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Fanfanouche24 ==="Un sculpteur découvert en 1988, en passant à Villefranche-sur-Mer... où j'ai pu admirer les sculptures de cet artiste, qui me fait beaucoup songer à Aristide Maillol...Un vrai coup de foudre pour ses oeuvres harmonieuses et monumentales... Son sujet de prédilection est le corps féminin " La femme est son thème de prédilection, opulente dans ses formes, sensuelle, enroulée sur elle-même, accroupie ou debout, fière ou hiératique. Volti tourne autour d'elle et la dessine sans cesse, d'un trait mûr qui limite les volumes ou bien par les valeurs, en jeu d'ombres plus suaves, moins accusées. Ensuite il la sculpte en terre, en bronze, en plâtre platiné, respectant l'harmonie rythmique de son corps, mais la traitant aussi, et avant tout, comme une architecture. C'est ce précieux équilibre entre la composition abstraite et la vérité humaine qui fait tout le prix des oeuvres de Volti, qui ne cessent jamais d'être monumentales. -Jean-Albert Cartier (Le Méridional- La France, 1957)"

Fanfanouche24==="..."La réunion en Barlach d'un formidable dessinateur, d'un sculpteur et d'un écrivain, plus spécialement d'un dramaturge, est une conjonction unique, et cela d'autant plus que Barlach a porté ces trois arts à un niveau d'égale valeur et de profonde originalité. Il a besoin de différents "métiers" comme il dit, pour exprimer ce qu'il porte en lui, et cela tout au long d'une vie." (p.13)"

Album pour la jeunesse... mais aussi pour les autres âges !!! "Toute sa vie, François Pompon a sculpté des animaux. Toutes sortes d'animaux : des canards et des pigeons des bisons et des cochons, des lions et des panthères. Lentement, avec passion, il a simplifié leurs formes. Pour les rendre aussi lisses et polis que des galets. Le bestiaire de Pompon est attachant et plein d'humour. Unique."

Un musée extraordinaire, avec une très importante section "Sculptures" des XIXe et XXe...

"Catalogue d'exposition "Sculpture'Elles, les sculpteurs femmes du XVIIIe siècle à nos jours" présentée au musées des années 30, Boulogne-Billancourt (10 mai - 2 octobre 2011). Les créatrices allient deux points communs : celui d’avoir un talent hors pair et le fait d’être des femmes. Certaines d’entre elles ont une notoriété immense : Camille Claudel, Louise Bourgeois, Germaine Richier, Niki de Saint-Phalle..., d’autres sont passées à l’oubli mais leurs destinées sont tout aussi fascinantes. Lucienne Heuvelmans, première lauréate du Grand prix de Rome de sculpture (1911), médaille de bronze au Salon des artistes français (1907) et chevalier de la Légion d’honneur (1926), Jane Poupelet, célèbre animalière que l’on a récemment classée dans « l’entre-deux de la recherche qui se situe entre Orsay et Beaubourg » et Hélène Bertaux, médaille d’or à l’Exposition universelle de 1889 et fondatrice de l’Union des femmes peintres et sculpteurs. Le catalogue a été conçu comme un ouvrage de référence sur le sujet. Celui-ci comprend la reproduction de l'ensemble des oeuvres présentées dans l'exposition ainsi qu'une douzaine d'essais rédigés par des spécialistes français et étrangers de la sculpture et des femmes artistes : universitaires, conservateurs, chercheurs ou critiques d'art."

"en Dordogne, Jane Poupelet affirme très jeune une vocation pour la sculpture. Des études aux Beaux-Arts de Bordeaux puis l'Académie Julian, la fréquentation des cercles autour de Rodin et de Bourdelle et son appartenance à la " bande à Schnegg " sont les étapes de son apprentissage artistique. Elle côtoie aussi des artistes américaines et les groupes féministes anglo-saxons. Ses sculptures figurent dans d'importants musées américains. Jane Poupelet a tout à fait sa place parmi ces artistes, rares à l'époque, qui n'ont pas été annihilés par le génie de Rodin. De son enfance campagnarde, elle garde l'amour des animaux de ferme qu'elle représente dans un style d'une grande pureté. Lors d'un voyage autour du bassin méditerranéen, en 1904-1905, elle fait la découverte de la statuaire antique et des bronzes pompéiens, sources de ses nus au modelé souple et synthétique. Durant la guerre de 1914-1918, elle abandonne tout travail personnel au bénéfice d'?uvres charitables pour lesquelles elle crée d'admirables jouets de bois ou de métal puis, à partir de 1918, elle modèle des masques pour les mutilés de la face dans un service de la Croix-Rouge américaine. Elle expose sa dernière sculpture, Imploration, en 1925. Une importante rétrospective se tient à la galerie Bernier en 1928 avec un catalogue écrit par Louis Vauxcelles. Malade depuis plusieurs années, elle s'était éloignée de la sculpture pour se consacrer à une ?uvre graphique d'une immense qualité. Elle meurt à Talence le 18 novembre 1932. Très célèbre en son temps puis oubliée, Jane Poupelet a été redécouverte depuis quelques années par l'histoire de l'art anglo-saxonne. La grande rétrospective de son ?uvre organisée en 2005 à Roubaix permet de placer ce grand sculpteur aux côtés d'autres femmes artistes, en particulier Camille Claudel à qui elle ressemble par sa grande indépendance et sa force de caractère."

fascinée depuis toujours par son "Homme qui marche", fabuleux !

