller-retour

Le livre que j'ai choisi s'appelle "Aller-Retour" de Bézian. L'éditeur de ce livre est DELCOURT. C'est une bande dessinée sombre.

Il n'y a qu'un seul personnage principal: un détective d'une agence d'assurance, Basile Far. Cette histoire se déroule dans son village d'enfance, au sud de la France. Basile est une personne très solitaire et refuse toute conversation. L'auteur veut nous faire croire que Basile Far enquête sur un crime. Mais en fait, Aller Retour signifie qu'il veut retrouver les sensations de sa jeunesse à travers différents endroits, différentes odeurs.

J'ai trouvé ce livre un peu ennuyeux. Durant toute l'histoire il n'y a que de la narration et peu de dialogue. De plus, le graphisme est très sombre et lugubre. Par contre, le dessin de Basile Far m'a plu par son physique grand, massif et mou. Je l'ai trouvé même sympathique.

Je noterai ce livre 2 étoiles sur 5.
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Le Courant d'Art : De Byrne à Mondrian - De M..

Au XIXème siècle, Oliver Byrne fut un mathémicien f-doué auteur d'un essai sur Euclide qui fut très remarqué.

Au XXème siècle, Mondrian fur l'un d'es pionneirs du muouvement Bauhaus; Il est mondialement célèbre pour ses composition géométriques utilisant les couleurs primaires.

Rien ne les relie.

Et pourtant, si vous entrez Oliver Byrne sur google, vous remarquerz que son livre avait la particularité de multiplier les figures géométriques colorées. La tentation d'y voir un précurseur pour Mondrian est séduisante. mais ce n'est pas le cas. Et si, au contraire, Mondrian avait été inspirateur pour Byrne ? Et si un "courant d'art" avait transporté des visions de Mondrian jusqu'à Byrne, à travers le temps ?

Bézian joue avec cette idée, et utilise un procédé narratif particulier: celui du livre-accordéon. le livre se déplie en une longue fresque. D'un côté, il représente des scènes de la vie de Byrne. De l'autre, des scènes de celle de Mondrian. Et un courant d'air chez Mondrian devaint un courant d'art pour Byrne, qui l'inspire.

La structure en accordéon dépasse la simple fonctionnalité de gadget. Il semble y avoir une symétrie entre les vies, articulée autour de ce courant d'art.

Un objet ludique et qui demande sûrement plusieurs lectures pour en saisir toutes les subtilités.
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Le Courant d'Art : De Byrne à Mondrian - De M..

Une bande dessinée qui ouvre une passerelle entre les médiums, les sensibilités, qui démontre (...) la force du travail de cet auteur hors du commun qui pose des pistes de lecture, de réflexion très intéressantes
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Le Courant d'Art : De Byrne à Mondrian - De M..

Les deux récits de cette bande dessinée – bande au sens propre puisqu'il s'agit d'un leporello – suggèrent les influences réciproques d'un géomètre esthète du XIXè siècle sur un peintre de vingtième siècle. Influence réciproque – devrions-nous dire plutôt « par anticipation », comme Pierre Bayard pour le plagiat par anticipation ; Frédéric Bézian a imaginé Oliver Byrne (1810 – 1880) influencé par Piet Mondrian (1872 – 1944) et vice versa par les voies du surnaturel.

Le mathématicien Oliver Byrne fut l'auteur d'une édition des Éléments d'Euclide dans laquelle « des diagrammes en couleurs et symboles sont utilisés au lieu de lettres pour assurer une plus grand facilité d'apprentissage ». Quant à Mondrian, sa froide application à décharner la peinture par réduction drastique à la géométrie de l'angle droit en trois couleurs primaire en a fait une référence scolaire de l'art du début du Xxè siècle. L'un donnait de la chair aux théorèmes d'Euclide pour mettre au jour les beautés de la géométrie ; l'autre désincarna la peinture comme pour en faire l'égale d'une science qu'il se représentait sans doute comme une beauté froide et inaccessible. Car c'est bien de sensualité qu'il s'agit ; libido sciendi et libido (frustrée) tout court vont de pair pour les deux hommes qui sont aussi des amoureux déçus. Ce vice versa crée comme un courant d'art qui circule à l'infini dans le recto verso de cette bande dessinée qu'on aurait pu imprimer sur un ruban de Möbius.
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Docteur Radar, tome 1 : Tueur de savants

Une bd qui réussi le pari d'être à la fois originale tout en faisant écho à des classiques populaires (des professeurs à la Tournesol, un criminel à la Fantomas). L'intrigue est simple, rondement menée, avec des personnages forts et caricaturaux : le méchant fourbe et bien vilain, le policier pas très futé, le détective bien plus malin. Ajoutez à cela des avancées scientifiques volées et vous tenez le truc. Quand au dessin, il est très moderne. Autant l'avouer, je n'aime pas du tout. Mais cela ne m'a pas empêché d'entrer clairement dans l'histoire une fois cet obstacle accepté.
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Paroles de taulards

Les gardes à vue, la prison, les barreaux, les matons, le parloir... comment ces hommes en sont-ils arrivés là? Qu'ont-ils fait (ou refait pour certains) pour se retrouver derrière les barreaux? Quel regard la société porte-t-elle sur les taulards? Et, plus encore, sur ces ex-taulards? Et eux, quel regard portent-ils sur eux-mêmes?



