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Citations de Hubert Ben Kemoun (320)


- Moi aussi, je suis fragile ! j’ai craché.
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- Mettez-vous tous au fond de la classe ! Et fermez-la !
Ce n'était plus de la grammaire, mais une prise d'otages. Je dis ça, mais question prise d'otages, je n'étais pas plus calé qu'en conjugaison...
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Accroupie dans le couloir, elle serre fort sa gamine contre elle. On ne sait pas si c'est la grande cabossée qui câline la petite cabossée, ou le contraire.
Sans doute les deux.
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Fous, ils sont devenus complètement fous pendant son absence !
Il faudrait avoir un allié, mais Baptiste n'en voit aucun dans le groupe en furie qui l'a poursuivi dès son entrée dans la cour, ce matin.
Il est arrivé dans cette école et dans cette classe il y a à peine un mois. C'était juste après la séparation de ses parents. Son déménagement à l'autre bout de la ville l'obligeait à changer ses habitudes et ses repères, et pas seulement parce que dorénavant il passerait un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires chez son père.
Il n'a pas encore eu le temps de se faire de vrais amis, pas davantage celui d'avoir de vrais ennemis. Du moins, c'est ce qu'il croyait avant ce lundi
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Maintenant qu'il savait écrire,
Théo décida que cela devait lui servir.
Alors, il écrivit son message sur un joli papier
découpé dans son plus joli cahier.
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Moi, je n'ai jamais autant pleuré qu'avec eux. J'ai adoré cela. Pleurer sans honte, sans se cacher les yeux.
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Quand je serai un grand éléphant, avec mes amis : le crocodile, le lynx, le kangourou, la zibeline, le wapiti et le fennec, nous voyagerons partout dans le monde !
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Je suis sûre qu'ils se vengeront de la honte. Ils ont plus peur de cela que d'une flopée d'heures de colle, d'un redoublement. La honte est leur seul cancer incurable. (p.138)
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- Marion, qu'est-ce que tu en as à fiche des autres ?
- J'en ai à faire que ça ne m'intéresse plus de vivre sans les autres. Tous les autres ! Même ceux qui raconteront des conneries sur ma dégaine de zombie.
(...)
Mais tu ne sais pas dans quel monde on vit au bahut ! Je ne connais aucun endroit où l'on soit moins ausculté, évalué, classé. Tu es catalogué comme "chalouf", "destroy", "gothic", "has been", "pouffe", "geek", "bolos", "bouffon", "cassos"... Je ne vais pas te faire toute la liste, elle est sans fin et elle change tout le temps. "Intello", c'est déjà pas simple à trimballer, mais "zombie intello" ou "intello à la tronche de Frankenstein" ou un truc du même topo, non, je ne peux pas ! (p.84-85)
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C'est l'histoire d'un garçon qui est sur le point de battre son record au jeux vidéo Diablolik Criz. Mais son père débranche sans qu'il puisse sauvegarder… Alors ils se disputent. Alexandre dit ne plus aimer son père, qu'il le déteste, qu'il se moque du ridicule spectacle de sa grande sœur. Au spectacle, le magicien sur la scène demande au père d'Alex de mettre sa tête sur la guillotine… Alex, mort de peur, monte sur scène pour empecher que ce moment ne se produise… Vont-ils se réconcilier ?
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A quoi bon vouloir laisser une trace de son passage sur terre. Les traces ne devraient exister que dans la mémoire de ceux qui nous ont connus, songea le clochard.
Qui se souvenait encore de lui à présent ?
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La rumeur était un serpent monstrueux qui s'alimentait et doublait de volume à chaque mot prononcé ; les ravages de son venin n'avait plus de limite.
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Il était arrivé un matin d'été. De quel pays ? Personne ne savait. Mais il venait de loin, ça, c'est sûr, à voir l'état de sa chemise et de ses chaussures. Il disait qu'il s'appelait Massicholihaloi.
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[une bibliothèque sans livres =]
Tu te rends compte, ce gâchis ? Ils ont construit l'écrin, mais ils ne veulent pas y transporter les bijoux ! C'est lamentable ! (p.80)
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- Je prends tout, Méluz... ! Adorable et sympa ! Pas la peine de me l'emballer, c'est pour consommer tout de suite !
- Nous avons aussi pour vous : joyeuse et agréable, en stock ! Je vous les mets ?
- Certainement, mademoiselle ! En ces temps de crise, on ne doit pas cracher sur quelques compliments gratuits et d'aussi bonne qualité ! (p.52)
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Les livres n'ont jamais été pour moi des sales bêtes ennuyeuses et tristes, mais plutôt les briques, chacune différente, d'une grande pyramide dont maman est à la fois la gardienne et la reine Cléopâtre. (p. 49)
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Personne, il n'y avait personne pour me venir en aide, pas une seule vraie amie pour prendre ma défense ou servir de réceptacle à mes orages. J'ai fabriqué cette solitude en pensant qu'elle était ma meilleure protection.
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Je voudrais savoir si, selon vous, on peut-être fière de sa mère ou de son père même s’il est au chômage ?
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Toutes ces recommandations, je les connaissais par cœur. Mes parents sont du style "inquiets professionnels". Des gens qui, quand ils entendent passer une ambulance dans la rue, se demandent obligatoirement si ce n'est pas pour ma sœur ou pour moi...
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- Maison de nazes ! Lâche-moi !
Elle se dégage de la poigne de son fils et se replace en rempart dans le chambranle de la porte.
- Cette maison c'est celle où tu dors, celle où tu trouves un frigo plein et où tu manges, celle où tu te réfugies à quatre heures du matin quand tu as besoin de te planquer. cette maison, c'est celle où vit ton frère...Tu as l’impression que c'est un exemple pour lui, tout...toute cette... toute cette....merde ?
il ouvre la porte, sourd et aveugle. Il ne faut pas qu'il soit en retard.
- La merde, c'est ce que tu nettoies à longueur de journées, non ?
Alors de quoi tu te plains ? Salut !
Elle s'agrippe au sweat de marque une nouvelle fois. Il n'hésite pas et envoie sa mère bouler contre le mur. Marionnette impuissante, elle abdique.
( p 13)
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