Une admiration spéciale pour les animaux stylisés, magnifiques du sculpteur, Pompon...

"Niki de Saint Phalle est une artiste dont les oeuvres fascinent et émerveillent. Cet ouvrage invite les plus jeunes à entrer dans le monde enchanté et tout en couleurs de Niki. Des tirs au Jardin des Tarots en passant par ses Nanas, Niki de Saint Phalle nous offre des créations dignes de contes de fées. Créatures fabuleuses, monstres et merveilles, femmes gigantesques et plantureuses, étranges sculptures mécaniques, entrez dans l?univers poétique et plein d?humour de Niki de Saint Phalle !"

"Il y a déjà longtemps que certains ont vu en Picasso le plus grand sculpteur du XXe siècle. À vrai dire, son ?uvre plastique est restée à l'écart, comme un secret bien gardé. C'est donc là que cet ouvrage d'exception prend tout son intérêt. Picasso éclectique, ce n'est rien de le dire. Au regard de sa sculpture, aucun autre aspect de sa production n'a souligné avec plus d'insistance l'importance de ses recherches. La curiosité insatiable de Picasso l'a conduit à aborder une multitude de thèmes et de méthodes. "Je ne cherche pas, je trouve !", se plaisait à déclarer l'artiste. Certes, mais toujours il a repoussé les limites de ses recherches.En 1906, il réalise ses premiers bois, matériau quelque peu dédaigné alors. À partir de 1909, mu par ses recherches picturales, il s'attache à l'objet en trois dimensions, s'attardant sur le traitement des volumes, des formes et des plans. Pas un matériau n'échappe à l'artiste boulimique : le bronze, le métal, la pierre, le papier carton, le plâtre. Des corps de femmes, des têtes, des animaux, tout y passe et tout passe entre les mains du modeleur qui n'hésite pas à recycler des objets de tous les jours, parfois utilitaires.Picasso sculpteur, sous la houlette de Werner Spies, directeur du musée national d'Art moderne de Paris, offre un choix infini de reproductions qui rendent ainsi hommage à la figure protéiforme de Picasso, probablement l'artiste le plus inventif du XXe siècle.--Céline Darner"

Je connaissais et aimais ses peintures... J'ai découvert récemment son oeuvre de sculpteur; et j'aime encore plus. Des réalisations insolites, pleines de poésie !

"Le texte est assez court mais d'une densité, d'une nécessité et d'une urgence qui ont peu d'équivalents. Il associe deux noms, Michel-Ange et Rodin. Mais au-delà de l'étude comparative, ce texte, écrit par Georg Simmel en 1911, sonde et touche l'essence de la sculpture. Il en détermine la singularité absolue telle que Michel-Ange l'a portée jusqu'à son point le plus bouleversant, telle que Rodin a su en saisir et tailler le mouvement." (Daniel Dobbels, Libération)"

Suggestion de tynn...

"Le musée du Louvre possède la plus importante et la plus belle collection d'œuvres de Jean-Antoine Houdon, " le premier sculpteur du monde ", écrivait Jefferson à Washington en 1784. Célèbre pour ses portraits de philosophes des Lumières, depatriotes ou de personnalités parisiennes à la mode, Houdon fut toujours admiré pour son habileté à saisir l'expression de ses modèles et la tendresse de ses visages d'enfants : " il ne manque plus que le moyen de faire parler ses portraits ". Il réalisa également d'impressionnantes statues inspirées de la mythologie gréco-romaine et de l'histoire antique. Cet ouvrage propose au lecteur de découvrir toutes les facettes de l'art de ce sculpteur d'exception."

"Ce catalogue a été publié à l'occasion de l'exposition Jean-Antoine Houdon, la sculpture sensible présentée au musée Fabre de Montpellier jusqu'au 27 Juin 2010. Jean-Antoine Houdon (1741-1828), "le sculpteur des Lumières", a connu une carrière internationale au cours de laquelle il fut amené à travailler au service des plus grands de son temps (Louis XVI, Catherine II de Russie, Napoléon Bonaparte, Thomas Jefferson, George Washington...). Excellant tout particulièrement dans l'art du portrait, l'artiste s'est essayé à divers matériaux, produisant de véritables chefs-d'œuvre de terre cuite, de plâtre, de marbre et de bronze. Le musée Fabre compte dans son fonds plusieurs sculptures exceptionnelles dont L'Eté, L'Hiver (ou la Frileuse) ainsi qu'une esquisse en terre cuite de cette dernière. Ces chefs-d'œuvre sont confrontés à une sélection de réalisations les plus extraordinaires du maître (La Frileuse en bronze du MET, entre autres) et de ses contemporains : Pajou, Caffieri, Lemoyne."