L'association Bd Boum a poussé les portes de la Maison d'arrêt de Blois et deux de ses membres sont allés rencontrer les détenus. Après avoir discuté, échangé, donné et reçu pendant plusieurs semaines, elle a confié ses récits à Corbeyran qui, lui-même, a retravaillé avec eux. Une palette de dessinateurs, d'Etienne Davodeau à Edmond Baudouin en passant par Alfred ou Régis Lejonc, a illustré tous ces récits. Fruit d'un travail de 16 mois, ces Paroles de taulards nous livrent un certain regard sur la prison et sur ses conditions de vie. Non sans rappeler que la punition infligée à ces détenus doit les aider et non les anéantir ou les durcir. Le but est louable et nous incite ainsi à considérer ces personnes en tant que telles. Ces tranches de vie sont profondément humaines et empreintes d'une certaine justesse, le style de chaque dessinateur renforçant ces récits.



Juste quelques Paroles de taulards...
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Les garde-fous

"Les garde-fous".

Qui sont les fous ? Qui sont les gardes ?

Les gardes isolent les fous dans des maisons bien à l'abri de la société dans des grands domaines. Mais c'est aussi le moyen de protéger la société de ces fous. Des hôpitaux ou clinique psychiatriques, c'est ainsi qu'on les nomment des "maisons" isolées dans un grand domaine bien clos. Ces "maisons" sont construites pour à la fois surveiller et laisser une certaine autonomie aux malades, avec de grands couloirs vides, de grands espaces vides, meublés du stricte nécessaire. Les matériaux utilisés sont aseptisés comme le verre, l'inox...Ceux qui y vivent, où plutôt vivent leurs phantasmes, isolés du reste de la société, errent plus ou moins conscients. Ceux qui ne sont pas trop atteints, se promènent dans le domaine où ils font semblant de pêcher, de lire...Les autres restent à l'abri de cette sorte d'aquarium. A travers les vitres, on peut les voir déambuler, surveillés par de grands écrans, par un infirmier (?) qui les aide à prendre conscience de la vie qui existe à l'extérieur. Il paraît que la musicothérapie est efficace... La difficulté, c'est le nouvel arrivant. Il faut y faire très attention car parfois ce malade atteint à ses jours. ça arrive parfois. Et dans ce cas le "garde" est...remercié. Il faut un caractère bien trempé aux soignants qui y sont assignés. Voyez comme l'un d'eux craque et s'enfuit en courant à perdre haleine dans le couloir qui va lui permettre de retrouver la vie normale. Dommage, c'était un jeune diplômé brillant cet Adrian, mais aux nerfs trop fragiles.

Certains jours c'est la visite. Les visiteurs ou se présentent à la grille qui ferme le tunnel d'accès, ou utilisent des barques pour un semblant de vie sociale. Tunnel, barque les deux symboles du passage d'un monde à un autre...



Ils sont beaux, cultivés et pétés de thunes. Tout leur a réussi mais à quoi bon ? Lui a besoin de repos, donc restera se reposer dans sa villégiature.

Elle s'appelle Alice, a du vent dans les cheveux, l'envie de vivre en parlant de livre, en tentant de se sentir utile. Drôle de petite infirmière qui tente de ramener à la raison un pauvre hère qui vit dans la forêt, essaie de se ré-accoutumer à la vie, en faisant semblant de pêcher, de lire, de discuter...



Elle s'appelle Alice et fait semblant d'être l'épouse attentionnée de cet homme dérangé qui s'appelle Lentz et qui est éditeur. Il a besoin de repos M. Lentz. Un "burn out" peut être...ou une crise de schizophrénie ???

Elle s'appelle Alice, est souvent ébranlée par ce monde et se fait épauler par un soignant plus expérimenté qu'elle. La preuve : c'est le seul qui est tout rond, alors que tous les autres ressemblent à des fantômes. Il épie les conversations, va régulièrement à l'extérieur, reçoit celui qui est en crise dans son bureau (on dit plutôt, sa chambre) pour parler musique. Non, non, ce n'est pas le psychiatre du lieu, juste le père d'Alice.