Fanfanouche24===="Un texte fort intéressant, alternant des Dialogues de Jean Genet avec Giacometti, des réflexions, questionnements sur les sculptures, dessins de son ami... la propre réalisation de son portrait... Un aspect complètement inattendu de Jean Genet, que l'on sent fortement interpellé par le travail de cet artiste... Des passages étonnants sur l'ampleur du mystère contenu dans toute oeuvre d'art... "C'est l'oeuvre de Giacometti qui me rend notre univers encore plus insupportable, tant il semble que cet artiste ait su écarter ce qui gênait son regard pour découvrir ce qui restera de l'homme quand les faux-semblants seront enlevés. Mais à Giacometti aussi peut-être fallait-il cette inhumaine condition qui nous est imposée, pour que sa nostalgie en devienne si grande qu'Elle lui donnerait la force de réussir dans sa recherche. " "L'oeuvre perd un peu de sa solennité. Par le moyen d'une familière reconnaissance je m'approche doucement de son secret...Rien à faire avec l'oeuvre de Giacometti. Elle est déjà trop loin. Impossible de feindre une gentille connerie. Sévère Elle m'ordonne de rejoindre ce point solitaire d'où Elle doit être aperçue." Un texte passionnant qui élargit la réflexion sur la perception de l'Art, de la beauté, ses exigences, et sa dimension existentiElle comme spirituElle. Un texte emprunté que je relirai un jour... car il me faut avouer que certains passages ne m'ont pas été aisés à aborder...Je reste enchantée de cette lecture imprévue..."

"Lucy Rachel Ludivine Hautot, née le 20 septembre 1882 à Fermanville (Manche) et morte le 29 décembre 1935 à Tunis, est une sculptrice française. Elle entre en 1906 à l’École des Beaux-Arts de Paris où elle suit pendant six ans les cours du sculpteur Laurent Marqueste grâce à une bourse du Conseil général de la Manche. En 1912, elle reçoit le prix Chevart pour son nu féminin La Mélancolie qu’'elle expose au Salon des artistes français. Elle obtient alors une bourse d'’étude de la Société coloniale des artistes français qui lui permet de faire un premier séjour en Tunisie en novembre et décembre 1912. Les travaux qu’'elle ramène de son voyage sont exposés au Salon des orientalistes en 1913, année où elle est également récompensée par l’Académie des Beaux-Arts."

"Félicie de Fauveau (1801-1886) est aujourd'hui encore méconnue, parce qu'elle est femme, sculpteur, et parce qu'elle a vécu hors de France pendant un demi-siècle. Nostalgique d'une royauté disparue, bataillant en Vendée aux côtés de la duchesse de Berry et de la comtesse de La Rochejaquelein contre le régime de Louis-Philippe, exilée à Florence, catholique et féministe, Félicie de Fauveau est connue surtout des historiens de la Restauration. Pourtant, elle a été une des figures les plus importantes de la sculpture romantique et Stendhal l'a portée aux nues en 1827"

-Ajout le 18 décembre 2016... en lisant une critique d'un livre-Bd sur cet artiste,présentée par madameduberry... Je n'avais pas pu voir la présentation de ses oeuvres sur le Pont des Arts, mais des années après, la chance de rattraper ce "ratage"...avec une expo plus classique, à Paris... Impressionnée par ses oeuvres gigantesques et si expressives, dont un "Victor Hugo" en pied, extraordinaire !

le 18 décembre 2016- ***voir chronique de madameduberry

ajout le 18 décembre 2016

Ajout le 18 décembre 2016

Ajout le 18 décembre 2016

Ajout le 18 décembre 2016-Parution novembre 2016

Ajout le 18 décembre 2016

Ajout le 18 décembre 2016

Ajout ce 12 octobre 2019- Hommage à Chana Orloff ( 1888-1968)

Suggestion fort intéressante de mijouet...

Ajout le 3 juin 2021- Exposition passionnante découverte ce 30 mai 2021, au Musée Camille Claudel, à Nogent sur Seine.Parmi ces artistes, une préférence pour Jules Dalou, Bourdelle, Ossip Zadkine, Victor Prouvé...

Ajout le 3 juin 2021- Un sculpteur très engagé qui a embelli Paris, dont le magnifique "Triomphe de la République, place de la Nation , dans le 12e

Ajout le 17 septembre 2023, après la découverte extraordinaire de sa maison-atelier, villa Seurat à Paris (14e) qui réunit un nombre incroyable de ses oeuvres ! Et l'occasion de feuilleter ce catalogue raisonné...