Jusqu'au jour ou un policier poursuit un psychopathe en ce lieu : il est le roi des incompétents. Il s'adresse à Alice en utilisant son véritable patronyme Melle Harno, il perturbe les malades et sème un fiasco gigantesque ; deux malades se tueront et Alice s'en sortira grâce à son sang-froid et à ses compétences d'infirmière aguerrie. Sous son air fragile, elle est solide Alice. Et puis tout rentrera dans l'ordre, ordre médical, bien sûr.



Elle s'appelle Alice et l'appelle Bel Homme et lui, lui lui demande "Tu veux du thé?".



C'est l'histoire que j'ai lu. Tout est illusion dans ces jeux de lignes anguleuses et ces aplats. Les couleurs appartiennent à la gamme des couleurs apaisantes : ces verts, ces gris, ces bleus. Même la lumière du soleil est éteinte. Seul du rouge quand il y a une explosion de colère, de démence. Et Lentz, et Boone changent de faciès, passent d'un aspect calme, d'homme élégant, de petits garçon sage, à un visage tordu de rictus, halluciné. C'est si discret que seul ce policier complètement infatué de lui-même ne s'en rend pas compte.



Décidément M. Bezian conçoit les maisons comme des lieux clos sur eux-mêmes, terrain de jeux pour toutes les bizarres. Déjà dans "Ne touchez à rien" il nous décrivait une vieille maison bourgeoise hantée, gérée par un couple de momies qui veillait à ce que les occupants ne changent rien à leur maison. Maison, domaine des folies humaines, bien isolées du regard de la société.

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Docteur Radar, tome 1 : Tueur de savants

L’univers est bien dépeint, les personnages jouent tous bien leur rôle. On dévore cette enquête avec grand plaisir.
Lien : http://www.bdencre.com/2015/..
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Ne touchez à rien

Ne touchez à rien est un recueil de nouvelles tournant autour d'une maison bordelaise. Les anciens propriétaires, un couple féru de taxidermie, très attachés à leur maison, se sont fait naturaliser à leur mort afin de rester à jamais dans leur maison. Les nouveaux propriétaires doivent s'engager à laisser la demeure en état. Interdiction donc de toucher aux corps naturalisés. Au fil des ans, les propriétaires successifs s'acquitteront plus ou moins bien de cette exigence. Ceux qui renâclent sont rappelés à l'ordre, les autres bénéficieront parfois d'une étrange protection lorsque le besoin s'en fait sentir.

Il me semble qu'un des éléments centraux du travail de Bezian est le temps, traité de diverses manières. Cause ou conséquence, ses histoires se caractérisent par une certaine intemporalité. Difficile de vraiment les situer dans le temps et parfois difficile de se faire une idée précise du temps qui passe. Dans Ne touchez à rien, cette obsession s'exprime par un 'îlot' sur lequel ne semble pas avoir de prise. Chaque histoire commence de la même manière, même séquence de cases s'ouvrant, si je ne me trompe, par une vue d'ensemble nous renseignant sur l'époque, les cases suivantes se concentrant sur la maison, puis la porte d'entrée qui ne change guère, comme si le temps n'avait pas de prise.

Les histoires qui composent Ne touchez à rien jouent sur des variations fantastiques connues, qui évoquent plutôt Guy de Maupassant ou Edgard Allan Poe (à mon humble avis, je précise). Il n'y a rien de follement original, mais l'alchimie fonctionne parfaitement parce que Simsolo sait doser ses effets et que Bezian est un dessinateur formidable. Le travail sur les couleurs, s'il peut paraître surprenant de prime abord, se révèle très réussi.
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Docteur Radar, tome 1 : Tueur de savants

Avec cet album, nous voilà transportés dans les années 20 et une ambiance feuilletonnesque à la Arsène Lupin. Certes, l’action est trépidante et enlevée, extrêmement bien ficelée mais c’est le graphisme qui emporte l’adhésion : tout en mouvement, il a la grâce –et le tourment- de longs traits noirs et sert à merveille un scénario qui, sans lui, aurait pu passer pour une histoire presque gentillette. Il nous transporte dans un magnifique et sombre climat où tout peut arriver, y compris mourir.
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Docteur Radar, tome 1 : Tueur de savants

Étrange objet littéraire avec ses visages zombiesques, ses perspectives éclatées, ses cases donnant cette impression d’être en mouvement, le tout dans une grammaire lumineuse et colorée savamment établie.
Lien : http://www.ledevoir.com/cult..
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Paroles de taulards

C’est à l’initiative de l’association BD Boum de Blois que cet album a pris naissance en donnant la parole à des détenus de la Maison d’Arrêt de Blois. Cet ouvrage est une suite de courts récits présentés en bandes dessinées en noir et blanc produites par plusieurs dessinateurs.



A découvrir !

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